La maison d'hôtes 09 Ma cavalière
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La maison d'hôtes 09 Ma cavalière
La maison d'hôtes 09
Ma cavalière
A l'approche de la date du bal, je regrettais de plus en plus d'avoir dit oui. Je n'étais pas retourné dans le village depuis ce fameux jour ou j'avais réussi à m'humilier tout seul, comme un grand. J'avais souvent ressorti ma tenue de vélo mais je vous jure que je n'ai jamais oublié de mettre le bouclier ivoire. C'est vrai qu'avec, mon dispositif est totalement invisible. On voit juste une jolie forme arrondie et douce, on ne devine même pas l'objet par transparence, sa couleur neutre le rend totalement invisible.
J'en ai trois qui sont un peu bariolés, ces boucliers là sont indétectable pour ce qui est de leur forme, tous les boucliers ont la même forme, mais là par contre il vaut mieux que le vêtement ne soit pas trop transparent sinon les couleurs se voient. Et là, ça ne fait pas sérieux !
L'histoire commençait à s'oublier, même ceux qui m'avaient vu avec ma cage de chasteté visible. Tout le monde avait bien rigolé maintenant on passait à autre chose. Je m'habituais à ma cage. C'est pas facile tous les jours, je le dis souvent mais c'est vrai. Il y a des jours ou je saute sur mon vélo et je jure de battre le record du tour de France, il y a des jours ou je désespère, il y a aussi des jours ou je me demande si finalement, ça ne marcherait pas mieux sans la selle !
Mais là je m'égare.
Ma cavalière pour le bal était assez mignonne somme toutes. Il y a des amateurs, je dis ça parce que moi j'en fais pas partie. Mais il y a des amateurs. Son père l'avait emmené pour me la présenter vers la fin de la matinée. Ensuite il me prenait par surprise.
– Au fait les jeunes j'ai oublié qu'il fallait que je passe voir le notaire …
– Ah non pas le notaire. Répondait sa fille sans aucune conviction. Je vais encore être obligé de t'attendre pendant une heure dans la voiture.
– Mais tu n'as qu'à m'attendre ici. Je repasse te chercher dans une heure...
C'était réglé, je n'avais pas eu le temps de dire un mot, comme d'habitude on ne m'avais pas demandé mon avis, et je me retrouvait avec la fille sur les bras. C'était le dernier client, je rangeait, ça c'est rapide et je ne savais plus quoi dire...
– Heu ! Ça va toi ?
– Moi ça va. Répondait-elle d'un air amusé.
– Oui, bien ... voilà ... voilà ... voilà !
– Mon père a raison, avec toi je ne risque pas grand chose !
Après cette réplique je ne savais plus quoi rajouter, déjà qu'avant je ne savais pas quoi dire, alors vous imaginez … après … Elle éclatait de rire. Je lui faisais faire le tour du propriétaire, le potager, le basse-court, bon elle est du coin je n'insistais donc pas sur les poules, elle connaissait tout ça. Je me faisais courser par le coq, ce qui la faisait rire. Puis finalement on se retrouvais sur ma terrasse couverte. Là ou je me détendais.
– Il paraît que tu portes vraiment une cage à bite PK ?
– Heu … Bein oui .
– Tu me montres ?
– Heu …
Voyant que je ne réagissais pas elle m'attrapait les couilles au travers de mon pantalon.
– Tu n'as pas de sous vous-vêtements en plus toi, petit coquin.
– Hé, héhé, héhé … Je ne savais pas quoi dire d'autre.
Oui, je sais, j'avais l'air un peu con. Mais c'est qu'elle ne me lâchait pas en plus. Je tentais d'écarter sa main, de me dégager mais elle me tenait bien, fermement. Elle finissait tout de même par me lâcher en me poussant sur mon canapé préféré. C'est vrai que j'y passe des heures tous les jours.
Avec un regard vicieux, elle commençait à se dandiner en se caressant le corps, elle ouvrait sa chemise. Une jolie petite chemise à fleurs, jusque là je trouvais tout ça amusant … Elle me la jetais à la figure, avec élégance, pas d'un air méchant mais, le temps de la plier avec délicatesse, c'est son soutien gorge que je recevais.
Là je relevais la tête, ça devenait intéressant cette histoire même si je voyais difficilement comment ça allait se terminer. Elle avait une belle petite poitrine, pas trop petite mais élégante. Elle dansait à la manière d'une strip-teaseuse et se caressait le corps, les seins tout en prenant des postures qui se voulaient provocantes et suggestives.
Elle se tournait et se retournait encore jusqu'au moment ou de dos, je voyais sa jupe tomber au sol. Elle portait une élégante jupe très légère mais très sage qui arrivait un peu en dessous des genoux. Je faisais des yeux tout rond, elle se plaçait juste devant moi et se penchait en avant. Elle n'avait rien en dessous. Je finissais par remarquer qu'elle était nue devant moi, je devenais tout rouge de confusion.
Il faut dire que je ne m'y attendais pas. Et là j'ai vu toute ma vie défiler devant mes yeux. Ma maternelle ou je jouais avec mon ami Benoît, le primaire et tous mes copains Gégé, Justin, Alphonse et quelques autre. Mes vacances au bord de la mer et tous mes copains, Philippe, il était gentil Philippe il venait d'Irlande et avait un accent qui me faisait fondre. Passait ensuite les années du second cycle que j'allais terminer l'année suivante …
Et c'est seulement à ce moment que j'ai remarqué que …
Il n'y avait jamais eu aucune fille dans ma vie. Je n'y avais même jamais pensé. Je me tripotais la cage en glissant un doigt entre les barreaux, il fallait se rendre à l'évidence, ma queue restait toute molle. La fille était mignonne mais ne faisait pas réagir ma petit queue. C'était pas comme avec Julien !
Finalement, c'est dans un état second que je me disais que les filles et moi ça faisait deux … Et que ces ' deux ' n'auraient probablement aucunes chances de se mélanger un jour.
Elle était là, à portée de main et remuait son cul.
– C'est tout ce que tu trouves à dire ? Me demandait-elle.
– Heu … Bein … C'est vrai aussi que je ne disais pas grand chose.
J'avançais la main et appuyais le bout de mon index sur une de ses fesses. Elle était penchée en avant en mettant ses fesses juste devant moi. Je voyais son visage apparaître sur sa droite. Elle se redressait alors et se retournait. Elle était totalement épilée, j'ai sursauté et relevé les sourcils.
Elle était nue en face de moi, elle se caressait le corps, j'ai bien fini par réagir, enfin ma queue à fini par réagir, sans grandes convictions je le concède mais bon, c'était suffisant pour bien remplir la cage et former quelques bourrelets de peau. Ça devrait suffire pour donner le change au cas ou …
j'avais toujours la main relevée et mon index pointé vers elle, mais je ne savais pas quoi en faire. Elle me prenait la main et se caressait avec, je ne résistais pas, je laissais faire. Ma main glissait sur ses hanche, sur son ventre puis montait ( elle ne faisait rien de tout ça toute seule mais bon comme je vous disais je ne résistais pas ). Donc après ma main montait jusqu'à sa poitrine. C'était doux tout ça, c'était doux, pas désagréable à caresser mais bon une fois qu'on en a fait le tour, on fait quoi ?
Elle ne se calmait pas, elle se penchait sur moi et m'enlevait mon t-shirt en se relevant, j'étais un peu surpris, je ne l'avais pas vu venir. Elle m'embrassait et m'ouvrait mon pantalon, je me relevais machinalement pour l'aider et je me retrouvais nu, avec mon pantalon sur les chevilles.
Là elle semblait contente de ce qu'elle voyait.
– Je ne te laisse pas indifférente à ce que je vois ?
– Bein … Heu … Hé … Oui je sais mais je ne savais toujours pas quoi dire !
Elle me souriait et s'asseyait sur mes genoux, mais en face à face. Elle écartait largement les cuisses, y glissait ses mains et se masturbait. J'étais un peu embarrassé, elle a pensé que j'étais excité et que ne pouvant rien faire, même pas bandé, je me retrouvais un peu coincé. Elle supposait que c'était pour ça que je n'étais pas entreprenant. En fait … C'était pas ça mais j'ai préféré ne pas entrer dans les détails !
Elle me repoussait en arrière, je me retrouvais allongé sur le canapé, elle s'allongeait sur moi. Je sentais son corps chaud et doux qui me caressait, ses seins glissaient contre mon torse, c'était pas vraiment désagréable et je finissais par bander réellement dans ma cage. Elle avait glissé une jambe entre les miennes et en même temps qu'elle m'écrasait les couilles dans chacun de ses mouvements, elle frottait sa chatte contre ma cuisse et se masturbait sur moi.
C'est sans aucune gène qu'elle m'utilisait comme un sex-toy. C'était pas vraiment désagréable et j'ai donc laissé faire. Elle m'embrassait, je lui rendais ses baisers, elle m'embrassait sur tout le corps, je ne savais plus quoi faire. J'ai décidé de l'imiter et finalement je la prenais dans mes bras, embrassais tout son corps et la caressait.
Elle avait l'air d'aimer.
Elle se masturbait et c'est ça qui a provoqué sa réaction. J'ai senti son cœur battre plus vite, sa respiration devenir plus forte, je l'ai senti quand elle a tremblé, j'ai pas compris tout de suite, j'ai vu ses grimaces, j'ai entendu ses gémissements et c'est seulement là que j'ai commencé à comprendre. Elle prenait son pied !
Il ne faut pas vous formaliser si je ne comprenais pas ce qui se passait mais vous savez les filles, c'était la première fois que j'en touchais une. Ça ne m'avais jamais vraiment intéressé et sur ce dernier point, rien n'a changé. Je ne sais pas comment ça marche moi, alors forcément !
Ensuite elle ne bougeait plus, elle me tripotait les couilles, ça avait l'air de bien la faire rire cette affaire. C'est à ce moment qu'on entendait un bruit de moteur et un klaxon.
– C'est mon papa ! Me disait-elle en se relevant.
Il ne lui fallait que quelques secondes pour se rhabiller.
– Tu devrais te rhabiller aussi. Me disait-elle. Si jamais il vient par ici …
Il ne m'a fallu que quelques secondes pour mettre mes vêtements moi aussi. Ensuite je la suivais. J'étais un peu perdu, je ne comprenais pas ce qui venait de se passer. Il y en a, je vous jure … Aucune fille ne m'avait jamais fait un truc pareil.
– Je crois que mon père à raison, tu n'est pas bien dangereux pour les filles toi. Tu es probablement le seul garçon dans la région avec qui une fille n'a rien à craindre.
– Oui mais … Heu … Enfin …
Elle rigolait de m'entendre bafouiller. C'était bien son père qui l'attendait devant la maison.
– Alors les enfants, vous avez fait connaissance ? Alors je peux te confier ma fille ?
– Bein … Oui … Mais … Heux …
– Oui papa, c'est un garçon très bien, il sais se tenir, un vrai gentleman comme j'en ai toujours rêvé.
– Alors je vais te confier ma fille … Me disait-il en posant sa main sur mon épaule avec force.
Quand je dis avec force, je vous jure que là je n'exagère pas, j'ai bien cru que j'allais m'effondre sous la pression. Il n'était pas très grand mais il était costaud.
– Alors tu en penses quoi bonhomme ?
– Bein … Oui … Mais … Heux …
– Tu vois bien qu'il est d'accord papa !
Je dodelinais de la tête en faisant oui. Désolé mais je n'arrivais pas à faire mieux, j'étais retourné, complètement retourné. Je les regardais repartir, j'arrivais à lever une main et à leur faire au revoir …
Je dois dire qu'à ce moment je ne comprenais pas vraiment comment j'avais réussi à me mettre dans cette situation. Je me disais seulement que je ferais mieux de prendre une douche froide.
Le grand soir arrivait, ma mère me trouvait des vêtements adéquat. Comme il faisait chaud je choisissait de ne pas prendre de sous vêtements et de ne pas prendre non plus la veste. En fait les sous vêtement j'en avais pas vraiment besoin, j'en avais un permanent et en métal en plus. C'était parti, mon père me conduisait, on passait chercher la petite, puis il viendrait nous reprendre à la fin de la soirée.
Une dernière fois encore je regrettais d'avoir dit oui !
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Ma cavalière
A l'approche de la date du bal, je regrettais de plus en plus d'avoir dit oui. Je n'étais pas retourné dans le village depuis ce fameux jour ou j'avais réussi à m'humilier tout seul, comme un grand. J'avais souvent ressorti ma tenue de vélo mais je vous jure que je n'ai jamais oublié de mettre le bouclier ivoire. C'est vrai qu'avec, mon dispositif est totalement invisible. On voit juste une jolie forme arrondie et douce, on ne devine même pas l'objet par transparence, sa couleur neutre le rend totalement invisible.
J'en ai trois qui sont un peu bariolés, ces boucliers là sont indétectable pour ce qui est de leur forme, tous les boucliers ont la même forme, mais là par contre il vaut mieux que le vêtement ne soit pas trop transparent sinon les couleurs se voient. Et là, ça ne fait pas sérieux !
L'histoire commençait à s'oublier, même ceux qui m'avaient vu avec ma cage de chasteté visible. Tout le monde avait bien rigolé maintenant on passait à autre chose. Je m'habituais à ma cage. C'est pas facile tous les jours, je le dis souvent mais c'est vrai. Il y a des jours ou je saute sur mon vélo et je jure de battre le record du tour de France, il y a des jours ou je désespère, il y a aussi des jours ou je me demande si finalement, ça ne marcherait pas mieux sans la selle !
Mais là je m'égare.
Ma cavalière pour le bal était assez mignonne somme toutes. Il y a des amateurs, je dis ça parce que moi j'en fais pas partie. Mais il y a des amateurs. Son père l'avait emmené pour me la présenter vers la fin de la matinée. Ensuite il me prenait par surprise.
– Au fait les jeunes j'ai oublié qu'il fallait que je passe voir le notaire …
– Ah non pas le notaire. Répondait sa fille sans aucune conviction. Je vais encore être obligé de t'attendre pendant une heure dans la voiture.
– Mais tu n'as qu'à m'attendre ici. Je repasse te chercher dans une heure...
C'était réglé, je n'avais pas eu le temps de dire un mot, comme d'habitude on ne m'avais pas demandé mon avis, et je me retrouvait avec la fille sur les bras. C'était le dernier client, je rangeait, ça c'est rapide et je ne savais plus quoi dire...
– Heu ! Ça va toi ?
– Moi ça va. Répondait-elle d'un air amusé.
– Oui, bien ... voilà ... voilà ... voilà !
– Mon père a raison, avec toi je ne risque pas grand chose !
Après cette réplique je ne savais plus quoi rajouter, déjà qu'avant je ne savais pas quoi dire, alors vous imaginez … après … Elle éclatait de rire. Je lui faisais faire le tour du propriétaire, le potager, le basse-court, bon elle est du coin je n'insistais donc pas sur les poules, elle connaissait tout ça. Je me faisais courser par le coq, ce qui la faisait rire. Puis finalement on se retrouvais sur ma terrasse couverte. Là ou je me détendais.
– Il paraît que tu portes vraiment une cage à bite PK ?
– Heu … Bein oui .
– Tu me montres ?
– Heu …
Voyant que je ne réagissais pas elle m'attrapait les couilles au travers de mon pantalon.
– Tu n'as pas de sous vous-vêtements en plus toi, petit coquin.
– Hé, héhé, héhé … Je ne savais pas quoi dire d'autre.
Oui, je sais, j'avais l'air un peu con. Mais c'est qu'elle ne me lâchait pas en plus. Je tentais d'écarter sa main, de me dégager mais elle me tenait bien, fermement. Elle finissait tout de même par me lâcher en me poussant sur mon canapé préféré. C'est vrai que j'y passe des heures tous les jours.
Avec un regard vicieux, elle commençait à se dandiner en se caressant le corps, elle ouvrait sa chemise. Une jolie petite chemise à fleurs, jusque là je trouvais tout ça amusant … Elle me la jetais à la figure, avec élégance, pas d'un air méchant mais, le temps de la plier avec délicatesse, c'est son soutien gorge que je recevais.
Là je relevais la tête, ça devenait intéressant cette histoire même si je voyais difficilement comment ça allait se terminer. Elle avait une belle petite poitrine, pas trop petite mais élégante. Elle dansait à la manière d'une strip-teaseuse et se caressait le corps, les seins tout en prenant des postures qui se voulaient provocantes et suggestives.
Elle se tournait et se retournait encore jusqu'au moment ou de dos, je voyais sa jupe tomber au sol. Elle portait une élégante jupe très légère mais très sage qui arrivait un peu en dessous des genoux. Je faisais des yeux tout rond, elle se plaçait juste devant moi et se penchait en avant. Elle n'avait rien en dessous. Je finissais par remarquer qu'elle était nue devant moi, je devenais tout rouge de confusion.
Il faut dire que je ne m'y attendais pas. Et là j'ai vu toute ma vie défiler devant mes yeux. Ma maternelle ou je jouais avec mon ami Benoît, le primaire et tous mes copains Gégé, Justin, Alphonse et quelques autre. Mes vacances au bord de la mer et tous mes copains, Philippe, il était gentil Philippe il venait d'Irlande et avait un accent qui me faisait fondre. Passait ensuite les années du second cycle que j'allais terminer l'année suivante …
Et c'est seulement à ce moment que j'ai remarqué que …
Il n'y avait jamais eu aucune fille dans ma vie. Je n'y avais même jamais pensé. Je me tripotais la cage en glissant un doigt entre les barreaux, il fallait se rendre à l'évidence, ma queue restait toute molle. La fille était mignonne mais ne faisait pas réagir ma petit queue. C'était pas comme avec Julien !
Finalement, c'est dans un état second que je me disais que les filles et moi ça faisait deux … Et que ces ' deux ' n'auraient probablement aucunes chances de se mélanger un jour.
Elle était là, à portée de main et remuait son cul.
– C'est tout ce que tu trouves à dire ? Me demandait-elle.
– Heu … Bein … C'est vrai aussi que je ne disais pas grand chose.
J'avançais la main et appuyais le bout de mon index sur une de ses fesses. Elle était penchée en avant en mettant ses fesses juste devant moi. Je voyais son visage apparaître sur sa droite. Elle se redressait alors et se retournait. Elle était totalement épilée, j'ai sursauté et relevé les sourcils.
Elle était nue en face de moi, elle se caressait le corps, j'ai bien fini par réagir, enfin ma queue à fini par réagir, sans grandes convictions je le concède mais bon, c'était suffisant pour bien remplir la cage et former quelques bourrelets de peau. Ça devrait suffire pour donner le change au cas ou …
j'avais toujours la main relevée et mon index pointé vers elle, mais je ne savais pas quoi en faire. Elle me prenait la main et se caressait avec, je ne résistais pas, je laissais faire. Ma main glissait sur ses hanche, sur son ventre puis montait ( elle ne faisait rien de tout ça toute seule mais bon comme je vous disais je ne résistais pas ). Donc après ma main montait jusqu'à sa poitrine. C'était doux tout ça, c'était doux, pas désagréable à caresser mais bon une fois qu'on en a fait le tour, on fait quoi ?
Elle ne se calmait pas, elle se penchait sur moi et m'enlevait mon t-shirt en se relevant, j'étais un peu surpris, je ne l'avais pas vu venir. Elle m'embrassait et m'ouvrait mon pantalon, je me relevais machinalement pour l'aider et je me retrouvais nu, avec mon pantalon sur les chevilles.
Là elle semblait contente de ce qu'elle voyait.
– Je ne te laisse pas indifférente à ce que je vois ?
– Bein … Heu … Hé … Oui je sais mais je ne savais toujours pas quoi dire !
Elle me souriait et s'asseyait sur mes genoux, mais en face à face. Elle écartait largement les cuisses, y glissait ses mains et se masturbait. J'étais un peu embarrassé, elle a pensé que j'étais excité et que ne pouvant rien faire, même pas bandé, je me retrouvais un peu coincé. Elle supposait que c'était pour ça que je n'étais pas entreprenant. En fait … C'était pas ça mais j'ai préféré ne pas entrer dans les détails !
Elle me repoussait en arrière, je me retrouvais allongé sur le canapé, elle s'allongeait sur moi. Je sentais son corps chaud et doux qui me caressait, ses seins glissaient contre mon torse, c'était pas vraiment désagréable et je finissais par bander réellement dans ma cage. Elle avait glissé une jambe entre les miennes et en même temps qu'elle m'écrasait les couilles dans chacun de ses mouvements, elle frottait sa chatte contre ma cuisse et se masturbait sur moi.
C'est sans aucune gène qu'elle m'utilisait comme un sex-toy. C'était pas vraiment désagréable et j'ai donc laissé faire. Elle m'embrassait, je lui rendais ses baisers, elle m'embrassait sur tout le corps, je ne savais plus quoi faire. J'ai décidé de l'imiter et finalement je la prenais dans mes bras, embrassais tout son corps et la caressait.
Elle avait l'air d'aimer.
Elle se masturbait et c'est ça qui a provoqué sa réaction. J'ai senti son cœur battre plus vite, sa respiration devenir plus forte, je l'ai senti quand elle a tremblé, j'ai pas compris tout de suite, j'ai vu ses grimaces, j'ai entendu ses gémissements et c'est seulement là que j'ai commencé à comprendre. Elle prenait son pied !
Il ne faut pas vous formaliser si je ne comprenais pas ce qui se passait mais vous savez les filles, c'était la première fois que j'en touchais une. Ça ne m'avais jamais vraiment intéressé et sur ce dernier point, rien n'a changé. Je ne sais pas comment ça marche moi, alors forcément !
Ensuite elle ne bougeait plus, elle me tripotait les couilles, ça avait l'air de bien la faire rire cette affaire. C'est à ce moment qu'on entendait un bruit de moteur et un klaxon.
– C'est mon papa ! Me disait-elle en se relevant.
Il ne lui fallait que quelques secondes pour se rhabiller.
– Tu devrais te rhabiller aussi. Me disait-elle. Si jamais il vient par ici …
Il ne m'a fallu que quelques secondes pour mettre mes vêtements moi aussi. Ensuite je la suivais. J'étais un peu perdu, je ne comprenais pas ce qui venait de se passer. Il y en a, je vous jure … Aucune fille ne m'avait jamais fait un truc pareil.
– Je crois que mon père à raison, tu n'est pas bien dangereux pour les filles toi. Tu es probablement le seul garçon dans la région avec qui une fille n'a rien à craindre.
– Oui mais … Heu … Enfin …
Elle rigolait de m'entendre bafouiller. C'était bien son père qui l'attendait devant la maison.
– Alors les enfants, vous avez fait connaissance ? Alors je peux te confier ma fille ?
– Bein … Oui … Mais … Heux …
– Oui papa, c'est un garçon très bien, il sais se tenir, un vrai gentleman comme j'en ai toujours rêvé.
– Alors je vais te confier ma fille … Me disait-il en posant sa main sur mon épaule avec force.
Quand je dis avec force, je vous jure que là je n'exagère pas, j'ai bien cru que j'allais m'effondre sous la pression. Il n'était pas très grand mais il était costaud.
– Alors tu en penses quoi bonhomme ?
– Bein … Oui … Mais … Heux …
– Tu vois bien qu'il est d'accord papa !
Je dodelinais de la tête en faisant oui. Désolé mais je n'arrivais pas à faire mieux, j'étais retourné, complètement retourné. Je les regardais repartir, j'arrivais à lever une main et à leur faire au revoir …
Je dois dire qu'à ce moment je ne comprenais pas vraiment comment j'avais réussi à me mettre dans cette situation. Je me disais seulement que je ferais mieux de prendre une douche froide.
Le grand soir arrivait, ma mère me trouvait des vêtements adéquat. Comme il faisait chaud je choisissait de ne pas prendre de sous vêtements et de ne pas prendre non plus la veste. En fait les sous vêtement j'en avais pas vraiment besoin, j'en avais un permanent et en métal en plus. C'était parti, mon père me conduisait, on passait chercher la petite, puis il viendrait nous reprendre à la fin de la soirée.
Une dernière fois encore je regrettais d'avoir dit oui !
A suivre
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