La maison dans le sud 02 A l'arrivée
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La maison dans le sud 02 A l'arrivée
La maison dans le sud 02A l'arrivée
Je finissais par m'endormir. Tout le monde avait l'air satisfait. Il ne leur faut pas grand chose, une petite pipe vite fait bien fait, bien fait surtout et je sais de quoi je parle car justement c'est moi qui la faisais … la pipe … Pourtant je vous jure que je ne fume pas !
Le calme était tombé, la soirée avançait mais les jours sont longs en cette saison. Ma queue m'avait torturé pendant un long moment. Mon cœur battait fort et soutenait une érection qui à la longue devenait difficile à supporter. Il me fallait un long moment pour que je me calme et que ma queue ne retrouve un peu de quiétude.
On n'était plus très loin de la destination quand j'ai demander de reprendre le volant. C'est donc moi qui conduisait quand on arrivait, dans la voiture tout le monde s'était assoupi. J'entrais la voiture dans le jardin et refermais le portail. Je repassais à côté de la voiture, ça ronflait fort là dedans. Un moment j'avais pensé qu'un arrêt prolongé les aurait réveillé, finalement non …
J'ouvrais la porte de la maison, ce n'était pas la première fois qu'on y venait. Je les laissais dormir, finalement c'était eux qui m'avaient fatigué, mais c'était aussi eux qui dormaient. Je décidais de me détendre en prenant une douche.
La maison est dans un endroit assez étonnant. D'un côté elle ouvre sur une petite route, genre chemin qui s'enfonce dans les bois, assez large pour une grosse voiture, c'est la façade et de l'autre, au fond du jardin il y a un petit portail qui ouvre sur la forêt … C'est une zone naturiste, il y a un camp naturiste avec la forêt, comme je disais, puis plus loin la dune, la plage et au milieu de tout ça les installations du camping naturiste.
C'est cool on n'est pas obligé de s'habiller quand on vient ici, sauf en hiver à cause du froid mais là, on était en été …
En sortant de la douche je revenais donc totalement à poil dans la cuisine. Il y a tout ce qu'il faut pour pouvoir préparer des repas, au cas ou on arriverait après la fermeture des magasins. C'était le cas, il était trop tard pour faire des courses, il faudra y penser , mais pour ce soir, on devrait survivre. Il y avait tout ce qu'il fallait pour une urgence.
Dans ma cage, ma queue s'était calmée, j'y gardais toujours une grosse molle mais ce n'était plus vraiment désagréable. La porte était grande ouverte mais j'entendais frapper doucement, je me retournais, c'était Ismaël, le voisin. Il y a juste à côté une autre maison configurée comme la notre et c'était le voisin Ismaël.
– J'étais dans mon jardin, je vous ai entendu arriver, vous avez fait bonne route ?
– Super mais entre, ne reste pas sur le seuil.
– Pourquoi ils dorment tous dans la voiture ?
– Ne les réveille pas, là on est tranquille.
Il entrait, il était à poil. On vit tous comme ça ici. Il me faisait la bise et au passage il en profitait pour me tripoter les couilles. Il était grand, black, une peau douce et soyeuse et en plus il avait une grosse matraque entre les cuisses qui pendait devant lui.
– Ne me dis pas que tu l'a gardé depuis l'an dernier ?
– C'est pas moi qui ai les clés.
– Ils sont durs avec toi je trouve.
– Et tu sais pas tout.
– Tu les suces quand ils en ont envie, et ils ne t'enculent que quand ils en ont envie.
– C'est vrai qu'il ne me demandent pas souvent ce que je voudrais moi.
Je m'approchais de lui et déjà je remarquait que sa matraque se relevait doucement.
– Suce ma queue !
C'était clair, avec lui on savait toujours ce qu'il voulait.
Je ne l'ai pas fait répéter, je me retrouvais à genoux devant lui, sa queue dans la bouche. Bon j'avais mal à la mâchoire mais j'aime trop sa queue et surtout qu'avec lui je savais que j'allais me la mettre dans le cul. Et après un voyage pareil je ne vous dis pas mais, j'avais le feu au cul.
J'y mettais tout mon cœur, tout mon art et il ne fallait que quelques seconde pour que je l'entende gémir de plaisir. Il me laissait faire, puis me caressait les cheveux, il y mettait beaucoup de douceur, n'appuyait pas sur ma tête, c'était juste une douce caresse sur ma nuque. Il avançait le bassin mais là encore c'était un mouvement lent et tout en douceur. Il me guidait, il me guidait doucement, sa main accompagnait le mouvement que j'imprimais. Mon visage s'approchait de lui, sa queue entrait doucement, lentement dans ma bouche et sa main exerçait juste une douce pression.
Si je bloquais il ne forçait pas, il ne me forçait pas, il m'encourageait par une simple et une douce caresse. J'aime bien cette douceur de sa part. Surtout que s'il jamais il voulait forcer … Là on le sentais passer. Il en avait une grosse, une très grosse.
Mon visage s'approchait de plus en plus de lui, et c'était des centimètres qui entraient dans ma bouche puis dans ma gorge puis profond dans ma gorge. Par moment je bloquais un peu, oui j'avoue je coinçais un peu, je voudrais vous y voir … Son gland repoussait ma glotte et se glissait un peu plus profond. Il gémissait de plaisir encore plus fort et je sentais sa main se crisper sur mes cheveux, elle se crispait mais me laissait toute ma liberté de mouvement.
Un moment je reculais ma tête pour reprendre mon souffle, la caresse de sa main devenait plus forte mais toujours aussi douche et ne me retenait pas. Il me laissais libre de mes mouvements et m'encourageait seulement.
Je revenais encore plus décidé et la son gland venait s'écraser dans ma gorge après avoir repoussé ma glotte, c'était violent !
C'était tout en douceur mais c'était violent, la seule taille de sa queue était une forme de violence. Mais j'adore cette queue, je réglais ma respiration sur mon mouvement de succion et sa queue entrait puis sortait de ma gorge avec force, douceur et régularité.
Il semblait prendre la direction des opérations. Posait ses mains sur tempes et me tirait vers lui. Il me tirait toujours avec une grande douceur et si je résistais il ne me forçait pas. Je ne résistais pas et c'est à peine si ça coinçait. Il a tout de même une grosse queue.
Elle entrait, elle sortait pendant un long moment. Puis il se retirait, j'avais le temps de donner un dernier coup de langue sur son gland. Je relevais la tête, il me regardait avec un large sourire, se penchait vers moi et m'embrassait.
– Retourne toi, penche toi sur la table, je vais t'enculer.
Ça faisait un moment que j'en avais envie, avec le voyage mes camarades m'avaient bien chauffé la cervelle, je ne me suis pas fait prier. Je me retrouvait les jambes écartées, penché, les bras allongés sur la table de la cuisine. Une grosse table de bois massif, un truc bien solide. Je me laissais aller, je devenais tout mou, il y avait toujours une petite appréhension dans mon ventre, un peu comme un nœud au niveau de mon estomac.
Ça me le fait toujours avec lui. Sa queue est plus grosse que celles de mes autres camarades. Enfin chacun d'eux, pas tous réunis …
Mais il faisait toujours preuve de cette grande douceur, il me lubrifiait longuement le cul puis se lubrifiait la queue et enfin prenait position. Il se penchait alors sur moi, il m'écrasait avec force et je sentais aussi sa queue contre mon anus.
Il poussait, j'avais un instant de panique. Il n’embrassait dans le cou et continuait à pousser. Je paniquais toujours. Il me mordillait, je frissonnait et c'est à ce moment qu'il poussait plus fort. Mon cul se détendait et je le sentais se dilater sans douleur. C'était intense, puissant, j'en avait le souffle coupé.
Sa queue glissait avec force, sur toute sa longueur, je la sentait passer mon cul se détendait, se distendait, se dilatait et pour finir se remplissait. C'était agréable, terriblement agréable. C'était à la fois le pied et la panique totale au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses.
Il me serrait alors contre lui de toutes ses forces, il poussait également son bassin contre mes fesses. Il gémissait, je râlait de plaisir et par moment je criais. Il se retirait, je criais plus fort. Il faisait une pause, sa queue était presque entièrement sortie, je reprenais mon souffle puis il revenait avec beaucoup de force, je hurlais.
Il avait forcé l'ouverture en douceur et maintenant j'étais grand ouvert, il pouvait entrer et sortir comme il le voulait. Et c'est ce qu'il voulait. Il me limait le cul, avec force et douceur au début puis avec force. Il entrait, il sortait, je hurlais, je me cramponnais à la table. Il me défonçait le cul ça devenait violent.
J'ai aimé sentir mon anus se dilater comme ça, j'ai adoré sentir son énorme queue glisser en moi et la seule violence n'était que la taille de son membre. Pour le reste c'était un peu comme une montagne de douceur. Mais une douceur virile qu'on sent passer …
J'avais envie de me débattre, pas pour me dégager, oh non c'était trop bon. J'avais envie de gigoter, le plaisir montait en moi, c'était un plaisir intense qui naissait quelque part dans mon ventre se répandait sur ma queue, je l'avais complètement oublié celle là depuis un moment, là c'est un plaisir qui montait dans ma queue, j'avais l'impression de juter et le plaisir montait jusqu'à l'orgasme. Puis le plaisir se répandait dans mon ventre, tout mon ventre et au delà.
Mes bras tremblaient de ce plaisir étrange et je finissait par ne plus contrôler mes gestes. Je tentais de me relever en poussant avec mes bras, je me cramponnais à la table pour ne pas bouger, je me tirais contre la table et le repoussait. Il s'appuyait sur moi de tout son poids, m'immobilisait et continuait à me limer le cul.
Ses mouvements était amples, pas très rapides mais amples, il se retirait à la limite de sortir complètement de mon cul puis revenait bien à fond et écrasait son bassin contre mon cul. Je paniquait, tout mon corps paniquait je respirait fort et je criais encore plus fort.
C'est avec force qu'il me retenait maintenant, lui aussi respirait fort et vite. Puis il a crié, c'est en s'enfonçant bien en moi qu'il a crié en éjaculant, il jouissait en moi. Ça faisait déjà un moment que je jouissais moi. Ça faisait un moment et ça continuait. J'ai joui jusqu'au moment ou il s'est retiré.
Le plaisir était intense à se moment et il a encore grimpé d'un cran. J'ai hurlé, je manquais d'air et c'est enfin à ce moment que j'ai vraiment juté. Avant ce n'était qu'une impression.
Nous étions essoufflés, il se laissait retomber sur moi et me couvrait de baisers dans le haut dos, sur le cou. Je frissonnais encore de plaisir pendant un moment, je sentais sa peau contre la mienne et ses baiser sur ma peau.
– Et bien, tu n'as rien préparé à manger ?
On sursautait, c'était David, il venait de se réveiller. Kevin et Liam suivaient, Liam avait le regard encore noyé de sommeil.
– Qu'est ce qu'on mange ? Demandait-il.
Ismaël rigolait, je le sentais et chacun de ses rires me caressait le dos, je finissais par rigoler également. Nous étions toujours en position, la queue d'Ismaël toujours à moitié en érection entre mes jambes. J'étais toujours allongé sur la table. Mais je vous rassure, mes camarades ne se sont pas formalisé pour si peu.
– Il n'a pas changé celui-là depuis l'an dernier, il ne pense toujours qu'à bouffer !
– Il y en a d'autre qui ne pensent qu'à se faire défoncer le cul ! Lui répondait Liam du tac au tac.
– J'aimerais bien te voir toi, je me demande si tu n'aurais pas toi aussi le feu au cul si tu portais comme moi une cage à bite pendant plus d'un an.
Finalement ce premier soir on à soupé chez notre voisin.
Je me suis dit que ce mois de vacances commençait bien, je me demandais seulement s'ils avait l'intention de me retirer ma cage, je me demandais si seulement j'en avais envie.
A suivre ( peut être )
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Je finissais par m'endormir. Tout le monde avait l'air satisfait. Il ne leur faut pas grand chose, une petite pipe vite fait bien fait, bien fait surtout et je sais de quoi je parle car justement c'est moi qui la faisais … la pipe … Pourtant je vous jure que je ne fume pas !
Le calme était tombé, la soirée avançait mais les jours sont longs en cette saison. Ma queue m'avait torturé pendant un long moment. Mon cœur battait fort et soutenait une érection qui à la longue devenait difficile à supporter. Il me fallait un long moment pour que je me calme et que ma queue ne retrouve un peu de quiétude.
On n'était plus très loin de la destination quand j'ai demander de reprendre le volant. C'est donc moi qui conduisait quand on arrivait, dans la voiture tout le monde s'était assoupi. J'entrais la voiture dans le jardin et refermais le portail. Je repassais à côté de la voiture, ça ronflait fort là dedans. Un moment j'avais pensé qu'un arrêt prolongé les aurait réveillé, finalement non …
J'ouvrais la porte de la maison, ce n'était pas la première fois qu'on y venait. Je les laissais dormir, finalement c'était eux qui m'avaient fatigué, mais c'était aussi eux qui dormaient. Je décidais de me détendre en prenant une douche.
La maison est dans un endroit assez étonnant. D'un côté elle ouvre sur une petite route, genre chemin qui s'enfonce dans les bois, assez large pour une grosse voiture, c'est la façade et de l'autre, au fond du jardin il y a un petit portail qui ouvre sur la forêt … C'est une zone naturiste, il y a un camp naturiste avec la forêt, comme je disais, puis plus loin la dune, la plage et au milieu de tout ça les installations du camping naturiste.
C'est cool on n'est pas obligé de s'habiller quand on vient ici, sauf en hiver à cause du froid mais là, on était en été …
En sortant de la douche je revenais donc totalement à poil dans la cuisine. Il y a tout ce qu'il faut pour pouvoir préparer des repas, au cas ou on arriverait après la fermeture des magasins. C'était le cas, il était trop tard pour faire des courses, il faudra y penser , mais pour ce soir, on devrait survivre. Il y avait tout ce qu'il fallait pour une urgence.
Dans ma cage, ma queue s'était calmée, j'y gardais toujours une grosse molle mais ce n'était plus vraiment désagréable. La porte était grande ouverte mais j'entendais frapper doucement, je me retournais, c'était Ismaël, le voisin. Il y a juste à côté une autre maison configurée comme la notre et c'était le voisin Ismaël.
– J'étais dans mon jardin, je vous ai entendu arriver, vous avez fait bonne route ?
– Super mais entre, ne reste pas sur le seuil.
– Pourquoi ils dorment tous dans la voiture ?
– Ne les réveille pas, là on est tranquille.
Il entrait, il était à poil. On vit tous comme ça ici. Il me faisait la bise et au passage il en profitait pour me tripoter les couilles. Il était grand, black, une peau douce et soyeuse et en plus il avait une grosse matraque entre les cuisses qui pendait devant lui.
– Ne me dis pas que tu l'a gardé depuis l'an dernier ?
– C'est pas moi qui ai les clés.
– Ils sont durs avec toi je trouve.
– Et tu sais pas tout.
– Tu les suces quand ils en ont envie, et ils ne t'enculent que quand ils en ont envie.
– C'est vrai qu'il ne me demandent pas souvent ce que je voudrais moi.
Je m'approchais de lui et déjà je remarquait que sa matraque se relevait doucement.
– Suce ma queue !
C'était clair, avec lui on savait toujours ce qu'il voulait.
Je ne l'ai pas fait répéter, je me retrouvais à genoux devant lui, sa queue dans la bouche. Bon j'avais mal à la mâchoire mais j'aime trop sa queue et surtout qu'avec lui je savais que j'allais me la mettre dans le cul. Et après un voyage pareil je ne vous dis pas mais, j'avais le feu au cul.
J'y mettais tout mon cœur, tout mon art et il ne fallait que quelques seconde pour que je l'entende gémir de plaisir. Il me laissait faire, puis me caressait les cheveux, il y mettait beaucoup de douceur, n'appuyait pas sur ma tête, c'était juste une douce caresse sur ma nuque. Il avançait le bassin mais là encore c'était un mouvement lent et tout en douceur. Il me guidait, il me guidait doucement, sa main accompagnait le mouvement que j'imprimais. Mon visage s'approchait de lui, sa queue entrait doucement, lentement dans ma bouche et sa main exerçait juste une douce pression.
Si je bloquais il ne forçait pas, il ne me forçait pas, il m'encourageait par une simple et une douce caresse. J'aime bien cette douceur de sa part. Surtout que s'il jamais il voulait forcer … Là on le sentais passer. Il en avait une grosse, une très grosse.
Mon visage s'approchait de plus en plus de lui, et c'était des centimètres qui entraient dans ma bouche puis dans ma gorge puis profond dans ma gorge. Par moment je bloquais un peu, oui j'avoue je coinçais un peu, je voudrais vous y voir … Son gland repoussait ma glotte et se glissait un peu plus profond. Il gémissait de plaisir encore plus fort et je sentais sa main se crisper sur mes cheveux, elle se crispait mais me laissait toute ma liberté de mouvement.
Un moment je reculais ma tête pour reprendre mon souffle, la caresse de sa main devenait plus forte mais toujours aussi douche et ne me retenait pas. Il me laissais libre de mes mouvements et m'encourageait seulement.
Je revenais encore plus décidé et la son gland venait s'écraser dans ma gorge après avoir repoussé ma glotte, c'était violent !
C'était tout en douceur mais c'était violent, la seule taille de sa queue était une forme de violence. Mais j'adore cette queue, je réglais ma respiration sur mon mouvement de succion et sa queue entrait puis sortait de ma gorge avec force, douceur et régularité.
Il semblait prendre la direction des opérations. Posait ses mains sur tempes et me tirait vers lui. Il me tirait toujours avec une grande douceur et si je résistais il ne me forçait pas. Je ne résistais pas et c'est à peine si ça coinçait. Il a tout de même une grosse queue.
Elle entrait, elle sortait pendant un long moment. Puis il se retirait, j'avais le temps de donner un dernier coup de langue sur son gland. Je relevais la tête, il me regardait avec un large sourire, se penchait vers moi et m'embrassait.
– Retourne toi, penche toi sur la table, je vais t'enculer.
Ça faisait un moment que j'en avais envie, avec le voyage mes camarades m'avaient bien chauffé la cervelle, je ne me suis pas fait prier. Je me retrouvait les jambes écartées, penché, les bras allongés sur la table de la cuisine. Une grosse table de bois massif, un truc bien solide. Je me laissais aller, je devenais tout mou, il y avait toujours une petite appréhension dans mon ventre, un peu comme un nœud au niveau de mon estomac.
Ça me le fait toujours avec lui. Sa queue est plus grosse que celles de mes autres camarades. Enfin chacun d'eux, pas tous réunis …
Mais il faisait toujours preuve de cette grande douceur, il me lubrifiait longuement le cul puis se lubrifiait la queue et enfin prenait position. Il se penchait alors sur moi, il m'écrasait avec force et je sentais aussi sa queue contre mon anus.
Il poussait, j'avais un instant de panique. Il n’embrassait dans le cou et continuait à pousser. Je paniquais toujours. Il me mordillait, je frissonnait et c'est à ce moment qu'il poussait plus fort. Mon cul se détendait et je le sentais se dilater sans douleur. C'était intense, puissant, j'en avait le souffle coupé.
Sa queue glissait avec force, sur toute sa longueur, je la sentait passer mon cul se détendait, se distendait, se dilatait et pour finir se remplissait. C'était agréable, terriblement agréable. C'était à la fois le pied et la panique totale au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses.
Il me serrait alors contre lui de toutes ses forces, il poussait également son bassin contre mes fesses. Il gémissait, je râlait de plaisir et par moment je criais. Il se retirait, je criais plus fort. Il faisait une pause, sa queue était presque entièrement sortie, je reprenais mon souffle puis il revenait avec beaucoup de force, je hurlais.
Il avait forcé l'ouverture en douceur et maintenant j'étais grand ouvert, il pouvait entrer et sortir comme il le voulait. Et c'est ce qu'il voulait. Il me limait le cul, avec force et douceur au début puis avec force. Il entrait, il sortait, je hurlais, je me cramponnais à la table. Il me défonçait le cul ça devenait violent.
J'ai aimé sentir mon anus se dilater comme ça, j'ai adoré sentir son énorme queue glisser en moi et la seule violence n'était que la taille de son membre. Pour le reste c'était un peu comme une montagne de douceur. Mais une douceur virile qu'on sent passer …
J'avais envie de me débattre, pas pour me dégager, oh non c'était trop bon. J'avais envie de gigoter, le plaisir montait en moi, c'était un plaisir intense qui naissait quelque part dans mon ventre se répandait sur ma queue, je l'avais complètement oublié celle là depuis un moment, là c'est un plaisir qui montait dans ma queue, j'avais l'impression de juter et le plaisir montait jusqu'à l'orgasme. Puis le plaisir se répandait dans mon ventre, tout mon ventre et au delà.
Mes bras tremblaient de ce plaisir étrange et je finissait par ne plus contrôler mes gestes. Je tentais de me relever en poussant avec mes bras, je me cramponnais à la table pour ne pas bouger, je me tirais contre la table et le repoussait. Il s'appuyait sur moi de tout son poids, m'immobilisait et continuait à me limer le cul.
Ses mouvements était amples, pas très rapides mais amples, il se retirait à la limite de sortir complètement de mon cul puis revenait bien à fond et écrasait son bassin contre mon cul. Je paniquait, tout mon corps paniquait je respirait fort et je criais encore plus fort.
C'est avec force qu'il me retenait maintenant, lui aussi respirait fort et vite. Puis il a crié, c'est en s'enfonçant bien en moi qu'il a crié en éjaculant, il jouissait en moi. Ça faisait déjà un moment que je jouissais moi. Ça faisait un moment et ça continuait. J'ai joui jusqu'au moment ou il s'est retiré.
Le plaisir était intense à se moment et il a encore grimpé d'un cran. J'ai hurlé, je manquais d'air et c'est enfin à ce moment que j'ai vraiment juté. Avant ce n'était qu'une impression.
Nous étions essoufflés, il se laissait retomber sur moi et me couvrait de baisers dans le haut dos, sur le cou. Je frissonnais encore de plaisir pendant un moment, je sentais sa peau contre la mienne et ses baiser sur ma peau.
– Et bien, tu n'as rien préparé à manger ?
On sursautait, c'était David, il venait de se réveiller. Kevin et Liam suivaient, Liam avait le regard encore noyé de sommeil.
– Qu'est ce qu'on mange ? Demandait-il.
Ismaël rigolait, je le sentais et chacun de ses rires me caressait le dos, je finissais par rigoler également. Nous étions toujours en position, la queue d'Ismaël toujours à moitié en érection entre mes jambes. J'étais toujours allongé sur la table. Mais je vous rassure, mes camarades ne se sont pas formalisé pour si peu.
– Il n'a pas changé celui-là depuis l'an dernier, il ne pense toujours qu'à bouffer !
– Il y en a d'autre qui ne pensent qu'à se faire défoncer le cul ! Lui répondait Liam du tac au tac.
– J'aimerais bien te voir toi, je me demande si tu n'aurais pas toi aussi le feu au cul si tu portais comme moi une cage à bite pendant plus d'un an.
Finalement ce premier soir on à soupé chez notre voisin.
Je me suis dit que ce mois de vacances commençait bien, je me demandais seulement s'ils avait l'intention de me retirer ma cage, je me demandais si seulement j'en avais envie.
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