La Maison - 4ème partie
Récit érotique écrit par MJnavyman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La Maison - 4ème partie
Moi qui aime généralement mon petit confort, je suis surpris d'avoir aussi bien dormi sur ce lit de fortune! Le temps de reprendre mes esprits, je constate que Rico est toujours là, allongé près de moi, parfait! Par contre le sofa transformé en lit à perdu ses deux occupants. Est-il possible qu'un sommeil de plomb ait permis à Jeremiah et Charles de s'éclipser sans que je m'en aperçoive? Force était de constater qu'apparemment oui.
Je me tourne sur le côté, réajuste la couverture sur mon épaule et viens poser ma main gauche sur le torse de Rico. Dans la pièce baignée par la douce lumière du matin ensoleillé, je le regarde dormir paisiblement. Je le trouve sublime, un peu comme un diamant brut qu'il faudrait polir un peu pour en faire une vraie pierre précieuse. Je caresse avec douceur sa poitrine qui se soulève légèrement au rythme de sa respiration. Sa peau imberbe et chaude glisse sous mes doigts. Ma main descend sur ses abdominaux et vient heurter, à ma grande surprise, une bite totalement raide!
Je me dis qu'il est peut-être en train de rêver à notre soirée d'hier, mémorable en tous points. Lui dort mais moi je suis bien réveillé... mes doigts s'enroulent autour de son gland chaud qui tient tout juste dans le creu de ma main et je sens sa bite tressauter sous l'effet de ma caresse. J'entame une douce masturbation sans le réveiller. Que c'est bon d'avoir cette énorme queue dans la main et de pouvoir jouer avec, tout son corps est à ma mercie. J'entends de petits gémissements s'échapper de ses lèvres alors je me faufile rapidement sous la couverture car je veux qu'il se réveille avec sa queue dans ma bouche. Mon visage s'approche de son membre turgescent que j'avale sans retenue. Je le suce avec amour et délectation. Il se réveille en gémissant de plus en plus fort et écarte ses jambes puissantes pour me donner un accès total à son engin. Calé au chaud sous la couverture je veux lui prodiguer la meilleure pipe de sa vie. Je pense y être arrivé car, tandis que ses bras plongent sous la couverture et que ses mains se posent sur mes cheveux qu'il se met à caresser, j'étends un "continue bébé, c'est trop bon" s'échapper de sa bouche. Alors je redouble d'intensité, la douceur a laissé place à une tension sexuelle palpable, son énorme bite coulisse frénétiquement entre mes lèvres et ma langue caresse son gland à chaque passage, tantôt par le dessus, tantôt dessous au niveau du frein. Son corps tremble, la pression de ses mains sur ma tête augmente et son bassin se décolle du matelas pendant qu'il me lime la bouche. Il me rend dingue. Ses gémissements se sont transformés en cris, l'explosion est proche. Il veut me prévenir, mais je ne ralentis pas la cadence et je reçois contre mon palais ses chauds jets de foutre.
Ayant nettoyé sa teub jusqu'a la dernière goutte, je remonte à la surface et me laisse tomber à ses côtés, sur le dos. Il ne parle pas mais son large sourire en dit long... malheureusement, pas le temps de faire la grasse matinée aujourd'hui, il doit se préparer pour une mission. Quant à moi, une bonne branle sous la douche devrait me calmer et je compte bien regagner mon atelier de musique après avoir englouti un bon petit-déjeuner. Tandis que Rico quitte l'atelier, son sourire lui n'a pas quitté son visage, ça me fait vraiment plaisir de le voir aussi bien. Seul, je me lève à mon tour et, ayant clairement la flemme de rentrer à la maison, je me dirige vers la petite salle d'eau où je me glisse sous le jet brûlant de la douche... Du shampoing plein les cheveux et les yeux fermés pour éviter que la mousse n'y rentre, il me semble entendre la porte claquer. Rico est déjà de retour ?!
- Rico c'est toi ?
- Mauvaise pioche chéri, ce n'est que moi, Jerem!
- Ah...
- Continue à cacher ta joie et tu n'auras pas de croissants chauds!
- Ah si !! J'ai trop faim !
- Je me suis éclipsé pour aller chercher un p'tit déj pour tout le monde et à mon retour, pouf! Plus personne, envolés!
- Merci pour moi...
- Oh ça va, ça va.
J'étais en train de me rincer la tête lorsque qu'un courant d'air me fait frissonner. J'ouvre un œil, non je n'ai pas rêvé, la porte de la douche est ouverte et Jerem m'y rejoint, nu comme un vers évidemment. D'abord surpris mais surtout amusé je lui fais une petite place sous le jet d'eau. Il attrape le flacon de gel douche, m'en met une bonne quantité au creux des mains et me dit "allez hop! Au boulot!". Sous la contrainte (je plaisante) je commence à le savonner. D'abord les épaules, le cul, le torse... Sa peau est douce et bronzée et tandis que je continue à le frotter, faisant mousser le gel douche, il s'amuse en voyant ma bite gonflée se dresser. Récupérant un peu de mousse dans sa main, il attrape ma queue et commence à la branler. Mes mains descendent sur ses hanches puis sa queue qui n'est pas au repos elle non plus. Soudain nos visages se rapprochent et Jerem m'embrasse goulûment, nos corps se collent et ondulent dans une danse terriblement sensuelle, nos bites raides glissant l'une contre l'autre. L'eau chaude ruisselle sur nos corps enlacés, je ferme à nouveau les yeux, profitant de l'instant, c'est à ce moment là qu'il s'agenouille et se met à me sucer. Je gémis sous cette caresse buccale des plus agréable. Au bout de quelques minutes, Jerem se relève, se retourne et vient coller son dos contre mon torse. Mes bras l'enserrent, je caresse son torse d'une main et le branle de l'autre. Il récupère sur son corps un peu de mousse qu'il utilise pour se lubrifier le fion. Il pose ensuite ses deux mains et son front sur la paroi vitrée de la douche et recule son bassin vers moi. Ma queue se loge entre les deux jolis lobes de ses fesses. Terriblement excité, j'ondule à mon tour le bassin et mon gland s'introduit dans le trou de Jerem comme par magie. Je pousse en avant et la totalité de mes 20 centimètres disparaît dans son intimité, sans le moindre effort. Je commence donc à le limer, lui arrachant au passage des gémissements et même quelques cris d'excitation. Ma bite au plus profond de Jeremiah, il empoigne sa queue, la branle frénétiquement et alors qu'il commence à jouir, ses muscles se contractent et me font balancer la sauce dans ses entrailles, lui repeint la paroi de la douche de son sperme chaud. Mes jambes flagellent et j'ai le souffle court. Nos corps se séparent. C'est reparti pour un rapide lavage puis on sort se sécher avant de s'installer autour de la petite table pour déguster les viennoiseries encore tièdes. Il était temps, j'avais vraiment très faim !!
Il est presque 18h lorsque j'entends du bruit au rez-de-chaussée. Je crois que je me suis assoupi devant la télé. Plusieurs voix se mêlent. Je reconnais en premier lieu celle d'Alice. Sa voix douce est agréable et rassurante, mais elle est surtout reconnaissable, étant la seule femme de La Maison. Il me semble également distinguer celle de Rico qui doit revenir de sa mission, ainsi qu'une troisième voix, masculine elle aussi. A peine audible, je devine qu'il s'agit d'un très jeune homme, certainement un peu timide. Une fois bien réveillé et ayant retrouvé mes esprits, je me dirige vers le rez de chaussée. J'ai à peine le temps de poser un pied sur le sol carrelé du grand corridor que je me fais héler par Alice.
- Fabrice, tu tombes bien, je te présente Jean-Baptiste, votre nouveau colocataire!
- Bonsoir. Dit-il timidement.
- Bonsoir! Lui répondis-je avec un grand sourire qui se voulait le plus amical possible. Il me rendit mon sourire en baissant les yeux vers le sol.
- Voudrais-tu bien lui faire visiter l'étage et lui montrer sa chambre s'il te plaît? Me demanda Alice.
- Bien évidemment! Rico n'est pas là ?
- Ne t'inquiète pas, il n'est pas loin! Répondit Alice en m'adressant un grand sourire et un imperceptible clin d'oeil.
Un peu confus par l'attitude de la chef de La Maison qui visiblement était loin d'être dupe, je me suis engagé dans le grand escalier en direction de l'étage suivi de près par Jean-Baptiste qui ne pipait mot. Je lui ai rapidement fait le tour du propriétaire, indiquant quelle chambre était à qui, finissant par la mienne située immédiatement à-côté de la sienne. Il suivait en hochant poliment la tête, mais toujours sans un mot. Un collègue de Rico dont je ne connaissais même pas le prénom est passé déposer les sacs de Jean-Baptiste dans sa chambre puis est redescendu aussi vite qu'il était monté. Ne sachant plus comment meubler la conversation, je lui ai proposé de l'aider à s'installer, chose qu'il a poliment refusée m'indiquant qu'il n'en aurait pas pour longtemps. Je lui ai dit qu'il savait où me trouver si besoin et je suis retourné dans ma chambre.
J'ai choisi un livre dans ma bibliothèque et suis ressorti m'installer dans le petit salon face à la verrière donnant sur l'avant de la maison. J'aimais beaucoup cet endroit calme et cocoon, apaisant... J'étais arrivé à la 5ème page du bouquin lorsque je me suis rendu compte que je n'avais pas retenu le moindre mot, mes pensées vagabondaient au lieu de me concentrer sur la lecture. Je revoyais Jean-Baptiste, face à moi dans le couloir puis s'éloignant vers sa chambre dont la porte s'est refermée derrière lui. C'était un garçon très grand et svelte qui n'avait probablement même pas 20 ans. Tout était simple chez lui, son allure, sa démarche, ses vêtements, même son sourire. C'était un garçon simple, oui, simple mais craquant. Je n'arrivais pas à trouver ce qui m'attirait chez lui. A la fois tout et rien. Sa simplicité était doublée d'un charme dont il n'avait certainement pas conscience. Au-dessus de ses jambes longues et fines, j'avais aperçu un joli petit cul moulé dans son pantalon beige, surmonté d'un buste élancé et, à mon avis, dépourvu de toute graisse superflue. Un visage ovale flanqué de deux billes d'un bleu perçant, d'un nez fin et d'une bouche aux lèvres charnues terminait sa silhouette longiligne. L'ensemble était surmonté d'une touffe de cheveux légèrement en bataille lui conférant ce petit air candide. Bref, pour résumer, il était plutôt mignon.
Incapable de me concentrer sur la lecture, j'ai reposé le bouquin sur la table et suis allé frapper à la porte de la chambre de Rico, malheureusement sans succès. Rebroussant chemin et tandis que j'allais regagner mes appartements, la porte de Jean-Baptiste s'est ouverte. D'un air gêné il me dit :
- Oh pardon, tu étais occupé?
- Non, non t'inquiète.
- Tu cherchais Rico?
- En effet mais il n'est pas là...
- Ah... ok... pourquoi est-ce qu'Alice t'a fait un clin d'œil tout à l'heure en parlant de lui?
- Euh... un clin d'œil tu dis? Je ne sais pas... enfin je ne crois pas qu'elle ait fait ça, enfin je n'ai pas vu en tout cas...
- Ok! Désolé, je ne voulais pas te mettre mal à l'aise.
- Ah mais pas du tout t'inquiète !!
- D'accord, tant mieux. Je n'ai pas très faim, si tu n'as rien de prévu on peut peut-être passer la soirée ensemble?
- Avec plaisir! On peut aller dans ma chambre si tu veux, j'ai la télé etc...
- Super! Allez c'est parti.
On s'est installés dans les deux gros fauteuils club, avons allumé la télé et commencé à discuter sans se soucier du programme TV qui ne servait en fait que de musique d'ambiance. JB est vraiment très sympa comme garçon. Nous discutons de tout et de rien, j'apprends qu'il est là pour des recherches d'ordre scientifique, des mathématiques semblerai-t-il, ça me dépasse totalement mais je l'écoute poliment et avec intérêt. Il me dit être célibataire, je réponds que moi aussi, sans réaction de sa part. En même temps il semble si jeune et si pure... Le temps passe vite et il est presque minuit lorsqu'il décide d'aller se coucher. Debouts devant la porte, prêt à sortir il me tend la main pour me souhaiter bonne nuit. Je l'attrape et la serre sans dire un mot. On se regarde, un peu niaisement je dois avouer. Il détourne encore une fois le regard vers le sol. Ma main est toujours dans la sienne : douce, chaude et très grande. Personne ne parle et alors qu'il relève la tête vers moi, quelqu'un frappe à ma porte. Surpris il bondit et retire vivement sa main. Je lui souhaite une bonne nuit et ouvre la porte, c'est Rico...
- Ahhhh salut les gars, désolé je voulais pas vous déranger, je ne savais pas que...
- Je partais justement! Bonne nuit.
- Ah d'accord...
- Bonne nuit à tous les deux.
- Euh merci, à toi aussi Jean-Baptiste.
- Salut Rico, entre.
- Ok... si je ne dérange pas!
- Arrête, t'es con.
A peine entré dans ma chambre, j'ai tout juste le temps de refermer la porte derrière lui qu'il m'attrape par les épaules et me plaque contre le mur de la salle de bain. Son visage fond sur le mien et sa langue force l'entrée de ma bouche. Surpris mais tellement heureux je lui rend ce baiser fougueux pendant de longues minutes. Mes mains explorent alors son corps. Il a fait tomber la veste mais a toujours son pantalon noir de costume et une chemise blanche impeccable. Le tissus tendu ne peut cacher son érection de plus en plus forte. J'ouvre un à un les boutons de sa chemise, glisse mes mains sur son torse merveilleusement sculpté que je caresse avec passion. La chemise tombe à terre au même moment où mes mains glissent vers son entrejambe. En deux petits mouvements, bouton et braguette sont ouverts et je libère la bête. Cette queue que j'aime tant pointe fièrement vers le ciel, un goutte de liquide séminal s'échappe de son gros gland. Toujours adossé au mur je me laisse glisser à genoux sur le sol et enfourne sa grosse queue dans ma bouche. Je le suce à fond et lui arrache des grognements sourds et rauques dont j'ignore le niveau sonore, mais je m'en fous!
Au bout d'un moment, il agrippe mon tee-shirt, je me relève en l'enlevant, même chose avec mon pantalon de jogging et mon boxer. Rico m'attrape par le bras et me guide vers le fauteuil sur lequel était assis Jean-Baptiste quelques minutes plus tôt. Il se laisse tomber dedans quant à moi je lui saute littéralement dessus. A quatre pattes face à lui, assis sur ses cuisses puissantes, je perd mon regard dans le sien et recommence à l'embrasser avec fougue. Ses mains descendent de ma nuque sur mon dos puis mes fesses. Il les malaxe et introduit un puis deux doigts dans mon cul. Il me rend dingue. Après avoir attrapé un tube de gel il travaille mon cul quelques minutes puis me soulève de ses bras puissant et me repose directement sur son gros chibre qui entre en moi non sans m'arracher un cri de surprise mêlé à un peu de douleur. Mais l'excitation reprend immédiatement le dessus et je me mets à rebondir sur ses genoux, mes bras autour de son cou. Il me baise sans retenue et moi j'encaisse en couinant. Au bout d'un bon quart d'heure de sexe sauvage nous ayant entrainé aux quatre coins de la chambre, je suis allongé sur le sol, Rico est debout au-dessus de moi, les pieds de chaque côté de mes hanches et c'est dans cette position qu'il jouit et balance toute sa semence sur moi. Il m'arrose à gros jets de sperme sur le torse, le visage et même dans les cheveux. J'en ai partout et je crache au même moment, rajoutant encore plus de jus sur mon corps.
Je me relève et file directement sous la douche. Pendant ce temps Rico s'essuie rapidement, enfile uniquement son boxer et m'attend. Une fois lavé et rincé je le rejoins dans la chambre où il finit de rassembler ses vêtements. Je lui demande s'il reste dormir mais il préfère regagner sa propre chambre, se levant très tôt le lendemain. Enfin, tout à l'heure plutôt... il dépose un rapide bisou sur mes lèvres et s'enfuit. Mais tandis qu'il ouvre ma porte de chambre à la volée, je crois voir celle de JB, juste en face, se fermer rapidement !! Non, ce n'est pas possible, il n'était quand même pas en train de nous espionner, ce n'est pas son genre !!! J'en saurai plus demain, ou pas... pour l'heure, le sommeil me gagne et je file me coucher, nu comme un vers et épuisé après toutes ces émotions.
A suivre...
N'hésitez pas à me contacter :mjnavyman@gmail.com
Je me tourne sur le côté, réajuste la couverture sur mon épaule et viens poser ma main gauche sur le torse de Rico. Dans la pièce baignée par la douce lumière du matin ensoleillé, je le regarde dormir paisiblement. Je le trouve sublime, un peu comme un diamant brut qu'il faudrait polir un peu pour en faire une vraie pierre précieuse. Je caresse avec douceur sa poitrine qui se soulève légèrement au rythme de sa respiration. Sa peau imberbe et chaude glisse sous mes doigts. Ma main descend sur ses abdominaux et vient heurter, à ma grande surprise, une bite totalement raide!
Je me dis qu'il est peut-être en train de rêver à notre soirée d'hier, mémorable en tous points. Lui dort mais moi je suis bien réveillé... mes doigts s'enroulent autour de son gland chaud qui tient tout juste dans le creu de ma main et je sens sa bite tressauter sous l'effet de ma caresse. J'entame une douce masturbation sans le réveiller. Que c'est bon d'avoir cette énorme queue dans la main et de pouvoir jouer avec, tout son corps est à ma mercie. J'entends de petits gémissements s'échapper de ses lèvres alors je me faufile rapidement sous la couverture car je veux qu'il se réveille avec sa queue dans ma bouche. Mon visage s'approche de son membre turgescent que j'avale sans retenue. Je le suce avec amour et délectation. Il se réveille en gémissant de plus en plus fort et écarte ses jambes puissantes pour me donner un accès total à son engin. Calé au chaud sous la couverture je veux lui prodiguer la meilleure pipe de sa vie. Je pense y être arrivé car, tandis que ses bras plongent sous la couverture et que ses mains se posent sur mes cheveux qu'il se met à caresser, j'étends un "continue bébé, c'est trop bon" s'échapper de sa bouche. Alors je redouble d'intensité, la douceur a laissé place à une tension sexuelle palpable, son énorme bite coulisse frénétiquement entre mes lèvres et ma langue caresse son gland à chaque passage, tantôt par le dessus, tantôt dessous au niveau du frein. Son corps tremble, la pression de ses mains sur ma tête augmente et son bassin se décolle du matelas pendant qu'il me lime la bouche. Il me rend dingue. Ses gémissements se sont transformés en cris, l'explosion est proche. Il veut me prévenir, mais je ne ralentis pas la cadence et je reçois contre mon palais ses chauds jets de foutre.
Ayant nettoyé sa teub jusqu'a la dernière goutte, je remonte à la surface et me laisse tomber à ses côtés, sur le dos. Il ne parle pas mais son large sourire en dit long... malheureusement, pas le temps de faire la grasse matinée aujourd'hui, il doit se préparer pour une mission. Quant à moi, une bonne branle sous la douche devrait me calmer et je compte bien regagner mon atelier de musique après avoir englouti un bon petit-déjeuner. Tandis que Rico quitte l'atelier, son sourire lui n'a pas quitté son visage, ça me fait vraiment plaisir de le voir aussi bien. Seul, je me lève à mon tour et, ayant clairement la flemme de rentrer à la maison, je me dirige vers la petite salle d'eau où je me glisse sous le jet brûlant de la douche... Du shampoing plein les cheveux et les yeux fermés pour éviter que la mousse n'y rentre, il me semble entendre la porte claquer. Rico est déjà de retour ?!
- Rico c'est toi ?
- Mauvaise pioche chéri, ce n'est que moi, Jerem!
- Ah...
- Continue à cacher ta joie et tu n'auras pas de croissants chauds!
- Ah si !! J'ai trop faim !
- Je me suis éclipsé pour aller chercher un p'tit déj pour tout le monde et à mon retour, pouf! Plus personne, envolés!
- Merci pour moi...
- Oh ça va, ça va.
J'étais en train de me rincer la tête lorsque qu'un courant d'air me fait frissonner. J'ouvre un œil, non je n'ai pas rêvé, la porte de la douche est ouverte et Jerem m'y rejoint, nu comme un vers évidemment. D'abord surpris mais surtout amusé je lui fais une petite place sous le jet d'eau. Il attrape le flacon de gel douche, m'en met une bonne quantité au creux des mains et me dit "allez hop! Au boulot!". Sous la contrainte (je plaisante) je commence à le savonner. D'abord les épaules, le cul, le torse... Sa peau est douce et bronzée et tandis que je continue à le frotter, faisant mousser le gel douche, il s'amuse en voyant ma bite gonflée se dresser. Récupérant un peu de mousse dans sa main, il attrape ma queue et commence à la branler. Mes mains descendent sur ses hanches puis sa queue qui n'est pas au repos elle non plus. Soudain nos visages se rapprochent et Jerem m'embrasse goulûment, nos corps se collent et ondulent dans une danse terriblement sensuelle, nos bites raides glissant l'une contre l'autre. L'eau chaude ruisselle sur nos corps enlacés, je ferme à nouveau les yeux, profitant de l'instant, c'est à ce moment là qu'il s'agenouille et se met à me sucer. Je gémis sous cette caresse buccale des plus agréable. Au bout de quelques minutes, Jerem se relève, se retourne et vient coller son dos contre mon torse. Mes bras l'enserrent, je caresse son torse d'une main et le branle de l'autre. Il récupère sur son corps un peu de mousse qu'il utilise pour se lubrifier le fion. Il pose ensuite ses deux mains et son front sur la paroi vitrée de la douche et recule son bassin vers moi. Ma queue se loge entre les deux jolis lobes de ses fesses. Terriblement excité, j'ondule à mon tour le bassin et mon gland s'introduit dans le trou de Jerem comme par magie. Je pousse en avant et la totalité de mes 20 centimètres disparaît dans son intimité, sans le moindre effort. Je commence donc à le limer, lui arrachant au passage des gémissements et même quelques cris d'excitation. Ma bite au plus profond de Jeremiah, il empoigne sa queue, la branle frénétiquement et alors qu'il commence à jouir, ses muscles se contractent et me font balancer la sauce dans ses entrailles, lui repeint la paroi de la douche de son sperme chaud. Mes jambes flagellent et j'ai le souffle court. Nos corps se séparent. C'est reparti pour un rapide lavage puis on sort se sécher avant de s'installer autour de la petite table pour déguster les viennoiseries encore tièdes. Il était temps, j'avais vraiment très faim !!
Il est presque 18h lorsque j'entends du bruit au rez-de-chaussée. Je crois que je me suis assoupi devant la télé. Plusieurs voix se mêlent. Je reconnais en premier lieu celle d'Alice. Sa voix douce est agréable et rassurante, mais elle est surtout reconnaissable, étant la seule femme de La Maison. Il me semble également distinguer celle de Rico qui doit revenir de sa mission, ainsi qu'une troisième voix, masculine elle aussi. A peine audible, je devine qu'il s'agit d'un très jeune homme, certainement un peu timide. Une fois bien réveillé et ayant retrouvé mes esprits, je me dirige vers le rez de chaussée. J'ai à peine le temps de poser un pied sur le sol carrelé du grand corridor que je me fais héler par Alice.
- Fabrice, tu tombes bien, je te présente Jean-Baptiste, votre nouveau colocataire!
- Bonsoir. Dit-il timidement.
- Bonsoir! Lui répondis-je avec un grand sourire qui se voulait le plus amical possible. Il me rendit mon sourire en baissant les yeux vers le sol.
- Voudrais-tu bien lui faire visiter l'étage et lui montrer sa chambre s'il te plaît? Me demanda Alice.
- Bien évidemment! Rico n'est pas là ?
- Ne t'inquiète pas, il n'est pas loin! Répondit Alice en m'adressant un grand sourire et un imperceptible clin d'oeil.
Un peu confus par l'attitude de la chef de La Maison qui visiblement était loin d'être dupe, je me suis engagé dans le grand escalier en direction de l'étage suivi de près par Jean-Baptiste qui ne pipait mot. Je lui ai rapidement fait le tour du propriétaire, indiquant quelle chambre était à qui, finissant par la mienne située immédiatement à-côté de la sienne. Il suivait en hochant poliment la tête, mais toujours sans un mot. Un collègue de Rico dont je ne connaissais même pas le prénom est passé déposer les sacs de Jean-Baptiste dans sa chambre puis est redescendu aussi vite qu'il était monté. Ne sachant plus comment meubler la conversation, je lui ai proposé de l'aider à s'installer, chose qu'il a poliment refusée m'indiquant qu'il n'en aurait pas pour longtemps. Je lui ai dit qu'il savait où me trouver si besoin et je suis retourné dans ma chambre.
J'ai choisi un livre dans ma bibliothèque et suis ressorti m'installer dans le petit salon face à la verrière donnant sur l'avant de la maison. J'aimais beaucoup cet endroit calme et cocoon, apaisant... J'étais arrivé à la 5ème page du bouquin lorsque je me suis rendu compte que je n'avais pas retenu le moindre mot, mes pensées vagabondaient au lieu de me concentrer sur la lecture. Je revoyais Jean-Baptiste, face à moi dans le couloir puis s'éloignant vers sa chambre dont la porte s'est refermée derrière lui. C'était un garçon très grand et svelte qui n'avait probablement même pas 20 ans. Tout était simple chez lui, son allure, sa démarche, ses vêtements, même son sourire. C'était un garçon simple, oui, simple mais craquant. Je n'arrivais pas à trouver ce qui m'attirait chez lui. A la fois tout et rien. Sa simplicité était doublée d'un charme dont il n'avait certainement pas conscience. Au-dessus de ses jambes longues et fines, j'avais aperçu un joli petit cul moulé dans son pantalon beige, surmonté d'un buste élancé et, à mon avis, dépourvu de toute graisse superflue. Un visage ovale flanqué de deux billes d'un bleu perçant, d'un nez fin et d'une bouche aux lèvres charnues terminait sa silhouette longiligne. L'ensemble était surmonté d'une touffe de cheveux légèrement en bataille lui conférant ce petit air candide. Bref, pour résumer, il était plutôt mignon.
Incapable de me concentrer sur la lecture, j'ai reposé le bouquin sur la table et suis allé frapper à la porte de la chambre de Rico, malheureusement sans succès. Rebroussant chemin et tandis que j'allais regagner mes appartements, la porte de Jean-Baptiste s'est ouverte. D'un air gêné il me dit :
- Oh pardon, tu étais occupé?
- Non, non t'inquiète.
- Tu cherchais Rico?
- En effet mais il n'est pas là...
- Ah... ok... pourquoi est-ce qu'Alice t'a fait un clin d'œil tout à l'heure en parlant de lui?
- Euh... un clin d'œil tu dis? Je ne sais pas... enfin je ne crois pas qu'elle ait fait ça, enfin je n'ai pas vu en tout cas...
- Ok! Désolé, je ne voulais pas te mettre mal à l'aise.
- Ah mais pas du tout t'inquiète !!
- D'accord, tant mieux. Je n'ai pas très faim, si tu n'as rien de prévu on peut peut-être passer la soirée ensemble?
- Avec plaisir! On peut aller dans ma chambre si tu veux, j'ai la télé etc...
- Super! Allez c'est parti.
On s'est installés dans les deux gros fauteuils club, avons allumé la télé et commencé à discuter sans se soucier du programme TV qui ne servait en fait que de musique d'ambiance. JB est vraiment très sympa comme garçon. Nous discutons de tout et de rien, j'apprends qu'il est là pour des recherches d'ordre scientifique, des mathématiques semblerai-t-il, ça me dépasse totalement mais je l'écoute poliment et avec intérêt. Il me dit être célibataire, je réponds que moi aussi, sans réaction de sa part. En même temps il semble si jeune et si pure... Le temps passe vite et il est presque minuit lorsqu'il décide d'aller se coucher. Debouts devant la porte, prêt à sortir il me tend la main pour me souhaiter bonne nuit. Je l'attrape et la serre sans dire un mot. On se regarde, un peu niaisement je dois avouer. Il détourne encore une fois le regard vers le sol. Ma main est toujours dans la sienne : douce, chaude et très grande. Personne ne parle et alors qu'il relève la tête vers moi, quelqu'un frappe à ma porte. Surpris il bondit et retire vivement sa main. Je lui souhaite une bonne nuit et ouvre la porte, c'est Rico...
- Ahhhh salut les gars, désolé je voulais pas vous déranger, je ne savais pas que...
- Je partais justement! Bonne nuit.
- Ah d'accord...
- Bonne nuit à tous les deux.
- Euh merci, à toi aussi Jean-Baptiste.
- Salut Rico, entre.
- Ok... si je ne dérange pas!
- Arrête, t'es con.
A peine entré dans ma chambre, j'ai tout juste le temps de refermer la porte derrière lui qu'il m'attrape par les épaules et me plaque contre le mur de la salle de bain. Son visage fond sur le mien et sa langue force l'entrée de ma bouche. Surpris mais tellement heureux je lui rend ce baiser fougueux pendant de longues minutes. Mes mains explorent alors son corps. Il a fait tomber la veste mais a toujours son pantalon noir de costume et une chemise blanche impeccable. Le tissus tendu ne peut cacher son érection de plus en plus forte. J'ouvre un à un les boutons de sa chemise, glisse mes mains sur son torse merveilleusement sculpté que je caresse avec passion. La chemise tombe à terre au même moment où mes mains glissent vers son entrejambe. En deux petits mouvements, bouton et braguette sont ouverts et je libère la bête. Cette queue que j'aime tant pointe fièrement vers le ciel, un goutte de liquide séminal s'échappe de son gros gland. Toujours adossé au mur je me laisse glisser à genoux sur le sol et enfourne sa grosse queue dans ma bouche. Je le suce à fond et lui arrache des grognements sourds et rauques dont j'ignore le niveau sonore, mais je m'en fous!
Au bout d'un moment, il agrippe mon tee-shirt, je me relève en l'enlevant, même chose avec mon pantalon de jogging et mon boxer. Rico m'attrape par le bras et me guide vers le fauteuil sur lequel était assis Jean-Baptiste quelques minutes plus tôt. Il se laisse tomber dedans quant à moi je lui saute littéralement dessus. A quatre pattes face à lui, assis sur ses cuisses puissantes, je perd mon regard dans le sien et recommence à l'embrasser avec fougue. Ses mains descendent de ma nuque sur mon dos puis mes fesses. Il les malaxe et introduit un puis deux doigts dans mon cul. Il me rend dingue. Après avoir attrapé un tube de gel il travaille mon cul quelques minutes puis me soulève de ses bras puissant et me repose directement sur son gros chibre qui entre en moi non sans m'arracher un cri de surprise mêlé à un peu de douleur. Mais l'excitation reprend immédiatement le dessus et je me mets à rebondir sur ses genoux, mes bras autour de son cou. Il me baise sans retenue et moi j'encaisse en couinant. Au bout d'un bon quart d'heure de sexe sauvage nous ayant entrainé aux quatre coins de la chambre, je suis allongé sur le sol, Rico est debout au-dessus de moi, les pieds de chaque côté de mes hanches et c'est dans cette position qu'il jouit et balance toute sa semence sur moi. Il m'arrose à gros jets de sperme sur le torse, le visage et même dans les cheveux. J'en ai partout et je crache au même moment, rajoutant encore plus de jus sur mon corps.
Je me relève et file directement sous la douche. Pendant ce temps Rico s'essuie rapidement, enfile uniquement son boxer et m'attend. Une fois lavé et rincé je le rejoins dans la chambre où il finit de rassembler ses vêtements. Je lui demande s'il reste dormir mais il préfère regagner sa propre chambre, se levant très tôt le lendemain. Enfin, tout à l'heure plutôt... il dépose un rapide bisou sur mes lèvres et s'enfuit. Mais tandis qu'il ouvre ma porte de chambre à la volée, je crois voir celle de JB, juste en face, se fermer rapidement !! Non, ce n'est pas possible, il n'était quand même pas en train de nous espionner, ce n'est pas son genre !!! J'en saurai plus demain, ou pas... pour l'heure, le sommeil me gagne et je file me coucher, nu comme un vers et épuisé après toutes ces émotions.
A suivre...
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