LA JOUISSANCE DE JULIE - Julie la Rouge (03)
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LA JOUISSANCE DE JULIE - Julie la Rouge (03)
LA JOUISSANCE DE JULIE - Julie la Rouge (03)
Hervé, directeur d’une société d’informatique est très pris par ses affaires, il s’occupe peu de sa jeune femme Armelle. Celle-ci apprend par une lettre anonyme et des photos jointes que son mari participe à des soirées dans des clubs échangistes. Elle est effondrée et veut divorcer. Se confiant à son amie d’enfance, Julie, celle-ci sert d’intermédiaire auprès du mari et héberge provisoirement Armelle pour la nuit. Julie, profite du désarroi de son amie pour la faire se caresser devant elle, et, la pauvre femme ne sachant plus où elle en est, Julie l’embrasse et la masturbe habilement jusqu’à lui provoquer plusieurs orgasmes. Reprenons, où en est Julie, après ce sauvage débordement.
Je pense qu’il est temps de dédramatiser et de reprendre mes esprits, je m'allonge à côté d'elle, elle vient se blottir entre mes bras. Nous nous embrassons encore, puis, épuisées, nous nous assoupissons bientôt étroitement enlacées. Armelle s'endort comme un ange, elle est repue et comblée. Moi, je songe tout éveillé à mes amours et à son mari qui attend que je lui ramène une femme enfin libérée de ses inhibitions.
Deux heures plus tard, lorsque nous reprenons nos esprits, Armelle ose à peine me regarder, pourtant ses yeux enfoncés et sa mine défaite prouvent la jouissance qu’elle a ressentie. Je l’attire vers moi et je la couvre de petits baisers, tout en lui murmurant.
Allons ma chérie, n’éprouve aucune honte. Tu viens de ressentir ce que toute femme normalement constituée, lorsqu’elle fait l’amour convenablement. Je n’aie fait que réveiller tes sens trop longtemps endormis. Je suis certaine que tu vas être une meilleure affaire que moi au lit. Tu as des dispositions étonnantes ma chérie.
Armelle pleure doucement entre mes bras, mais bientôt, elle cherche ma bouche et ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Entrouvrant mes lèvres, j’aspire sa langue qui s’infiltre auprès de la mienne. Nous nous embrassons langoureusement durant de longues minutes, alors que je sens entre mes cuisses sa main qui cherche son chemin. Disjoignant aussitôt mon entrejambe, je lui facilite la tâche. Ses doigts tâtonnent maladroitement à la recherche de ma vulve et, lorsqu’ils l’atteignent enfin, me faisant sursauter, je ne peux que murmurer.
Oui ! Continue, ma chérie, tu me fais le plus grand bien. Fouille bien mon minou. J’ai envie que tu me fasses jouir à mon tour ma chérie.
Elle effleure mon clitoris entre les lèvres disjointes de mon vagin. Elle me tripote avec application, faisant parcourir ses doigts à l'intérieur de mes cuisses, effleurant mes grandes lèvres et les écartant pour plonger de temps en temps un doigt au fond de ma chatte. Puis deux doigts découvrent le capuchon de mon clitoris et le font rouler en le pressant très fort, le médius disparaît dans mon vagin, et remonte recourbé vers mon point le plus sensible. Il effleure doucement ma chair sensible et vulnérable, et je sens ma mouille qui ruisselle le long de ce doigt qui me masse si bien, Soudain, devinant que je vais partir, je me mords les lèvres pour ne pas hurler, laissant tout de même fuser.
Oh ! Oui ! Oui, doucement ma chérie, continue, Oh ! Que c'est bon, j'adore, tes doigts sont diaboliques. Oui ! Oui ! Encore Oh ! Ouiiiiiiiii.
Les doigts parcourant ma fente juteuse s'enfoncent lentement dans mes chairs dilatées. Armelle fouille avec perversité dans ma cavité, à la découverte de mes chairs extensibles, introduisant ses doigts fins dans ma fente gluante de mouille qui s'ouvre sous l'assaut pourtant inexpérimenté de mon amie en remuant ses doigts au plus profond de ma matrice. J’ai un autre orgasme. Ma mouille coule de mon vagin entrebâillé dégoulinant sur le haut de mes cuisses. Je pousse de petits feulements de satisfaction surtout quand Armelle s’enhardissant torture mon clitoris de ses doigts pincés, m’arrachant des petits cris d'encouragement.
Oui ! Ma chérie, encore, pince-moi mon bouton, plus fort. Oh ! Tu me fais mal. Non ! N'arrête pas. Continue je t'en prie. Oui comme ça. Griffe-moi. Oh ! Que c'est bon. Allez ! Plus fort. Fais-moi mal mon amour, j'aime, j'aime. Oh ! Oui ! Encore... Encore.... Encore.... Oui. Oui. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.........
Armelle est à présent déchaînée, elle prend un plaisir sauvage à tordre mes chairs, alors que je la supplie de continuer. Elle découvre avec stupeur la jouissance qu'elle peut me donner en me faisant mal. Subitement, elle plonge sa main dans ma matrice inondée qui s'ouvre sous ses doigts, et elle explore mon vagin, écartant les chairs dilatées et contemplant avec effarement mes grandes lèvres qui palpitent d'excitation. Aussitôt, je la supplie.
Entre toute ta main dans moi ma chérie, je jouis déjà. Oh ! Oui. Pousse encore. Allez toute ta main ! Je veux ta main et ouvre tes doigts lorsque tu seras au fond. Oh ! Mon Dieu. C'est divin. Oui, ma chérie, comme ça. Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaarrrrrrrrrr...... ...... Aaaaarrrrrrrrrr......
Il est certain qu’elle n'en revient pas de me faire jouir avec sa main profondément enfouie dans mon vagin, elle se penche et suce mon gros clitoris turgescent qui s'est décapuchonné tout seul, elle le mordille de ses petites dents acérées, m’arrachant des cris de bonheur effarants. Puis, retirant sa main d’un seul jet, elle plonge sa tête dans mon entrecuisse, dont elle embrasse l'intérieur si sensible et si doux. Elle laisse sa langue parcourir mon ventre qui tressaute violemment, elle lèche l'intérieur de mon nombril et lape à grands coups de langue le mont de vénus. Je suis tendue comme une peau de tambour, frémissant d’une voluptueuse plénitude. Mon vagin qui s'est largement entrebâillé laisse suinter une mouille juteuse, alors qu’Armelle glisse sa langue entre mes grandes lèvres et explore les parois plissées de mes chairs qui frémissent. Armelle tète longuement le bourgeon de mon clitoris qui grossit encore démesurément entre ses lèvres pincées, puis, elle darde sa langue et lèche, lape et aspire la mouille abondante qui dégouline de ma vulve. J’ondule sous la bouche qui s'active dans mes muqueuses et qui pompe littéralement le suc de ma mouille. Je n’en peux plus et je suffoque soudain devant la délicieuse volupté que me procure ces lèvres féminines. Mes sécrétions vaginales giclent dans la bouche de ma meilleure amie, tellement je suis surexcitée. Je lui crie.
Oh ! Oui, ma chérie, continue, tu me fais jouir, mange-moi, mords-moi, je veux ta langue et ta bouche tout en moi. Oh !... Oh !... Oui !... Oui !...
Épuisées toutes les deux par les assauts répétés auxquels nous nous sommes livrées. Blotties dans les bras l’une de l’autre, nous nous endormons d’un seul coup, vaincues par l'émotion trop forte que nous venons d’éprouver.
Lorsque le lendemain matin, nous nous réveillons, Armelle est très détendue. Sa honte a complètement disparu. Elle m’avoue qu’elle n’a jamais pensé pouvoir aimer une autre femme, surtout moi sa meilleure amie depuis presque vingt ans. Elle me demande aussi, un peu embarrassée, si je suis lesbienne. J’éclate de rire, lui disant que j’adore d’abord faire l’amour avec un vrai mâle, mais que les amours saphiques ne me laissent pas indifférente, surtout lorsqu’un homme participe à nos jeux libidineux. Je ne cache pas à mon amie que je prends parfois beaucoup de plaisir à me retrouver dans des lieux identiques, à ceux des photos où son mari se livre à des activités lubriques, et à participer activement avec des femmes et des hommes en mélangeant nos corps, et en me faisant baiser et enculer sans aucune honte par de nombreux partenaires.
Armelle devient cramoisie à ce langage très crû et à cette évocation d’amours multiples. C’est alors que je persuade mon amie que son mari s’est détourné d’elle pour des raisons très compréhensibles. La seule façon de reprendre en main ce mariage qui va à la catastrophe, c’est d’avoir une conversation avec Hervé pour débattre des problèmes du couple et de ce qui leur a manqué.
Lorsque j’arrive à la décider à rentrer chez elle, elle m’affirme qu’elle a peur de rejoindre seule Hervé. Aussi, elle me supplie de l’accompagner et de rester quelques jours pour les aider à se retrouver et leur servir de conseil. Elle est certaine que son mari sera d’accord avec elle. Pour me convaincre, elle ose même téléphoner à Hervé pour lui demander son accord. Celui-ci, soulagé, le donne bien volontiers, ravi de revoir enfin son épouse.
À la fin de matinée, Armelle se décide à rentrer chez elle, je la suis avec ma moto, ne voulant pas la quitter de vue, afin d’éviter qu’elle fasse une bêtise. La propriété de famille qu’elle occupe avec son mari est magnifique. Le terrain de plus de vingt hectares où ils ont fait construire une villa de cinq cents mètres carrés est exceptionnel à moins de vingt kilomètres de Rouen. C’est une grande prairie sur un espace vallonné, bordé par un bois privé qui rejoint la forêt domaniale ; le domaine comporte une fausse rivière parsemée de ponts romantiques, d’une vaste piscine, d’un tennis et d’écuries, où sont logés une demi-douzaine de chevaux de race Espagnole.
Je songe que la richesse n’apporte pas tout dans ce monde et qu’heureusement, sans avoir tout le superflu que mes amis possèdent, les plaisirs de la chair peuvent être goûtés par toutes les couches de la société, même les plus pauvres. Armelle se montre très nerveuse en pensant au retour d’Hervé. Pourtant, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir. Profitant de sa voiture rapide, nous allons déjeuner à Paris dans un restaurant réputé du VIIIe arrondissement.
Armelle étant à présent tout à fait détendue, j’en profite pour l’entraîner dans une virée des boutiques de frivolités du quartier. Malgré les réticences de mon amie, je l’oblige à s’acheter slips soutiens-gorge et guêpières en dentelles de différentes couleurs. Déshabillés en soie transparente, bas, porte-jarretelles complètent les achats payés avec une carte American Express appartenant à Hervé. Au moins, celui-ci participera au dévergondage de son épouse. Puis nous passons chez moi pour récupérer quelques vêtements dans la perspective de passer quelques jours chez le couple. J’en profite pour glisser dans mon sac de voyage quelques accessoires intimes que je compte bien faire découvrir à mon amie. Enfin nous rentrons à la propriété du couple, juste à temps pour préparer un repas de fête pour la réconciliation des deux époux.
À suivre…
Hervé, directeur d’une société d’informatique est très pris par ses affaires, il s’occupe peu de sa jeune femme Armelle. Celle-ci apprend par une lettre anonyme et des photos jointes que son mari participe à des soirées dans des clubs échangistes. Elle est effondrée et veut divorcer. Se confiant à son amie d’enfance, Julie, celle-ci sert d’intermédiaire auprès du mari et héberge provisoirement Armelle pour la nuit. Julie, profite du désarroi de son amie pour la faire se caresser devant elle, et, la pauvre femme ne sachant plus où elle en est, Julie l’embrasse et la masturbe habilement jusqu’à lui provoquer plusieurs orgasmes. Reprenons, où en est Julie, après ce sauvage débordement.
Je pense qu’il est temps de dédramatiser et de reprendre mes esprits, je m'allonge à côté d'elle, elle vient se blottir entre mes bras. Nous nous embrassons encore, puis, épuisées, nous nous assoupissons bientôt étroitement enlacées. Armelle s'endort comme un ange, elle est repue et comblée. Moi, je songe tout éveillé à mes amours et à son mari qui attend que je lui ramène une femme enfin libérée de ses inhibitions.
Deux heures plus tard, lorsque nous reprenons nos esprits, Armelle ose à peine me regarder, pourtant ses yeux enfoncés et sa mine défaite prouvent la jouissance qu’elle a ressentie. Je l’attire vers moi et je la couvre de petits baisers, tout en lui murmurant.
Allons ma chérie, n’éprouve aucune honte. Tu viens de ressentir ce que toute femme normalement constituée, lorsqu’elle fait l’amour convenablement. Je n’aie fait que réveiller tes sens trop longtemps endormis. Je suis certaine que tu vas être une meilleure affaire que moi au lit. Tu as des dispositions étonnantes ma chérie.
Armelle pleure doucement entre mes bras, mais bientôt, elle cherche ma bouche et ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Entrouvrant mes lèvres, j’aspire sa langue qui s’infiltre auprès de la mienne. Nous nous embrassons langoureusement durant de longues minutes, alors que je sens entre mes cuisses sa main qui cherche son chemin. Disjoignant aussitôt mon entrejambe, je lui facilite la tâche. Ses doigts tâtonnent maladroitement à la recherche de ma vulve et, lorsqu’ils l’atteignent enfin, me faisant sursauter, je ne peux que murmurer.
Oui ! Continue, ma chérie, tu me fais le plus grand bien. Fouille bien mon minou. J’ai envie que tu me fasses jouir à mon tour ma chérie.
Elle effleure mon clitoris entre les lèvres disjointes de mon vagin. Elle me tripote avec application, faisant parcourir ses doigts à l'intérieur de mes cuisses, effleurant mes grandes lèvres et les écartant pour plonger de temps en temps un doigt au fond de ma chatte. Puis deux doigts découvrent le capuchon de mon clitoris et le font rouler en le pressant très fort, le médius disparaît dans mon vagin, et remonte recourbé vers mon point le plus sensible. Il effleure doucement ma chair sensible et vulnérable, et je sens ma mouille qui ruisselle le long de ce doigt qui me masse si bien, Soudain, devinant que je vais partir, je me mords les lèvres pour ne pas hurler, laissant tout de même fuser.
Oh ! Oui ! Oui, doucement ma chérie, continue, Oh ! Que c'est bon, j'adore, tes doigts sont diaboliques. Oui ! Oui ! Encore Oh ! Ouiiiiiiiii.
Les doigts parcourant ma fente juteuse s'enfoncent lentement dans mes chairs dilatées. Armelle fouille avec perversité dans ma cavité, à la découverte de mes chairs extensibles, introduisant ses doigts fins dans ma fente gluante de mouille qui s'ouvre sous l'assaut pourtant inexpérimenté de mon amie en remuant ses doigts au plus profond de ma matrice. J’ai un autre orgasme. Ma mouille coule de mon vagin entrebâillé dégoulinant sur le haut de mes cuisses. Je pousse de petits feulements de satisfaction surtout quand Armelle s’enhardissant torture mon clitoris de ses doigts pincés, m’arrachant des petits cris d'encouragement.
Oui ! Ma chérie, encore, pince-moi mon bouton, plus fort. Oh ! Tu me fais mal. Non ! N'arrête pas. Continue je t'en prie. Oui comme ça. Griffe-moi. Oh ! Que c'est bon. Allez ! Plus fort. Fais-moi mal mon amour, j'aime, j'aime. Oh ! Oui ! Encore... Encore.... Encore.... Oui. Oui. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.........
Armelle est à présent déchaînée, elle prend un plaisir sauvage à tordre mes chairs, alors que je la supplie de continuer. Elle découvre avec stupeur la jouissance qu'elle peut me donner en me faisant mal. Subitement, elle plonge sa main dans ma matrice inondée qui s'ouvre sous ses doigts, et elle explore mon vagin, écartant les chairs dilatées et contemplant avec effarement mes grandes lèvres qui palpitent d'excitation. Aussitôt, je la supplie.
Entre toute ta main dans moi ma chérie, je jouis déjà. Oh ! Oui. Pousse encore. Allez toute ta main ! Je veux ta main et ouvre tes doigts lorsque tu seras au fond. Oh ! Mon Dieu. C'est divin. Oui, ma chérie, comme ça. Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaarrrrrrrrrr...... ...... Aaaaarrrrrrrrrr......
Il est certain qu’elle n'en revient pas de me faire jouir avec sa main profondément enfouie dans mon vagin, elle se penche et suce mon gros clitoris turgescent qui s'est décapuchonné tout seul, elle le mordille de ses petites dents acérées, m’arrachant des cris de bonheur effarants. Puis, retirant sa main d’un seul jet, elle plonge sa tête dans mon entrecuisse, dont elle embrasse l'intérieur si sensible et si doux. Elle laisse sa langue parcourir mon ventre qui tressaute violemment, elle lèche l'intérieur de mon nombril et lape à grands coups de langue le mont de vénus. Je suis tendue comme une peau de tambour, frémissant d’une voluptueuse plénitude. Mon vagin qui s'est largement entrebâillé laisse suinter une mouille juteuse, alors qu’Armelle glisse sa langue entre mes grandes lèvres et explore les parois plissées de mes chairs qui frémissent. Armelle tète longuement le bourgeon de mon clitoris qui grossit encore démesurément entre ses lèvres pincées, puis, elle darde sa langue et lèche, lape et aspire la mouille abondante qui dégouline de ma vulve. J’ondule sous la bouche qui s'active dans mes muqueuses et qui pompe littéralement le suc de ma mouille. Je n’en peux plus et je suffoque soudain devant la délicieuse volupté que me procure ces lèvres féminines. Mes sécrétions vaginales giclent dans la bouche de ma meilleure amie, tellement je suis surexcitée. Je lui crie.
Oh ! Oui, ma chérie, continue, tu me fais jouir, mange-moi, mords-moi, je veux ta langue et ta bouche tout en moi. Oh !... Oh !... Oui !... Oui !...
Épuisées toutes les deux par les assauts répétés auxquels nous nous sommes livrées. Blotties dans les bras l’une de l’autre, nous nous endormons d’un seul coup, vaincues par l'émotion trop forte que nous venons d’éprouver.
Lorsque le lendemain matin, nous nous réveillons, Armelle est très détendue. Sa honte a complètement disparu. Elle m’avoue qu’elle n’a jamais pensé pouvoir aimer une autre femme, surtout moi sa meilleure amie depuis presque vingt ans. Elle me demande aussi, un peu embarrassée, si je suis lesbienne. J’éclate de rire, lui disant que j’adore d’abord faire l’amour avec un vrai mâle, mais que les amours saphiques ne me laissent pas indifférente, surtout lorsqu’un homme participe à nos jeux libidineux. Je ne cache pas à mon amie que je prends parfois beaucoup de plaisir à me retrouver dans des lieux identiques, à ceux des photos où son mari se livre à des activités lubriques, et à participer activement avec des femmes et des hommes en mélangeant nos corps, et en me faisant baiser et enculer sans aucune honte par de nombreux partenaires.
Armelle devient cramoisie à ce langage très crû et à cette évocation d’amours multiples. C’est alors que je persuade mon amie que son mari s’est détourné d’elle pour des raisons très compréhensibles. La seule façon de reprendre en main ce mariage qui va à la catastrophe, c’est d’avoir une conversation avec Hervé pour débattre des problèmes du couple et de ce qui leur a manqué.
Lorsque j’arrive à la décider à rentrer chez elle, elle m’affirme qu’elle a peur de rejoindre seule Hervé. Aussi, elle me supplie de l’accompagner et de rester quelques jours pour les aider à se retrouver et leur servir de conseil. Elle est certaine que son mari sera d’accord avec elle. Pour me convaincre, elle ose même téléphoner à Hervé pour lui demander son accord. Celui-ci, soulagé, le donne bien volontiers, ravi de revoir enfin son épouse.
À la fin de matinée, Armelle se décide à rentrer chez elle, je la suis avec ma moto, ne voulant pas la quitter de vue, afin d’éviter qu’elle fasse une bêtise. La propriété de famille qu’elle occupe avec son mari est magnifique. Le terrain de plus de vingt hectares où ils ont fait construire une villa de cinq cents mètres carrés est exceptionnel à moins de vingt kilomètres de Rouen. C’est une grande prairie sur un espace vallonné, bordé par un bois privé qui rejoint la forêt domaniale ; le domaine comporte une fausse rivière parsemée de ponts romantiques, d’une vaste piscine, d’un tennis et d’écuries, où sont logés une demi-douzaine de chevaux de race Espagnole.
Je songe que la richesse n’apporte pas tout dans ce monde et qu’heureusement, sans avoir tout le superflu que mes amis possèdent, les plaisirs de la chair peuvent être goûtés par toutes les couches de la société, même les plus pauvres. Armelle se montre très nerveuse en pensant au retour d’Hervé. Pourtant, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir. Profitant de sa voiture rapide, nous allons déjeuner à Paris dans un restaurant réputé du VIIIe arrondissement.
Armelle étant à présent tout à fait détendue, j’en profite pour l’entraîner dans une virée des boutiques de frivolités du quartier. Malgré les réticences de mon amie, je l’oblige à s’acheter slips soutiens-gorge et guêpières en dentelles de différentes couleurs. Déshabillés en soie transparente, bas, porte-jarretelles complètent les achats payés avec une carte American Express appartenant à Hervé. Au moins, celui-ci participera au dévergondage de son épouse. Puis nous passons chez moi pour récupérer quelques vêtements dans la perspective de passer quelques jours chez le couple. J’en profite pour glisser dans mon sac de voyage quelques accessoires intimes que je compte bien faire découvrir à mon amie. Enfin nous rentrons à la propriété du couple, juste à temps pour préparer un repas de fête pour la réconciliation des deux époux.
À suivre…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Peu importe les stories l'écriture s'y épouse avec fluidité tout en dispensant un texte vivant.
Bravo VieuLou
B.
Bravo VieuLou
B.
À moins que ce soit le « fin renard », comme tu l'as écrit deux fois sur tes commentaires. Mais ce n'est qu'une déduction sans aucun fondement didactique...
Me donne beaucoup d'idées ainsi qu'à une certaine Indira; le "alépou poniros" comprendra. (A ton dictionnaire Vieulou. (c'est une traduction phonétique en alphabet latin mais les caractères grecs ne sont pas pris en charge par HDS).