La kermesse de la paroisse
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La kermesse de la paroisse
La kermesse de la paroisse, sur la pelouse derrière le presbytère, s’achevait. Alice raccompagnait les derniers participants jusqu’à la lourde porte en fer forgé. Comme d’habitude, l’activité de collecte de fonds pour la charité organisée par les paroissiennes du village avait connu un vif succès. Elles avaient confectionnées elles-mêmes les gâteaux, les sirops, qu’elles vendaient joyeusement pour une bonne cause.
C’était une chaude journée d’été. Le soleil avait brillé tout le dimanche, les merles sifflaient dans le verger, la nature était en fête. Alice avait revêtu une ample robe fleurie qui était ravissante. Ce ruban de satin noir autour de son cou était du bel effet. Elle portait des bas sous la jupe parce que les dames sérieuses faisaient ce genre de chose.
Mais la cerise sur le gâteau, le meilleur de tout, le meilleur de tous, c'était que Charles, le jeune fermier de l’immense propriété à l’entrée du village, était venu. Son père, le comte, possédait la grande majorité des terres de la commune et des autres communes à la ronde. Il y avait des vergers, des prés, des bois, un vignoble, et une armée de main-d'œuvre étrangère bon marché. Charles logeait pendant l’été, dans des granges aménagées, toute cette bande de bons-à-rien.
Les fruits rouges du verger de Charles avaient été vendus en barquettes pendant l'après-midi. Elle jeta un coup d’œil par-dessus l'ancien mur du jardin du presbytère et vit André, son mari, débarrasser les tables. Il ne participait à l’animation de la paroisse que depuis quelques mois, donc il était très empressé. Il souriait à tout le monde, il était d'accord avec tout le monde, et il était perpétuellement de bonne humeur.
André avait demandé à des jeunes filles du village d’aider, pour servir du thé, ou tenir un stand, mais elles ne sont pas venues. André a donc couru partout, tout l’après-midi, pendant qu'Alice recevait tous les invités. Il portait même un tablier de ménagère pour éviter de se salir, jusqu'à ce que quelqu'un le taquine à ce sujet.
Alice sourit. Regardant à gauche, elle fut surprise et ravie de voir que Charles était toujours là aussi. Il admirait les poiriers formés en espalier le long du mur. Il les étudiait, ou alors, il attendait Alice.
Elle s’est approchée de lui pour admettre son ignorance concernant la culture des fruits le long des murs ! Charles saurait-il lui expliquer, demanda-t-elle innocemment. Charles lui sourit de son plus beau sourire énigmatique.
Il était d’une élégante beauté, avec un regard magnétique. Son père dirigeait le village, et il le gérerait à son tour. C'était la manière de faire dans cette campagne. Il la regarda intensément, de cette façon si particulière, et elle sut qu'il allait l'embrasser. Dès qu'André, son mari, disparaîtrait dans la cuisine, emportant un autre plateau de vaisselle sale, il l'embrasserait sur la bouche. Elle attendait patiemment, frémissante d’émotion.
La première fois, elle avait cru qu’elle avait commis un péché, mais en vérité, elle ne pouvait pas lui résister. Un simple appel de ses yeux, et elle venait vers lui. Elle s'approcha de lui et reçut son baiser, et le contact de ses mains puissantes sous sa robe fleurie et troussée. Charles, comme son père, était tout-puissant ici. Toutes les femmes du village, et d'autres villages, allaient en visite chez le vieux comte, sur ses instructions. Il les baisaient et elles revenaient reconnaissantes, en quelque sorte élevées à un rang un peu supérieur aux autres.
«C'est pour toi» lui dit Charles, et il ouvrit un écrin en cuir rouge et or. À l'intérieur, il y avait une montre-bracelet la plus exquise avec un bracelet en argent. Son cadran oblong classique a reflété le soleil lorsqu'il l’a soulevée de son support pour la clipser autour de son fin poignet.
Ce présent avait l'air si cher, si brillant, si chic, que c'était clairement impossible pour elle d’accepter. Aucune femme honnête dans ce village ne pouvait se permettre d’accepter une telle montre. Aucun homme dans ce village ne pouvait l’offrir à sa femme. Et pourtant, mon Dieu, elle en avait terriblement envie. Elle avait l'air si parfaite à son poignet. Ce n'était pas trop serré et cela bougeait un peu de haut en bas sur son bras quand elle replaça une mèche de cheveux.
«Je ne peux pas accepter, Charles. André devinera qu’elle vient de vous. Elle est si chère, si parfaite.»
Son amant fronça les sourcils. Il n’aimait pas essuyer un refus. Cette femme avait l'air si élégante avec cette montre. Une colombe au milieu d’un vol de corbeaux. Il savait que les villageois accepteraient. Elle porterait la montre et ils en déduiraient qu'il la possédait. Ils sauraient qu'elle devait être traitée comme une femme de haut rang.
Il l’avait sortie de la fange pour l’élever au-dessus du rang de son stupide mari. Il l'embrassa fermement sur les lèvres, prenant sa main dans la sienne. Elle porterait la montre, elle serait reconnue par tous comme étant sienne, et alors ?
Il avait déjà mis en place les mesures pour obtenir son acquiescement.
«Comment son apprentissage …» murmura-t-il en l'embrassant à nouveau en voyant André revenir avec son plateau pour ramasser la vaisselle. Il leur fit un signe de la main, de loin, et commença à empiler des soucoupes et des assiettes.
«Il apprend, il progresse… mais il en a tellement honte ... tellement honte de devoir faire cela.»
André léchait la chatte de sa femme après le passage de l’amant. En privé, en toute discrétion, quand elle était souillée, il la nettoyait, la purifiait. Charles était mal à l’aise à ce sujet. Car il se comportait comme un minus.
Charles avait enseigné à Alice comment persuader son mari, le rabaisser et le soumettre en privé, tout en paraissant une femme aimante en public. C'était ce qui était sale, brutal, qui l’émoustillait le plus. La façon dont certaines femmes pouvaient être influencées pour détruire un homme.
«Tu utilises régulièrement la cagoule sur lui ?» demanda doucement Charles.
Ah ! la cagoule. C'était un achat qu’il avait effectué à Amsterdam. Idéal pour dompter un homme. L’asservir. L’avilir. Alice avait indiqué à Charles la taille du crâne de son mari, l’artisan avaient évalué les autres dimensions de sa tête à partir d'une photo. Il avait fait du sur-mesure. En cuir, deux petits trous pour les narines, une grande ouverture pour la bouche, et sur les côtés, des petits trous percés pour que le suppliant puisse entendre. Avec une sangle pour maintenir la cagoule sous le menton et un équipement en caoutchouc pour le bâillonner s’il devait souffrir silencieusement.
«Oui» murmura-t-elle, tendant ses lèvres pour quémander un autre baiser. «Je pense que cela l'aide à surmonter sa honte. Cela rend plus supportable ce que je lui fait subir, il ne se voit pas grimacer.»
«Il acceptera» lui assura Charles «Je veux que tu l'utilises. Tout le temps.»
Elle frissonna à l’idée du double sens de cette phrase. Utilise-le. Mais c'est ce qu'elle faisait. Elle utilisait André pour lécher sa chatte. Il ne pouvait plus se comporter en homme, en utilisant sa verge sur elle. Elle appartenait à Charles maintenant, elle était sa propriété. Lui seul avait accès à sa chatte de femme mariée. Jusqu'à présent, elle avait toujours utilisé André en privé, mais maintenant, Charles insistait sur le fait qu'il était temps de progresser.
«Je vous en prie, nous venons de terminer la fête…» supplia-t-elle, les yeux implorants, devant son visage dominateur.
«Va, ma chérie, emmène-le dans le salon. Je verrouille la porte du jardin et je vous rejoins. Il fera la vaisselle plus tard.»
Alice se hissa sur la pointe des pieds pour l'embrasser. Elle s'était promis qu'elle dirait non à Charles. Elle trouverait une opportunité, mais ce n'était pas le bon moment. Elle est allée dans le bureau pour prendre la cagoule, cachée dans le tiroir du bas, et elle a rejoint son mari dans la cuisine.
Dès que la cagoule est entrée en contact avec sa main, elle a changé de personnalité. Possédée. Diabolique. Alice se sentait sale, compulsive, salope, mais ne pouvait pas résister à cette force intérieure qui la poussait. Elle marchait vite, ses hanches se balançaient d'une manière charmante, et elle s’arrêta dans l'embrasure de la porte, agitant la cagoule au bout de son index, sa nouvelle montre glissant le long de son bras.
André perçut le changement de luminosité, se retourna et la regarda. Il fixa la cagoule, la montre sur son poignet et l'expression de son visage.
«Maintenant» lui dit-elle sèchement.
Il la regardait, consterné. Il lui restait une pile de vaisselle à laver.
Elle n'a pas eu à répéter son ordre. C'était son plaisir. En public, elle le respectait, en privé, elle se comportait en dominatrice. Elle le forçait à lui lécher la chatte et à s’agenouiller devant elle. Elle était sa déesse païenne, et il devait la vénérer. Il s'essuya rapidement les mains et la suivit, la bouche soudain sèche.
Dans le salon, devant le grand canapé, elle le fit s’agenouiller et le regarda comme il le fallait. Elle lui a ôté ses lunettes de myope et les a mises de côté. D'un tiroir du salon, elle sortit les menottes en métal et verrouilla ses poignets derrière le dos. Il tremblait. Il regarda la montre à son poignet.
«J'ai un amant» dit-elle avec désinvolture «Tiens-toi bien et obéis-lui, et tout ira bien.»
Il n'a pas eu le temps d'objecter, ou d’en savoir plus. La cagoule a été brusquement enfilée sur sa tête. Il se crispa et elle entendit son souffle paniqué. Elle savourait sa peur de l’inconnu et de l’obscurité. Cette fois, pour augmenter sa frayeur, elle resserra fermement la sangle et poussa le bâillon en caoutchouc dans sa bouche. C'était plus angoissant ainsi.
«Je vais te donner à l'homme que j'aime» lui dit-elle sèchement. Elle le regarda baisser la tête. Elle le regarda trembler.
«Si tu ne te soumets pas à lui de bon gré, si tu n’obéis pas, je te punirais, et mon châtiment sera terrible».
Ces paroles l'ont choqué. Et terrorisé ! C'était trop terrible, cette femme, douce, aimante, qu’il avait épousée, comment était-ce possible qu’elle soit devenue cette furie ?
Charles s'appuyait tranquillement contre le chambranle pour la regarder. Son beau visage était tendu, ses yeux attentifs. Ce n'était que la première étape. Elle revint vers lui, dandinant des hanches, esquissant un pas de danse. Elle se sentait heureuse et légère, comme une fille de bordel.
Le père de Charles, le comte, possédait les femmes qui venaient quémander une faveur, une aide. Elles le payaient en nature, avec leur corps et leur jeunesse. Charles, lui, aimait asservir, dominer, faire souffrir et détruire pour mieux régner.
Elle a décalé la sangle buccale et l'a basculée dans sa position de maintien, puis elle a approché la tête cagoulée vers son ventre. Relevant l’ample robe à sa taille pour la coincer dans sa ceinture, elle lui présenta son buisson enivrant. Comme elle lui avait appris à le faire, André commença à renifler les effluves, à aspirer son désir. Plus il inspirait, plus l’emprise était puissante. En maintenant sa tête encagoulée contre son giron, elle admirait sa montre glissant sur son poignet. Elle était si terriblement jolie. Elle l’a légèrement pressé contre son pubis et il a commencé à la lécher.
Elle jeta un regard interrogatif à Charles. «Est-ce que ça va ?» demandait ses yeux. Il acquiesça. Que Charles la regarde faire ça. Elle frissonnait d'excitation, d’infamie et de décadence. Charles s'approcha doucement d'elle. André aurait pu entendre, mais il était absorbé par son ouvrage. Il la tétait et sa langue dansait de honte autour de sa chatte humide et gonflée. Aussi sordide que cela soit, Alice ne put s'empêcher de remuer ses hanches.
Elle leva les yeux vers Charles, un regard de détresse, urgent, anxieux.
«J'ai besoin de faire pipi» s’excusa-t-elle.
«C'est parfait» la rassura Charles en embrassant la jolie bouche. Elle enfonça la bouche d’André dans son entrejambe au moment où jaillissait son premier jet. Aucune femme ne fait pipi exactement droit. Elle le savait, mais en inclinant un peu la tête de son esclave, sa bouche fut bientôt ouverte sous le jet. Charles regardait le soumis avaler par petites gorgées, sa pomme d'Adam montant et descendant dans sa gorge. Sa bien-aimée tremblait contre lui en humiliant son mari de cette façon, alors il l'embrassa longuement.
«Tu es tellement salope» lui murmura-t-il. Le mari, eh bien, il savait maintenant, n'est-ce pas? Tout le monde connaissait la voix de Charles. Qu'importe, défiguré par la honte, il ne pouvait pas arrêter sa dépendance. Pas d'objection, pas de commentaires, il restait agenouillé là, trempé d’urine odorante.
Balbutiante, elle le suppliait. Elle quémandait. Comme un petit animal pris au piège. Ses yeux imploraient. Son regard soumis de chien battu, le même plaidoyer qu'elle utilisait, à chaque fois qu’il l'avait baisée. Il l'embrassait langoureusement, indifférent à l'homme agenouillé, aux bruits qu’il entendait.
«Oui, Alice, je vais le faire» la rassura-t-il.
«Vous êtes prêt à communier à notre façon, à notre manière ?» Charles avertissait le mari agenouillé.
Alice le regardait intensément, attendant sa réponse.
«Oui, monsieur» acquiesça André.
Progressivement, il devenait un autre homme. Il n’avait plus aucun respect pour lui. Plus aucune dignité. Il considérait comme un honneur que sa femme soit la maîtresse du jeune comte. Alice avait tellement de classe, elle lui était tellement supérieure. Si elle devait coucher avec un autre homme, c'était bien que ce soit avec lui.
Il écoutait. Il écouta Charles ouvrir sa braguette et sortir son sexe. Avec sa bite dressée, il tapait contre sa joue. Il releva la tête, ouvrit la bouche, et Charles se glissa à l’intérieur. Il suffoquait, il voulait vomir, la bite avait un fort goût de sueur et de saleté, mais il la suçait. Il sentit le maître poser sa main sur sa tête et commencer à aller et venir à l'intérieur.
«Il me va bien, ma chérie, il est presque aussi bon que toi» apprécia Charles.
«Je t'aime» dit-elle.
Ils s'embrassèrent. André, à genoux, travaillait d'avant en arrière la bite qui raidissait. Il sentit sa femme se blottir dans les bras du maître et frissonna.
«Je la baise quand je veux. Tu n’utiliseras plus jamais ta bite sur d'elle, compris?» exigea le maître arrogant.
André s'étrangla presque. La bite était entrée si profond, cette fois-là.
«Oui monsieur» Il se détestait, se méprisait, incapable de résister à sa dépendance.
«Les villageois sauront, c'est pour ça j'ai donné la montre à Alice. Mais tu resteras un cocu ignorant son infortune ?»
«Oui, monsieur» acquiesça André. Le maître le terrifiait. Et s'il se fâchait ?
Sans prévenir, la bite lui a été retirée, et il y eut le bruit moelleux des jupes troussées. Sa femme se tourna et André réalisa qu'elle se penchait avec empressement par-dessus le dossier du canapé. Elle gémit bruyamment tandis qu'il la prenait. Il y eut un jaillissement d'odeur juste à côté de lui. Le canapé a commencé à griffer le sol, à gratter, à grincer, à crisser, alors qu'il pompait sa bite en elle en la poussant.
«Mon Dieu, Charles, oh Jésus, oh mon chéri !» suppliait-elle.
André écoutait avec honte sa femme s’offrir, gémissante, geignante, suppliante, sous les coups de bite qui lui coupaient le souffle et la faisait panteler. Comme un voyeur sonore, il guettait les signes de la montée du plaisir chez Alice. Un peu jaloux, il ne l’avait jamais entendu aussi bruyante avec lui. Avec son mari, elle était discrète et passive. Le jeune comte l’avait révélée et elle se déchaînait, commentait son plaisir, réclamait plus de rudesse.
André entendit le jeune seigneur grogner, l’insulter, puis il y eut un bruit de gifle, ou de claque sur la croupe de la femelle. Le son était envoûtant et sauvage. Quelqu'un a sonné à la porte du presbytère. Ils l'ont ignoré. André ne pouvait pas se lever. Il ne pouvait pas trouver la porte d'entrée avec sa cagoule.
Les claques se succédaient, le canapé grinçait, Alice a crié en atteignant son paroxysme. Il sentit son ventre se nouer lorsque cela est arrivé, il tremblait. Charles se pressait contre elle. Un autre coup de sonnette à la porte, impérieux, puis il sembla que l’on avait abandonné. André attendit, agenouillé, honteux et patient. Il les entendit se désaccoupler.
«Nettoie ma bite» dit Charles. André ouvrit poliment la bouche et le reçu. Il a pris la bite en bouche pour en sucer les jus.
C’était une chaude journée d’été. Le soleil avait brillé tout le dimanche, les merles sifflaient dans le verger, la nature était en fête. Alice avait revêtu une ample robe fleurie qui était ravissante. Ce ruban de satin noir autour de son cou était du bel effet. Elle portait des bas sous la jupe parce que les dames sérieuses faisaient ce genre de chose.
Mais la cerise sur le gâteau, le meilleur de tout, le meilleur de tous, c'était que Charles, le jeune fermier de l’immense propriété à l’entrée du village, était venu. Son père, le comte, possédait la grande majorité des terres de la commune et des autres communes à la ronde. Il y avait des vergers, des prés, des bois, un vignoble, et une armée de main-d'œuvre étrangère bon marché. Charles logeait pendant l’été, dans des granges aménagées, toute cette bande de bons-à-rien.
Les fruits rouges du verger de Charles avaient été vendus en barquettes pendant l'après-midi. Elle jeta un coup d’œil par-dessus l'ancien mur du jardin du presbytère et vit André, son mari, débarrasser les tables. Il ne participait à l’animation de la paroisse que depuis quelques mois, donc il était très empressé. Il souriait à tout le monde, il était d'accord avec tout le monde, et il était perpétuellement de bonne humeur.
André avait demandé à des jeunes filles du village d’aider, pour servir du thé, ou tenir un stand, mais elles ne sont pas venues. André a donc couru partout, tout l’après-midi, pendant qu'Alice recevait tous les invités. Il portait même un tablier de ménagère pour éviter de se salir, jusqu'à ce que quelqu'un le taquine à ce sujet.
Alice sourit. Regardant à gauche, elle fut surprise et ravie de voir que Charles était toujours là aussi. Il admirait les poiriers formés en espalier le long du mur. Il les étudiait, ou alors, il attendait Alice.
Elle s’est approchée de lui pour admettre son ignorance concernant la culture des fruits le long des murs ! Charles saurait-il lui expliquer, demanda-t-elle innocemment. Charles lui sourit de son plus beau sourire énigmatique.
Il était d’une élégante beauté, avec un regard magnétique. Son père dirigeait le village, et il le gérerait à son tour. C'était la manière de faire dans cette campagne. Il la regarda intensément, de cette façon si particulière, et elle sut qu'il allait l'embrasser. Dès qu'André, son mari, disparaîtrait dans la cuisine, emportant un autre plateau de vaisselle sale, il l'embrasserait sur la bouche. Elle attendait patiemment, frémissante d’émotion.
La première fois, elle avait cru qu’elle avait commis un péché, mais en vérité, elle ne pouvait pas lui résister. Un simple appel de ses yeux, et elle venait vers lui. Elle s'approcha de lui et reçut son baiser, et le contact de ses mains puissantes sous sa robe fleurie et troussée. Charles, comme son père, était tout-puissant ici. Toutes les femmes du village, et d'autres villages, allaient en visite chez le vieux comte, sur ses instructions. Il les baisaient et elles revenaient reconnaissantes, en quelque sorte élevées à un rang un peu supérieur aux autres.
«C'est pour toi» lui dit Charles, et il ouvrit un écrin en cuir rouge et or. À l'intérieur, il y avait une montre-bracelet la plus exquise avec un bracelet en argent. Son cadran oblong classique a reflété le soleil lorsqu'il l’a soulevée de son support pour la clipser autour de son fin poignet.
Ce présent avait l'air si cher, si brillant, si chic, que c'était clairement impossible pour elle d’accepter. Aucune femme honnête dans ce village ne pouvait se permettre d’accepter une telle montre. Aucun homme dans ce village ne pouvait l’offrir à sa femme. Et pourtant, mon Dieu, elle en avait terriblement envie. Elle avait l'air si parfaite à son poignet. Ce n'était pas trop serré et cela bougeait un peu de haut en bas sur son bras quand elle replaça une mèche de cheveux.
«Je ne peux pas accepter, Charles. André devinera qu’elle vient de vous. Elle est si chère, si parfaite.»
Son amant fronça les sourcils. Il n’aimait pas essuyer un refus. Cette femme avait l'air si élégante avec cette montre. Une colombe au milieu d’un vol de corbeaux. Il savait que les villageois accepteraient. Elle porterait la montre et ils en déduiraient qu'il la possédait. Ils sauraient qu'elle devait être traitée comme une femme de haut rang.
Il l’avait sortie de la fange pour l’élever au-dessus du rang de son stupide mari. Il l'embrassa fermement sur les lèvres, prenant sa main dans la sienne. Elle porterait la montre, elle serait reconnue par tous comme étant sienne, et alors ?
Il avait déjà mis en place les mesures pour obtenir son acquiescement.
«Comment son apprentissage …» murmura-t-il en l'embrassant à nouveau en voyant André revenir avec son plateau pour ramasser la vaisselle. Il leur fit un signe de la main, de loin, et commença à empiler des soucoupes et des assiettes.
«Il apprend, il progresse… mais il en a tellement honte ... tellement honte de devoir faire cela.»
André léchait la chatte de sa femme après le passage de l’amant. En privé, en toute discrétion, quand elle était souillée, il la nettoyait, la purifiait. Charles était mal à l’aise à ce sujet. Car il se comportait comme un minus.
Charles avait enseigné à Alice comment persuader son mari, le rabaisser et le soumettre en privé, tout en paraissant une femme aimante en public. C'était ce qui était sale, brutal, qui l’émoustillait le plus. La façon dont certaines femmes pouvaient être influencées pour détruire un homme.
«Tu utilises régulièrement la cagoule sur lui ?» demanda doucement Charles.
Ah ! la cagoule. C'était un achat qu’il avait effectué à Amsterdam. Idéal pour dompter un homme. L’asservir. L’avilir. Alice avait indiqué à Charles la taille du crâne de son mari, l’artisan avaient évalué les autres dimensions de sa tête à partir d'une photo. Il avait fait du sur-mesure. En cuir, deux petits trous pour les narines, une grande ouverture pour la bouche, et sur les côtés, des petits trous percés pour que le suppliant puisse entendre. Avec une sangle pour maintenir la cagoule sous le menton et un équipement en caoutchouc pour le bâillonner s’il devait souffrir silencieusement.
«Oui» murmura-t-elle, tendant ses lèvres pour quémander un autre baiser. «Je pense que cela l'aide à surmonter sa honte. Cela rend plus supportable ce que je lui fait subir, il ne se voit pas grimacer.»
«Il acceptera» lui assura Charles «Je veux que tu l'utilises. Tout le temps.»
Elle frissonna à l’idée du double sens de cette phrase. Utilise-le. Mais c'est ce qu'elle faisait. Elle utilisait André pour lécher sa chatte. Il ne pouvait plus se comporter en homme, en utilisant sa verge sur elle. Elle appartenait à Charles maintenant, elle était sa propriété. Lui seul avait accès à sa chatte de femme mariée. Jusqu'à présent, elle avait toujours utilisé André en privé, mais maintenant, Charles insistait sur le fait qu'il était temps de progresser.
«Je vous en prie, nous venons de terminer la fête…» supplia-t-elle, les yeux implorants, devant son visage dominateur.
«Va, ma chérie, emmène-le dans le salon. Je verrouille la porte du jardin et je vous rejoins. Il fera la vaisselle plus tard.»
Alice se hissa sur la pointe des pieds pour l'embrasser. Elle s'était promis qu'elle dirait non à Charles. Elle trouverait une opportunité, mais ce n'était pas le bon moment. Elle est allée dans le bureau pour prendre la cagoule, cachée dans le tiroir du bas, et elle a rejoint son mari dans la cuisine.
Dès que la cagoule est entrée en contact avec sa main, elle a changé de personnalité. Possédée. Diabolique. Alice se sentait sale, compulsive, salope, mais ne pouvait pas résister à cette force intérieure qui la poussait. Elle marchait vite, ses hanches se balançaient d'une manière charmante, et elle s’arrêta dans l'embrasure de la porte, agitant la cagoule au bout de son index, sa nouvelle montre glissant le long de son bras.
André perçut le changement de luminosité, se retourna et la regarda. Il fixa la cagoule, la montre sur son poignet et l'expression de son visage.
«Maintenant» lui dit-elle sèchement.
Il la regardait, consterné. Il lui restait une pile de vaisselle à laver.
Elle n'a pas eu à répéter son ordre. C'était son plaisir. En public, elle le respectait, en privé, elle se comportait en dominatrice. Elle le forçait à lui lécher la chatte et à s’agenouiller devant elle. Elle était sa déesse païenne, et il devait la vénérer. Il s'essuya rapidement les mains et la suivit, la bouche soudain sèche.
Dans le salon, devant le grand canapé, elle le fit s’agenouiller et le regarda comme il le fallait. Elle lui a ôté ses lunettes de myope et les a mises de côté. D'un tiroir du salon, elle sortit les menottes en métal et verrouilla ses poignets derrière le dos. Il tremblait. Il regarda la montre à son poignet.
«J'ai un amant» dit-elle avec désinvolture «Tiens-toi bien et obéis-lui, et tout ira bien.»
Il n'a pas eu le temps d'objecter, ou d’en savoir plus. La cagoule a été brusquement enfilée sur sa tête. Il se crispa et elle entendit son souffle paniqué. Elle savourait sa peur de l’inconnu et de l’obscurité. Cette fois, pour augmenter sa frayeur, elle resserra fermement la sangle et poussa le bâillon en caoutchouc dans sa bouche. C'était plus angoissant ainsi.
«Je vais te donner à l'homme que j'aime» lui dit-elle sèchement. Elle le regarda baisser la tête. Elle le regarda trembler.
«Si tu ne te soumets pas à lui de bon gré, si tu n’obéis pas, je te punirais, et mon châtiment sera terrible».
Ces paroles l'ont choqué. Et terrorisé ! C'était trop terrible, cette femme, douce, aimante, qu’il avait épousée, comment était-ce possible qu’elle soit devenue cette furie ?
Charles s'appuyait tranquillement contre le chambranle pour la regarder. Son beau visage était tendu, ses yeux attentifs. Ce n'était que la première étape. Elle revint vers lui, dandinant des hanches, esquissant un pas de danse. Elle se sentait heureuse et légère, comme une fille de bordel.
Le père de Charles, le comte, possédait les femmes qui venaient quémander une faveur, une aide. Elles le payaient en nature, avec leur corps et leur jeunesse. Charles, lui, aimait asservir, dominer, faire souffrir et détruire pour mieux régner.
Elle a décalé la sangle buccale et l'a basculée dans sa position de maintien, puis elle a approché la tête cagoulée vers son ventre. Relevant l’ample robe à sa taille pour la coincer dans sa ceinture, elle lui présenta son buisson enivrant. Comme elle lui avait appris à le faire, André commença à renifler les effluves, à aspirer son désir. Plus il inspirait, plus l’emprise était puissante. En maintenant sa tête encagoulée contre son giron, elle admirait sa montre glissant sur son poignet. Elle était si terriblement jolie. Elle l’a légèrement pressé contre son pubis et il a commencé à la lécher.
Elle jeta un regard interrogatif à Charles. «Est-ce que ça va ?» demandait ses yeux. Il acquiesça. Que Charles la regarde faire ça. Elle frissonnait d'excitation, d’infamie et de décadence. Charles s'approcha doucement d'elle. André aurait pu entendre, mais il était absorbé par son ouvrage. Il la tétait et sa langue dansait de honte autour de sa chatte humide et gonflée. Aussi sordide que cela soit, Alice ne put s'empêcher de remuer ses hanches.
Elle leva les yeux vers Charles, un regard de détresse, urgent, anxieux.
«J'ai besoin de faire pipi» s’excusa-t-elle.
«C'est parfait» la rassura Charles en embrassant la jolie bouche. Elle enfonça la bouche d’André dans son entrejambe au moment où jaillissait son premier jet. Aucune femme ne fait pipi exactement droit. Elle le savait, mais en inclinant un peu la tête de son esclave, sa bouche fut bientôt ouverte sous le jet. Charles regardait le soumis avaler par petites gorgées, sa pomme d'Adam montant et descendant dans sa gorge. Sa bien-aimée tremblait contre lui en humiliant son mari de cette façon, alors il l'embrassa longuement.
«Tu es tellement salope» lui murmura-t-il. Le mari, eh bien, il savait maintenant, n'est-ce pas? Tout le monde connaissait la voix de Charles. Qu'importe, défiguré par la honte, il ne pouvait pas arrêter sa dépendance. Pas d'objection, pas de commentaires, il restait agenouillé là, trempé d’urine odorante.
Balbutiante, elle le suppliait. Elle quémandait. Comme un petit animal pris au piège. Ses yeux imploraient. Son regard soumis de chien battu, le même plaidoyer qu'elle utilisait, à chaque fois qu’il l'avait baisée. Il l'embrassait langoureusement, indifférent à l'homme agenouillé, aux bruits qu’il entendait.
«Oui, Alice, je vais le faire» la rassura-t-il.
«Vous êtes prêt à communier à notre façon, à notre manière ?» Charles avertissait le mari agenouillé.
Alice le regardait intensément, attendant sa réponse.
«Oui, monsieur» acquiesça André.
Progressivement, il devenait un autre homme. Il n’avait plus aucun respect pour lui. Plus aucune dignité. Il considérait comme un honneur que sa femme soit la maîtresse du jeune comte. Alice avait tellement de classe, elle lui était tellement supérieure. Si elle devait coucher avec un autre homme, c'était bien que ce soit avec lui.
Il écoutait. Il écouta Charles ouvrir sa braguette et sortir son sexe. Avec sa bite dressée, il tapait contre sa joue. Il releva la tête, ouvrit la bouche, et Charles se glissa à l’intérieur. Il suffoquait, il voulait vomir, la bite avait un fort goût de sueur et de saleté, mais il la suçait. Il sentit le maître poser sa main sur sa tête et commencer à aller et venir à l'intérieur.
«Il me va bien, ma chérie, il est presque aussi bon que toi» apprécia Charles.
«Je t'aime» dit-elle.
Ils s'embrassèrent. André, à genoux, travaillait d'avant en arrière la bite qui raidissait. Il sentit sa femme se blottir dans les bras du maître et frissonna.
«Je la baise quand je veux. Tu n’utiliseras plus jamais ta bite sur d'elle, compris?» exigea le maître arrogant.
André s'étrangla presque. La bite était entrée si profond, cette fois-là.
«Oui monsieur» Il se détestait, se méprisait, incapable de résister à sa dépendance.
«Les villageois sauront, c'est pour ça j'ai donné la montre à Alice. Mais tu resteras un cocu ignorant son infortune ?»
«Oui, monsieur» acquiesça André. Le maître le terrifiait. Et s'il se fâchait ?
Sans prévenir, la bite lui a été retirée, et il y eut le bruit moelleux des jupes troussées. Sa femme se tourna et André réalisa qu'elle se penchait avec empressement par-dessus le dossier du canapé. Elle gémit bruyamment tandis qu'il la prenait. Il y eut un jaillissement d'odeur juste à côté de lui. Le canapé a commencé à griffer le sol, à gratter, à grincer, à crisser, alors qu'il pompait sa bite en elle en la poussant.
«Mon Dieu, Charles, oh Jésus, oh mon chéri !» suppliait-elle.
André écoutait avec honte sa femme s’offrir, gémissante, geignante, suppliante, sous les coups de bite qui lui coupaient le souffle et la faisait panteler. Comme un voyeur sonore, il guettait les signes de la montée du plaisir chez Alice. Un peu jaloux, il ne l’avait jamais entendu aussi bruyante avec lui. Avec son mari, elle était discrète et passive. Le jeune comte l’avait révélée et elle se déchaînait, commentait son plaisir, réclamait plus de rudesse.
André entendit le jeune seigneur grogner, l’insulter, puis il y eut un bruit de gifle, ou de claque sur la croupe de la femelle. Le son était envoûtant et sauvage. Quelqu'un a sonné à la porte du presbytère. Ils l'ont ignoré. André ne pouvait pas se lever. Il ne pouvait pas trouver la porte d'entrée avec sa cagoule.
Les claques se succédaient, le canapé grinçait, Alice a crié en atteignant son paroxysme. Il sentit son ventre se nouer lorsque cela est arrivé, il tremblait. Charles se pressait contre elle. Un autre coup de sonnette à la porte, impérieux, puis il sembla que l’on avait abandonné. André attendit, agenouillé, honteux et patient. Il les entendit se désaccoupler.
«Nettoie ma bite» dit Charles. André ouvrit poliment la bouche et le reçu. Il a pris la bite en bouche pour en sucer les jus.
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