La longue permission.2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La longue permission.2
Je viens de faire ma première expérience sexuelle en stop, avec des routiers.
En plus du plaisir anal, j'ai ressenti un énorme plaisir cérébral.
Me faire enculer dans les toilettes, de l'aire d'autoroute, était grisant.
Robert, m'offre un repas à la cafétéria de l'aire suivante, puis nous rentrons dans sa cabine.
On se dévêt complètement.
Il me fait une place contre lui dans son camion, très rapidement, je constate qu'il caresse mon cul d'une main.
De l'autre, il dirige son gland entre mes fesses, je me cambre pour lui faciliter la pénétration.
La cabine résonne de nos râles emmêlés.
Je l'accompagne de mon bassin, à chaque fois qu'il s'enfonce dans mon anus.
.
Plus sensuelle, parfois plus vicieuse et plus sauvage aussi.
Je me sens trempé autour de l'anus, il s'en rend compte lui aussi.
"Putain, ce que tu peux mouiller du cul, salope ! Ca rentre comme dans du beurre !".
"Arhhhhh ! Tu m'encules trop bien encore ! J'ai trop joui ! Arhhhhhhhhhh!".
J'ai probablement encore, son foutre de notre dernière baise, aussi !
Il tarde à venir, à son tour, mais éjacule enfin, quand même.
"Arhhhhhhh ! Chéri, c'est trop bon ! Arghhhhhhhhhhhhhhh !".
Je ressens sa nouvelle insémination comme un cadeau inespéré.
Je le laisse se vider en moi, à sa guise, et me fait emporter presque aussitôt, par ma fatigue sexuelle.
Au petit matin, je suis surpris par l'endroit insolite ou je me trouve, puis tout me revient.
Je me suis fait baiser par deux routiers, et je suis dans la cabine du camion de Robert.
Son corps nu contre moi, me fait réaliser que je viens de passer ma première nuit, avec un homme !
"Ooooooooahhhhhhhhhhhh ! T'as bien dormi Pascal ?".
Il me fait bailler, moi aussi.
"Ooooooooahhhhhhhhhhhh ! Oui ! Ca m'a fait du bien !".
"Que je te baise ? C'est ça qui t'a fait du bien ?".
"Oui, ça aussi !".
Je lui souris, il se touche la bite, il a une érection matinale.
"Regardes comme elle est ! Tu veux pas me sucer avant d'aller déjeuner ?".
"Humm ! Ca me plairait, oui !".
Décidément, pratiquer le sexe plus souvent, allonge le délai avant l'éjaculation ! J'ai du lui dévorer la bite pendant presque 45 minutes avant qu'il m'abreuve de son jus matinal.
"Arhhhh ! Avales tout ! Ouiii ! Bois mon jus ! Arhhhhhhhhhhhh ! C'est trop bon !".
A la fin, il fait encore de l'humour !
"Voilà ! T'as eu la crème avant le café ! C'est pas beau ça ?".
On retourne à l'aire pour déjeuner, j'en profite pour me soulager d'un besoin anal naturel.
Etonnamment, la sodomie me procure un transit idéal ! Mon anus est très propre, après mes selles !
Je reviens vers Robert, il interpelle un géant, entrain de payer son déjeuner, à la caisse.
L'inconnu, très, très grand, vient s'assoir près de moi. sa grosse main se pose sur ma cuisse, pendant qu'il me sourit avec ses yeux malicieux.
Il s'adresse à Robert:
"C'est lui que t'as ramassé hier ?".
"Oui ! Il est mignon ! Tu trouves pas ? Ca faisait un moment que j'avais pas baisé un p'tit cul comme le sien !".
"Effectivement, je le trouve à mon gout ! Tu me le prêtes ? Je me suis arrêté ici, exprès pour lui !".
"Ben, je devais le ramener ! Demandes lui !".
Je suis surpris par le coté direct et sans gêne de l'homme, à coté duquel, je me sens minuscule.
Je comprends aussi, que certains routiers se partagent des infos !
Robert me fait un clin d'œil, en ajoutant:
"Tu vas pas le regretter ! Crois moi !".
"Tu vas où ?".
"A Toulon !".
"OK ! Pas de souci ! On baise et je te dépose ! Je vais en Italie, et c'est sur ma route !".
J'assiste au départ de Robert, pendant que j'attend que Jean-Marie, le géant, termine son déjeuner avec moi.
C'est avec une certaine appréhension, que je suis Jean-Marie dans son camion.
C'est étrange comme sentiment, de passer sous la coupe d'un homme, à un autre !
Mais, je suis agréablement surpris, après qu'il m'ai dévêtu dans sa cabine.
Robert ne m'avait pas menti !
Découvrir sa très large bite de 23 cm, me met dans un état second !
Je n'ai pas encore l'habitude des très gros sexes ! Mais je sais que je vais me faire démonter par un engin de plaisir rare !
J'ai beaucoup de mal à le sucer convenablement, mes lèvres sont écartelées au maximum !
Il me dirige avec sa main sur ses grosses couilles, je ne me fais pas prier pour les gober une à une.
Après un long moment, il m'entraine au dessus de lui.
Mes fesses sont comme une cible trop petite, devant son gros manche.
Mais son énorme gland se faufile entre mes lobes fessiers.
Il saisit un tube de gel dans un recoin de sa cabine et me le tend.
Je dépose une grosse noix contre mon anus, et enduit l'extrémité de son gros sexe.
Il me demande:
"Tu la veux ma queue ? T'en as envie ?".
"Oui, elle m'excite énormément ! J'ai jamais connu de bite aussi grosse !".
"Hummm ! Tu vas l'adorer ! Tu verras ! Putain, tu me plais beaucoup, tu sais !".
Oh, oui, je le sais ! Je le sens surtout ! Il est dur comme du bois ! Son énorme pieu cherche à s'enfoncer dans mon petit trou, et me fait peur d'avoir mal.
Je le trouve adorable, et expérimenté, quand il me dit:
"Prends ton temps ! Enfonces-toi à ton rythme ! je t'enculerai plus copieusement, quand tu seras habitué à ma bite !".
Peu à peu, mon œillet s'écartèle, il pousse un peu, je crie ma douleur, il va trop vite !
"Pardon ! Continues, je te laisse faire !".
"Oh, putain, c'est énorme !".
Je me soulève, pour reprendre mon souffle, et attendre que la sensation de douleur s'estompe, puis je reprend mon empalement anal.
Je suis surpris de l'élasticité de mon anus, il le reçoit un peu plus, encore.
Je ne pousse que légèrement, laissant le poids de mon corps faire le reste.
Je ne veux plus avoir mal !
Je retrouve cette sensation bizarre et addictive de mon sphincter qui s'ouvre, très, très lentement.
Je me mords les lèvres, en plissant mes yeux.
Jean-Marc se régale de me voir submergé par cette sensation d'extrême possession anale.
"Oh, putain ! Arhhhhhhhh ! Ca me déchire le cul !".
Chaque millimètre de sa queue, me remplit l'entrée de l'anus.
A un moment, mon œillet s'écartèle encore, en me générant des picotements.
Je sens que j'ai dépassé de beaucoup, mes possibilités d'insertion, la peau de l'intérieur de mon anus est tendue à l'extrême !
Mon corps glisse lentement sur sa grosse verge, dans un plaisir douleur incroyable, puis vient se caler contre son ventre ! Sans le gel, j'aurai eu beaucoup plus mal !
Je me blottis contre son torse !
"Attends ! S'il te plait ! Ne bouges pas, tout de suite ! Arhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Ouhhhhhffffff !".
Le temps passe, je me soulève un peu ! Mais mon anus est encore trop tendu, autour de sa bite !
"Arhhhhhhhhh ! Pas encore, Jean-Marc !".
Au fur et à mesure, de mes autres essais, je ressens moins de douleur, puis, je fais un premier glissement complet sur sa queue.
"Orhhhhhhhhhhh ! Putain, c'est trop bonnnnnnnnnn ! Arghhhhhhhh ! C'est fort !".
"Je peux prendre la suite ?".
"Ouiiiiiiiii ! Mais pas trop vite ! Argggggggggghhhhhhhhhhhhhh !".
Je ressens chaque millimètre de peau, de son énorme bite, qui coulisse dans mon anus.
"Putain ! Jean-Marc ! Tu me remplis tellement bien le cul ! Arhhhhhhhh !".
"Alors, j'avais pas raison ? Tu l'aimes ma bite ?".
"Ouiiiiii ! Je sens que je vais déjà jouir ! Arghhhhhhhhhhhhhhhh !".
Plus il bouge, et plus, il coulisse aisément dans mes entrailles, son sexe se lubrifie davantage, en allant chercher mon jus anal très profondément.
J'ai moins de sensations de déchirement, à présent, je commence à l'accompagner de mon bassin en m'empalant sur lui.
Il m'attire vers ses lèvres, il fait partie des premiers hommes, que je ne repousse pas pour un baiser, à pleine bouche.
Je gémis et râle en mêlant, ma langue à la sienne.
Malgré le fait, que deux militaires et deux routiers m'ont baisé la veille, j'ai l'impression de revivre une première fois, encore, ce matin là !
Il me stoppe, au bout de plusieurs minutes de chevauche, de plus en plus sauvage.
Puis, il me place devant lui, et pointe sa grosse verge derrière mon cul.
Il m'attire par l'épaule, pour m'enfoncer sur lui.
Je me cambre encore, il me transperce d'une traite !
"C'est bon, comme ça aussi ! Pas vrai ! Ma p'tite salope ?".
"Arhhhhhh ! Oui, comme ça aussi ! Vas y ! Casses-moi le cul, encore ! Arhhhhhhh !".
"Putain ! Tu m'excites ! Minot ! J'adore t'enculer ! Tiens ! Prends ça !".
"Arghhhhh ! Arghhhhh ! Arghhhhh ! Arghhhhh ! ...".
Il glisse facilement, maintenant, il en profite pour se déchainer, comme il le désire !
Je me sens toujours écartelé, mais je ne ressens plus que du plaisir anal.
Je crie mes orgasmes successifs à la chaine.
J'ai une vraie sensation de destruction anale.
Il m'obstrue la bouche en m'enculant comme une bête.
Mes yeux s'humidifient de bonheur, pendant que j'étouffe mes cris, dans sa grosse main.
Il y va tellement puissamment, qu'au bout de quelques minutes, je suis obligé de coucher mon corps pour le recevoir.
Il termine sur moi, en me pilonnant l'anus, comme un marteau piqueur.
J'ai remplacé sa main dans ma bouche, par mon bras, pour jouir du cul, sans ameuter l'entourage, sur l'aire d'autoroute.
Je décèle enfin, des signes de plaisir éjaculatoire, chez Jean-Marc.
Il se met à grogner comme un ours, ses assauts ralentissent, mais deviennent plus puissants, et profonds.
Je crie encore, à chaque transpercée.
Il tape dans mon cul, comme un forcené.
Je grogne moi aussi, il se déverse enfin, je sens qu'il contracte sa grosse queue, à chaque déversement de foutre, en moi.
Je suis en plein orgasme anal, moi aussi, je me contracte sur sa bite.
Nos deux organes se rejoignent à merveille, dans leurs spasmes.
"Oh ! Putain, j'ai jamais joui du cul comme ça ! Arhhhhhhhhhh ! Jean-Marc ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Lui aussi, est tétanisé par son plaisir.
Il se tient au dessus de moi, en grognant et fixant sa grosse verge qui m'écartèle le cul, et qui se vide de tout son foutre, dans un plaisir interminable.
Très, très lentement, je retrouve des sensations normales, sauf sa présence énorme en moi.
"Pfffffffffff ! C'était génial Jean-Marc ! Tu m'as déchiré le cul, mais, c'était trop bon !".
Il se colle contre moi et me dit, sans cesser de coulisser doucement:
"Tu me plais beaucoup, j'ai pas envie de te ramener !".
"Euh, j'ai une vie ! Je peux pas rester avec toi !".
"Je sais, c'est bien dommage ! On t'attend ?".
"Ben, pas vraiment ! Mes parents ne savent pas, que je suis en perm ! En plus, l'ambiance est tendue avec mon père, en ce moment !".
"Ca te dis pas que je t'emmène avec moi, sur ma tournée ! Je peux te ramener après demain, si tu veux !".
"Je sais pas, Jean-Marc ! C'est tentant, mais ça fait beaucoup ! Et on dormirait encore, dans ton camion ?".
"Non, justement ! J'habite pas très loin ! Au Muy ! Si tu restes, ce soir, on va chez moi !".
"J'y réfléchi ! Mais, tu me ramènes quand alors ?".
"Quand tu veux ! Avant lundi, parce que je reprends la route à 6 heures !".
"Tu passes par Marseille ? Parce que je dois être lundi matin, à la gare de C... à 7h, pour rentrer à la caserne !".
"C'est pas loin, je ferai le détour !".
Après mon nettoyage fessier, ou je reconnais du jus anal, du sperme et un peu de saignements, puis, un bonne dizaine de minutes, je lui confirme qu'il me garde, pour ce long Week-End !
"C'est génial! ! Mon p'tit Pascal ! Du coup, je te garde 4 jours ! C'est encore mieux ! Tu peux me faire un p'tit plaisir ?"
"Ca dépend ! C'est quoi ?".
"J'aimerai qu'on fasse comme si on était en couple ! j'aime bien donner des p'tit noms ! D'accord, mon bébé ?".
"Euh, d'accord ! Chéri ! Ca te vas, comme petit nom ?".
"Super ! J'ai hâte d'être à ce soir, encore !".
Nous n'étions que le jeudi matin ! Il m'a caché jusqu'au soir, puis, nous sommes enfin rentré chez lui.
Après un traitement anal extrême avec lui, de quatre jours, je suis rentré à la caserne avec l'anus bien détendu.
En fin de journée, mon amant, le lieutenant m'a demandé, si j'avais passé une bonne permission.
"Oh, comme d'habitude, la routine !".
Il a bien ressenti qu'il m'enculait plus aisément qu'avant, mais il n'a jamais su pourquoi !
Après son éjaculation dans ma gorge, il appelle le commandant, qui ne répond pas au téléphone.
"Bon, tant pis ! Il m'avait demandé de le prévenir de ton retour ! Tu peux rentrer ! Il a du avoir un empêchement !".
Dommage, je sais que le commandant adore éjaculer dans ma bouche ! Et j'aurai bien pris une autre dose de sperme ! J'en suis devenu addict !
Celui du lieutenant m'a rappelé toutes les éjaculations de Jean-Marc, sur moi, dans mon cul et ma gorge, bien sur !
Le Week-end suivant, j'ai retrouvé mes potes et ma copine du moment.
C'était pas le même Week end !
Le contraste était immense entre mon comportement avec elle et celui que j'avais avec les hommes.
Je ne ressentais aucun désir pour elle, pourtant si jolie !
Mais dès que je mettais ma langue dans sa bouche, c'était comme si, j'embrassais un batteur électrique ! Aucune sensualité !
Ca me bloquait direct ! Elle m'a donc servi d'alibi avec ses lettres enflammées et décorées de cœurs sur l'enveloppe !
C'était si simple entre nous, les hommes, pas de chichis, on parle sans détour, on baise.
C'est pas plus compliqué que ça !
Le souvenir des quatre jours avec Jean-Marc, m'a longtemps hanté ! Je suis devenu addict aux grosses bites !
Son travail et le fait que je vivais encore chez mes parents, sans moyen de locomotion, nous empêchait toute relation suivie, quel dommage !
En plus du plaisir anal, j'ai ressenti un énorme plaisir cérébral.
Me faire enculer dans les toilettes, de l'aire d'autoroute, était grisant.
Robert, m'offre un repas à la cafétéria de l'aire suivante, puis nous rentrons dans sa cabine.
On se dévêt complètement.
Il me fait une place contre lui dans son camion, très rapidement, je constate qu'il caresse mon cul d'une main.
De l'autre, il dirige son gland entre mes fesses, je me cambre pour lui faciliter la pénétration.
La cabine résonne de nos râles emmêlés.
Je l'accompagne de mon bassin, à chaque fois qu'il s'enfonce dans mon anus.
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Plus sensuelle, parfois plus vicieuse et plus sauvage aussi.
Je me sens trempé autour de l'anus, il s'en rend compte lui aussi.
"Putain, ce que tu peux mouiller du cul, salope ! Ca rentre comme dans du beurre !".
"Arhhhhh ! Tu m'encules trop bien encore ! J'ai trop joui ! Arhhhhhhhhhh!".
J'ai probablement encore, son foutre de notre dernière baise, aussi !
Il tarde à venir, à son tour, mais éjacule enfin, quand même.
"Arhhhhhhh ! Chéri, c'est trop bon ! Arghhhhhhhhhhhhhhh !".
Je ressens sa nouvelle insémination comme un cadeau inespéré.
Je le laisse se vider en moi, à sa guise, et me fait emporter presque aussitôt, par ma fatigue sexuelle.
Au petit matin, je suis surpris par l'endroit insolite ou je me trouve, puis tout me revient.
Je me suis fait baiser par deux routiers, et je suis dans la cabine du camion de Robert.
Son corps nu contre moi, me fait réaliser que je viens de passer ma première nuit, avec un homme !
"Ooooooooahhhhhhhhhhhh ! T'as bien dormi Pascal ?".
Il me fait bailler, moi aussi.
"Ooooooooahhhhhhhhhhhh ! Oui ! Ca m'a fait du bien !".
"Que je te baise ? C'est ça qui t'a fait du bien ?".
"Oui, ça aussi !".
Je lui souris, il se touche la bite, il a une érection matinale.
"Regardes comme elle est ! Tu veux pas me sucer avant d'aller déjeuner ?".
"Humm ! Ca me plairait, oui !".
Décidément, pratiquer le sexe plus souvent, allonge le délai avant l'éjaculation ! J'ai du lui dévorer la bite pendant presque 45 minutes avant qu'il m'abreuve de son jus matinal.
"Arhhhh ! Avales tout ! Ouiii ! Bois mon jus ! Arhhhhhhhhhhhh ! C'est trop bon !".
A la fin, il fait encore de l'humour !
"Voilà ! T'as eu la crème avant le café ! C'est pas beau ça ?".
On retourne à l'aire pour déjeuner, j'en profite pour me soulager d'un besoin anal naturel.
Etonnamment, la sodomie me procure un transit idéal ! Mon anus est très propre, après mes selles !
Je reviens vers Robert, il interpelle un géant, entrain de payer son déjeuner, à la caisse.
L'inconnu, très, très grand, vient s'assoir près de moi. sa grosse main se pose sur ma cuisse, pendant qu'il me sourit avec ses yeux malicieux.
Il s'adresse à Robert:
"C'est lui que t'as ramassé hier ?".
"Oui ! Il est mignon ! Tu trouves pas ? Ca faisait un moment que j'avais pas baisé un p'tit cul comme le sien !".
"Effectivement, je le trouve à mon gout ! Tu me le prêtes ? Je me suis arrêté ici, exprès pour lui !".
"Ben, je devais le ramener ! Demandes lui !".
Je suis surpris par le coté direct et sans gêne de l'homme, à coté duquel, je me sens minuscule.
Je comprends aussi, que certains routiers se partagent des infos !
Robert me fait un clin d'œil, en ajoutant:
"Tu vas pas le regretter ! Crois moi !".
"Tu vas où ?".
"A Toulon !".
"OK ! Pas de souci ! On baise et je te dépose ! Je vais en Italie, et c'est sur ma route !".
J'assiste au départ de Robert, pendant que j'attend que Jean-Marie, le géant, termine son déjeuner avec moi.
C'est avec une certaine appréhension, que je suis Jean-Marie dans son camion.
C'est étrange comme sentiment, de passer sous la coupe d'un homme, à un autre !
Mais, je suis agréablement surpris, après qu'il m'ai dévêtu dans sa cabine.
Robert ne m'avait pas menti !
Découvrir sa très large bite de 23 cm, me met dans un état second !
Je n'ai pas encore l'habitude des très gros sexes ! Mais je sais que je vais me faire démonter par un engin de plaisir rare !
J'ai beaucoup de mal à le sucer convenablement, mes lèvres sont écartelées au maximum !
Il me dirige avec sa main sur ses grosses couilles, je ne me fais pas prier pour les gober une à une.
Après un long moment, il m'entraine au dessus de lui.
Mes fesses sont comme une cible trop petite, devant son gros manche.
Mais son énorme gland se faufile entre mes lobes fessiers.
Il saisit un tube de gel dans un recoin de sa cabine et me le tend.
Je dépose une grosse noix contre mon anus, et enduit l'extrémité de son gros sexe.
Il me demande:
"Tu la veux ma queue ? T'en as envie ?".
"Oui, elle m'excite énormément ! J'ai jamais connu de bite aussi grosse !".
"Hummm ! Tu vas l'adorer ! Tu verras ! Putain, tu me plais beaucoup, tu sais !".
Oh, oui, je le sais ! Je le sens surtout ! Il est dur comme du bois ! Son énorme pieu cherche à s'enfoncer dans mon petit trou, et me fait peur d'avoir mal.
Je le trouve adorable, et expérimenté, quand il me dit:
"Prends ton temps ! Enfonces-toi à ton rythme ! je t'enculerai plus copieusement, quand tu seras habitué à ma bite !".
Peu à peu, mon œillet s'écartèle, il pousse un peu, je crie ma douleur, il va trop vite !
"Pardon ! Continues, je te laisse faire !".
"Oh, putain, c'est énorme !".
Je me soulève, pour reprendre mon souffle, et attendre que la sensation de douleur s'estompe, puis je reprend mon empalement anal.
Je suis surpris de l'élasticité de mon anus, il le reçoit un peu plus, encore.
Je ne pousse que légèrement, laissant le poids de mon corps faire le reste.
Je ne veux plus avoir mal !
Je retrouve cette sensation bizarre et addictive de mon sphincter qui s'ouvre, très, très lentement.
Je me mords les lèvres, en plissant mes yeux.
Jean-Marc se régale de me voir submergé par cette sensation d'extrême possession anale.
"Oh, putain ! Arhhhhhhhh ! Ca me déchire le cul !".
Chaque millimètre de sa queue, me remplit l'entrée de l'anus.
A un moment, mon œillet s'écartèle encore, en me générant des picotements.
Je sens que j'ai dépassé de beaucoup, mes possibilités d'insertion, la peau de l'intérieur de mon anus est tendue à l'extrême !
Mon corps glisse lentement sur sa grosse verge, dans un plaisir douleur incroyable, puis vient se caler contre son ventre ! Sans le gel, j'aurai eu beaucoup plus mal !
Je me blottis contre son torse !
"Attends ! S'il te plait ! Ne bouges pas, tout de suite ! Arhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Ouhhhhhffffff !".
Le temps passe, je me soulève un peu ! Mais mon anus est encore trop tendu, autour de sa bite !
"Arhhhhhhhhh ! Pas encore, Jean-Marc !".
Au fur et à mesure, de mes autres essais, je ressens moins de douleur, puis, je fais un premier glissement complet sur sa queue.
"Orhhhhhhhhhhh ! Putain, c'est trop bonnnnnnnnnn ! Arghhhhhhhh ! C'est fort !".
"Je peux prendre la suite ?".
"Ouiiiiiiiii ! Mais pas trop vite ! Argggggggggghhhhhhhhhhhhhh !".
Je ressens chaque millimètre de peau, de son énorme bite, qui coulisse dans mon anus.
"Putain ! Jean-Marc ! Tu me remplis tellement bien le cul ! Arhhhhhhhh !".
"Alors, j'avais pas raison ? Tu l'aimes ma bite ?".
"Ouiiiiii ! Je sens que je vais déjà jouir ! Arghhhhhhhhhhhhhhhh !".
Plus il bouge, et plus, il coulisse aisément dans mes entrailles, son sexe se lubrifie davantage, en allant chercher mon jus anal très profondément.
J'ai moins de sensations de déchirement, à présent, je commence à l'accompagner de mon bassin en m'empalant sur lui.
Il m'attire vers ses lèvres, il fait partie des premiers hommes, que je ne repousse pas pour un baiser, à pleine bouche.
Je gémis et râle en mêlant, ma langue à la sienne.
Malgré le fait, que deux militaires et deux routiers m'ont baisé la veille, j'ai l'impression de revivre une première fois, encore, ce matin là !
Il me stoppe, au bout de plusieurs minutes de chevauche, de plus en plus sauvage.
Puis, il me place devant lui, et pointe sa grosse verge derrière mon cul.
Il m'attire par l'épaule, pour m'enfoncer sur lui.
Je me cambre encore, il me transperce d'une traite !
"C'est bon, comme ça aussi ! Pas vrai ! Ma p'tite salope ?".
"Arhhhhhh ! Oui, comme ça aussi ! Vas y ! Casses-moi le cul, encore ! Arhhhhhhh !".
"Putain ! Tu m'excites ! Minot ! J'adore t'enculer ! Tiens ! Prends ça !".
"Arghhhhh ! Arghhhhh ! Arghhhhh ! Arghhhhh ! ...".
Il glisse facilement, maintenant, il en profite pour se déchainer, comme il le désire !
Je me sens toujours écartelé, mais je ne ressens plus que du plaisir anal.
Je crie mes orgasmes successifs à la chaine.
J'ai une vraie sensation de destruction anale.
Il m'obstrue la bouche en m'enculant comme une bête.
Mes yeux s'humidifient de bonheur, pendant que j'étouffe mes cris, dans sa grosse main.
Il y va tellement puissamment, qu'au bout de quelques minutes, je suis obligé de coucher mon corps pour le recevoir.
Il termine sur moi, en me pilonnant l'anus, comme un marteau piqueur.
J'ai remplacé sa main dans ma bouche, par mon bras, pour jouir du cul, sans ameuter l'entourage, sur l'aire d'autoroute.
Je décèle enfin, des signes de plaisir éjaculatoire, chez Jean-Marc.
Il se met à grogner comme un ours, ses assauts ralentissent, mais deviennent plus puissants, et profonds.
Je crie encore, à chaque transpercée.
Il tape dans mon cul, comme un forcené.
Je grogne moi aussi, il se déverse enfin, je sens qu'il contracte sa grosse queue, à chaque déversement de foutre, en moi.
Je suis en plein orgasme anal, moi aussi, je me contracte sur sa bite.
Nos deux organes se rejoignent à merveille, dans leurs spasmes.
"Oh ! Putain, j'ai jamais joui du cul comme ça ! Arhhhhhhhhhh ! Jean-Marc ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Lui aussi, est tétanisé par son plaisir.
Il se tient au dessus de moi, en grognant et fixant sa grosse verge qui m'écartèle le cul, et qui se vide de tout son foutre, dans un plaisir interminable.
Très, très lentement, je retrouve des sensations normales, sauf sa présence énorme en moi.
"Pfffffffffff ! C'était génial Jean-Marc ! Tu m'as déchiré le cul, mais, c'était trop bon !".
Il se colle contre moi et me dit, sans cesser de coulisser doucement:
"Tu me plais beaucoup, j'ai pas envie de te ramener !".
"Euh, j'ai une vie ! Je peux pas rester avec toi !".
"Je sais, c'est bien dommage ! On t'attend ?".
"Ben, pas vraiment ! Mes parents ne savent pas, que je suis en perm ! En plus, l'ambiance est tendue avec mon père, en ce moment !".
"Ca te dis pas que je t'emmène avec moi, sur ma tournée ! Je peux te ramener après demain, si tu veux !".
"Je sais pas, Jean-Marc ! C'est tentant, mais ça fait beaucoup ! Et on dormirait encore, dans ton camion ?".
"Non, justement ! J'habite pas très loin ! Au Muy ! Si tu restes, ce soir, on va chez moi !".
"J'y réfléchi ! Mais, tu me ramènes quand alors ?".
"Quand tu veux ! Avant lundi, parce que je reprends la route à 6 heures !".
"Tu passes par Marseille ? Parce que je dois être lundi matin, à la gare de C... à 7h, pour rentrer à la caserne !".
"C'est pas loin, je ferai le détour !".
Après mon nettoyage fessier, ou je reconnais du jus anal, du sperme et un peu de saignements, puis, un bonne dizaine de minutes, je lui confirme qu'il me garde, pour ce long Week-End !
"C'est génial! ! Mon p'tit Pascal ! Du coup, je te garde 4 jours ! C'est encore mieux ! Tu peux me faire un p'tit plaisir ?"
"Ca dépend ! C'est quoi ?".
"J'aimerai qu'on fasse comme si on était en couple ! j'aime bien donner des p'tit noms ! D'accord, mon bébé ?".
"Euh, d'accord ! Chéri ! Ca te vas, comme petit nom ?".
"Super ! J'ai hâte d'être à ce soir, encore !".
Nous n'étions que le jeudi matin ! Il m'a caché jusqu'au soir, puis, nous sommes enfin rentré chez lui.
Après un traitement anal extrême avec lui, de quatre jours, je suis rentré à la caserne avec l'anus bien détendu.
En fin de journée, mon amant, le lieutenant m'a demandé, si j'avais passé une bonne permission.
"Oh, comme d'habitude, la routine !".
Il a bien ressenti qu'il m'enculait plus aisément qu'avant, mais il n'a jamais su pourquoi !
Après son éjaculation dans ma gorge, il appelle le commandant, qui ne répond pas au téléphone.
"Bon, tant pis ! Il m'avait demandé de le prévenir de ton retour ! Tu peux rentrer ! Il a du avoir un empêchement !".
Dommage, je sais que le commandant adore éjaculer dans ma bouche ! Et j'aurai bien pris une autre dose de sperme ! J'en suis devenu addict !
Celui du lieutenant m'a rappelé toutes les éjaculations de Jean-Marc, sur moi, dans mon cul et ma gorge, bien sur !
Le Week-end suivant, j'ai retrouvé mes potes et ma copine du moment.
C'était pas le même Week end !
Le contraste était immense entre mon comportement avec elle et celui que j'avais avec les hommes.
Je ne ressentais aucun désir pour elle, pourtant si jolie !
Mais dès que je mettais ma langue dans sa bouche, c'était comme si, j'embrassais un batteur électrique ! Aucune sensualité !
Ca me bloquait direct ! Elle m'a donc servi d'alibi avec ses lettres enflammées et décorées de cœurs sur l'enveloppe !
C'était si simple entre nous, les hommes, pas de chichis, on parle sans détour, on baise.
C'est pas plus compliqué que ça !
Le souvenir des quatre jours avec Jean-Marc, m'a longtemps hanté ! Je suis devenu addict aux grosses bites !
Son travail et le fait que je vivais encore chez mes parents, sans moyen de locomotion, nous empêchait toute relation suivie, quel dommage !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Érotisme et belle écriture. Merci