La longue permission.4 - histoire érotique

Décidément, entre ma relation avec le lieutenant, ses amis, mes écarts avec Robert et l'autre routier, dont je ne me rappelle plus le prénom, puis Jean-Marc, je me sens de mieux en mieux, dans mon rôle de "femelle" occasionnelle.

Je sais bien ce que vous vous dites !
"C'est une salope ! Et il aime se faire mettre par le premier venu !".

Malgré cela, il n'y a pas que ce simple fait, on peut ressentir une certaine fierté à être l'objet du désir d'hommes plus âgés !

L'attrait que j'exerce sur eux, à été le premier à me donner confiance en moi, bien avant, celui des filles !
Ils m'ont aidé à prendre conscience que j'étais fait pour leur offrir mon corps et surtout mon cul.
Etrange comme conclusion, vous diriez !

Mais, quand je m'insérais des objets dans l'anus, étant enfant, je leur préparais le terrain, inconsciemment.
J'ai fait de mon anus, un véritable organe sexuel ! C'était logique qu'il s'accorde avec un sexe d'homme !
Nous n'avons fait que nous rencontrer !

Une fois dépassé mon dégout du corps masculin, j'ai découvert que la présence d'une queue épaisse dans mon anus, était bien plus génératrice de plaisir, qu'un objet inerte et froid !
Ce qui était inattendu, c'était l'attrait d'un pénis chaud, en érection dans ma bouche, bien plus enivrant que de lécher un petit clitoris ou un vagin ! (désolé, Mesdames !)

Enfin, à tout cela, s'ajoute le plaisir cérébral ! Celui qui vous pousse à faire des choses impensables !
Dès ma première sodomie, j'ai aimé me faire posséder par un autre homme, plus âgé que moi !
Cet homme a conditionné la suite de mes rapports homosexuels !
La différence d'âge m'excite, c'est comme ça !

Et leurs vices n'ont fait que nourrir le mien !

"Ca va bébé ? Tu penses à quoi ?".
"Oh, excuses moi, chéri ! J'étais parti dans mes pensées ! Je pensais que j'adorais ma vie, en ce moment !".
"T'as raison ! Moi aussi ! J'adore ce Week end ! Ca fait trop, si je te baise encore, en arrivant ?".

Je souris.

"Non ! Je pense que mon cul commence à bien s'habituer ! Maintenant !".
"Je t'adore ! T'es un garçon génial !".
"Merci ! Chéri !".

Je m'allonge sur sa cuisse, pendant qu'il me caresse la joue en conduisant.

"Putain, bébé, ça va pas être facile de se quitter !".
"Ne gâches pas tout ! On a encore du temps !".
"Oui, t'as raison ! Désolé ! Mais, je suis tellement bien avec toi ! Même si je sais que tu es trop jeune pour moi !".
"Chhhhtt ! Conduis ! Dépêches toi d'arriver ! J'ai envie de toi !".
"Putain ! Tu me rends dingue ! Tu vas prendre cher, bébé !".
"Tu me fais rire !".
"Pourquoi ?".
"T'es à la fois tendre et pervers ! J'aime bien ! Mais c'est drôle !".
"C'est toi qui me rend comme ça ! Je suis entre l'excitation et les sentiments ! Tu me plais ! C'est comme ça !".
"On m'a jamais parlé comme ça ! Je sais pas comment, je dois réagir ! Tout ce que je sais ! C'est que j'ai envie, que tu me prennes ! J'en ai la boule au ventre ! Ma "chatte" te réclame ! Chéri !".
"On arrive, bébé ! On arrive !".

Je devine une énorme bosse sous ma joue, il bande encore pour moi.
Je me redresse un peu pour la frotter avec la paume de ma main, à travers son pantalon.

"Oh, bébé ! Arrêtes ! Tu vas me rendre encore plus dingue !".

Je libère sa grosse queue, puis approche doucement ma langue sur son gland.
Dès qu'il est assez humifié, je recouvre son membre de ma gorge chaude.
J'obtiens l'effet escompté, il respire enfin en disant:

"Ohhhhh ! Ca va mieux ! Ca fait du bien ! Putain, ce que j'aime ta bouche ! Bébé !".
"Conduis ! Chéri ! Je te fais patienter avec ma langue et ma bouche !".

Mes caresses n'ont pas pour but de le faire éjaculer, c'est simplement un doux plaisir buccal !
Plus de dix minutes plus tard, il stoppe le poids lourd.

Je l'aide à rentrer ses affaires.
Normalement, on devrait préparer le diner, mais on est trop attiré l'un par l'autre.

Nos vêtements tombent et restent là où on les enlève, sans quitter la bouche de l'autre.
Nos mains déshabille l'autre sans calcul, je me retrouve enfin nu.
Il lui reste son slip et son pantalon, qu'il dégage avec ses pieds.

Puis, il me soulève par les fesses, je me dépose de la salive sur le bout des doigts, puis lubrifie mon anus avec.

"Bébé ! Tu crois que ça va suffire !".
"Je sais pas, je suis trop pressé ! On verra ! Prends-moi !".

On reprend notre baiser, son énorme gland force contre mon œillet qui s'ouvre un peu, grâce à la position.
On convient qu'il me faut plus de salive, je réitère l'opération !

Puis il se présente à nouveau contre mon anus, déjà plus ouvert.
Je commence à gémir, son membre entame sa lente pénétration.

Enfin, je lui demande en râlant:

"Mon chéri ! Arrêtes de me tenir ! Laisses-moi descendre sur ta bite ! Je crois que ça va aller ! Tu...Arghhhhhhhhhh ! Ouiiii ! Comme ça ! Arghhhhhhhhhhh !".
"Oh putain ! Pascal ! Mon bébé ! Tu me plais trop ! T'es si beau quand tu joui ! Je suis fou de toi ! J'aime t'entendre prendre du plaisir !".
"Chhht ! Prends-moi ! Je veux jouir sur ta queue !".

Il colle sa bouche à la mienne en me pilonnant comme une poupée fragile et légère.
Il reçoit mes râles d'orgasme étouffés entre ses lèvres.

Il cherche un endroit pour me poser et amplifier ses assauts.

Il trouve son plan de cuisine, je me retrouve coincé entre ses meubles, avec les fesses écartelées et son énorme bite qui me déchire le cul, pendant qu'il me maintient les jambes en l'air.

J'ai la tête voutée sur mon torse, en train de jouir analement et le voyant se déchainer en moi.

"Jean-Marc ! Mon chéri ! C'est trop bon ! Arghhhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhhh !...".
"C'est ça que tu voulais ? Mon bébé ?".
"Ouiiiii ! C'est ca...arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".

Il me procure plusieurs montées d'orgasmes, puis arrive enfin, celui qui vous fait planer, qui vous emporte très loin.

Il reconnait ce moment, à mes râles, qui s'allongent et mon visage épanoui et apaisé.
Il ralenti ses assauts, puis me caresse le ventre, le torse, et vient me caresser tendrement le visage.

"Ca y est mon bébé ! T'as vraiment bien joui là ! Tu es bien ?".
"Hummm ! Oui ! Tu m'as bien pris ! Même avec mon amant, j'ai jamais vécu ça ! Merci chéri !".

Il me soulève, puis me dépose bien plus loin, sur son canapé, sans quitter mon corps.
Je l'entoure de mes bras et de mes cuisses, il bouge en moi.
Il m'empêche de crier en collant sa bouche à la mienne.

Puis après une longue série d'assauts, il me tire en bout de canapé, pour me tourner et me planter son gros mandrin, encore et encore.

J'ai saisi un coussin pour étouffer mes cris de plaisir anal.
Je sens son énorme bite qui tape fortement contre le fond de mon cul, mêlant une légère douleur, au plaisir intense que je vis.

Le bout de ma queue frotte contre le canapé, et se met a durcir.
Ce qui augmente le frottement causé par ses assauts.

L'inévitable arrive alors, je macule son canapé avec mon foutre, pendant qu'il m'encule comme un bête sauvage.
Il m'entend grogner plus longuement que d'habitude.

"C'est bon, mon bébé ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiii ! Je suis en train d'éjaculer ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Tu m'encules trop bien ! Arhhhhhhhh !".
"Orhhhhhh ! C'est vrai ça ? Arghhhhhhhhhh ! Tu m'excites ! Arghhhhhhhhhhhhh ! J'te remplis le cul ! Arghhhhhhhh !".
"Oh, oui ! Remplis moi ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! C'est boooooooooooon !".

Il se couche sur mon dos, pour se laisser aller à son plaisir éjaculatoire, dans mon cul.
On est tous les deux subjugués de la puissance de notre plaisir commun.

"Putain ! C'était trop puissant encore ! Tu me fais trop jouir avec ta bite !".
"Moi, c'est pareil ! J'aime trop te prendre ! Je m'en lasse pas !".

"Tu te sens de faire à manger ? Franchement, moi j'ai plus de force !".
"Moi non plus, mais il va falloir le faire !".

Il me laisse, étalé sur le coté de son canapé, avec l'anus éclaté.

Je me redresse en apposant le creux de ma main, sous mon anus.
Un spasme anal, me fait rejeter son sperme, puis une gêne un peu douloureuse me contracte le ventre.
"Putain, tu m'as démonté ! Ouhh ! Là ! Là ! J'ai le cul en fleur !".
"Tu regrettes ?".

Je réponds en fixant son foutre, dans le creux de ma main, et en subissant des contractions anales.

"Non ! Même si c'est gênant, maintenant, c'était trop bon, pendant ! Bon, je te laisse, je dois aller aux toilettes !".
"Prends ton temps, ma p'tite chatte !".

Je le regarde, amusé par ce surnom, il me sourit:

"T'aimes pas ce p'tit nom ?".
"C'est bizarre ! Mais pourquoi pas ! Après tout, c'est moi qui me fait baiser ! Et on peut dire que tu y vas pas de main morte !".

Au retour, je n'ai qu'à mettre mes pieds sous la table !
Je dévore encore mon plat, lui aussi !

On se cale devant sa télé, en se câlinant comme un jeune couple, pendant le film.
Puis, il éteint l'appareil, et m'entraine dans son lit.

Il tente un rapprochement sexuel, mais il est rattrapé par son rythme naturel de lève tôt.
Ses yeux se ferment pendant que mes mains parcourent son corps et que son sexe est dans ma bouche.
Je recouvre son torse avec le drap et me blottit contre lui pour l'accompagner dans son sommeil.
J'ai assez joui comme ça, ça me suffit !
Demain est un autre jour, et il ne travaille pas du Week end !