La maison abandonnée

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : La maison abandonnée Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La maison abandonnée
Cela faisait plusieurs week-end que j'allais aider Paul, mon ami et amant, à ranger la maison de sa grand-mère décédée, et qu'il avait eu en héritage.
C'est une belle petite maison dans un village de Sologne, un peu en retrait mais encore bien entretenue et nous y avions mis tout notre courage et notre énergie pour trier ce qu'il y avait dans la maison.

Ce troisième week-end en a vu la fin. Ce samedi soir on a pu souffler et s'installer comme chez lui maintenant. Il semblait heureux que sa grand-mère ait pensé à lui pour cette maison dans laquelle il avait plein de souvenirs.
C'était un plaisir de le voir pensif à certains moments quand il redécouvrait certaines choses.

On bossait, mais on baisait aussi! car c'est un chaud lapin mon ami Paul.
-dis Dimitri, je ne t'ai jamais fait visiter le village oh rasure toi ça va être vite fait y'a pas grand chose à voir.

Nous sommes donc partis samedi en fin de soirée faire le tour du village, où il m'expliquait toutes les personnes qu'il connaissait et les bêtises qu'il avait fait quand il était gamin.
Il m'a entrainé dans un chemin, en me prenant par la main. J'ai d'abord cru qu'il avait envie de baiser dans la nature, sous les arbres tellement il me serrait la main et qu'il avait son air vicieux et son petit sourire.
-je vais te montrer un endroit où je ne suis jamais allé.

J'avoue que j'étais un peu interloqué quand on est arrivé devant une vieille maison abandonnée, sûrement depuis longtemps.
-quand je venais en vacances chez ma grand-mère et que je jouais avec les autres gamins on avait interdiction formelle de venir dans cette maison abandonnée. On nous disait qu'elle mangeait les enfants, que s'ils rentraient ils ne pouvaient ressortir et, malgré les questions que l'on pouvait poser on n'a jamais eu de réponses et on n'est jamais venu braver ce danger. Alors si tu veux bien, maintenant qu'on est plus des gamins j'aimerais bien voir de plus près.
-ah et il faut que je sois là, t'as encore la trouille mon petit chéri que la maison t'avale tout cru et qu'il ne reste plus qu'un petit tas d'os de toi... ça va pas être terrible pour baiser!
On rigole, mais en fait je le sens quand même un peu anxieux.

On s'approche de la maison abandonnée. Les volets en bois, fermés, tiennent par miracle. Le lierre a envahi la façade mais la maison en brique rouge, typique de la Sologne, semble encore tenir debout. On s'avance jusqu'à la porte et je fais la réflexion qu'il y a comme un chemin entre la végétation comme si quelqu'un l'utilisait souvent.

La porte n'est plus fermée à clé, on joue les aventuriers. On ouvre sur un couloir rempli de gravats, on avance en refermant la porte derrière nous.
Dans la pénombre, on distingue un couloir. Trois portes donnent, à droite la cuisine, à gauche une chambre et au fond une grande salle avec une cheminée qui n'a pas servi depuis longtemps.

On commence par la cuisine, Paul me tient la main, puis la grande salle. La cheminée est magnifique, énorme, on tient debout dans l'âtre en pliant la tête. On rigole. On fait le tour de la pièce à la recherche de je ne sais quoi. Paul me tient toujours la main et me fait voir les capotes usagées qui jonchent le sol... on rigole.
On arrive dans la chambre, un vieux lit écroulé dans le coin. Paul est près de moi, me regarde de son air coquin.
-t'es fou! si on s'allonge là dessus il s'écroule le pauvre.

On rigole, mais Paul vient se réfugier dans mes bras, se serrant contre moi, sa tête dans mon cou me faisant des bisous.
-tu sais que je t'aime toi! t'es mon préféré!
-content de le savoir espèce de solognot! faut venir dans une maison qui va s'écrouler pour t'entendre me dire ça...!
-ben... je l'dis quand j'y pense Dimitri!
J'ai pris ses lèvres avec les miennes, nos mains parcouraient nos corps de caresses. On était bien dans cette vieille maison où le jour commençait à décliner de plus en plus. On était plus que deux ombres, deux silhouettes collées qui s'embrassaient en soupirant.
On s'est dit tout plein de choses gentilles comme si cette vieille masure nous avait envoutée.

Ses mains passées sous mon tee-shirt me griffaient gentiment le dos.
-j'ai envie de toi Dimitri me souffle Paul à l'oreille.
-quoi ! ici ? on va pas s'allonger par terre quand même!
-t'es bête! laisse toi faire.

Et voilà mon Paul qui tombe à genoux devant moi, au milieu de cette chambre moisie, qui sent le renfermé, défait ma braguette et sort ma queue dont il est friand ce voyou. C'est vrai qu'il a un sacré coup de langue!
Il avait à peine fini de sortir ma queue que je sentais ses lèvres la décalotter et sa langue envelopper mon gland. Je n'ai jamais pu résister à sa bouche, sa langue. Sa main sort mes couilles et les serre, les caresse pendant que ses lèvres descendent sur ma hampe dressée. La bête est grosse et longue mais elle n'a jamais fait peur à Paul qui l'avale sans problème.

Ses mains tenaient mes fesses et il allait commencer à me piper comme il aime tant le faire qu'un bruit fracassant s'est fait entendre nous figeant tous les deux. Lui, la bouche ouverte avec ma queue qui a débandé vitesse grand V, on s'est regardé dans la pénombre. J'ai eu le temps de lui faire "chut" avec mon doigt sur ma bouche.

-entre là dedans salle pute! t'as encore voulu jouer au plus malin Karim! mais on t'avait prévenu que la prochaine fois serait de trop, alors ça va être ta fête, fait une voix manifestement d'arabe, va au fond dans la grande salle! tu la connais bien non!

On entend une deuxième voix rire puis des pas dans le couloir qui passent devant notre porte entrouverte. On est figé. Paul s'est redressé et se tient contre moi, je le serre pour aussi me rassurer.
C'est quoi ce bordel!

On a vu passer trois ombres dans le couloir et, quand ces ombres sont arrivées dans la grande pièce des bruits de claques.
-salope, sale pute, tu croyais nous niquer eh bien on va se taper ton petit cul de pédé Karim! fous toi à poils et montre ton cul!
-non! dit la voix forte d'un mec qui doit être Karim.

Aussitôt on entend une claque tomber... un cri puis une autre, encore une autre. Les cris de Karim, les pleurs. On entend comme un corps qui chute à terre.
-à poils j'ai dit salope !
Un silence, manifestement le dit Karim n'obéit pas et d'un seul coup on entend le bruit de déchirure des vêtements, les cris de Karim qui doit se débattre mais les coups pleuvent, ses cris se font de plus en plus forts.
-putain on dirait un clodo maintenant! Tu l'as bien mérité Karim! t'écoute jamais quand on te dit quelque chose.
On entend un dernier déchirement.
-oh putain mais c'est qu'il a un beau cul Karim! alors d'après le fils du boulanger t'aime ça te prendre des bites ? alors avant de te remplir tu vas sucer nos sgeg ma belle pute, tu vas voir c'est meilleur que la queue du boulanger.
-non crie Karim qui se prend aussitôt des coups.

Avec Paul on se regarde. Les sourires ne sont pas sur les visages... que faire ? intervenir et c'est la bagarre assurée avec des mecs arabes qu'on connait pas. Paul me fait signe de ne pas bouger mais on s'approche de la porte entrebâillée pour apercevoir dans la pénombre un mec à genoux, à poils entouré de deux autres mecs qui ont sorti leur queue et la présente au prénommé Karim.

Dans un premier temps il les refuse mais il se prend un coup de poing et semble abandonner la partie.

Les deux sgeg s'enfoncent dans sa bouche, l'étouffant. Il les suce chacun leur tour, ils se font bouffer les couilles. L'un des arabes descend son pantalon et se fait bouffer le cul, l'autre appuyant sur la tête de Karim et les pipes recommencent jusqu'au moment où Karim est relevé un zob dans la bouche et le deuxième qui chercher l'entrée de son cul. Ah ils ont rien préparé les rebeux, le Karim a été emmanché d'un seul coup en hurlant à faire presque trembler les murs de la vieille maison. Le cri n'était pas terminé qu'il était baisé avec force, tenu aux hanches et le mec poussait de petits cris à chaque fois qu'il s'enfonçait dans le cul de Karim qui prenait le zob de l'autre au fond de la gorge.

Les mecs ont joui chacun dans leur trou en le traitant de salope, de pute qu'il ferait bien d'aller tapiner qu'il ramasserait du fric avec la bouche et le cul qu'il avait.
Karim s'était écroulé à terre.
Les deux mecs parlaient en arabes entre eux et on a vu les sgeg reprendre de la force. On ne les voyait pas bien dans la pénombre mais ça devait être de sacrés morceaux.

Ils ont changé de trous et sans ménagement la baise a repris faisant encore hurler, crier, pleurer ce pauvre Karim qui décidemment en prenait plein le cul et la bouche et les deux autres, au bout d'un long moment on joui encore une fois en criant leur plaisir avant de se rajuster et de menacer Karim.
-c'est le dernier avertissement la pute! la prochaine fois on vient avec toute la bande. Tu serviras de trou de chiotte à tout le monde et ensuite je te mets à l'abattage pour les vieilles salopes qui veulent se taper du rebeu... t'as compris sale pute ?
-oui Kamel j'ai compris, mais vous allez me laisser là ?
En guise de réponse, le prénommé Kamel lui met un coup de poing au menton et l'on voit Karim s'écrouler... K.O.!!

Paul me serre la main à m'en faire mal. On voit les deux arabes passer devant nous transformés en statue de marbre. On les entend s'éloigner. Les voix s'atténuent mais on attend quand même un bon moment avant d'oser bouger et d'aller voir le Karim qui ne bouge toujours pas.

On s'avance sans bruit pour apercevoir un beau petit rebeu, la bite à l'air. Une belle queue qui ne bande pas, la bouche ouverte, les yeux clos. On s'approche, on se penche sur lui. Je lui touche la joue gentiment. Sa peau est chaude, douce. Je lui tapote la joue doucement... il grogne, râle. J'insiste, il ouvre les yeux, nous regarde et, d'un seul coup recule les yeux apeurés.
-non non n'aie pas peur on est là pour t'aider Karim dis je le plus gentiment possible.

Il se rend compte qu'il est nu, cache son sexe avec ses mains. Je lui tends son tee-shirt déchiré.
-mais comment tu sais mon nom ?
-moi c'est Dimitri et voici Paul mon ami, on était dans la pièce d'à côté quand t'es arrivé avec tes amis.
-ouais! des amis comme ça je m'en passe donc vous avez tout vu.
-plutôt entendu dit Paul.
-mais vous voulez quoi ? me faire la même chose ?
-non non on veut t'aider, tu vas pas rester là comme ça, tous les vêtements sont déchirés. t'habites où ?
-par là dit il en montrant une direction.
-tu veux qu'on te ramène chez toi ?
-non.
-tu veux qu'on t'amène chez nous pour te reposer dit Paul, j'ai une chambre d'amis qui t'attend si tu veux et je pourrais te prêter des vêtements aussi.
-et je dois faire quoi en échange ? dit il d'un ton ironique.
-ben dire merci dis je, ça serait déjà pas mal, mais si tu veux pas ben tu te démerdes et tu rentres chez toi à poil Karim.

Il me regarde surpris.
-t'as raison excuse moi mais je sais plus trop où j'en suis.
-raison de plus pour te reposer Karim dit Paul allez lève toi! on t'emmène.
C'était dit d'un ton gentil mais ferme.
Karim a essayé de se lever mais manifestement il avait mal partout. On l'a aidé à se rhabiller avec ses vêtements déchirés. Son tee-shirt ne cachait plus grand chose et son survêt laissait passer sa queue, son boxer était inutilisable.
-bah ça va aller pour aller chez moi dit Paul c'est pas loin et il fait nuit et dans le patelin à cette heure y'a plus grand monde qui traine.

On n'a pas mis longtemps pour revenir chez Paul soutenant Karim entre nous. On n'a rencontré personne mais, quand on est entré, à la lumière, c'est pour voir, certes un beau petit rebeu mais bien amoché. Un bleu sur le menton, la trace des gifles sur ses joues mais il souriait et il avait un beau sourire.
Paul lui a enlevé les restes du tee-shirt pour voir des traces de coups partout sur le torse et le dos.
-bon mec, tu vas allé prendre une bonne douche chaude et ensuite avec Dimitri on te met de la pommade sur tes bleus pour pas que ça s'aggrave.

Il ne discutait plus le petit rebeu. On l'a laissé tout seul dans la salle de bains et on a entendu l'eau couler longuement.
On s'était mis sur le canapé, Paul dans mes bras.
-pfft et dire que ce soir on n'a même pas baisé! mais t'as vu, il est pas mal le petit rebeu quand même.
-oui j'ai vu mais t'as vu aussi dans quel état qu'il est. Il a besoin de se reposer ce garçon et avec toi ça sera pas du repos.

On s'embrassait comme des fous, quand on a entendu quelqu'un se râcler la gorge, c'était notre rebeu, en boxer, tout beau, tout neuf qui nous regardait tout sourire.
-alors vous attendez même pas que je vous remercie les mecs! faites moi de la place.
Il vient s'installer entre nous deux, nous prenant par le cou se tourne vers Paul.
-si j'ai bien compris ce que tu as dit, c'est ta maison ? t'as un grand lit ?
-oui, ça va.
-on peut dormir tous les trois alors?
-oui dit Paul en riant.
-je suis vraiment crevé là maintenant. Je veux bien vous sucer et que vous me fassiez juter car avec tout ce que j'ai pris ce soir, faut que je vidange et on dort et demain je m'occupe de vous comme vous le méritez dès le réveil!

On lui a fait un bisou chacun sur la joue et on s'est retrouvé à genoux devant lui pour lui enlever le boxer et admirer ce bon sgeg qui bandait bien dur. On se l'est partagé avec Paul le suçant chacun notre tour jusqu'à ce qu'il rende l'âme et gicle entre nous deux. On a léché le bon jus du jeune rebeu pour l'embrasser tous les deux ensemble.
-c'est où la chambre demande Karim.

On s'est retrouvé nus, allongés. Karim en branlait un et suçait l'autre quand il sentait qu'on allait jouir il changeait. Il a fait durer la venue de notre plaisir avant de le recevoir dans sa bouche chaude et tout avaler.
Gourmand ce petit rebeu!
-on dort ? demain je vous offre mon cul!
On avait à peine reçu un bisou qu'il dormait entre nous deux.

Je dormais bien, je me suis réveillé lentement, je sentais ma queue raide bien chaude et humide… J’ouvre les yeux et je sens la tête de Karim appuyée contre mon ventre. Il tient ma queue entre ses lèvres et tète doucement, lentement mon gland en passant de temps en temps sa langue dessus… J’allonge ma main et lui caresse les cheveux… il vient près de moi.
- ah je t’ai réveillé… et il m’embrasse tendrement de ses belles lèvres charnues et de sa langue agile… tu es adorable Dimitri… j’ai vraiment apprécié ce que vous avez fait avec Paul hier soir…
- on allait pas te laisser comme ça! un beau garçon comme toi, on préfère t’avoir dans notre lit et je lui caresse la joue passant mon pouce sur ses lèvres, mon index suit l’arête de son nez, passe sur ses sourcils, il se réfugie dans mes bras.

- j’ai envie de goûter à ton jus me dit-il tout bas à l’oreille je veux te boire.
- alors c’est ma tournée dis je en riant doucement… tu n’as qu’à te servir.

Il replonge vers ma queue qui n’a pas débandée, au contraire, je sens ses doigts l’entourer et la branler délicatement, ses lèvres se posent sur le gland et l’entoure, sa langue fait le tour plusieurs fois et il avale tout d’une seule traite, je sens mon gland arriver au fond de sa gorge. Il bloque et sa langue danse autour de ma queue prisonnière, il revient dessus et pipe lentement, puis de plus en plus vite, sa main me caresse les couilles, les malaxe, les pétrie. Tous les gestes sont doux… je lui caresse le dos et ma main est attirée par ses fesses.

Mon index trouve son petit trou, si martyrisé hier soir, et à chaque fois qu’il avale ma queue à fond je lui enfonce mon index dans le cul ce qui nous fait gémir en cadence. Il bouge bien ses fesses pour que je puisse bien le pénétrer, son cul est bien ouvert et prend facilement deux doigts mais ma queue commence à raidir dans sa bouche. Ses mouvements s’accélèrent je jette un œil à côté, Paul dort comme un bienheureux. Il est sur le dos et sa queue pointe sous le drap faisant comme une tente de camping.

Je sens que je vais jouir et j’appuie sur sa tête. Il enfonce encore plus sa tête sur ma bite au moment où je lâche ma première salve de la journée dans sa bouche sous les gémissements de plaisir suivies de plusieurs autres giclées que Karim se fait un plaisir d’avaler également. Mes doigts n’ont pas quitté son cul il lèche bien ma queue, la nettoie avec sa langue, me léchant également les poils du pubis puis il revient vers moi.
- il est bon ton jus Dimitri j’adore et tu en avais beaucoup... j’adore je t’aime et il m’embrasse, sa langue sent le sperme c’est très agréable.
- t’as vu Paul comme il dort bien et comment il bande ce matin ?
Karim se tourne vers Paul soulève le drap.

- tu le réveilles en douceur ? et j’aimerais goûter à ton petit cul, il va bien ce matin?
- oui je n’ai plus mal, mais tu iras doucement Hein ?
- oui sans problème.

En se tournant vers Paul qui dort encore, il enlève le drap, se met à quatre pattes me présentant ses fesses, ses belles fesses, lisses, fermes et chaudes. Il plonge direct sur la bite de Paul, je le regarde faire, il aime la bite ce petit Karim. Il prend son temps, la hume, lui lèche le gland et pose ses lèvres dessus et aspire doucement, Paul bouge en s’étirant mais garde les yeux fermés et Karim avale sa queue.

Je me mets derrière Karim et embrasse ses fesses. Il redresse son cul, j’écarte les fesses et je vois son petit trou lisse, rouge. Je passe ma langue dessus, je mouille bien et enfonce ma langue, il remonte encore ses fesses, je caresse ses couilles pendantes, ma langue s’active sur son trou et réussi à le pénétrer. Je l’entends gémir et je m’active encore plus. Son petit trou s’ouvre, je pose un doigt et l’enfonce doucement…

Je l’encule lentement et deux doigts viennent ensuite, il s’ouvre bien, j’arrive à mettre trois doigts et il gémit de plus en plus, ma queue a repris de la vigueur. Je me redresse et pose mon gland devant l’entrée. Je n’ai pas besoin d’entrer, ses fesses reculent et avalent ma queue. Je le prends par les hanches, je regarde vers Paul il a ouvert les yeux, tient la tête de Karim pour l’accompagner dans sa pipe, Paul me fait un clin d’œil en souriant.

Je prends bien fermement les hanches de Karim et le pénètre lentement mais bien à fond jusqu’à ce que nos couilles se rencontrent. On est bien dans Karim, il serre son anus sur ma queue, j’ai l’impression qu’il me suce encore et je commence mes vas et viens. Il a écarté ses jambes le plus possible, je peux le pénétrer bien profond, il gémit de plus en plus mais ne lâche pas la queue de Paul qui a fermé les yeux et se laisse pomper. Je sais qu’il aime ça, je pilonne Karim de plus en plus fort, mon pubis claque sur ses fesses et couilles s’entrechoquent. Il me fait bien bander le petit rebeu... quel cul!!! et ce qui devait arriver arrivât dans un dernier va et viens j’ai lâché plusieurs giclées dans son cul au même moment où Paul déchargeait dans sa bouche.

Je m’étais écroulé sur le dos de Karim et je le regardais bien nettoyer la queue de Paul. Ma queue s’est échappée de son cul et je me suis allongé près de Paul. Karim est venu se mettre à cheval sur Paul et lui a mis direct sa queue en bouche.

- Paul c’est le début du petit déj c’est pour toi! et en deux vas et viens il a éjaculé dans la bouche de Paul qui a ouvert bien grand pour que je puisse voir toutes les giclées de Karim et en fermant les yeux il a tout avalé. C’est moi qui ai nettoyé la queue de Karim, il restait encore un peu de jus Paul avait dû aimer et Karim tomba entre nous deux.

On est resté quelques temps pour reprendre nos esprits, et Paul a proposé que l’on prenne le petit déj il était déjà 11 heures du mat!!

Paul habite une petite maison un peu isolée, on a pu rester à poil et prendre le petit déj à l’abri des regards, dehors sous la tonnelle. Il nous fallait des forces pour la suite de la journée.

Après le petit déj bien copieux, nous sommes allés prendre une douche, mais chacun notre tour on ne tenait pas à trois…

Karim a profité que Paul prenait sa douche pour venir se mettre à califourchon sur moi, queue contre queue, sans rien dire, en me fixant il m’a embrassé tendrement…
- j’ai envie de toi dit il sérieusement, je voudrais pas te baiser mais te faire l’amour, tu es tendre, caressant tout ce que j’aime chez un garçon… j’aimerais me retrouver uniquement avec toi… se sera possible ?
- oui se sera possible, tu sais Paul c’est un très bon copain, un ami, un amant mais on n’est pas jaloux l’un de l’autre mais pour aujourd’hui on va s’amuser tous les trois à moins que tu veuilles rentrer maintenant chez toi…
- t’es fou! pour une fois que j’ai deux beaux mecs pour moi tout seul…

Il est allé à la douche, et Paul est venu me voir.
- il est adorable ce petit rebeu je l’aime bien. J’espère qu’il va rester cet après midi qu’on s’amuse…
- c’est ce qui est prévu dis je en riant.
On s’est embrassé avec Paul, il avait les mains baladeuses.
- heureusement que j’ai à bouffé il va nous falloir des forces.

Dès que Karim est sorti de la douche je suis allé à sa place. Lorsque je suis revenu Paul et Karim étaient allongés l’un contre l’autre dans le canapé en 69 et se suçaient bien profond!!!!!!!

- eh les mecs... j’suis revenu.

L’après midi ne faisait que commencer….

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