LA journée en tablier

- Par l'auteur HDS Conteur -
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA journée en tablier Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LA journée en tablier
Pendant qu’on mangeait un simple bout de pain avec du jambon cru un flot de question m’a été posé.
Oui je ne vivais plus chez mes parents.
Oui ils me savaient attirés par les hommes.
Non je n’avais que peu d’affaires dans ma chambre d’étudiant.
Oui j’étais libre comme l’air, ayant payé le loyer pour le mois.
Oui, j’étais intéressé pour vivre chez eux en fille.
-Bon tout à l’heure tu remets tes fringues et je t’emmène chez toi, tu mets tes affaires, toutes, dans la camionnette et on revient. Tu dormiras ici. Tu finiras de manger en marchant que tu saches jusqu’ou on est chez nous.
Les chaises cannelées avaient marqué mes fesses nues et une tache de foutre s’étalait sur l’assise. On s’est levé et Éric m’a pris par l’épaule pour me guider, le fenil, le hangar avec un tracteur pas tout neuf, la soue des cochons, l’étable vide pour le moment, enfin tous les bâtiments puis par des chemins de terre on a fait le tour des terres. C’était vaste et en tablier, cul nu je me sentais femelle quand on est passé devant le pré des vaches. Un taureau surveillait ses femelles, d’énormes couilles pendant sous son fourreau.
-Voilà notre domaine. On a peu de visites mais tu devras rester les fesses à l’air. Je suis sûr que ça t’excitera. Derrière cette haie d’arbre, on a laissé pousser des genets. Tu peux jouer au sauvageon et te promener à poil, bosser aussi. Voir ton cul sera un plaisir pour nous trois.
Vrai ?
-Evidemment.
Ok, j’ai viré le tablier le portant sur l’épaule.
-Ce qui est chiant c’est ta queue qui bande tout le temps. D’habitude on est livré assez vite si c’est disponible. Passe devant et marche en ouvrant les fesses. Je vais passer la commande et en fonction de l’heure on l’aura peut-être demain.
Arrivé dans la cuisine il a fait défiler les jockstraps et les cages.
-Bon tu as du pot y a un lot de trois de différentes couleurs mais la cage est petite. Tant pis une fois vidé on te la posera. C’est celle avec le truc fixé aux couilles qui t‘enverra une décharge. Aller on va rentrer les bêtes , elle ne connaissent pas l’heure d’hiver.
On rentre aussi le taureau ?
-Oui, on le tire par l’anneau et les vaches suivent. Tu as déjà trait des vaches quand même ?
J’aimes bien oui. Mais maintenant vous avez surement les embouts et une trayeuse.
-Normal on a modernisé ça, mais je me disais que toucher les mamelles ne devait pas te déplaire.
Ben c’est chaud et ça a la consistance d’une bite molle hélas.
-Bouges pas que je lui passe la corde dans l’anneau il sent la femelle.
Moi ?
-Ben oui tu n’es pas notre femelle ?
Si et j’aime bien.
-Tu n’as pas fait le difficile la dernière fois au col ! Tu es fait pour servir et obéir.
A la queue oui ! Totalement, je pense en avoir la mentalité.
-On verra plus tard. Les vaches sont en place, nettoie les tétines et place les suceurs.
Le foin était en place et les abreuvoirs étaient automatiques. Penché entre leurs pattes arrière je passais un chiffon aseptisant et plaçait la tétine qui se mettait en place d’un coup.
-Je vais bricoler un des trucs pour qu’il n’y ai qu’un seul suceur a adapter sur ta queue.
Oh !
-Tu verras par toi-même ce que ça leur fait. Un vrai tire jus. Tu sens l’odeur du lait bourru quand il sort du pis ? Tu n’es pas tenté de me sortir du jus tout chaud ?
Oh si je crois que je pomperais toutes les queues, j’adore faire plaisir et voir dans les yeux du mec le plaisir qui monte.
-Alors qu’attends tu petite salope ! Sors ma queue et pompe !
Il n’a pas eu à le répéter, j’ai vite défait sa braguette et sorti son sexe de mi-mou pour après l’avoir durci du poignet, je l’ai pris en bouche, m’appliquant sur le dessus de la verge là où était le point le plus sensible. J’ai levé les yeux vers lui, il me tenait les cheveux et il a envoyé une grosse charge au fond de ma gorge.
-Avale jusqu’à la dernière goutte, et nettoie de la langue.
J’ai bien vu son air satisfait. Quand il a rangé son sexe.
-Tu sais, je suis le chef de la fratrie mais Pierre est beaucoup plus dur avec les lopes comme toi. Rien ne doit t’étonner de sa part. Il aime traiter les mecs comme des chiennes obéissantes. Au moindre signe de recul il te dresse comme il dresse le chien !
Ok je ferais gaffe.
-On va libérer les vaches jusqu’à demain. Et toi tu vas aller aider pour donner à manger aux lapins. Je suis passé par la cuisine laisser mon tablier et c’est nu que j’ai rejoint Jean.
-Tu t’habitues vite à affoler les mecs toi. Il me matait de bas en haut, surtout niveau du centre, reins et sexe. Tes fesses sont douces et elles vont s’ouvrir plus facilement à chaque fois que tu seras pris. T’as des cages aussi en bas. Penche-toi pour t’en occuper.
J’ai bien venu arriver son coup et c’est avec plaisir que j’ai senti ses mains écarter mes fesses pour voir mon anus.
-Tu commences à avoir un cul plus allongé que rond. Bien plissé on voit que tu te sers de ton cul pour prendre ton pied.
Il a craché dessus et sur sa queue et m’a pénétré d’un coup. Le gland quand il passait me faisait couiner mais après, que du bonheur de le sentir coulisser en moi. J’ai du mal à exprimer les sensations que ça provoquait en moi. C’était super bon. Je sentais que mon sexe bavait, près lui aussi près à exploser. Il a tellement bien calculé son coup que je l’ai senti se contracter en moi en même temps que je giclais, serrant les fesses sur sa queue, sans me toucher.
-Tu vois que tu peux jouir sans te branler. Avec la cage ce sera super de te contrôler.
Eric a appelé.
Viens t'habiller on va chercher tes affaires.
J'ai juste eu le temps de m'essuyer pour le rejoindre à la cuisine. Le cuissard enfilé et le blouson j'étais prêt. Leur voiture était une camionnette et le trajet rapide. J'ai entassé ce que je possédais et sans regrets j'ai laissé la clé sur la table avec un message disant que je libérais le studio.
Tout tenait dans un sac et je l'ai mis derrière avant de me réinstaller.


































Pendant qu’on mangeait un simple bout de pain avec du jambon cru un flot de question m’a été posé.
Oui je ne vivais plus chez mes parents.
Oui ils me savaient attirés par les hommes.
Non je n’avais que peu d’affaires dans ma chambre d’étudiant.
Oui j’étais libre comme l’air, ayant payé le loyer pour le mois.
Oui, j’étais intéressé pour vivre chez eux en fille.
-Bon tout à l’heure tu remets tes fringues et je t’emmène chez toi, tu mets tes affaires, toutes, dans la camionnette et on revient. Tu dormiras ici. Tu finiras de manger en marchant que tu saches jusqu’ou on est chez nous.
Les chaises cannelées avaient marqué mes fesses nues et une tache de foutre s’étalait sur l’assise. On s’est levé et Éric m’a pris par l’épaule pour me guider, le fenil, le hangar avec un tracteur pas tout neuf, la soue des cochons, l’étable vide pour le moment, enfin tous les bâtiments puis par des chemins de terre on a fait le tour des terres. C’était vaste et en tablier, cul nu je me sentais femelle quand on est passé devant le pré des vaches. Un taureau surveillait ses femelles, d’énormes couilles pendant sous son fourreau.
-Voilà notre domaine. On a peu de visites mais tu devras rester les fesses à l’air. Je suis sûr que ça t’excitera. Derrière cette haie d’arbre, on a laissé pousser des genets. Tu peux jouer au sauvageon et te promener à poil, bosser aussi. Voir ton cul sera un plaisir pour nous trois.
Vrai ?
-Evidemment.
Ok, j’ai viré le tablier le portant sur l’épaule.
-Ce qui est chiant c’est ta queue qui bande tout le temps. D’habitude on est livré assez vite si c’est disponible. Passe devant et marche en ouvrant les fesses. Je vais passer la commande et en fonction de l’heure on l’aura peut-être demain.
Arrivé dans la cuisine il a fait défiler les jockstrap et les cages.
-Bon tu as du pot y a un lot de trois de différentes couleurs mais la cage est petite. Tant pis une fois vidé on te la posera. C’est celle avec le truc fixé aux couilles qui t‘enverra une décharge. Aller on va rentrer les bêtes , elle ne connaissent pas l’heure d’hiver.
On rentre aussi le taureau ?
-Oui, on le tire par l’anneau et les vaches suivent. Tu as déjà trait des vaches quand même ?
J’aimes bien oui. Mais maintenant vous avez surement les embouts et une trayeuse.
-Normal on a modernisé ça, mais je me disais que toucher les mamelles ne devait pas te déplaire.
Ben c’est chaud et ça a la consistance d’une bite molle hélas.
-Bouges pas que je lui passe la corde dans l’anneau il sent la femelle.
Moi ?
-Ben oui tu n’es pas notre femelle ?
Si et j’aime bien.
-Tu n’as pas fait le difficile la dernière fois au col ! Tu es fait pour servir et obéir.
A la queue oui ! Totalement, je pense en avoir la mentalité.
-On verra plus tard. Les vaches sont en place, nettoie les tétines et place les suceurs.
Le foin était en place et les abreuvoirs étaient automatiques. Penché entre leurs pattes arrière je passais un chiffon aseptisant et plaçait la tétine qui se mettait en place d’un coup.
-Je vais bricoler un des trucs pour qu’il n’y ai qu’un seul suceur a adapter sur ta queue.
Oh !
-Tu verras par toi-même ce que ça leur fait. Un vrai tire jus. Tu sens l’odeur du lait bourru quand il sort du pis ? Tu n’es pas tenté de me sortir du jus tout chaud ?
Oh si je crois que je pomperais toutes les queues, j’adore faire plaisir et voir dans les yeux du mec le plaisir qui monte.
-Alors qu’attends tu petite salope ! Sors ma queue et pompe !
Il n’a pas eu à le répéter, j’ai vite défait sa braguette et sorti son sexe de mi-mou pour après l’avoir durci du poignet, je l’ai pris en bouche, m’appliquant sur le dessus de la verge là où était le point le plus sensible. J’ai levé les yeux vers lui, il me tenait les cheveux et il a envoyé une grosse charge au fond de ma gorge.
-Avale jusqu’à la dernière goutte, et nettoie de la langue.
J’ai bien vu son air satisfait. Quand il a rangé son sexe.
-Tu sais, je suis le chef de la fratrie mais Pierre est beaucoup plus dur avec les lopes comme toi. Rien ne doit t’étonner de sa part. Il aime traiter les mecs comme des chiennes obéissantes. Au moindre signe de recul il te dresse comme il dresse le chien !
Ok je ferais gaffe.
-On va libérer les vaches jusqu’à demain. Et toi tu vas aller aider pour donner à manger aux lapins. Je suis passé par la cuisine laisser mon tablier et c’est nu que j’ai rejoint Jean.
-Tu t’habitues vite à affoler les mecs toi. Il me matait de bas en haut, surtout niveau du centre, reins et sexe. Tes fesses sont douces et elles vont s’ouvrir plus facilement à chaque fois que tu seras pris. T’as des cages aussi en bas. Penche-toi pour t’en occuper.
J’ai bien venu arriver son coup et c’est avec plaisir que j’ai senti ses mains écarter mes fesses pour voir mon anus.
-Tu commences à avoir un cul plus allongé que rond. Bien plissé on voit que tu te sers de ton cul pour prendre ton pied.
Il a craché dessus et sur sa queue et m’a pénétré d’un coup. Le gland quand il passait me faisait couiner mais après, que du bonheur de le sentir coulisser en moi. J’ai du mal à exprimer les sensations que ça provoquait en moi. C’était super bon. Je sentais que mon sexe bavait, près lui aussi près à exploser. Il a tellement bien calculé son coup que je l’ai senti se contracter en moi en même temps que je giclais, serrant les fesses sur sa queue, sans me toucher.
-Tu vois que tu peux jouir sans te branler. Avec la cage ce sera super de te contrôler



Éric m’a appelé, j’ai juste eu le temps de m’essuyer avec un torchon qui trainait.
-Vien t’habiller on va aller chercher tes affaires.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Excellent, sa merite une suite 🙂

Histoire Erotique
SUPER HISTOIRE, UN DE MES FANTASME! VIVEMENT LA SUITE



Texte coquin : LA journée en tablier
Histoire sexe : Une rose rouge
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