La maison d'hôtes 10 Le bal

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : La maison d'hôtes 10 Le bal Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La maison d'hôtes 10 Le bal
La maison d'hôtes 10Le bal

J'étais beau comme un prince, des chaussures souples, c'est plus confortable, un pantalon de costume qui tombait bien et une chemise blanche. Pour tenir tout ça j'avais un ceinturon décoré avec une grosse boucle de ceinturon genre cow-boy. Bref, j'avais de l'allure.

La petite était mignonne comme un cœur. Elle portait des petites chaussures avec de jolies chaussettes en dentelle, une jupe sage qui s'arrêtait juste au dessus du genou, un joli corsage pas trop transparent et en dessous une sorte de truc qui ressemblait à un corset blanc très joli avec des petites dentelles un peu partout. C'était mignon comme tout.

On faisait ça bien, c'était presque solennelle. Un court instant j'ai eu l'impression qu'on allait nous marier … Une dernière photo avant de partir puis mon père nous conduisait à la salle des fêtes. C'est avec une allure très digne que je rentrais dans le bâtiment avec au bras ma cavalière. A peine le seuil passé elle poussait un grand cri et fonçait se jeter dans les bras d'un mec que je ne connaissais pas … J'avais l'air un peu con …
Je savais que c'était une mauvaise idée. Je savais que je n'aurais pas du venir. Je commandais une bière … Je regardais régulièrement vers la piste de danse, il y avait ma cavalière qui se lâchait et remuait dans tous les sens, elle passait des bras d'un mec aux bras d'un autre mec. Je commandais une bière.

On m'abordait d'une manière bien virile. Une tape sur l'épaule, une autre dans le dos. Deux mecs que je ne connaissais pas.

– Alors c'est toi qui accompagne la petite Julie ? Me demandait un des deux hommes.
– Il paraît que tu n'es pas bien dangereux pour les filles ?
– Et vous trouvez ça drôle. Leur répondais-je en faisant à moitié la gueule.
– Et tu n'as pas peur que quelqu'un te la pique ?
– Mais comment veux-tu qu'il la garde, ça serait du gaspillage que de la lui laisser. Rajoutais l'autre garçon.
– Bon, ça va les mecs, vous me foutez la paix là. Je ne vous ai rien demandé. Répondais-je sur un ton agacé.

Ils m'attrapaient chacun par un bras, me soulevaient et m'entraînaient avec eux. J'étais agacé mais je ne voulais pas chercher la bagarre. Je laissais faire. Ils m'entraînaient à l'extérieur, il y avait une sorte de grange un peu plus loin, ils ne me posaient que quand on y était rendu.

Je n'avais pas fait attention mais ils avaient un troisième complice qui avait pris les bières et nous suivait. Je me retrouvais donc au milieu du groupe, on me remettait ma bière dans la main.

– Alors si on discutait tous les quatre. Me demandait un des trois garçons.

Je profitais de la situation pour les examiner les uns après les autres … Ils étaient plus grands que moi, bien bâtis, bien carrés, ils avaient une bonne tête et n'avaient pas l'air méchant. Ils ne semblaient pas chercher la bagarre.

– Vous me voulez quoi les mecs ? Bagarre ? Vous êtes tous plus grands et plus forts que moi, en plus vous êtes trois …– Mais non on ne veut pas la bagarre, on sait bien qu'on n'est pas de taille.

Il tendait sa bière vers moi.

– Santé !

On trinquait, je remarquais qu'ils n'étaient plus que deux. Je finissais ma canette au moment ou le troisième revenait,il avait les bras chargés de bouteilles. On m'en ouvrait une. Ils se présentaient, je les voyais qui semblaient s'agiter et réajustaient régulièrement leurs pantalons.

On picolait ainsi quelques bières. Ils me demandaient si mon truc, comme ils disaient, c'était sérieux. Si je ne pouvais réellement pas le retirer. Si c'était confortable …
Et finalement ils voulaient voir !

Je faisais des manières. Au bout d'un moment un des trois mecs ouvrait son pantalon et sortait sa queue et ses couilles. Là je vous jure j'ai eu mal au cul rien que de voir sa queue. Oula, celui-là il n'avait rien à envier à Julien.

Ils rigolaient tous, et je me retrouvais avec une bière dans la main … '' Santé ! ''. Je la buvais cul sec. Ils m'encourageaient en poussant de grands cris et je me retrouvais avec une bouteille dans la main ! ( je sais, je donne l'impression de me répéter, mais c'était pas la même que deux lignes plus haut )

La chaleur montait, ils insistaient … '' Montre, vas y montre … ''. Bon si ce n'était que la curiosité qui les guidaient. Ils avaient l'air un peu rigolards finalement et en plus ils payaient des bières. J'ai ouvert mon pantalon, et je vous rappelle que je ne portais pas de sous vêtements.

Hoooooooooo ! S'exclamaient-ils. La bière commençait à faire son effet
Je me retrouvait avec une bière dans la main. ( Encore une autre )
Ils ouvraient alors tous leur pantalons. Ils étaient bien monté, le premier était dans la catégorie géant mais si les deux autres étaient de taille plus modeste, mais ils étaient de belle taille tout de même.

Un d'entre eux m'attrapait les couilles et la cage et me tirait vers lui, il avait un sourire allumé, on devinait les effets de la bière. Je buvais la mienne.

Hééééé , vas y doucement c'est fragile. Lui disais-je.

Il me recevait dans ses bras et m'embrassait. Au moins les choses étaient claires, ce n'était pas la bagarre qu'ils cherchaient. Il m'ouvrait la belle chemise blanche et me caressait le torse. Rapidement les deux autres étaient torse nue, quelques secondes plus tard je ne savais plus ou était ma chemise.

Allez , suce ! Montre nous ce que tu peux encore faire.

Je me retrouvais à genoux, sa queue dans la bouche. J'avais commencé par le plus gros, mais heureusement que je m'étais entraîné avec Julien, ils devaient être de la même taille ces deux là. C'est sans trop de difficulté que je prenais son gland dans la bouche, c'est avec un peu plus de mal qu'il en entrait davantage, mais je me prenais rapidement la moitié de sa queue dans la bouche.

On me caressait tout le corps, on tirait sur mon pantalon et quelques minutes plus tard il avait disparu. Je me retrouvais toujours à genoux, à poil, bien entouré par trois gaillards nus eux aussi qui me caressaient tout le corps. J'étais aux anges.

Quand le premier retirait sa queue de ma bouche le suivant m'essayait à son tour. Il gémissait de plaisir, sa queue était plus modeste, surtout au niveau largeur et celle là je la prenais sans trop de difficulté jusqu'à la garde. Elle rentrait facilement et allait s'écraser au fond de ma gorge. Là je prenais un vrai plaisir à le sucer celui là. Les queue trop grosse c'est pas toujours pratique, pour ce qui est de les sucer. Le troisième prenait la place, lui aussi, je parvenait à me prendre sa queue en entier. Et je le faisait couiner de plaisir tout de suite.

Je ne sais pas combien de temps ça à duré tout ça mais au bout d'un moment, ils s'écartaient et je me retrouvais avec une bière dans la main … Ils étaient mignons quand même, au moins ils pensaient à moi. Je me relevais et nous prenions le temps de déguster longuement notre bière, cul sec et j'y retournais.

Je ne cherchais plus à me compliquer la tête, la première queue qui passait à portée de main ou de bouche, le la tripotais ou la suçais. Mes mains ensuite caressait les cuisses et se glissaient contre le corps, contre tous les corps que je pouvais atteindre. Je caressais tout ce qui pouvait se caresser.

J'en sentais un qui me caressait les fesses en insistant sur le petit trou, vous savez celui qui se trouve au milieu de la grosse ride … Je sentais comme une sensation de froid. Puis c'est le doigt qui glissait à l'intérieur de mon cul. Là c'est moi qui gémissait. Il y glissait un puis deux doigts et surtout il lubrifiait généreusement.

Ça faisait un moment que je ne savais plus à qui était la queue que j'avais dans la bouche mais je ne me posais même plus la question, ça changeait régulièrement, il n'y avait que la plus grosse que je reconnaissais. Et justement, j'avais deux queue devant mon nez et c'était aucune des deux.

Je sentais un pression intense contre mon cul.

– Moi j'ai parié qu'il ne se la prendrait pas celle là.
– Tu sais si tu pousses comme il faut, ça fini toujours par rentrer.

Ça c'est pour vous donner une idée des commentaires que j'entendais ...

C'est là que j'ai réagi, j'ai voulu me dégager, j'ai un peu paniquer. Dans ma tête je voyais ce que je ressentais, je voyais cette énorme queue tenter d'entrer, et déjà elle glissait lentement dans mon cul. Elle s'introduisait plus profond, avec force, j'avais envie de crier, de hurler mais j'avais la bouche pleine. Je ne pouvais que gémir.

Là ils ne rigolaient plus, ils retenaient ma tête, se cramponnaient à moi. L'un me tirait vers lui et sa queue, son énorme queue s'enfonçait dans mon cul, l'autre faisait la même chose de son côté et c'est sa queue qui s'enfonçait dans ma gorge. J'avais oublié, à ce moment précis que j'avais une queue moi aussi, mais bon c'est vrai qu'elle était ' hors service '.

Il me limait le cul, il me limait avec détermination, il ne parlait plus, je devinais sa concentration. Il tentait de me balancer quelques coups de reins pour voir comment j'encaissais. Et bien j'encaissais, qu'est ce que vous voulez que je fasse d'autre, je ne pouvais plus bouger. Ils me retenaient avec force, et là je ne pouvais réellement plus bouger.

Pendant de longues minutes il me limait le cul. C'était terrible, c'était trop, trop violent, trop gros, trop rapides. Là je voulais que ça se termine, là je voulais tout arrêter mais, personne ne s'occupait de ce que je pensais.

Il a juté dans mon cul, il a éjaculé, je l'ai senti, en fait j'ai senti les contractions de sa queue et les derniers coup de bassin. Ensuite il ne bougeait plus, il se retirait et c'est une sensation de vrai plaisir, proche de l'orgasme que je ressentais quand sa queue est ressortie de mon cul.

On me relâchait et je me retrouvais avec une bière dans la main.

– Wouah il encaisse bien. Disait l'un.
– Bon et bien j'ai perdu mon paris. Rajoutais l'autre.
– C'est vrai qu'il encaisse bien, vous allez voir, il devrait être un peu moins étroit maintenant. Concluait celui qui venait de me dilater le cul.

Les deux autres avalaient leur bière et on reprenait, toujours sans me demander mon avis. Bon, j'ai pas râlé, j'ai laissé faire, en fait je ne demandait que ça.

Le suivant y est allé directe. Il a lubrifié et est entré en un mouvement rapide qui se terminait par un violent coup de bassin. Il faisait claquer son ventre contre mes fesses. C'est avec force et vigueur qu'il me limait le cul. Le troisième me caressait mon visage et me présentait sa queue. J'ouvrais la bouche et me la prenait en entier jusqu'au fond de ma gorge.

Pendant de longues minutes je me faisais limer le cul et la bouche. J'ai joui par le cul, tout mon corps s'est mis à trembler, pourtant je n'avais pas l'impression que je bandais mais j'avais vraiment l'impression de juter. Ils s'amusait tous les deux et ne retenaient plus leurs coups. Je ne comprenais plus rien. Quelqu'un me tripotait les couilles et s'amusait avec ma cage et de nouveau j'avais l'impression de juter.

– Il reste sec, il n'y a pas une goutte qui coule. Disait celui qui s'amusait avec mes couilles.

J'aurais pourtant juré le contraire. Là à ce moment je prenait mon pied, c'était terrible, dans mon cul les coup étaient violent, je ne savais plus si c'était agréable ou pas mais c'était le pied, c'était juste le pied. Je recevais quelques derniers coups d'une grande violence dans le cul et il se retirait.

Je me redressait. '' Tu as une tête de zombie ! '' me lançais je ne sais plus lequel des trois, ils rigolaient tous les trois. Je me retrouvais avec une bière dans la main … Allez cul sec, c'est vrai que cette histoire me faisait saliver et que j'avais soif.

Le dernier se glissait derrière moi et sans prévenir m'enfonçait sa queue dans le cul. Il a tenu moins longtemps, lui je l'avais déjà bien travaillé et il a tenu moins, il ne lui a fallu que quelques minutes avant de juter mais c'est avec lui que j'ai juté moi aussi. Au moment ou il s'est introduit, j'ai ressenti comme un immense plaisir encore plus intense que tout ce que j'avais ressenti plus tôt. J'ai éjaculé, j'ai juté longuement ensuite, j'ai pris un pied et je tremblais comme un malade au moment ou il jutais dans mon cul et se retirait.

J'étais à quatre pattes au milieu de la salle, je n'étais pas vraiment sûr de pouvoir tenir debout et je me retrouvais avec une bière dans la main … Pas cul sec là, je me suis assis, je tremblais, et j'ai pris le temps de déguster ma bière en deux ou trois gorgées …
Ils sont mignons et organisés, ils ont trouvé une serviette pour bien m'essuyer, ils m'ont redonné une apparence humaine. Je me suis rhabillé et c'est pas très solide sur mes pieds que je revenais, bien entouré, dans la salle du bal. Ma cavalière avait disparu, son copain aussi, ils sont réapparus tous les deux en même temps, plus tard, bien plus tard.

J'étais accroché au bar, une bière à la main … beurp !

Quand mon père est arrivé pour me chercher, il m'a regardé de la tête au pied et il m'a engueulé. J'avais rien fais moi, j'ai pas compris pourquoi il m'engueulait. Il y avait avec moi un des trois mec qui me retenait. Par charité il était arrivé pour me secourir au moment ou j'ai lâché le bar et que je suis tombé par terre. Il m'avait aussi aidé à me relevé quand je suis tombé dans la petite fontaine qu'il y a juste devant la salle des fêtes, il m'avait aussi ramassé quand je me suis vautré dans la poussière un peu plus loin. C'est encore lui qui m'avait rattrapé quand, totalement trempé, je tombais et roulait par terre et gémissant : '' Oulala ça tourne, oulala ça tourne, oulala ça tourne … !''.

Là il avait compris et ne me lâchait plus !

Mon père est arrivé à peu près à ce moment et je ne comprenais vraiment pas pourquoi il m'a engueulé quoi ?

On m'a jeté dans la voiture, et là c'était le trou noir. Je me réveillait le lendemain matin vers quinze heures, j'avais mal à la tête et j'entendais pousser mes cheveux.

Il faudra que je vous raconte cette soirée … Ah ouai c'est ce que je viens de faire ! C'est vrai .

Quelques temps plus tard je reprenais l'école, j'avais toujours mon dispositif de chasteté sur moi et il fallait que je me résigne, je le porterais longtemps.

Par contre, tous les mois, il y a une fête comme ça au village et je vous jure que depuis je n'en loupe pas une …

Fin
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Texte coquin : La maison d'hôtes 10 Le bal
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