La kiné 1
Récit érotique écrit par Inavouable [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La kiné 1
Chute à vélo, clavicule cassée, épaule et bras droit immobilisés à l'aide d'une écharpe contre écharpe. Cela fait maintenant 3 semaines. Valérie, mon amie "héroïne" de ma 1ère histoire (petite bite à la plage) m'invite chez elle. Cela fait plusieurs semaines que nous ne nous sommes pas vus.
Depuis notre aventure à la plage de l'été dernier Valérie a pris l'habitude de me taquiner sur la taille de mon pénis et même si je fais mine d'être gêné ou outragé à chaque fois, elle a compris que cela me plaisait donc elle ne s'en prive pas.
J'arrive chez elle, je suis surpris de constater qu'elle m'accueille en présence d'une amie; Zoé, je ne la connais pas, les présentations faîtes nous nous installons au salon pour l'apéro.
Les deux amies s'assoient sur le canapé, moi dans un fauteuil face à elles.
Discussion obligée sur l'état de ma clavicule, puis des sujets divers et variés, le temps passe, les verres s'ajoutent, les rires se font plus fréquents. Nous buvons tous le même alcool, du planteur, un cocktail fait maison, c'est Zoé qui l'a préparé.
J'apprends que Zoé va souvent en Martinique, qu'elle est kiné. Elle est beaucoup plus jeune que Valérie et moi, elle doit avoir entre 26 et 28 ans je pense. Elle est très jolie bien qu'elle ne mette pas trop en valeur sa féminité, elle n'est quasiment pas maquillée, est habillée simplement, sans artifice, décontractée, jean, tee-shirt et tennis en toile fantaisie.
À un moment Valérie va à la cuisine pour chercher les acras qui réchauffaient dans le four. Je me lève en annonçant que je la rejoins pour l'aider mais Zoé me devance et me dit de ne pas bouger et que de toute façon avec mon bras en écharpe je serais bien en peine.
Je reste donc seul au salon quelques minutes continuant à siroter mon cocktail. Je n'avais pas fait attention à la musique jusqu'à présent, c'est du zouc, Valérie adorent toutes les musiques black et latino. J'entends des rires, apparemment les filles se marrent bien, des fous rires même.
Elles reviennent au bout de 10 minutes avec 2 grands plats, un garni d'acras et l'autre de petits boudins antillais. Zoé explique que ce sont 2 spécialités antillaises et Lydia ajoute qu'elles les ont toutes les deux préparés mais sous la direction de Zoé, la spécialiste!
Les filles n'arrêtent pas de rire, se regardent, me regardent et rient de plus belle.
Je constatent que les deux amies sont bien éméchées. Moi je suis un peu gai, ok mais elles elles sont carrément bourrées!
Valérie: Alex? Ces petits boudins? Ils te font penser à quoi?
Et elles éclatent de rire à nouveau.
Zoé me regarde avec un air malicieux: Hein Alex? Tu penses à quoi en voyant ces petits boudins?
Moi prenant un air plus sérieux Hé les filles c'est un peu puéril comme blague...
Valérie: Pas plus puéril que ta petite bite Zoé et mon amie se regardent à nouveau et pouffent.
Je souris pour me donner une contenance et attrape mon verre mais je n'en mène pas large. C'est la première fois que Valérie aborde ce sujet en présence d'une autre personne.
Elle se lève du canapé et s'approche de moi, elle me passe la main dans les cheveux puis plaque doucement ma tête contre sa hanche: hein ptit' bite..? Toi c'est une mini saucisse que t'as hein?
Mon amie me parle avec douceur, je sais qu'elle ne dit pas ça méchamment mais je suis mort de honte. Elle parle de ma petite bite devant une jeune femme que je connais depuis deux heures à peine. Je ne sais plus où me mettre. Valérie carresse mes cheveux, sa main glisse sur ma joue comme un geste de réconfort.
Mon amie lâche mon visage, elle prend un petit boudin et me le présente devant la bouche: Tu goûtes?
J'ouvre docilement la bouche et croque la moitié du petit boudin. Valérie gobe l'autre moitié en me regardant droit dans les yeux puis va se rasseoir à côté de Zoé.
Les 2 femmes me regardent d'un air taquin, moi je suis toujours ultra gêné, j'évite leurs regards et me concentre sur les plats et mon verre.
Valérie: Tu boudes Alex? Qu'est-ce qu'il y a? C'est pas un sujet tabou pourtant ta petite bite...
Moi: Je boude pas... Je suis gêné c'est tout... Tu balances ça comme ça, devant Zoé, ça craint...
C'est alors que Zoé prend la parole: Mais fais pas ta mijaurée Alex, t'aimes ça, t'aimes ça qu'on te foutent la honte, avoue Je n'en crois pas mes oreilles, cette gamine qui me connaît depuis deux ou trois heures à peine se permet de me parler comme ça, moi un homme de 45 ans qui habituellement impose plutôt le respect au 1er abord...
Tellement surpris je relève la tête et le regard de Zoé se fige instantanément dans le mien. C'est un regard de défi, je perds aussitôt toute contenance et baisse les yeux, ne sachant quoi répondre.
Zoé: T'as une petite bite! Et comme toute les lopettes t'aime être humilié! Avoue salope!
J'ai l'impression d'être dans un cauchemar, je perds mes moyens, je bredouille quelques mots à peine audibles: M a i s... H e u u u...
Zoé vient de me traiter de salope, là je comprends que cette jeune femme prend totalement le contrôle de la situation. C'est Valérie qui a dû lui dire qu'elle me traitait ainsi parfois lors de jeux sexuels débridés...
Zoé insiste: Quoi salope!? J'ai pas compris! T'as quelque chose à dire!?
Je me sens pris au piège, je me sens tenaillé entre l'envie de rentrer dans leur jeu et la gêne mêlée de honte que je ressens.
Je relève la tête, je cherche le regard de Valérie comme pour trouver un soutien. Je suis dans un état de surprise et d'incompréhension total.
Valérie: Zoé a raison, tu as besoin d'être humilié, t'es une lopette, t'aime ça Je suis abassourdi, pris au dépourvu. Bien-sûr je comprends qu'il s'agit d'un jeu, Valérie et Zoé ont certainement manigancé cela à l'avance mais je n'arrive pas pour autant à me décontracter. Je suis comme pétrifié...
C'est alors que Valérie se lève à nouveau et m'ordonne d'en faire autant.
Je me sens dans un état second, comme perdu et dépourvu de volonté. Comme un automate je lui obéis. Je me lève.
Valérie: Zoé veut voir ta petite queue. Elle n'a pas voulu me croire tout à l'heure dans la cuisine quand je lui ai dit que t'en avais une plus petite et plus fine que les petits boudins...
Les deux femmes rigolent à nouveau.
Mon amie est presque contre moi, elle est tout près, ses deux mains s'affairent sur la boucle de ma ceinture puis sur les boutons de mon pantalon et enfin ma braguette. Je ne bouge pas, je suis incapable de réagir, aucune protestation, je ne dis rien, je la laisse faire.
Je sens qu'elle saisit les bords de mon pantalon et de mon boxer au niveau de mes hanches.
Elle s'accroupit devant moi et tire d'un coup sec vers le bas! En une fraction de seconde je me retrouve la bite à l'air devant mon amie et une quasi inconnue!
Je ne sais pas vers où regarder. J'ai peur de croiser le regard de Zoé, je l'entends ricaner.
Valérie se relève mais reste près de moi, elle s'écarte juste un peu pour que son amie puisse bien voir mon petit sexe...
Zoé: Ah oui! Elle est franchement petite... Minuscule!
Valérie : Je n'ai pas exagéré, tu vois, une vraie petite bite de lopette Zoé fixe mon petit sexe, je vois son regard briller de malice, elle se lève à son tour et s'approche de moi.
Zoé: Oh... on peut même pas appeler ça une bite Elle tend alors sa main et saisit mon pénis ridicule avec deux doigts seulement.
Zoé: C'est comme ça que tu dois te branler hein? Avec deux doigts... Et elle joint l'acte à la parole, elle commence à branler ma petite queue doucement, juste avec deux doigts, son pouce et son index droit.
Valérie regarde son amie me masturber et rigole. Moi je suis anéanti, tétanisé. Je ne suis pas timide de nature, de part mon métier j'ai même le verbe facile mais dans cette situation d'extrême humiliation je reste sans réaction, résigné, vaincu, je me laisse faire.
Zoé encourage Valérie à l'imiter, elle lui dit d'essayer: fais le toi aussi, astique lui sa petite bite avec deux doigts, regarde, il aime ça
Depuis notre aventure à la plage de l'été dernier Valérie a pris l'habitude de me taquiner sur la taille de mon pénis et même si je fais mine d'être gêné ou outragé à chaque fois, elle a compris que cela me plaisait donc elle ne s'en prive pas.
J'arrive chez elle, je suis surpris de constater qu'elle m'accueille en présence d'une amie; Zoé, je ne la connais pas, les présentations faîtes nous nous installons au salon pour l'apéro.
Les deux amies s'assoient sur le canapé, moi dans un fauteuil face à elles.
Discussion obligée sur l'état de ma clavicule, puis des sujets divers et variés, le temps passe, les verres s'ajoutent, les rires se font plus fréquents. Nous buvons tous le même alcool, du planteur, un cocktail fait maison, c'est Zoé qui l'a préparé.
J'apprends que Zoé va souvent en Martinique, qu'elle est kiné. Elle est beaucoup plus jeune que Valérie et moi, elle doit avoir entre 26 et 28 ans je pense. Elle est très jolie bien qu'elle ne mette pas trop en valeur sa féminité, elle n'est quasiment pas maquillée, est habillée simplement, sans artifice, décontractée, jean, tee-shirt et tennis en toile fantaisie.
À un moment Valérie va à la cuisine pour chercher les acras qui réchauffaient dans le four. Je me lève en annonçant que je la rejoins pour l'aider mais Zoé me devance et me dit de ne pas bouger et que de toute façon avec mon bras en écharpe je serais bien en peine.
Je reste donc seul au salon quelques minutes continuant à siroter mon cocktail. Je n'avais pas fait attention à la musique jusqu'à présent, c'est du zouc, Valérie adorent toutes les musiques black et latino. J'entends des rires, apparemment les filles se marrent bien, des fous rires même.
Elles reviennent au bout de 10 minutes avec 2 grands plats, un garni d'acras et l'autre de petits boudins antillais. Zoé explique que ce sont 2 spécialités antillaises et Lydia ajoute qu'elles les ont toutes les deux préparés mais sous la direction de Zoé, la spécialiste!
Les filles n'arrêtent pas de rire, se regardent, me regardent et rient de plus belle.
Je constatent que les deux amies sont bien éméchées. Moi je suis un peu gai, ok mais elles elles sont carrément bourrées!
Valérie: Alex? Ces petits boudins? Ils te font penser à quoi?
Et elles éclatent de rire à nouveau.
Zoé me regarde avec un air malicieux: Hein Alex? Tu penses à quoi en voyant ces petits boudins?
Moi prenant un air plus sérieux Hé les filles c'est un peu puéril comme blague...
Valérie: Pas plus puéril que ta petite bite Zoé et mon amie se regardent à nouveau et pouffent.
Je souris pour me donner une contenance et attrape mon verre mais je n'en mène pas large. C'est la première fois que Valérie aborde ce sujet en présence d'une autre personne.
Elle se lève du canapé et s'approche de moi, elle me passe la main dans les cheveux puis plaque doucement ma tête contre sa hanche: hein ptit' bite..? Toi c'est une mini saucisse que t'as hein?
Mon amie me parle avec douceur, je sais qu'elle ne dit pas ça méchamment mais je suis mort de honte. Elle parle de ma petite bite devant une jeune femme que je connais depuis deux heures à peine. Je ne sais plus où me mettre. Valérie carresse mes cheveux, sa main glisse sur ma joue comme un geste de réconfort.
Mon amie lâche mon visage, elle prend un petit boudin et me le présente devant la bouche: Tu goûtes?
J'ouvre docilement la bouche et croque la moitié du petit boudin. Valérie gobe l'autre moitié en me regardant droit dans les yeux puis va se rasseoir à côté de Zoé.
Les 2 femmes me regardent d'un air taquin, moi je suis toujours ultra gêné, j'évite leurs regards et me concentre sur les plats et mon verre.
Valérie: Tu boudes Alex? Qu'est-ce qu'il y a? C'est pas un sujet tabou pourtant ta petite bite...
Moi: Je boude pas... Je suis gêné c'est tout... Tu balances ça comme ça, devant Zoé, ça craint...
C'est alors que Zoé prend la parole: Mais fais pas ta mijaurée Alex, t'aimes ça, t'aimes ça qu'on te foutent la honte, avoue Je n'en crois pas mes oreilles, cette gamine qui me connaît depuis deux ou trois heures à peine se permet de me parler comme ça, moi un homme de 45 ans qui habituellement impose plutôt le respect au 1er abord...
Tellement surpris je relève la tête et le regard de Zoé se fige instantanément dans le mien. C'est un regard de défi, je perds aussitôt toute contenance et baisse les yeux, ne sachant quoi répondre.
Zoé: T'as une petite bite! Et comme toute les lopettes t'aime être humilié! Avoue salope!
J'ai l'impression d'être dans un cauchemar, je perds mes moyens, je bredouille quelques mots à peine audibles: M a i s... H e u u u...
Zoé vient de me traiter de salope, là je comprends que cette jeune femme prend totalement le contrôle de la situation. C'est Valérie qui a dû lui dire qu'elle me traitait ainsi parfois lors de jeux sexuels débridés...
Zoé insiste: Quoi salope!? J'ai pas compris! T'as quelque chose à dire!?
Je me sens pris au piège, je me sens tenaillé entre l'envie de rentrer dans leur jeu et la gêne mêlée de honte que je ressens.
Je relève la tête, je cherche le regard de Valérie comme pour trouver un soutien. Je suis dans un état de surprise et d'incompréhension total.
Valérie: Zoé a raison, tu as besoin d'être humilié, t'es une lopette, t'aime ça Je suis abassourdi, pris au dépourvu. Bien-sûr je comprends qu'il s'agit d'un jeu, Valérie et Zoé ont certainement manigancé cela à l'avance mais je n'arrive pas pour autant à me décontracter. Je suis comme pétrifié...
C'est alors que Valérie se lève à nouveau et m'ordonne d'en faire autant.
Je me sens dans un état second, comme perdu et dépourvu de volonté. Comme un automate je lui obéis. Je me lève.
Valérie: Zoé veut voir ta petite queue. Elle n'a pas voulu me croire tout à l'heure dans la cuisine quand je lui ai dit que t'en avais une plus petite et plus fine que les petits boudins...
Les deux femmes rigolent à nouveau.
Mon amie est presque contre moi, elle est tout près, ses deux mains s'affairent sur la boucle de ma ceinture puis sur les boutons de mon pantalon et enfin ma braguette. Je ne bouge pas, je suis incapable de réagir, aucune protestation, je ne dis rien, je la laisse faire.
Je sens qu'elle saisit les bords de mon pantalon et de mon boxer au niveau de mes hanches.
Elle s'accroupit devant moi et tire d'un coup sec vers le bas! En une fraction de seconde je me retrouve la bite à l'air devant mon amie et une quasi inconnue!
Je ne sais pas vers où regarder. J'ai peur de croiser le regard de Zoé, je l'entends ricaner.
Valérie se relève mais reste près de moi, elle s'écarte juste un peu pour que son amie puisse bien voir mon petit sexe...
Zoé: Ah oui! Elle est franchement petite... Minuscule!
Valérie : Je n'ai pas exagéré, tu vois, une vraie petite bite de lopette Zoé fixe mon petit sexe, je vois son regard briller de malice, elle se lève à son tour et s'approche de moi.
Zoé: Oh... on peut même pas appeler ça une bite Elle tend alors sa main et saisit mon pénis ridicule avec deux doigts seulement.
Zoé: C'est comme ça que tu dois te branler hein? Avec deux doigts... Et elle joint l'acte à la parole, elle commence à branler ma petite queue doucement, juste avec deux doigts, son pouce et son index droit.
Valérie regarde son amie me masturber et rigole. Moi je suis anéanti, tétanisé. Je ne suis pas timide de nature, de part mon métier j'ai même le verbe facile mais dans cette situation d'extrême humiliation je reste sans réaction, résigné, vaincu, je me laisse faire.
Zoé encourage Valérie à l'imiter, elle lui dit d'essayer: fais le toi aussi, astique lui sa petite bite avec deux doigts, regarde, il aime ça
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