La Kahina maso

- Par l'auteur HDS EK43 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La Kahina maso Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Kahina maso
La Chienne Kahina
Celle que nous baptiserons la Chienne Kahina, est une belle femme que je ne reverrai probablement jamais.

C'est elle qui m'avait contacté pour voir si nous pouvions ensemble réaliser un de ses fantasmes.
Particulier le fantasme, et j'ai du mal à en comprendre les raisons mais j'essaie.

En fait quand elle m'a contacté, mon premier souci, c'est qu'elle était très éloignée Paris, la région lyonnaise... Allait-on pouvoir le faire?
Et pourquoi m’a-t-elle contacté, moi.
Et puis, pourquoi ne veut-elle pas m’appeler ?
Bref, au début, je doutais. Et puis si le scénario m’excitait beaucoup serais-je capable de le monter, avais-je une âme de geôlier, moi qui aime tant les femmes, et ou le faire ?

Quand, elle m’a contacté, dès son pseudo, j’ai flashé. Je ne révélerai pas son pseudo, par souci d'anonymat, mais il commence par la lettre K. Il faut savoir qui était la Kahina.
La Kahina, fût vers 700, une des plus grandes figures du peuple berbère. Une reine, issue de la tribu des Djewara, qui fédéra plusieurs tribus des Aurès, et résista plusieurs années à l’expansion musulmane.
Ce pseudo dénotait une femme au caractère bien trempé, qui savait ce qu’elle voulait, et d’origine kabyle. Une vraie guerrière ! Les femmes d’Afrique du Nord. Un de mes grands fantasmes.

Son truc, c'était de vouloir être enfermée, traitée comme une esclave, torturée, fouettée... Un trip maso pour cette femme qui symbolise dans la vie l'action.

Alors on discute, et la confiance petit à petit, s’établit. Et puis merde, j’ai envie d’elle.
J’ai des photos d’elle dans sa vie réelle, mais ce qui me plaît surtout, c’est son trip, son envie, et puis cette nana, elle a l’air d’avoir du chien. J’aime.

Il était prévu qu’elle arrive par le TGV à 22H56, le vendredi soir.
Ensuite pour elle, direction le coffre de ma petite Twingo, un endroit inconnu, séance de fouet ou de cravache matin, midi et soir.
Une fois dans le lieu choisi:Elle dormira dans un placard ou une cave, ligotée. Elle trouvera dans ce lieu, un seau pour vos besoins, un petit matelas, ou des coussins, une pile de couverture...
Elle prendra vos repas seule à même le sol, dans une assiette sans couverts.
Boisson uniquement du champagne.
Quand je n'aurais pas besoin de elle, elle retournera au placard ou dans la cave, ligotée.
La Chienne portera en permanence une cagoule en cuir afin de la rendre méconnaissable aux éventuelles photos.
Je serai seul j'utiliserai à chaque pénétration des préservatifs, sauf pour les fellations.
La prisonnière sera obéissante, sera traînée à même le sol, tirée par la laisse.
Son sexe, ses seins, son cul seront torturés, pincés, élargies, étirement des seins clitoris lèvres.... tortures diverses.
Les aiguilles, pinces, et épingles seront désinfectées, stérilisées par eau javellisée et portée à ébullition.
L'esclave n'aura pas le droit d'amener autre chose qu'une trousse de toilette et d'éventuels vêtements de rechange.
Le téléphone portable sera confisqué et rendu en fin de séjour.
Elle aura droit à une douche froide tous les jours.
Pour punir, tous les outils ( râpe, fouet, cravache, pinces, marteaux.....) seront utilisés, sauf ceux à lame coupante (couteaux, scie...).
Pas d'uro ou de scato.
Si elle a été une détenue exemplaire, à partir du dimanche matin, tout en restant une esclave portant collier et menottes, et qui sera punie avant chaque repas, elle viendra me tenir chaud dans mon lit... Bien entendu, un mauvais comportement vaudra toujours punition, et je m'autoriserai tout jeux sm ou sexuel... Avant de partir elle aura droit à bain ou douche chaude...Il faudra ranger avant départ.
Départ de Lyon à 21HMoi je m'engage, à respecter ce programme, à respecter l'intégrité physique de la Chienne, à ne pas la frapper au visage, ou avec des coups de poings...
La Chienne s'engage à être docile et obéissante.

Voilà, ce qui était prévu...

Voilà ce qui arriva.

Vers 20H30, elle m’envoie un texto pour me signaler son départ, moi je réponds que je prends la route vers la gare de Lyon Part Dieu.

Puis elle m’annonce qu’elle a oublié ses clopes, et ses feuilles à rouler. Ah oui, j’avais oublié de dire que la Chienne K est une grande fumeuse de joints, mais qu’est ce qu’on en a foutre ?

En route vers la gare, je m’arrête à La Pipe, avenue Berthelot, histoire d’acheter un paquet de feuille à rouler.

Je me gare 100 ou 200 mètres avant la Part Dieu, face à un hôtel. 21H 30 environ et le quartier n’est pas tranquille. Je finis d’aménager le coffre, je tire la banquette arrière, j’étale couverture et sac de couchage, je planque les chaînes, la cravache.

Deux jeune femmes, d’à peine 20 ans s’approchent. Elles cherchent un hôtel ou un type les attend. Je ne sais pas ou il est, mais je remarque les jupes courtes et puis le sac en plastique au nom d’une marque de sous-vêtements sexy. Elles s’éloignent, mais quelques mètres plus loin, je les vois se retourner en rigolant. Elles ont dû voir les chaînes ou la cravache. Qu’importe je ne serai pas le seul à m’amuser ce soir.

Le train est annoncé avec du retard.

Eh, les créatifs de la pub SNCF, inventez donc le train qui arrive à l’heure, ça changera !

En plus on se pèle le jonc sur le quai et dans le hall, c’est bourré de policiers en uniforme.
Je commence à piaffer contre ce train qui n’arrive pas, je grille, une, deux, trois clopes . Et c’est la cohue... Putain ! Elle est ou ? je fais un aller-retour, sur le quai, j’essaie d’appeler, mais depuis le quai ça passe pas.. Je commence à redescendre vers le hall, portable en main pour essayer de l’appeler.

Je ne sais pas qui a vu l’autre le premier.

A quarante mètres, légèrement en surplomb, c’est elle, le portable en main. Elle sourit, puis baisse la tête, vous savez le genre de sourire qui veut dire incroyable... Moi, j’ai la gaule dans mon futal noir.
Je remonte, je m’approche en allongeant le pas. Surtout ne pas courir, ne pas montrer mon désir.

Le regard noir brillant, les cheveux longs ondulés, l’allure d’un chat efflanqué. Imam !

On se casse vite... Direction la voiture, on discute. Trop de monde, pas possible de la mettre dans le coffre. Et puis il ne faut pas effaroucher cette jolie chatte. La mettre en confiance est une nécessité. Je veux qu’elle soit à l’aise, qu’elle se livre totalement.

Radio sur Europe 1, tiens ça change... Ben oui, depuis qu’ils ont changé quelques animateurs de place comme Mermet, virés quelques autres après des années de bons et loyaux services, je boycotte France Inter.

On roule cool, s’agit pas de gâcher un week-end-end plaisir. J’ai quand même du mal à me concentrer sur la conduite.
La cause ?
Une grosse bosse sous la braguette !

Je la vois qui se détend, se dénoue...

Effet d’un ou deux joints, ou peut être de ma présence. Ma présence, je suis bien présomptueux de dire ça ! Rires !

Arrivée dans la vallée du Gier, voici une grande aire d’autoroute.
Une pause, un dernier joint pour elle, une caresse sur sa nuque. Je la vois qui déconnecte, la Femme devient la Chienne.

Que c’est bon cette douceur.

Et puis direction le coffre et la chaîne. Chaîne qui enserre ses poignets, chaîne qui enserre ses chevilles, deux cadenas, un bâillon. Il fait froid, alors je la laisse habillée, et je la couvre de mon blouson.

C’est à nouveau l’autoroute, le noir de la nuit, des lignes blanches dans mes phares... On sort des zones urbaines, direction la campagne, Le Puy, Brioude.

Je demande si ça va, si elle n’a pas froid... Je ne suis pas une bête. Elle répond comme elle peut, en agitant les chaînes, ou en marmonnant à travers un bâillon mal mis dans le noir. Je lui avais promis une pause toutes les heures, alors me voilà en train de chercher un endroit ou s’arrêter.
Je cherche...

Nous voilà au Pertuis, village paumé au sommet d’un col, mais avec une aire de stationnement à l’entrée du village sur la droite quand l’on arrive de Saint Etienne.

Je me gare tranquillement.

Je descends.

J’ouvre le coffre.

Je détache ses poignets.

Elle me sourit.

Merde...

La version rurale des policiers dans une belle Laguna Break.

Ils sont de l’autre côté de la route.

Que faire ?

Je referme le coffre, monte tranquillement dans la voiture, bois un coup tranquille. Surtout ne pas fuir, ils me prendraient en chasse.

Ils font demi-tour. Se garent dix mètres derrière moi. J’en vois un qui descend. Je descends aussi et me dirige vers lui tranquillement. La Chienne Kahina, elle se tasse comme elle peut dans le coffre de la Twingo.

On me demande ce que je fais là, je réponds que je fais une pause histoire de boire un coup et de fumer une clope.

On me demande mes papiers.

Merde, ils sont dans le blouson.

Et le blouson, il est sur les genoux de la Kahina, dans le coffre.
Je me retourne vers la voiture, l’entrouvre, et elle me tend mon blouson.

On ne la voit pas, mais mon geste à du paraître bizarre. Le deuxième gendarme qui vient de sortir, braque sa torche dans la voiture, et s’exclame qu’il y a quelqu’un !

J’ouvre en grand...

Gêne des deux côtés.

La Kahina parle, explique que c’est un jeu érotique entre adultes. Le chef me demande d’où on vient, ou on va, puis me dit de m’éloigner. Elle sort ses papiers, ils causent.

Et les flics nous laissent partir après nous avoir ordonné de faire passer madame la Chienne à l’avant. Bien entendu, ils nous attendaient deux cents mètres plus loin, histoire de vérifier.

Ouf !Ils ont été sympas ces gendarmes-là, faisaient juste leur boulot!

Une drôle de surprise.

Mais que serait la vie sans ce genre de choses, sans sel, sans saveur.

Ouf !

On rigole, on se détend à nouveau, je la vois qui déconnecte à nouveau, la Femme, devient la Chienne...

Je conduis avec ma main droite qui se balade entre le levier de vitesse et le genou gauche de la Chienne K. Et je bande ! C’est un crime docteur ? Et elle, me sort la queue et me suce. Pas très pratique en conduisant.
Encore un peu de route...

Brioude, le fin fond de la Haute Loire.

On y est, il est plus de 3 heures du matin. On a vraiment roulé peinard.

Je lui mets un sac sur la tête, je lui enchaîne à nouveau les poignets.

Le lieu n’avait pas été aménagé spécialement pour ça, mais les choses de la vie sont ainsi faites que nous avons atterri dans ce grand studio d’une résidence vide le week-end. La Chienne pourrait gueuler tout son saoul, personne ne l’entendrait.

Je descends seul quelques instants, histoire d’aménager sa niche. Une salle de bain ou je jette en vitesse des draps, un matelas.

Et puis je retourne la chercher sur le parking. J’ouvre la porte, je la tire par la chaîne, elle descend. Je tire encore, elle bute sur le gazon mouillé. Je la pousse de la cravache.

Nous entrons par la porte vitrée qui donne sur l’extérieur. Direction la niche. Je la détache, la dépoile, je la rattache J’attache la chaîne à un radiateur sèche serviette... Un bon cadenas.

Je la laisse, faire son pieu. Et moi je vais chercher la cravache. Quand je l’ai dépoilée, j’ai vu son regard. Un regard qui disait, j’ai peur et j’ai envie. Envie du fouet, du martinet, de la cravache, de ce que tu veux salaud, mais cogne moi, je suis là pour ça.

Alors le voeu de la Chienne K fut exaucé. Des pinces aux seins, et des coups qui s’abattent sur son dos , son cul, ses seins, son bas ventre, ses cuisses...

Elle mouille, elle a le clito qui bande la Chienne, alors je vise le clito . Un regard craintif presque apeuré. Encore quelques coups et je saisis son clito entre mes doigts. Et elle joui.
Un brin d’éternité, et sur mon ordre à genoux elle me pompe le nœud avec douceur. Pour la stimuler, je la cravache encore un peu.
Je me branle sur son visage et seins et je jouis enfin.

Je l’abandonne, quelques instants, et à mon retour, dans son regard, je vois, « tu n’as pas assez dur salaud ». Dures, les nouvelles pinces en plastiques, avec un ressort très puissant l’ont été. Punition pour sa provocation. Une bonne demi-heure. J’ai même failli les oublier.

Après avoir vérifier une nouvelle fois ses chaînes et son installation. J’éteins la lumière dans sa « cellule ».

Moi, sur mon lit, je n’arrive pas à dormir. Je pense à ma Chienne, grande, aux cheveux noirs, à la peau légèrement halée, aux tétons cuivrés avec des gros à bouts à croquer, des seins juste comme il faut, maigre, une belle femme, aux belles fesses. A vrai dire, son physique, je m’en tape. J’aime les femmes qui assument leurs envies celles qu’on appelle des salopes. Je sais certaines lectrices vont me trouver vulgaire, car elles ne voient pas tout l’amour et le respect que j’ai envers ces femmes là ! De l’opinion de ces personnes, je n’en ai rien à foutre.

Vers dix heures, on s’est réveillé, moi dans mon lit, elle dans sa cellule.
Je me suis fait un petit déjeuner, avec de belles tartines de marmelade d’orange. J’ai rempli son bol de lait chaud, j’ai préparé quelques bonnes tartines pour elle. A côté de son matelas je lui ai déposé tout cela. Et toute seule, agenouillée sur son matelas, elle a mangé.

J’ai déménagé son matelas dans ma chambre.

Et puis je l’ai douchée, lavée, avec soin, en profitant pour la caresser. Elle avait la peau douce et soyeuse.

Moi aussi je me suis douché.

Et puis dans ma chambre on a joué.

D’abord cravache et fouet. Chose promise chose due !

Et j’ai commencé à jouer avec sa chatte.

Introduction, de tubes, de plus en plus gros, branlette, et puis les bougies, une , deux , trois, quatre, cinq et même six, dans la chatte, histoire de bien la distendre, de bien la faire jouir. Bien sur on a aussi baisé.

Elle a terminé blottie dans mes bras, s’endormant.

C’est là que je me suis rendu compte que quelque chose n’allait pas. Elle avait le front, je devrais dire la truffe, très chaud, les yeux brillants, elle semblait grelotter, alors qu’il faisait bon dans la pièce. Déjà dans la nuit elle avait eu froid, malgré une couverture et un sac de couchage. La fatigue, le fait, qu’elle n’avait presque pas mangé les jours précédents, l’absence de vacances, cette année, bref elle était malade.

Je l’ai laissée dormir, puis, peu avant midi, je l’ai réveillée, je l’ai cravachée et fouettée à nouveau, elle a mangé une petite tranche de veau, des légumes, bu un peu de champagne. Je l’ai câlinée, sodomisée et elle s’est rendormie.

Moi je l’ai regardé dormir, c’était beau et j’étais heureux. Je m’en foutais de ne pas la torturer comme prévu, c’était pas important. Moi, j’étais là, je m’occupais d’elle, et j’étais heureux.

Dans la soirée, on a remangé, on a parlé, de tout, y compris de sa vie, de ma vie, de ses mômes, de politique. Je l’ai refouettée, recravachée, recaressée, et elle s’est rendormie, dans mes bras.

Le dimanche, s’est passé de la même façon, repas, cravache et fouet, sodo et dodo.

Il a fallu partir. Reprendre le chemin de la vie réelle, après cette déconnexion.

Un bouchon qui fait flipper, un TGV très en retard, un hall de gare bondé.

On s’embrasse sur un quai de gare et je rentre seul chez moi chez moi dans ma petite voiture, en sachant que je ne la reverrai sans doute jamais.
La solitude m’écrase un peu, mais à nouveau je me rends compte que sont les petits moments de bonheur qui font que la vie, mérite d’être vécue.

La Chienne Kahina, a rejoint parce qu’elle est une femme qui a une beauté intérieure, qui assume ses désirs jusqu’au bout, Pascale la belle vendéenne, Saba la niçoise, Brigitte la Reine des Salopes, la Chienne à gros nibards, et toutes les autres qu’il serait trop long d’énumérer ici, dans mon coeur pour le bonheur qu’elle m’a donné.

Lundi, retour dans le grand studio vide. Que c'est triste une niche sans chienne.

Je n'oublierai jamais, ce regard, quand je lui annonçais que j'allais la cravacher. Les yeux, qui papillonnent, la tête qui part ailleurs, la Femme, qui devient la Chienne...

Erik

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