La lettre 2
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La lettre 2
Alors que je venais d’apprendre qu’elle avait juste un string sous son peignoir, on allait jouer à action ou vérité, et après ça, il ne faudra pas s’étonné que ça dévie !
Revenons dans le contexte, elle est assise dans le divan en face de moi, son air timide, les jambes croisées un peu penchée devant moi, elle regarde son verre de vin et puis me regarde.
- On en ré ouvre une ?
- Tu es sûr que c’est une bonne idée ?
- Je ne compte pas conduire, toi bien ?
- Non.
- Alors, ce n’est pas une mauvaise !
Elle se levait et revenait avec une bouteille dans un seau et des glaçons, elle me servit, elle se servit, mes yeux se jetait dans la fente de son peignoir, je pu furtivement entrevoir…
- Alors tu as dit action, hum, j’aimerais que tu te mettes à genou devant moi et me demande mon pardon pour m’avoir fait du mal.
Elle y allait fort, j’étais d’un caractère fort fier, ceci dit, j’avais donné l’idée du jeu et au fond, j’étais vraiment désolé, c’était vraiment une chouette personne.
Je me levais et allais devant elle, posait un genou puis l’autre, la regardait dans les yeux et dit alors :
- Peux-tu me pardonner pour le mal que je t’ai fait ?
- C’était déjà fait, encore plus aujourd’hui, tu n’as pas hésité une seule seconde…
- Je jouais le jeu… Dis-je en me relevant.
- Tu préférais perdre que mettre ta fierté de côté, tu mens donc !
- C’est à moi alors ? Tu choisis quoi ?
- Action aussi.
- Action, hum, j’aimerais que tu te lèves, fasse glisser ton string le long de tes jambes et me le donne.
Elle rougit, voulu surement protester puis se dit qu’elle allait jouer le jeu. Elle se levait alors, se mit devant moi passait ses mains sous son peignoir et le fit glisse, sortit un pied puis l’autre et me le donnais, elle restait debout face à moi et alors que je le tenais dans les mains, je le sentis, je souris et lui dis :
- Tu es excitée on dirait.
Elle rougit des plus belles et je mis le string sur la table, de manière à ce qu’elle continue à le voir.
- Enflure, tu choisis quoi ! Dit-elle tout de même souriante et buvant une gorgée.
- Vérité ! Avec un peu de chance quand je dirais action tu seras plus gentille.
- N’y compte pas ! Tu as envie que l’on fasse des choses-là, n’est-ce pas ?
- Oui, au final, ma réponse ne t’indique pas trop, on peut se mater un film si tu veux !?
- Tu m’as bien comprises !
- Et toi, tu choisis quoi ?
- Vérité.
- Au final, tu n’as toujours pas sucé ?
- Non, jamais.
- D’accord, je choisis action.
- Retire ton tee-shirt, tu sais que je n’ai que mon peignoir, j’ai envie de fantasmer un peu.
Je retirais mon tee-shirt, elle me regardait avec un air intéressé, un petit sourire, gênée aussi.
- Voilà, tu choisis quoi ?
- Action.
- Tu es sûr de toi ?
- Oui, oui… Dit-elle regardant son verre qu’elle tenait en main.
- Viens sur moi, pendant 5 minutes tu peux m’embrasser partout où tu veux, jusqu’au-dessus de la ceinture, tu ne peux pas toucher ni embrasser plus bas.
Elle se levait, elle était un peu tremblotante, elle arrivait devant moi et m’enjambais, elle était au-dessus de moi, je sentais ses jambes un peu tremblée, elle mit ses deux mains sur mon visage et se mit à m’embrasser, moi, je ne la toucherais pas, ses mains descendirent sur mon torse et ses lèvre dans mon cou, elle se donnait vraiment à fond, elle descendait sur mon torse, et m’embrassait jusqu’au bas du ventre puis remontait, je sentais son sexe nu se frotter au mien à travers mon training, elle devait sentir que je bandais dur, le temps fini elle se relevait, me regardait avec un petit sourire et détournait du regard.
- J’espère que ça ta plu… Tu choisis quoi ?
- Vérité ?
- Tu aurais voulu que je fasse quoi quand j’étais sur toi ?
- Sorte mon sexe, le branle et le suce…
- Je ne pouvais pas aller sous la ceinture. Dit-elle narquoise.
- Tu choisis quoi ?
- Vérité.
- Et toi, à quoi pensais-tu ?
- Que j’avais envie que tu me fasses une minette.
- Elles doivent vraiment être bien.
- Tu n’imagines pas…
- Action ou vérité ?
- Hum, action ?
Elle se levait et partit vers son sac, elle revint avec une pièce.
- Tu vas lancer cette pièce, si tu tombes sur pile, tu devras me faire une minette, le plus longtemps possible !
- Et face ?
- Face, pendant 1 heure, tu devras te laisser faire.
- Ce n’est pas moi qui suis censé être joueur ?
- Tu crois que je me suis inspirée d’où ?
- Ok, lance là… Dis-je pas trop sûr de moi.
Elle lançait la pièce, au moment de dévoilé quel côté c’était je penchais ma tête et vit que c’était face.
- Face !
- Merci j’ai vu.
- Boude pas, enlève plutôt ce que tu portes !
Je restais un peu bête sur place, puis me ressaisi et abaissais mon pantalon, retirait mes chaussures et l’enlevais, elle ne loupait pas une miette.
J’enlevais mes chaussettes et fit glisse mon boxer, elle tendit la main et je lui donnais.
- Une petite tache blanche, je t’excite ?
- Oui.
- Remet-toi à genou et demande moi pardon à nouveau.
Je me mis à genou devant elle, qui était assise dans le divan, elle me regardait et je dis alors.
- Peux-tu me pardonner de t’avoir fait du mal ?
- Je te pardonne si tu viens t’asseoir à côté de moi.
Je m’assis à côté d’elle et elle se levait, partit derrière, ouvrit un tiroir et en sortit un ruban, elle revint derrière moi et me le mit autour des yeux, elle refit le tour et s’assit à côté de moi.
- N’oublie pas, tu dois faire ce que je veux.
- Oui oui..
Elle passait sa main sur mon bas ventre et se mit à m’embrasser, elle descendait vers mes jambes, effleurant mon sexe et remontait effleurant toujours, sa bouche descendu dans mon cou et sa main sur mon sexe, elle se mit à caresser lentement et accélérer les vas et viens.
Lorsqu’elle sentit que j’étais bien excité, elle arrêtait, elle se couchait dans le divan et je sentis son pied « taper » contre mon épaule.
- Tu me masses les pieds stp.
- Oui, d’accord.
Je me mis à genou sur le divan, je ne voyais rien, elle déposait son pied sur mes mains et je me mis à le masser, pareil avec le second.
- Glisse ta tête sous mon peignoir tout de suite.
Je partis peu à peu vers son petit jardin, j’y arrivais plutôt vite en fait et je commençais à lui caresser son entre jambe avec ma langue, de la manière que je faisais toujours, je sentis très vite qu’elle prenait son pied, elle mouillait énormément, sa respiration était plus forte, ses jambes se mirent à serrer ma tête, je m’arrêtais.
- Continue ! Dit-elle sous l’effet de l’excitation.
Alors je me remis à la caresse avec ma langue, ses jambes se serraient encore, j’avais presque mal ! Et elle finit par venir, pas comme une femme fontaine, non, elle avait son orgasme, et en profiter pour garder ma tête bloquée entre ses jambes pendant qu’il durait, elle finit par relâcher ma tête, je me redressais, ne voyant toujours rien.
Après un petit moment elle me dit.
- Il me reste un peu de temps, remet toi à genou devant moi.
Ce que je fis.
- Branle-toi à mes pieds, c’est tout ce que t’auras aujourd’hui.
J’eu ce sentiment de frustration, mais je me mis à me branler à ses pieds, ses pieds qui d’ailleurs elle caressait mon corps avec, et finit par amener à hauteur de ma bouche pour que je les embrasse, et puis après un long moment où je dû prendre sur moi, elle dit :
- Il reste une minute, ne bouge pas.
Je ne bougeais pas, mais elle bien.
- Tu peux retirer le ruban.
Je le retirais et cherchait après elle du regard, je me retournais, toujours à genou, elle était au pied de l’escalier et me dit :
- On va continuer en haut ?
Elle se mit à monter l’escalier et après quelque marche qu’elle avait montée, je vis le peignoir tombé par terre.
Je regardais le peignoir au sol, me redressait et partit vers l’escalier.
Revenons dans le contexte, elle est assise dans le divan en face de moi, son air timide, les jambes croisées un peu penchée devant moi, elle regarde son verre de vin et puis me regarde.
- On en ré ouvre une ?
- Tu es sûr que c’est une bonne idée ?
- Je ne compte pas conduire, toi bien ?
- Non.
- Alors, ce n’est pas une mauvaise !
Elle se levait et revenait avec une bouteille dans un seau et des glaçons, elle me servit, elle se servit, mes yeux se jetait dans la fente de son peignoir, je pu furtivement entrevoir…
- Alors tu as dit action, hum, j’aimerais que tu te mettes à genou devant moi et me demande mon pardon pour m’avoir fait du mal.
Elle y allait fort, j’étais d’un caractère fort fier, ceci dit, j’avais donné l’idée du jeu et au fond, j’étais vraiment désolé, c’était vraiment une chouette personne.
Je me levais et allais devant elle, posait un genou puis l’autre, la regardait dans les yeux et dit alors :
- Peux-tu me pardonner pour le mal que je t’ai fait ?
- C’était déjà fait, encore plus aujourd’hui, tu n’as pas hésité une seule seconde…
- Je jouais le jeu… Dis-je en me relevant.
- Tu préférais perdre que mettre ta fierté de côté, tu mens donc !
- C’est à moi alors ? Tu choisis quoi ?
- Action aussi.
- Action, hum, j’aimerais que tu te lèves, fasse glisser ton string le long de tes jambes et me le donne.
Elle rougit, voulu surement protester puis se dit qu’elle allait jouer le jeu. Elle se levait alors, se mit devant moi passait ses mains sous son peignoir et le fit glisse, sortit un pied puis l’autre et me le donnais, elle restait debout face à moi et alors que je le tenais dans les mains, je le sentis, je souris et lui dis :
- Tu es excitée on dirait.
Elle rougit des plus belles et je mis le string sur la table, de manière à ce qu’elle continue à le voir.
- Enflure, tu choisis quoi ! Dit-elle tout de même souriante et buvant une gorgée.
- Vérité ! Avec un peu de chance quand je dirais action tu seras plus gentille.
- N’y compte pas ! Tu as envie que l’on fasse des choses-là, n’est-ce pas ?
- Oui, au final, ma réponse ne t’indique pas trop, on peut se mater un film si tu veux !?
- Tu m’as bien comprises !
- Et toi, tu choisis quoi ?
- Vérité.
- Au final, tu n’as toujours pas sucé ?
- Non, jamais.
- D’accord, je choisis action.
- Retire ton tee-shirt, tu sais que je n’ai que mon peignoir, j’ai envie de fantasmer un peu.
Je retirais mon tee-shirt, elle me regardait avec un air intéressé, un petit sourire, gênée aussi.
- Voilà, tu choisis quoi ?
- Action.
- Tu es sûr de toi ?
- Oui, oui… Dit-elle regardant son verre qu’elle tenait en main.
- Viens sur moi, pendant 5 minutes tu peux m’embrasser partout où tu veux, jusqu’au-dessus de la ceinture, tu ne peux pas toucher ni embrasser plus bas.
Elle se levait, elle était un peu tremblotante, elle arrivait devant moi et m’enjambais, elle était au-dessus de moi, je sentais ses jambes un peu tremblée, elle mit ses deux mains sur mon visage et se mit à m’embrasser, moi, je ne la toucherais pas, ses mains descendirent sur mon torse et ses lèvre dans mon cou, elle se donnait vraiment à fond, elle descendait sur mon torse, et m’embrassait jusqu’au bas du ventre puis remontait, je sentais son sexe nu se frotter au mien à travers mon training, elle devait sentir que je bandais dur, le temps fini elle se relevait, me regardait avec un petit sourire et détournait du regard.
- J’espère que ça ta plu… Tu choisis quoi ?
- Vérité ?
- Tu aurais voulu que je fasse quoi quand j’étais sur toi ?
- Sorte mon sexe, le branle et le suce…
- Je ne pouvais pas aller sous la ceinture. Dit-elle narquoise.
- Tu choisis quoi ?
- Vérité.
- Et toi, à quoi pensais-tu ?
- Que j’avais envie que tu me fasses une minette.
- Elles doivent vraiment être bien.
- Tu n’imagines pas…
- Action ou vérité ?
- Hum, action ?
Elle se levait et partit vers son sac, elle revint avec une pièce.
- Tu vas lancer cette pièce, si tu tombes sur pile, tu devras me faire une minette, le plus longtemps possible !
- Et face ?
- Face, pendant 1 heure, tu devras te laisser faire.
- Ce n’est pas moi qui suis censé être joueur ?
- Tu crois que je me suis inspirée d’où ?
- Ok, lance là… Dis-je pas trop sûr de moi.
Elle lançait la pièce, au moment de dévoilé quel côté c’était je penchais ma tête et vit que c’était face.
- Face !
- Merci j’ai vu.
- Boude pas, enlève plutôt ce que tu portes !
Je restais un peu bête sur place, puis me ressaisi et abaissais mon pantalon, retirait mes chaussures et l’enlevais, elle ne loupait pas une miette.
J’enlevais mes chaussettes et fit glisse mon boxer, elle tendit la main et je lui donnais.
- Une petite tache blanche, je t’excite ?
- Oui.
- Remet-toi à genou et demande moi pardon à nouveau.
Je me mis à genou devant elle, qui était assise dans le divan, elle me regardait et je dis alors.
- Peux-tu me pardonner de t’avoir fait du mal ?
- Je te pardonne si tu viens t’asseoir à côté de moi.
Je m’assis à côté d’elle et elle se levait, partit derrière, ouvrit un tiroir et en sortit un ruban, elle revint derrière moi et me le mit autour des yeux, elle refit le tour et s’assit à côté de moi.
- N’oublie pas, tu dois faire ce que je veux.
- Oui oui..
Elle passait sa main sur mon bas ventre et se mit à m’embrasser, elle descendait vers mes jambes, effleurant mon sexe et remontait effleurant toujours, sa bouche descendu dans mon cou et sa main sur mon sexe, elle se mit à caresser lentement et accélérer les vas et viens.
Lorsqu’elle sentit que j’étais bien excité, elle arrêtait, elle se couchait dans le divan et je sentis son pied « taper » contre mon épaule.
- Tu me masses les pieds stp.
- Oui, d’accord.
Je me mis à genou sur le divan, je ne voyais rien, elle déposait son pied sur mes mains et je me mis à le masser, pareil avec le second.
- Glisse ta tête sous mon peignoir tout de suite.
Je partis peu à peu vers son petit jardin, j’y arrivais plutôt vite en fait et je commençais à lui caresser son entre jambe avec ma langue, de la manière que je faisais toujours, je sentis très vite qu’elle prenait son pied, elle mouillait énormément, sa respiration était plus forte, ses jambes se mirent à serrer ma tête, je m’arrêtais.
- Continue ! Dit-elle sous l’effet de l’excitation.
Alors je me remis à la caresse avec ma langue, ses jambes se serraient encore, j’avais presque mal ! Et elle finit par venir, pas comme une femme fontaine, non, elle avait son orgasme, et en profiter pour garder ma tête bloquée entre ses jambes pendant qu’il durait, elle finit par relâcher ma tête, je me redressais, ne voyant toujours rien.
Après un petit moment elle me dit.
- Il me reste un peu de temps, remet toi à genou devant moi.
Ce que je fis.
- Branle-toi à mes pieds, c’est tout ce que t’auras aujourd’hui.
J’eu ce sentiment de frustration, mais je me mis à me branler à ses pieds, ses pieds qui d’ailleurs elle caressait mon corps avec, et finit par amener à hauteur de ma bouche pour que je les embrasse, et puis après un long moment où je dû prendre sur moi, elle dit :
- Il reste une minute, ne bouge pas.
Je ne bougeais pas, mais elle bien.
- Tu peux retirer le ruban.
Je le retirais et cherchait après elle du regard, je me retournais, toujours à genou, elle était au pied de l’escalier et me dit :
- On va continuer en haut ?
Elle se mit à monter l’escalier et après quelque marche qu’elle avait montée, je vis le peignoir tombé par terre.
Je regardais le peignoir au sol, me redressait et partit vers l’escalier.
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