La kermesse de l'amour
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 850 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Georges ont reçu un total de 13 708 412 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 12 829 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La kermesse de l'amour
Ça s’est passé à la kermesse annuelle du village qui a lieu dans un pré ombragé, il faisait très beau et chaud nous y somment allés Patricia et moi Louis, mariés depuis sept ans, je crois un peu à cette date fatidique, selon les sondages, qui prédisent souvent une rupture du coupleJe reconnais que nos liens affectifs se sont un peu ‘détendus’ Patricia se montre assez distante et de ce fait nos rapports se sont espacés, sur cette prairie aménagée pour l’occasion nous baladons chacun de notre côté, depuis un bon moment, accoudé à la buvette, je vois ma femme discuter avec un homme, elle semble boire ses paroles, une boule douloureuse se forme dans mon estomac, même la bière fraiche a du mal à passer …- Excusez-moi monsieur je ne veux pas vous importuner mais vous semblez préoccupé ?
- Non-non ça va, merci madame- Permettez-moi d’insister mais vous ne quittez pas des yeux ce couple qui discute sous l’arbre - Je ne connais pas ces personnes - Vous mentez, pour cause, l’homme c’est mon mari et la femme doit être votre épouse ? je me trompe ?
- Effectivement c’est bien ma femme …ils se connaissent ?
- Maintenant oui ! mon mari est un sacré dragueur, pas une nana ne lui résiste, je parie que d’ici moins d’une demi-heure ils disparaissent en douce - Pour quoi faire ?
- Vous êtes incrédule ou quoi ? que peuvent faire un homme et une femme dans le bois d’à côté ?
- Ma Patricia ne ferait pas ça - Je vous aurais prévenu …TIEN ! qu’est-ce que je disais ? où sont-ils passés ?
- Merde alors …ils ont disparus …- Que comptez-vous faire ? courir partout ? appeler police secours ? !
- Et vous ?
- Moi ? je suis habituée à ses incartades aussi je me tape le premier mec venu, vous devriez en faire autant - Trouver une femme en si peu de temps ? impossible !
- Et moi ? je suis disponible !
- Vous ? …- Je ne vous plais pas ?
- Si-si mais …- Alors suivez-moi …- Et si nous les rencontrons ?
- Aucunes chances, je sais où aller, il y a un bâtiment abandonné par là
Comme un automate je suis cette femme que je ne connaissais pas il y a une demi-heure avec qui je vais baiser à la sauvette, en marchant derrière elle je détaille ses formes… ma foi elle est baisable, son p’tit cul roule en même temps que ses hanches, j’avais décelé une poitrine ni trop riquiqui ni trop imposante, du coup mon sexe se réveille, tant pis pour Patricia !
- Vient par là … embrasse-moi …- Tu sens bon … - Tu bande déjà ?
- Je peux ?
- J’allais te le demander, ma chatte est à toi … ooooouuuuuuiiiiiiiiiii Tandis qu’elle me triture la bite à travers mon pantalon je passe ma main entre ses cuisses où je trouve un string réduit à son minimum, la partie étroite est insérée entre les lèvres, moi index dégage cet embarrassant linge, elle plie les genoux lorsque j’enfonce aisément deux doigt dans son con- Aaaaaaahhhhhhooooooouuuuuuuuuiiiiiiiii, branle-mooouuuoi- Sort ma bite et suce-moi - Oouuuuuuuuiiiiiiiii !
Mon subconscient prend le dessus, quelque part ma femme fait et subit sans doute les mêmes gestes ? C’est avec rage que j’appuie sur la tête de cette chaudasse pour qu’elle m’avale un maximum de queue, je lui baise la bouche comme je vais le faire avec sa cramouille ! elle a beau gémir et cracher je lui fais découvrir mon zob !
Finalement j’arrête avant de décharger, elle se relève les yeux larmoyants, une bave épaisse coule aux commissures de ses lèvres- T’es pas un tendre toi ! mais j’aime ça, ta bite va me combler la chatte ! ta gonzesse va être déçue avec Camille, c’est ce qu’on appelle ‘un lapin ‘ et sa quéquette avoisine les douze centimètres !
- C’est vrai ?
Du coup je suis presque déçu pour elle, je me sens fautif à présent... trop tard pour faire marche arrière j’aurais l’air de quoi ?
- Relève ta robe et retire ta culotte - Tout de suite … je vais m’appuyer sur le mur avec les mains, accroche toi à mes hanches, tu vas me prendre par derrière- OK, cambre-toi davantage … carrément à l’équerre, je veux voir ton trou de balle - Va y défonce moi, vengeons nous de nos conjoints peut respectueuxC’est avec une pointe de regret que j’enfile cette femme jusqu'à la garde, mon instinct de mâle l’a emporté, je reste immobile savourant ses contactions vaginales sur ma queue, puis elle donne le départ en reculant brutalement son cul, je la besogne a li faire mal à la chatte, ses braillements et le carambolage de nos corps doivent s’entendre à des kilomètres, aussitôt vidé en elle aussitôt remonté mon pantalon, je tourne les talons pour rejoindre la kermesse où je recherche désespérément ma femme , l’homme discute avec d’autres gars, mon épouse est à la buvette et semble me chercher aussi …- C’est moi que tu cherches Patricia ?
- Où était tu ?
- J’allais te poser la même question ! où es-tu allée avec ce mec ?
- Nous avons juste fait le tour du terrain pourquoi ?
- Menteuse ! tu vas me suivre là-bas afin que je vérifie ton entrejambe - Mais enfin Louis tu ne me fais pas confiance ? alors moi aussi je vais vérifier ta queue, ça te va ?
- Il t’a baisée ? répond et je te dirais tout - … ouiiii et toi ? avec qui as-tu baisé ?
- Sa femme… - Comment as-tu put ?
- C’était bien ?
- Boooffff ! à peine entré il a tout balancé avec une bite ridicule, je suis restée sur ma faim - C’est vrai, elle m’a dit que son mec baisait comme un lapin - C’est la pure vérité !
- Regarde les ils s’embrassent a pleine bouche ces cons - Ma parole ils se racontent leurs frasques ? ils nous regardent en souriant, ça veut dire qu’ils sont complices ?
- Elle m’a acertainé que son mari te draguais et qu’il allait te baiser alors elle m’a suggéré de nous venger ensemble immédiatement- Quelle pauvre conne ! tu ne m’as pas répondu ? c’était bien ?
- Je l’ai baisée vite fait le long d’un mur, ça a duré deux minutes tout compris - Ça ne te ressemble pas ! nous n’allons pas nous fâcher pour une telle connerie ? embrasse-moi - Quoi ?
- Faisons comme eux, montrons leur que nous aussi somme soudés et puis je te l’ai dit, je suis encore chaude - Allons derrière le bâtiment je vais réparer cette erreur- Oui mon amour, fais-moi oublier les caresses de ce pauvre type J’ai emmenée Patricia là où j’ai ‘péché’ l’herbe est encore foulée par les pieds de l’adultère, j’aperçois même des gouttes de sperme ici et là, ma femme se colle le long du mur et attend, offerte… je passe ma main directement sous la robe pour aller fouiller dans sa culotte, nos lèvres se soudent, elle ouvre et plie les jambes afin que je la doigte de façon virile, a part sa mouille je ne décèle presque pas de foutre, pendant ce temps ma femme se dépoitraille, elle se moque éperdument que nous soyons découverts, je sors ma queue tendue et la pointe sur la motte dégagée du string , deux coups de reins et je suis au fond de la grotte, elle m’accueille avec un grand ‘OOOOOOOOUUUUUUIIIIIII’ !!!
Je tape dans ce ventre avec ardeur et amour, il semble que ce quiproquo ravive nos sentiments, je redécouvre la fermeté de sa poitrine à peine amollie par le temps, je suis rassuré lorsque ma femme exprime sans retenue un orgasme violent, je redouble d’ardeur, elle mord ma langue jusqu’à ce que je gicle abondamment dans son écrin a bite, toujours emboités nos muscles prennent le relais, nous reprenons lentement notre souffle, un ricanement me fais tourner la tête … nos deux amants nous observent complément interloqués, j’en fais part discrètement a Patricia qui se retire pour s’agenouiller devant mon membre toujours aussi dur, elle entame la meilleure fellation de sa vie jusqu'à me vider totalement les bourses… Depuis, pour entretenir notre libido, nous multiplions des aventures plus ou moins scabreuses, nous pensons inviter prochainement un ou une partenaire à la hauteur de nos sentiments …
- Non-non ça va, merci madame- Permettez-moi d’insister mais vous ne quittez pas des yeux ce couple qui discute sous l’arbre - Je ne connais pas ces personnes - Vous mentez, pour cause, l’homme c’est mon mari et la femme doit être votre épouse ? je me trompe ?
- Effectivement c’est bien ma femme …ils se connaissent ?
- Maintenant oui ! mon mari est un sacré dragueur, pas une nana ne lui résiste, je parie que d’ici moins d’une demi-heure ils disparaissent en douce - Pour quoi faire ?
- Vous êtes incrédule ou quoi ? que peuvent faire un homme et une femme dans le bois d’à côté ?
- Ma Patricia ne ferait pas ça - Je vous aurais prévenu …TIEN ! qu’est-ce que je disais ? où sont-ils passés ?
- Merde alors …ils ont disparus …- Que comptez-vous faire ? courir partout ? appeler police secours ? !
- Et vous ?
- Moi ? je suis habituée à ses incartades aussi je me tape le premier mec venu, vous devriez en faire autant - Trouver une femme en si peu de temps ? impossible !
- Et moi ? je suis disponible !
- Vous ? …- Je ne vous plais pas ?
- Si-si mais …- Alors suivez-moi …- Et si nous les rencontrons ?
- Aucunes chances, je sais où aller, il y a un bâtiment abandonné par là
Comme un automate je suis cette femme que je ne connaissais pas il y a une demi-heure avec qui je vais baiser à la sauvette, en marchant derrière elle je détaille ses formes… ma foi elle est baisable, son p’tit cul roule en même temps que ses hanches, j’avais décelé une poitrine ni trop riquiqui ni trop imposante, du coup mon sexe se réveille, tant pis pour Patricia !
- Vient par là … embrasse-moi …- Tu sens bon … - Tu bande déjà ?
- Je peux ?
- J’allais te le demander, ma chatte est à toi … ooooouuuuuuiiiiiiiiiii Tandis qu’elle me triture la bite à travers mon pantalon je passe ma main entre ses cuisses où je trouve un string réduit à son minimum, la partie étroite est insérée entre les lèvres, moi index dégage cet embarrassant linge, elle plie les genoux lorsque j’enfonce aisément deux doigt dans son con- Aaaaaaahhhhhhooooooouuuuuuuuuiiiiiiiii, branle-mooouuuoi- Sort ma bite et suce-moi - Oouuuuuuuuiiiiiiiii !
Mon subconscient prend le dessus, quelque part ma femme fait et subit sans doute les mêmes gestes ? C’est avec rage que j’appuie sur la tête de cette chaudasse pour qu’elle m’avale un maximum de queue, je lui baise la bouche comme je vais le faire avec sa cramouille ! elle a beau gémir et cracher je lui fais découvrir mon zob !
Finalement j’arrête avant de décharger, elle se relève les yeux larmoyants, une bave épaisse coule aux commissures de ses lèvres- T’es pas un tendre toi ! mais j’aime ça, ta bite va me combler la chatte ! ta gonzesse va être déçue avec Camille, c’est ce qu’on appelle ‘un lapin ‘ et sa quéquette avoisine les douze centimètres !
- C’est vrai ?
Du coup je suis presque déçu pour elle, je me sens fautif à présent... trop tard pour faire marche arrière j’aurais l’air de quoi ?
- Relève ta robe et retire ta culotte - Tout de suite … je vais m’appuyer sur le mur avec les mains, accroche toi à mes hanches, tu vas me prendre par derrière- OK, cambre-toi davantage … carrément à l’équerre, je veux voir ton trou de balle - Va y défonce moi, vengeons nous de nos conjoints peut respectueuxC’est avec une pointe de regret que j’enfile cette femme jusqu'à la garde, mon instinct de mâle l’a emporté, je reste immobile savourant ses contactions vaginales sur ma queue, puis elle donne le départ en reculant brutalement son cul, je la besogne a li faire mal à la chatte, ses braillements et le carambolage de nos corps doivent s’entendre à des kilomètres, aussitôt vidé en elle aussitôt remonté mon pantalon, je tourne les talons pour rejoindre la kermesse où je recherche désespérément ma femme , l’homme discute avec d’autres gars, mon épouse est à la buvette et semble me chercher aussi …- C’est moi que tu cherches Patricia ?
- Où était tu ?
- J’allais te poser la même question ! où es-tu allée avec ce mec ?
- Nous avons juste fait le tour du terrain pourquoi ?
- Menteuse ! tu vas me suivre là-bas afin que je vérifie ton entrejambe - Mais enfin Louis tu ne me fais pas confiance ? alors moi aussi je vais vérifier ta queue, ça te va ?
- Il t’a baisée ? répond et je te dirais tout - … ouiiii et toi ? avec qui as-tu baisé ?
- Sa femme… - Comment as-tu put ?
- C’était bien ?
- Boooffff ! à peine entré il a tout balancé avec une bite ridicule, je suis restée sur ma faim - C’est vrai, elle m’a dit que son mec baisait comme un lapin - C’est la pure vérité !
- Regarde les ils s’embrassent a pleine bouche ces cons - Ma parole ils se racontent leurs frasques ? ils nous regardent en souriant, ça veut dire qu’ils sont complices ?
- Elle m’a acertainé que son mari te draguais et qu’il allait te baiser alors elle m’a suggéré de nous venger ensemble immédiatement- Quelle pauvre conne ! tu ne m’as pas répondu ? c’était bien ?
- Je l’ai baisée vite fait le long d’un mur, ça a duré deux minutes tout compris - Ça ne te ressemble pas ! nous n’allons pas nous fâcher pour une telle connerie ? embrasse-moi - Quoi ?
- Faisons comme eux, montrons leur que nous aussi somme soudés et puis je te l’ai dit, je suis encore chaude - Allons derrière le bâtiment je vais réparer cette erreur- Oui mon amour, fais-moi oublier les caresses de ce pauvre type J’ai emmenée Patricia là où j’ai ‘péché’ l’herbe est encore foulée par les pieds de l’adultère, j’aperçois même des gouttes de sperme ici et là, ma femme se colle le long du mur et attend, offerte… je passe ma main directement sous la robe pour aller fouiller dans sa culotte, nos lèvres se soudent, elle ouvre et plie les jambes afin que je la doigte de façon virile, a part sa mouille je ne décèle presque pas de foutre, pendant ce temps ma femme se dépoitraille, elle se moque éperdument que nous soyons découverts, je sors ma queue tendue et la pointe sur la motte dégagée du string , deux coups de reins et je suis au fond de la grotte, elle m’accueille avec un grand ‘OOOOOOOOUUUUUUIIIIIII’ !!!
Je tape dans ce ventre avec ardeur et amour, il semble que ce quiproquo ravive nos sentiments, je redécouvre la fermeté de sa poitrine à peine amollie par le temps, je suis rassuré lorsque ma femme exprime sans retenue un orgasme violent, je redouble d’ardeur, elle mord ma langue jusqu’à ce que je gicle abondamment dans son écrin a bite, toujours emboités nos muscles prennent le relais, nous reprenons lentement notre souffle, un ricanement me fais tourner la tête … nos deux amants nous observent complément interloqués, j’en fais part discrètement a Patricia qui se retire pour s’agenouiller devant mon membre toujours aussi dur, elle entame la meilleure fellation de sa vie jusqu'à me vider totalement les bourses… Depuis, pour entretenir notre libido, nous multiplions des aventures plus ou moins scabreuses, nous pensons inviter prochainement un ou une partenaire à la hauteur de nos sentiments …
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Georges
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Marié, mais très joueur.....
et toujours prêt à profiter d'une bonne fortune .....
et toujours prêt à profiter d'une bonne fortune .....
Mon dieu que cette histoire m'a excité !!!!!!!
Merci beaucoup !!!
Merci beaucoup !!!