La leçon de Julie
Récit érotique écrit par Ginger [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2011 dans la catégorie Plus on est
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La leçon de Julie
L'élégance suprême ! L'utilisation de la technologie pour oser ne pas dire en face qu'on s'est joué de quelqu'un ! Le SMS, un bref sigle anglo-saxon de 3 lettres, métallique, francisé parfois mais au prix d'une connotation commerciale, comme "frigidaire" pour "réfrigérateur". Pour désigner un message court, pauvre, souvent impersonnel, fade, qui ne permet de réponse que pour autant que l'emetteur se prête au jeu.
Pierre avait fini par comprendre que Julie n'avait d'autre ambition que de paraître plus jeune en jouant les adolescentes effarouchées pré-soixant'huitardes alors qu'elle aurait pu être grand'mère ; il lui avait expliqué avec humour - et autant de tact que possible - qu'elle n'en avait plus l'âge et que l'époque était largement révolue. Julie n'avait pas daigné répondre pendant plusieurs jours ... jusqu'à ce que Pierre reçoive un SMS lui annonçant que leur relation était terminée.
Ah elle s'était bien jouée de lui ! D'ordinaire si prudent, il se targait de ne pas perdre son temps avec ce genre d'allumeuses, mais avait quand même accepté de passer quelques semaines à s'afficher aux yeux de tous avec Julie ! Quand il y repensait, ce n'était même pas lui qui l'avait draguée, elle n'était pas si jolie même si d'autres auraient bien aimé être à sa place ... avec eux ça se serait passé différemment, ils étaient plus entreprenants, voire carrément lourds, et ne se seraient pas laissé faire, cf. la chanson de Zanini. Evidemment c'est sur lui qu'elle avait jeté son dévolu.
Il préférait vraiment ne pas la qualifier et oublier cet épisode de sa vie au plus vite.
Elle ne valait pas la peine qu'il continue à penser à elle et il avait perdu suffisamment d'énergie et de respect du soi.
Il résolut de rattraper le temps perdu en consultant les annonces sur internet afin de cibler plus particulièrement les partouzes.
Il avait d'abord fallu trouver les sites pas trop farfelus.
Sur les premiers il n'y avait bizarrement que des annonces de femmes mais il s'était aperçu que ses messages ne parvenaient jamais à destination, que le but de ces annonces était d'inciter les gens à s'inscrire sur des sites payants contriarement à ce qui était annoncé.
Puis il avait découvert que nombre des annonces sur les sites gratuits étaient "bidon", émanant de mecs collectionneurs de photos, soit fantasmeurs, soit frustrés, soit les deux.
Il avait étendu sa recherche à des gang-bangs, à des couples cherchant un 3ème larron pour pimenter leurs ébats, n'avait reçu que très peu de réponses - toujours pour cette même raison -, avait parfois été seul à se présenter à des gang-bangs qui avaient donc été supprimés.
Il avait envisagé de s'inscrire sur des sites de rencontres spécialisés quand il fut convié à une sorte d'orgie, où il put exprimer ses talents, faire quelques connaissances, échanger quelques numéros de téléphone et quelques adresses mail ... en plus de prendre de l'assurance et beaucoup de plaisir.
L'avenir commençait à rosir sous cet angle.
Par une sorte de phénomène dit "boule de neige" il s'était constitué un petit réseau de contacts pour des jeux très coquins, et il se trouvait lui-même inscrit sur des listes de personnes à contacter.
Il lui en avait fallu du temps, mais ça en valait la peine, il était récompensé de sa persévérance.
Tout comme Brassens avait dit un jour qu'il lui avait fallu attendre d'être riche pour qu'on lui offre des guitares, les filles dans la rue ou dans les transports en commun s'adressaient maintenant à lui sans même le connaître. Il devait dégager une sorte d'aura, d'assurance, peut-être de phéronomes particulièrement attirants.
La difficulté qui se posait maintenant de plus en plus à lui était à chaque fois de faire accepter à sa nouvelle partenaire l'absence d'exclusivité ou la fin de la relation à peine commencée. Il l'avait résolue facilement, du moins le croyait-il : il expliquait à chacune d'entre elles qu'il en avait déjà beaucoup et que si elles avaient tant apprécié ce moment passé ensemble c'était autant grâce à l'expérience ainsi acquise qu'à l'attention qu'il lui avait portée ; il voulait bien la revoir à la condition qu'elle n'exige pas l'exclusivité.
Certainement que certaines de ses conquêtes résultaient du bouche à oreille comme on dit. Un réseau met du temps à se mettre en place, mais une fois lancé, quand on est sérieux ...
C'est dans ce contexte qu'une fois au cours d'une partie en plein air il crut apercevoir Julie. Il n'en était pas bien sûr, mais une sorte d'intuition - mise en garde l'alerta. Il était lui-même entouré de 6 superbes femmes, il ne fallait pas ruiner sa réputation, tout ce qu'il avait réussi à monter, ceci à cause d'une allumeuse ! Il ne voulait pas non plus gâcher sa journée, il résolut de l'ignorer purement et simplement. C'était mal connaître Julie ...
Dès qu'elle l'aperçut, elle se rendit compte du changement opéré chez son ancienne proie et n'eut qu'une idée en tête : lui refaire le coup, malgré (ou à cause de ?) la présence de ces "bimbos". Pas gênée pour deux sous, elle fonça droit sur lui, souriante, et lui balança un "salut" comme s'ils étaient sortis du même lit pas plus tard que la veille.
Il trouvait qu'elle en faisait un peu trop. Il entraîna l'une de ses compagnes vers le buffet en ignorant carrément Julie.
Elle tenta de à plusieurs reprises de revenir à la rescousse, mais en vain, il adoptait toujours la même technique.
Cependant cette attitude alertait les compagnes de Pierre.
Et puis il n'allait pas pouvoir continuer à biaiser ainsi jusqu'à la fin de la partie avec une Julie, qu'avait-elle aussi à revenir vers lui avec l'avoir largué aussi lâchement ! Il fallait qu'il trouve un moyen de se débarrasser de ce pot de colle.
Certaines filles pas mal du tout s'intéressaient à lui, comme maintenant à chaque fois qu'il allait quelque part, il était impératif de mettre cette allumeuse hors d'état de nuire ... Il n'avait pas les moyens de se payer des gardes du corps ou des vigiles contrairement à des personnages connus et pas forcément plus importunés, il ne pouvait compter que sur sa matière grise ; heureusement, contrairement à ce que prétendent des publicités mensongères, tous les hommes ne sont pas deux fois moins doués que les femmes.
Il se demanda ce qu'il aurait fait si une inconnue lui courait ainsi après avec tant d'insistance ; cela aurait dépendu de son attrait physique et des circonstances. Il n'y avait pas vraiment de raisons pour qu'il continue à la fuir : il devait soit la prendre dans un coin, ne serait-ce que vis-à-vis de ses copines, soit lui dire carrément devant témoin qu'il avait assez de filles pour lui ce soir. La seconde solution ne lui parut pas de nature à rebuter Julie, juste la provoquer, ce qui n'était pas son objectif.
Il fit mine de s'éloigner légèrement des lieux de dégustation, près d'un massif de buissons, mais cependant pas au point de disparaître totalement de la vue des participants à la partie. Julie profita de l'aubaine pour le rejoindre. Galant, il la laissa parler la première : "C'est parce que tu es en charmante compagnie que tu fais semblant de ne pas me reconnaître ?"
"Non, c'est suite à ton glorieux SMS ; tu as toi-même considéré que nous nous sommes tout dit."
"Excuse-moi, je regrette."
"Je te pardonne, mais ne me fais pas perdre de temps car comme tu peux le constater, il est précieux, on m'attend."
"Je voudrais recommencer avec toi."
"Le ticket d'entrée a changé."
"Oui j'ai vu que tu as changé."
"Allons droit au but. Tu veux ou tu veux pas, comme dit la chanson."
"Comme tu y vas ..."
"A poil tout de suite ou je retourne voir mes copines".
Julie tenta de gagner du temps.
"Je te préviens, il n'est pas question que je te viole. Tu as 10 secondes pour te déshabiller entièrement de ton plein gré ICI même ou bien je m'en vais."
"Mais on va nous voir."
"Ils n'auront pas le temps, tu verras. En derrière le bosquet ... Allez !"
Julie s'exécuta ... en 30 secondes, mais Pierre avait gagné une première victoire. Il sortit son téléphone mobile, et avant qu'elle ne s'en rende compte la photographia.
Elle voulut se cacher, il l'arrêta :
"Tu veux que je te baises ou pas ?"
Elle fit "oui de la tête" et se laissa photographier sous tous les angles.
Il sortit alors son sexe et lui commanda de le sucer ; elle obéit ; rapidement il fut en érection. Avant qu'elle ne s'en rendit compte, il enfila une capote (avec sa nouvelle vie, cela faisait partie de ses accessoires de base constamment à portée de main), et la pénétra malgré la difficulté car elle mouillait fort peu : la situation n'était pas aussi excitante pour elle que pour lui.
"Tu me fais mal" lui cria-t-elle.
"Pas si fort" si tu veux rester discrète ! En fait de discrétion, il avait remarqué que 4 de ses copines s'étaient approchées. Il leur avait fait signe de filmer la scène.
"Il faut savoir ce que tu veux ! Allez, détends-toi, ça va aller mieux."
Au bout de 5 minutes, il la retourna, lui claqua les fesses et lui pénétra l'anus par surprise. Elle hurla de douleur. Il lui agrippa les seins et lui mordilla le cou en lui disant de se lâcher.
Il n'insista pas trop et termina dans sa bouche après avoir retiré la capote. Elle se croyait libérée, mais il l'obligea à l'engloutir profondément et elle faillit s'étrangler ; au moment d'éjaculer il se recula légèrement pour qu'elle reçoive sa semence sur la langue, là où le goût des aliments est ressenti. Des hommes avaient rejoint le petit groupe ; au moins une vingtaine de personnes étaient en train d'assister à la scène ; plusieurs filmaient ou prenaient des photos. Julie s'en rendit compte à ce moment-là, elle était rouge de honte et tenta de se cacher de ses mains.
Pierre considéra que la leçon était suffisante. Il ne la planta pas là, mais demanda qu'on aille chercher un verre d'eau ; il s'en servit pour la nettoyer consciencieusement, puis nettoyer son propre sexe qu'il remit transuillement en place. Il l'aida à se rhabiller. Elle pleurait contre son épaule ; il la raccompagna au milieu des invités et lui choisit de quoi se sustenter après ses émotions.
Mais lorsqu'elle lui demanda s'il voulait bien sortir avec elle, il lui mit le deal en main :
"Tu as compris ce que tu as fait de moi maintenant ?"
Elle balbutia :
"C'est à cause de moi que tu es devenu un tel ... " ; elle ne trouvait pas le mot.
"Un tel quoi ?"
Elle baissa la tête. Il la lui releva.
"Que décides-tu ? Toi tu devras m'être fidèle, et moi je serai entièrement libre ..."
En pleurs, elle répondit :
"Je ne peux pas accepter."
Il sourit et se dirigea vers une de ses nouvelles prétendantes.
Pierre avait fini par comprendre que Julie n'avait d'autre ambition que de paraître plus jeune en jouant les adolescentes effarouchées pré-soixant'huitardes alors qu'elle aurait pu être grand'mère ; il lui avait expliqué avec humour - et autant de tact que possible - qu'elle n'en avait plus l'âge et que l'époque était largement révolue. Julie n'avait pas daigné répondre pendant plusieurs jours ... jusqu'à ce que Pierre reçoive un SMS lui annonçant que leur relation était terminée.
Ah elle s'était bien jouée de lui ! D'ordinaire si prudent, il se targait de ne pas perdre son temps avec ce genre d'allumeuses, mais avait quand même accepté de passer quelques semaines à s'afficher aux yeux de tous avec Julie ! Quand il y repensait, ce n'était même pas lui qui l'avait draguée, elle n'était pas si jolie même si d'autres auraient bien aimé être à sa place ... avec eux ça se serait passé différemment, ils étaient plus entreprenants, voire carrément lourds, et ne se seraient pas laissé faire, cf. la chanson de Zanini. Evidemment c'est sur lui qu'elle avait jeté son dévolu.
Il préférait vraiment ne pas la qualifier et oublier cet épisode de sa vie au plus vite.
Elle ne valait pas la peine qu'il continue à penser à elle et il avait perdu suffisamment d'énergie et de respect du soi.
Il résolut de rattraper le temps perdu en consultant les annonces sur internet afin de cibler plus particulièrement les partouzes.
Il avait d'abord fallu trouver les sites pas trop farfelus.
Sur les premiers il n'y avait bizarrement que des annonces de femmes mais il s'était aperçu que ses messages ne parvenaient jamais à destination, que le but de ces annonces était d'inciter les gens à s'inscrire sur des sites payants contriarement à ce qui était annoncé.
Puis il avait découvert que nombre des annonces sur les sites gratuits étaient "bidon", émanant de mecs collectionneurs de photos, soit fantasmeurs, soit frustrés, soit les deux.
Il avait étendu sa recherche à des gang-bangs, à des couples cherchant un 3ème larron pour pimenter leurs ébats, n'avait reçu que très peu de réponses - toujours pour cette même raison -, avait parfois été seul à se présenter à des gang-bangs qui avaient donc été supprimés.
Il avait envisagé de s'inscrire sur des sites de rencontres spécialisés quand il fut convié à une sorte d'orgie, où il put exprimer ses talents, faire quelques connaissances, échanger quelques numéros de téléphone et quelques adresses mail ... en plus de prendre de l'assurance et beaucoup de plaisir.
L'avenir commençait à rosir sous cet angle.
Par une sorte de phénomène dit "boule de neige" il s'était constitué un petit réseau de contacts pour des jeux très coquins, et il se trouvait lui-même inscrit sur des listes de personnes à contacter.
Il lui en avait fallu du temps, mais ça en valait la peine, il était récompensé de sa persévérance.
Tout comme Brassens avait dit un jour qu'il lui avait fallu attendre d'être riche pour qu'on lui offre des guitares, les filles dans la rue ou dans les transports en commun s'adressaient maintenant à lui sans même le connaître. Il devait dégager une sorte d'aura, d'assurance, peut-être de phéronomes particulièrement attirants.
La difficulté qui se posait maintenant de plus en plus à lui était à chaque fois de faire accepter à sa nouvelle partenaire l'absence d'exclusivité ou la fin de la relation à peine commencée. Il l'avait résolue facilement, du moins le croyait-il : il expliquait à chacune d'entre elles qu'il en avait déjà beaucoup et que si elles avaient tant apprécié ce moment passé ensemble c'était autant grâce à l'expérience ainsi acquise qu'à l'attention qu'il lui avait portée ; il voulait bien la revoir à la condition qu'elle n'exige pas l'exclusivité.
Certainement que certaines de ses conquêtes résultaient du bouche à oreille comme on dit. Un réseau met du temps à se mettre en place, mais une fois lancé, quand on est sérieux ...
C'est dans ce contexte qu'une fois au cours d'une partie en plein air il crut apercevoir Julie. Il n'en était pas bien sûr, mais une sorte d'intuition - mise en garde l'alerta. Il était lui-même entouré de 6 superbes femmes, il ne fallait pas ruiner sa réputation, tout ce qu'il avait réussi à monter, ceci à cause d'une allumeuse ! Il ne voulait pas non plus gâcher sa journée, il résolut de l'ignorer purement et simplement. C'était mal connaître Julie ...
Dès qu'elle l'aperçut, elle se rendit compte du changement opéré chez son ancienne proie et n'eut qu'une idée en tête : lui refaire le coup, malgré (ou à cause de ?) la présence de ces "bimbos". Pas gênée pour deux sous, elle fonça droit sur lui, souriante, et lui balança un "salut" comme s'ils étaient sortis du même lit pas plus tard que la veille.
Il trouvait qu'elle en faisait un peu trop. Il entraîna l'une de ses compagnes vers le buffet en ignorant carrément Julie.
Elle tenta de à plusieurs reprises de revenir à la rescousse, mais en vain, il adoptait toujours la même technique.
Cependant cette attitude alertait les compagnes de Pierre.
Et puis il n'allait pas pouvoir continuer à biaiser ainsi jusqu'à la fin de la partie avec une Julie, qu'avait-elle aussi à revenir vers lui avec l'avoir largué aussi lâchement ! Il fallait qu'il trouve un moyen de se débarrasser de ce pot de colle.
Certaines filles pas mal du tout s'intéressaient à lui, comme maintenant à chaque fois qu'il allait quelque part, il était impératif de mettre cette allumeuse hors d'état de nuire ... Il n'avait pas les moyens de se payer des gardes du corps ou des vigiles contrairement à des personnages connus et pas forcément plus importunés, il ne pouvait compter que sur sa matière grise ; heureusement, contrairement à ce que prétendent des publicités mensongères, tous les hommes ne sont pas deux fois moins doués que les femmes.
Il se demanda ce qu'il aurait fait si une inconnue lui courait ainsi après avec tant d'insistance ; cela aurait dépendu de son attrait physique et des circonstances. Il n'y avait pas vraiment de raisons pour qu'il continue à la fuir : il devait soit la prendre dans un coin, ne serait-ce que vis-à-vis de ses copines, soit lui dire carrément devant témoin qu'il avait assez de filles pour lui ce soir. La seconde solution ne lui parut pas de nature à rebuter Julie, juste la provoquer, ce qui n'était pas son objectif.
Il fit mine de s'éloigner légèrement des lieux de dégustation, près d'un massif de buissons, mais cependant pas au point de disparaître totalement de la vue des participants à la partie. Julie profita de l'aubaine pour le rejoindre. Galant, il la laissa parler la première : "C'est parce que tu es en charmante compagnie que tu fais semblant de ne pas me reconnaître ?"
"Non, c'est suite à ton glorieux SMS ; tu as toi-même considéré que nous nous sommes tout dit."
"Excuse-moi, je regrette."
"Je te pardonne, mais ne me fais pas perdre de temps car comme tu peux le constater, il est précieux, on m'attend."
"Je voudrais recommencer avec toi."
"Le ticket d'entrée a changé."
"Oui j'ai vu que tu as changé."
"Allons droit au but. Tu veux ou tu veux pas, comme dit la chanson."
"Comme tu y vas ..."
"A poil tout de suite ou je retourne voir mes copines".
Julie tenta de gagner du temps.
"Je te préviens, il n'est pas question que je te viole. Tu as 10 secondes pour te déshabiller entièrement de ton plein gré ICI même ou bien je m'en vais."
"Mais on va nous voir."
"Ils n'auront pas le temps, tu verras. En derrière le bosquet ... Allez !"
Julie s'exécuta ... en 30 secondes, mais Pierre avait gagné une première victoire. Il sortit son téléphone mobile, et avant qu'elle ne s'en rende compte la photographia.
Elle voulut se cacher, il l'arrêta :
"Tu veux que je te baises ou pas ?"
Elle fit "oui de la tête" et se laissa photographier sous tous les angles.
Il sortit alors son sexe et lui commanda de le sucer ; elle obéit ; rapidement il fut en érection. Avant qu'elle ne s'en rendit compte, il enfila une capote (avec sa nouvelle vie, cela faisait partie de ses accessoires de base constamment à portée de main), et la pénétra malgré la difficulté car elle mouillait fort peu : la situation n'était pas aussi excitante pour elle que pour lui.
"Tu me fais mal" lui cria-t-elle.
"Pas si fort" si tu veux rester discrète ! En fait de discrétion, il avait remarqué que 4 de ses copines s'étaient approchées. Il leur avait fait signe de filmer la scène.
"Il faut savoir ce que tu veux ! Allez, détends-toi, ça va aller mieux."
Au bout de 5 minutes, il la retourna, lui claqua les fesses et lui pénétra l'anus par surprise. Elle hurla de douleur. Il lui agrippa les seins et lui mordilla le cou en lui disant de se lâcher.
Il n'insista pas trop et termina dans sa bouche après avoir retiré la capote. Elle se croyait libérée, mais il l'obligea à l'engloutir profondément et elle faillit s'étrangler ; au moment d'éjaculer il se recula légèrement pour qu'elle reçoive sa semence sur la langue, là où le goût des aliments est ressenti. Des hommes avaient rejoint le petit groupe ; au moins une vingtaine de personnes étaient en train d'assister à la scène ; plusieurs filmaient ou prenaient des photos. Julie s'en rendit compte à ce moment-là, elle était rouge de honte et tenta de se cacher de ses mains.
Pierre considéra que la leçon était suffisante. Il ne la planta pas là, mais demanda qu'on aille chercher un verre d'eau ; il s'en servit pour la nettoyer consciencieusement, puis nettoyer son propre sexe qu'il remit transuillement en place. Il l'aida à se rhabiller. Elle pleurait contre son épaule ; il la raccompagna au milieu des invités et lui choisit de quoi se sustenter après ses émotions.
Mais lorsqu'elle lui demanda s'il voulait bien sortir avec elle, il lui mit le deal en main :
"Tu as compris ce que tu as fait de moi maintenant ?"
Elle balbutia :
"C'est à cause de moi que tu es devenu un tel ... " ; elle ne trouvait pas le mot.
"Un tel quoi ?"
Elle baissa la tête. Il la lui releva.
"Que décides-tu ? Toi tu devras m'être fidèle, et moi je serai entièrement libre ..."
En pleurs, elle répondit :
"Je ne peux pas accepter."
Il sourit et se dirigea vers une de ses nouvelles prétendantes.
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