LA MACHINERIE INFERNALE - Éloge de la Candeur (12)

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LA MACHINERIE INFERNALE - Éloge de la Candeur (12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA MACHINERIE INFERNALE - Éloge de la Candeur (12)
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LA MACHINERIE INFERNALE - Éloge de la Candeur (12)
Résumé des chapitres précédents : Sandy, une jeune femme, mariée à un rustre est déniaisée par Paul qui a presque le double de son âge. Entrainée chez un couple de quadras, Jacques et Corinne avec Maud, leur soubrette de dix-huit ans, elle assiste à leur débauche débridée et se retrouve à son grand étonnement à participer à cette orgie. Initiée à la sodomie par Paul, elle accepte de se faire prendre en double par les deux hommes. Sur la route du retour, elle s’exhibe sur l’autoroute et se fait prendre par un motard qui l’a quelque peu martyrisée à la grande surprise de Paul qui découvre les dispositions masochistes de sa compagne. D’ailleurs, celle-ci, s’essaie seule, dans la salle de bains de l’hôtel à se suspendre attachée pour que Paul, lui supplicie sa chatte et ses seins. C’est alors, que faisant connaissance d’un couple britannique au restaurant, ils se retrouvent dans leur chambre où une belle lady rousse est bénéficiaire de l’éducation anglaise ainsi que Sandy qui goûte aux ustensiles de discipline du lord anglais……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. Puis l’échange de couple a lieu et Diana se retrouve dans les bras de Paul tandis que Sandy hérite du Lord.



Lorsque Paul s'éveille, vers dix heures le lendemain matin, il est toujours emboîté étroitement dans l’admirable corps de Diana. Son érection matinale est certainement pour quelque chose dans son réveil soudain, aussi, il se laisse aller dans un doux va-et-vient dans la gaine vaginale si hospitalière. La Lady rousse, à peine éveillée à la bienfaisante volupté de la verge qui coulisse dans sa vulve incandescente ronronne de plaisir, surtout que Paul, après la nuit de passion furieuse qu'ils viennent de vivre, la pénètre avec une modération et une retenue étonnante. Il la tient enlacée avec une grande tendresse, baisant ses seins, son cou, son menton, son nez, ses yeux, pour ensuite effleurer ses lèvres et l'embrasser avec amour. Diana éprouve un sentiment d’amour pour son partenaire français et elle dit à son partenaire.

- Oh ! Chéri. Vous êtes adorable, vous me faites l'amour d'une façon si romantique. Je vais vous aimez Paul ! Je vais vous vouloir pour moi seule mon chéri. Je me sens si bien dans vos bras, et puis votre verge plonge d'une façon fabuleuse dans mon petit con, c'est comme cela que vous dites en français n'est ce pas ?

Pour toute réponse, Paul engage sa langue entre ses lèvres et il l'embrasse profondément, l'étreignant avec force, emmêlant ses jambes aux siennes pour que leurs corps ne fassent plus qu'un. Ils s'agitent tous les deux dans un coït continuel, la verge glissant dans la vulve bien lubrifiée et torride de la belle Anglaise. Les deux amants copulent avec béatitude jusqu'à ce que l'orgasme les saisisse simultanément et que Paul se vide à longs jets dans la chatte brûlante de la rousse Lady. Lorsqu'ils se préparent tous deux pour rejoindre les autres afin de prendre leur petit-déjeuner, Diana souffle tendrement à Paul.

- Mon chéri, il faut me promettre de venir nous voir en Écosse. Le château familial de mon époux est magnifique et nous avons des chevaux qui j’en suis certaine, vous intéresseront. Et puis, je veux que nous fassions l'amour à nouveau. Amenez votre petite amie bien sûr.

- Je vous remercie Diana. Je viendrais vous voir, cela, je vous l'assure, moi aussi, j'ai encore envie de vous. Je me ferai accompagner par mon épouse, Marie-Ange, vous verrez, elle vous plaira beaucoup, elle a votre élégance et je suis certain que vous entendrez très bien à tout point de vue.

La puissante voiture glisse à nouveau sur l'autoroute depuis une bonne heure déjà. C'est un monospace Volskwagen aux vitres fumées de couleur noire. Sandy est toute songeuse depuis leur départ du motel. Elle se décide enfin, devant le mutisme de son compagnon à entamer la conversation.

- Ton Anglaise te rend bien silencieux. J'ai voulu entrer ce matin pour te demander de venir dans notre chambre, mais j'ai vu que tu lui faisais encore l'amour, ce n'est pas possible, vous ne vous êtes pas arrêtés de la nuit ?

- Tu es vraiment trop jalouse. Il est vrai que cette nuit, nous avons copulé d'une façon merveilleuse, nous nous sommes même endormis l'un dans l'autre. C'est bien la première fois que cela m'arrive, il faut avouer que c'est très excitant au réveil de retrouver son sexe enseveli dans une vulve aussi accueillante. C'est d'ailleurs à ce moment que tu as dû nous surprendre et j'avoue avoir pris un pied extraordinaire à la baiser alors qu'elle dormait encore.

- Tu ne me l'a jamais proposé. Oh ! Eh ! Puis zut ! Tu ne me demandes même pas ce que le Lord a pu me faire cette nuit. C'est un vicieux de première, tu sais, il m'a vraiment époustouflé par son invention.

- Eh ! Bien, raconte, tu en meurs d'envie, j'espère tout de même que tu ne garderas pas de marque de la terrible dérouillée que tu as reçue et qu'il n'a pas remis ça.

- Oh ! Non, heureusement, au contraire, il m'a soigné avec un grand soin, m'appliquant des pommades qu'il avait dans son bagage et ce matin, je n'ai plus aucune trace. Seulement après, il est allé chercher un fauteuil genre cosmonaute dans le coffre de son automobile et j'avoue avoir eu la surprise de ma vie, je ne pensais pas qu'un matériel pareil puisse exister.

Alors, Sandy se lance dans une explication complètement inimaginable de ce qu'elle a subi une bonne partie de la nuit. En effet, Edward a installé son siège de «cosmonaute" » sur un fauteuil de la chambre auquel il l'a fixé avec des courroies. Puis, il a demandé à Sandy de prendre place sur ce trône inquiétant. Il a introduit dans la vulve et l'anus de la jeune femme une double verge en plastique tendre, assujetti sur le siège, puis il a bloqué sur le clitoris une ventouse reliée à un fil. Ensuite, il a rabattu des bracelets métalliques sur ses cuisses et enfin, il a emprisonné ses seins dans des coques métalliques, dont l'intérieur, confectionné de deux poches remplies d'un liquide, exerçait une pression douce sur les globes dont les bouts ressortaient par une ouverture. Sur chacun des bourgeons, il a fixé une ventouse identique à celle qui se trouvait fixée sur le clitoris. Seuls les bras et la tête de Sandy se trouvaient libres.

Sandy était bien sûr épouvantée de ce que cet homme, qui l'avait initié à la flagellation, allait bien vouloir lui faire. À son étonnement, il mit le dossier du fauteuil en appui sur le lit, puis il se mit à califourchon de chaque côté présentant sa grosse verge en érection devant les lèvres de Sandy. Elle comprit qu'il sollicitait une fellation, aussi, utilisant ses mains libres qu'elle lança derrière sa tête, elle prit le vit rigide du Lord et l'absorba dans sa bouche, tétant l'organe du mieux qu'elle le put. À ce moment, Edward prit une télécommande ressemblant à celles des jeux vidéo et appuya dessus par petites touches. Elle sentit d'abord les deux fausses verges se dilater dans son vagin et dans son postérieur, puis elles se mirent à effectuer des va-et-vient simultanés dans ses matrices lui provoquant un plaisir diffus. Les globes de ses seins furent tout à coup pressés par le mouvement circulaire des poches liquides qui opéraient un massage très agréable. Elle commençait à se laisser aller dans une béatitude bienfaisante, quand soudainement des picotements sur ses tétons et sur son clitoris lui procurèrent des spasmes inouïs. À certains moments, ce furent de véritables décharges électriques qui s'emparèrent des trois bourgeons turgescents, le courant se propageant jusque dans ses muqueuses intimes. Elle ne put s'empêcher de crier souvent sous les orgasmes incroyables que cette électrocution dosée lui octroyait.

- Je vous en supplie, arrêtez, que me faites-vous ? Je ne veux pas, Oh ! C'est incroyable, Oh ! Oh ! Oooooooooooh.......... . Non ! Nooooon ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiii...... Nooooooooooonn ! Ah ! Ah ! Ahhhhrrrrrrrrrrr.......

Et une bonne partie de la nuit, progressivement de plus en plus fort, elle reçut des décharges de plus en plus intenses, les olisbos s'agitant davantage dans ses matrices et la faisant hurler sous la jouissance, qui a chaque fois la laissait pantelante et de plus en plus épuisée, au-delà de tout ce qu'elle avait pu connaître jusqu'à présent. Pendant ce temps, Edward, qui avait un pouvoir de récupération incroyable lui déchargea cinq ou six fois, elle ne sait plus, son foutre épais et gluant qu'elle dégurgita avec peine, le trop-plein maculant son visage dans un bain de sperme inoubliable. Paul est stupéfait du récit que vient de lui faire sa compagne. Il se demande comment tout cela est possible et qui a bien pu inventer un tel engin ? Il voudrait bien savoir tout de même ce que Sandy a ressenti.

- Eh ! Bien ma chérie, jamais je n'aurai pu imaginer ce qui vient de t'arriver. As-tu vraiment joui ?

- C'est inconcevable. J'ai cru mourir tellement mon corps était tendu sous les spasmes qui m'agitaient. À partir d'un certain moment, l'orgasme a été crescendo et je ne l'ai jamais senti s'estomper, il était là, me faisant hurler à Edward d'arrêter, mais je savais que je voulais qu'il continue. Malgré tout, je ne suis pas prête pour recommencer cette expérience. C'est trop dangereux, j'avais l'impression que mon cœur allait éclater. Enfin, j'ai joui magnifiquement et je ne le regrette pas.

Paul, malgré tout excité par les propos érotiques qu'il vient d'entendre, a relevé la jupe évasée de Sandy et tout en conduisant, il lui caresse l'entrejambe, s'apercevant bien vite que ses doigts sont humectés par les sécrétions produites par les glandes sudoripares de sa compagne. La substance a irrigué le vagin qui décidément, n'a presque plus cessé de mouiller depuis les cinq jours de dépravation que connaît maintenant l’ex petite oie blanche, qu'il a su si bien initier aux joies des amours multiples. Il est vrai qu’elle était loin d'imaginer ce qui allait lui arriver, lorsqu'elle a voulu le questionner le premier soir à l'hôtel. Elle était alors, loin de se douter qu'elle allait être si doué pour les amours pervers, auxquels elle était de toute évidence prédisposée.

Paul décide qu'il est temps de s'arrêter pour déjeuner. Aussi, lorsqu'un grand relais d'autoroute apparaît sur les panneaux indicateurs, il propose à Sandy de s'y restaurer. Il fait tout d'abord le plein à la station, puis, ils se rendent en amoureux dans le restaurant gastronomique du relais. Après un repas insipide, Sandy s'absente pour les toilettes qui se trouvent de l'autre côté de l'autopont. Paul, pendant ce temps, l'attend tranquillement dans un fauteuil en lisant un journal.

Sandy, en descendant vers les toilettes pour dames, désertes en cette heure du milieu de l'après-midi croise une bande de jeunes loubards qui la dévisagent sans vergogne et plaisantent sur la « meuf » qui va pisser. Elle n'est pas très rassurée, mais c'est encore bien pire quand s'étant rajustée, elle sort de son compartiment et qu'elle se trouve nez à nez avec les cinq mauvais garçons, qui ont au plus quinze ou seize ans et qu'elle avait croisé dans les escaliers. Ceux-ci lui sautent dessus sans coup férir et entreprennent de la dénuder en arrachant ses vêtements. Elle a beau crier et se défendre, elle se fait violer par les adolescents par tous ses orifices. Elle est baisée, enculée et foutu dans sa bouche par les pines de ces voyous, qui sont plus crasseux les uns que les autres, et dont le foutre, qu'elle est obligée d'avaler, exhale un goût fétide et une odeur nauséabonde.

Deux femmes la découvrent peu après, alors qu'elle est prostrée dans les toilettes, après ce viol abominable. Paul qui la cherche, inquiet de sa disparition, la retrouve au moment où les gendarmes dont le poste se trouve à côté viennent d'intervenir. Elle donne un vague signalement de ses cinq agresseurs, tandis que les hommes de la brigade se déploient, pour essayer de les rejoindre et de les arrêter. Il se trouve que le commandant du poste de gendarmerie est une femme, l'adjudant Michèle Forestier, comme il est indiqué sur la poche de poitrine de sa chemisette bleue. Elle emmène Sandy dans son bureau, afin de lui faire quelques soins et de l'entendre. Elle demande à Paul de l'attendre dans la pièce à côté, mais par inadvertance, en claquant la porte de son bureau, celle-ci ne se referme pas complètement, restant entrebâillée.

Cet adjudant féminin est une belle femme de moins de quarante ans, à la chevelure brune et bouclée, coupée court et possédant un visage avenant et très bronzé, ses yeux bleus ressortant étonnant sur sa peau brunie. Elle a apparemment une forte poitrine qui déforme sa chemisette d'uniforme et sous sa jupe foncée qui lui arrive au genou, apparaissent des jambes d'un beau galbe bien qu'un peu fortes. Paul aperçoit son amie que la gendarme a fait étendre sur un lit de camp. Cette dernière lui a fait enlever ses vêtements déchirés et se saisissant d'une boîte de secours dans une armoire, elle en sort des flacons et divers instruments, du coton et de la gaze.

A suivre……………………

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