La Grosse3
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 50 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Sucette ont reçu un total de 219 766 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 4 814 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Grosse3
La grosse 3
Comme je l'ai raconté, dès mon plus jeune âge, je suis grosse de partout et très portée sur le sexe. J’ai passé mon bac, je suis en prépa scientifique. j'ai dix huit ans et je traine souvent le week-end dans une ville de garnison.
Justement, j'ai sympathisé avec un groupe d'appelés qui fête son cent. Nous faisons le tour des bars et sommes bien éméchés.
Les mecs me charrient de plus en plus et les mains sont de plus en plus baladeuses. Ce qui n'est pas pour me déplaire. Je commence à mouiller. Justement, un des gars a une piaule dans le faubourg et nous y arrivons. Je sens qu'ils sont chauds. Ils ne sont plus que trois avec les couilles pleines et ne demandent qu'à se faire dégorger le poireau.
Un grand lit au sommier défoncé, un réchaud, un évier, un frigo , une table et deux chaises pour tout ameublement. Une salle d'eau complète le studio.
Nous nous affalons sur le lit, la pièce n'est éclairé que par une lampe de chevet.
Aussitôt, une main glisse dans mon soutien gorge et saisit mon sein bientôt rejointe par une autre main mais c'est celle d'un autre. Ils me les malaxent gentiment, j'apprécie ce moment et je pose mes mains sur leur entrejambe de chaque côté. On se resserre. Le troisième s'est affalé sur une chaise et nous regarde. Il se lève pour pisser et j'entends le jet couler sur la faïence. Il revient et il a enlevé son pantalon et son caleçon. Il s'approche, m'enlève mes bottines et ma culotte. Il la porte à son nez et hume mes effluves. Il faut que je l'ai porté toute la journée je mouille depuis un bon moment.
Je libère mes deux voisins en défaisant leur ceinturon et saisis leur membre que je branle dans la foulée.
Le troisième grimpe sur le lit, s'installe sur ma poitrine et promène son sexe sur mes joues et mes lèvres. J'ouvre grand mes mâchoires pour qu'il y pénètre. Il relève ma tête avec un oreiller pour faciliter l'intromission. Il entame un coït lent puis de plus en plus rapide, j'aspire er je souffle alternativement en serrant ma langue contre mon palais. Quand il s'arrête, je lèche son gland, il ressort, me biffle le visage avant de replonger au fond de ma gorge. Je manque de vomir, mon maquillage coule, je pleure et ça le fait rire.
J'aime me soumettre ainsi, n'être qu'un pantin, un objet. J'aime la dépravation, moi qui ne peut envisager de plaire à un garçon, d'entreprendre une relation saine avec un amoureux.
Au contraire, je veux rester célibataire et je recherche uniquement le plaisir sexuel comme une drogue, en allant toujours plus loin.
Ses compères ont délaissé mes seins pour ma vulve en y introduisant leurs doigts. Ils trouvent mon clitoris qu'ils chatouillent et pincent.
On entend le clapotis des mains qui s'agitent de plus en plus vite. Un premier orgasme me saisit. Je me concentre alors sur ma fellation et ne tarde pas à en recevoir le fruit que je suis bien obligée d'avaler. Je me redresse et me positionne en travers de la table , les jambes d'un coté, la tête de l'autre. Le message est reçu 5/5. Je suis prise en sandwich et mes deux partenaires alternent. Bien que prenant la pilule, je veux les finir dans ma bouche.
Je me recouche sur le lit sur le ventre, la tête en bas pour qu'ils me baisent la bouche à tour de rôle puis ils se finissent sur mes nibbards. J'étale leur sperme sur ma poitrine et je me lèche les doigts en les regardant vicieusement.
A l'époque, on ne parlait pas de Sida et les films pornos envahissaient nos écrans de cinéma. C'est d'ailleurs dans ces salles que j'ai vécu les aventures des plus glauques.
Passage par les toilettes avant de rejoindre les bras de Morphée.
Le lendemain, gueule de bois et gêne d'avoir baiser la Grosse pour eux. Ce qui n'était pas mon cas.
Plus je baisais et plus j'en redemandais. Et puis : soit je tenais bien l'alcool soit ma masse corporelle me permettait les excès.
Pour les séances pornos, il fallait attendre minuit dans un petit ciné de quartier. Bien sûr, il y avait beaucoup de jeunes bruyants, quelques couples, certains d'âge mûr. Je me faufilais à leur suite vêtu d' un blouson de cuir, jeans, basket et bandana. Je portais aussi des lunettes de soleil ronde à la John Lennon….pour passer inaperçu.
Les quelques couples se faisaient discrets et se pelotaient gentiment tandis que les jeunes s'agitaient devant les performances de Ricaud et autres ‘’ acteurs''… assis au milieu de la salle.
Je m'installais au fond près des toilettes, à un endroit stratégique : une coursive permettait de faire le tour de la salle. Là, au fond, les mecs se tenaient debout, le pantalon sur les chevilles en se paluchant, d'autres leur mettait la main au cul en leur chuchotant des mots doux, certains couples éphémères ressortaient de la salle , d'autre flirtaient effrontément.
Les toilettes étaient aussi un lieu de rencontre et de consommation. J'aimais m'y promener et assouvir ma curiosité et mon voyeurisme puis je retournais à mon poste, imitant mes voisins, je m'appuyais contre la cloison, seule ma tête dépassait me permettant de surveiller la salle et voir les images. Je baissais à mon tour, mon jeans, nue en dessous. Les petits culs avaient du succès, il me fallait attendre avant de sentir quelque chose. En général c'était des jeunes en maraude ou des vieux pervers. Pour moi, ‘’vieux'' c'était plus de quarante ans….
Je n'avais jamais pratiqué ni la sodomie, ni le SM.
C'est justement la pornographie qui va populariser ces pratiques, en particulier Le dernier tango à Paris et Histoire d'O qui sont des films grand public qui ont eu beaucoup de succès.
On me caresse les fesses, je me cambre en arrière en écartant mes jambes pour faciliter l'opération et montrer mon assentiment.
Les mains se baladent en silence puis se rapprochent de mon œillet, explorent ma raie culière, glissent un doigt autour de mon anus. N'ayant jamais été défloré, il refuse de s'ouvrir malgré les attouchements répétés. Sans doute, surpris de ne pas sentir la présence de testicules, les doigts vont plus profond et découvre ma grotte humide. Certains continuent leur exploration, d'autres surpris ou dégoûté, abandonnent et repartent en chasse.
Un inconnu a sorti sa verge et se frotte, je ne vois pas son visage mais je me retourne et m'accroupis pour le prendre en bouche. Il met les mains sur la rambarde et regarde le film. Il m'accompagne par des petits coups de reins. Parfois des curieux passent et s'arrêtent pour tenter d'observer la scène, plus intéressante que sur l'écran. Quand je sens qu'il va jouir, j’accélère ma fellation et je garde quelques instants son sperme dans ma bouche avant de le recracher. Mes mains ne sont pas inactives, je me masturbe frénétiquement et pince mon clitoris pour jouir à l'unisson. Parfois ma jouissance arrive vite, parfois, je reste sur ma faim encore plus énervée.
Il m'est arrivé qu'un voyeur prenne la suite en commençant par me masturber puis après une pipe rapide, cherche à me pénétrer en levrette. Ma corpulence l'oblige me prendre pas dessous. Le mieux est qu'il s'assoit et que je l'enjambe.
Il m'est arrivé de tomber sur un homme mince avec une verge longue, fine et recourbée.
Quand je sens que la fin du film approche ou que la salle s'agite, je m'éclipse rapidement.
Là aussi, j'ai eu des habitués adeptes des mêmes tourments mais nous n'avons jamais été copains.
Tout se faisait dans l'obscurité et en silence caché par les gémissements et les cris des acteurs.
Comme je l'ai dit, je finissais ma nuit comme un sans abri.
La suite prochainement.
Comme je l'ai raconté, dès mon plus jeune âge, je suis grosse de partout et très portée sur le sexe. J’ai passé mon bac, je suis en prépa scientifique. j'ai dix huit ans et je traine souvent le week-end dans une ville de garnison.
Justement, j'ai sympathisé avec un groupe d'appelés qui fête son cent. Nous faisons le tour des bars et sommes bien éméchés.
Les mecs me charrient de plus en plus et les mains sont de plus en plus baladeuses. Ce qui n'est pas pour me déplaire. Je commence à mouiller. Justement, un des gars a une piaule dans le faubourg et nous y arrivons. Je sens qu'ils sont chauds. Ils ne sont plus que trois avec les couilles pleines et ne demandent qu'à se faire dégorger le poireau.
Un grand lit au sommier défoncé, un réchaud, un évier, un frigo , une table et deux chaises pour tout ameublement. Une salle d'eau complète le studio.
Nous nous affalons sur le lit, la pièce n'est éclairé que par une lampe de chevet.
Aussitôt, une main glisse dans mon soutien gorge et saisit mon sein bientôt rejointe par une autre main mais c'est celle d'un autre. Ils me les malaxent gentiment, j'apprécie ce moment et je pose mes mains sur leur entrejambe de chaque côté. On se resserre. Le troisième s'est affalé sur une chaise et nous regarde. Il se lève pour pisser et j'entends le jet couler sur la faïence. Il revient et il a enlevé son pantalon et son caleçon. Il s'approche, m'enlève mes bottines et ma culotte. Il la porte à son nez et hume mes effluves. Il faut que je l'ai porté toute la journée je mouille depuis un bon moment.
Je libère mes deux voisins en défaisant leur ceinturon et saisis leur membre que je branle dans la foulée.
Le troisième grimpe sur le lit, s'installe sur ma poitrine et promène son sexe sur mes joues et mes lèvres. J'ouvre grand mes mâchoires pour qu'il y pénètre. Il relève ma tête avec un oreiller pour faciliter l'intromission. Il entame un coït lent puis de plus en plus rapide, j'aspire er je souffle alternativement en serrant ma langue contre mon palais. Quand il s'arrête, je lèche son gland, il ressort, me biffle le visage avant de replonger au fond de ma gorge. Je manque de vomir, mon maquillage coule, je pleure et ça le fait rire.
J'aime me soumettre ainsi, n'être qu'un pantin, un objet. J'aime la dépravation, moi qui ne peut envisager de plaire à un garçon, d'entreprendre une relation saine avec un amoureux.
Au contraire, je veux rester célibataire et je recherche uniquement le plaisir sexuel comme une drogue, en allant toujours plus loin.
Ses compères ont délaissé mes seins pour ma vulve en y introduisant leurs doigts. Ils trouvent mon clitoris qu'ils chatouillent et pincent.
On entend le clapotis des mains qui s'agitent de plus en plus vite. Un premier orgasme me saisit. Je me concentre alors sur ma fellation et ne tarde pas à en recevoir le fruit que je suis bien obligée d'avaler. Je me redresse et me positionne en travers de la table , les jambes d'un coté, la tête de l'autre. Le message est reçu 5/5. Je suis prise en sandwich et mes deux partenaires alternent. Bien que prenant la pilule, je veux les finir dans ma bouche.
Je me recouche sur le lit sur le ventre, la tête en bas pour qu'ils me baisent la bouche à tour de rôle puis ils se finissent sur mes nibbards. J'étale leur sperme sur ma poitrine et je me lèche les doigts en les regardant vicieusement.
A l'époque, on ne parlait pas de Sida et les films pornos envahissaient nos écrans de cinéma. C'est d'ailleurs dans ces salles que j'ai vécu les aventures des plus glauques.
Passage par les toilettes avant de rejoindre les bras de Morphée.
Le lendemain, gueule de bois et gêne d'avoir baiser la Grosse pour eux. Ce qui n'était pas mon cas.
Plus je baisais et plus j'en redemandais. Et puis : soit je tenais bien l'alcool soit ma masse corporelle me permettait les excès.
Pour les séances pornos, il fallait attendre minuit dans un petit ciné de quartier. Bien sûr, il y avait beaucoup de jeunes bruyants, quelques couples, certains d'âge mûr. Je me faufilais à leur suite vêtu d' un blouson de cuir, jeans, basket et bandana. Je portais aussi des lunettes de soleil ronde à la John Lennon….pour passer inaperçu.
Les quelques couples se faisaient discrets et se pelotaient gentiment tandis que les jeunes s'agitaient devant les performances de Ricaud et autres ‘’ acteurs''… assis au milieu de la salle.
Je m'installais au fond près des toilettes, à un endroit stratégique : une coursive permettait de faire le tour de la salle. Là, au fond, les mecs se tenaient debout, le pantalon sur les chevilles en se paluchant, d'autres leur mettait la main au cul en leur chuchotant des mots doux, certains couples éphémères ressortaient de la salle , d'autre flirtaient effrontément.
Les toilettes étaient aussi un lieu de rencontre et de consommation. J'aimais m'y promener et assouvir ma curiosité et mon voyeurisme puis je retournais à mon poste, imitant mes voisins, je m'appuyais contre la cloison, seule ma tête dépassait me permettant de surveiller la salle et voir les images. Je baissais à mon tour, mon jeans, nue en dessous. Les petits culs avaient du succès, il me fallait attendre avant de sentir quelque chose. En général c'était des jeunes en maraude ou des vieux pervers. Pour moi, ‘’vieux'' c'était plus de quarante ans….
Je n'avais jamais pratiqué ni la sodomie, ni le SM.
C'est justement la pornographie qui va populariser ces pratiques, en particulier Le dernier tango à Paris et Histoire d'O qui sont des films grand public qui ont eu beaucoup de succès.
On me caresse les fesses, je me cambre en arrière en écartant mes jambes pour faciliter l'opération et montrer mon assentiment.
Les mains se baladent en silence puis se rapprochent de mon œillet, explorent ma raie culière, glissent un doigt autour de mon anus. N'ayant jamais été défloré, il refuse de s'ouvrir malgré les attouchements répétés. Sans doute, surpris de ne pas sentir la présence de testicules, les doigts vont plus profond et découvre ma grotte humide. Certains continuent leur exploration, d'autres surpris ou dégoûté, abandonnent et repartent en chasse.
Un inconnu a sorti sa verge et se frotte, je ne vois pas son visage mais je me retourne et m'accroupis pour le prendre en bouche. Il met les mains sur la rambarde et regarde le film. Il m'accompagne par des petits coups de reins. Parfois des curieux passent et s'arrêtent pour tenter d'observer la scène, plus intéressante que sur l'écran. Quand je sens qu'il va jouir, j’accélère ma fellation et je garde quelques instants son sperme dans ma bouche avant de le recracher. Mes mains ne sont pas inactives, je me masturbe frénétiquement et pince mon clitoris pour jouir à l'unisson. Parfois ma jouissance arrive vite, parfois, je reste sur ma faim encore plus énervée.
Il m'est arrivé qu'un voyeur prenne la suite en commençant par me masturber puis après une pipe rapide, cherche à me pénétrer en levrette. Ma corpulence l'oblige me prendre pas dessous. Le mieux est qu'il s'assoit et que je l'enjambe.
Il m'est arrivé de tomber sur un homme mince avec une verge longue, fine et recourbée.
Quand je sens que la fin du film approche ou que la salle s'agite, je m'éclipse rapidement.
Là aussi, j'ai eu des habitués adeptes des mêmes tourments mais nous n'avons jamais été copains.
Tout se faisait dans l'obscurité et en silence caché par les gémissements et les cris des acteurs.
Comme je l'ai dit, je finissais ma nuit comme un sans abri.
La suite prochainement.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Sucette
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tout a fait d'accord, on n'insiste pas assez sur la bienveillance, la gentillesse, les attitudes
.
Sucette
.
Sucette
Merci, superbe histoire
Ce n'est pas le poids le plus important comme la taille des bites d'ailleurs.