La maison des plaisirs 2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La maison des plaisirs 2
Jacques-Edouard sait que pour continuer à vivre secrètement sa sexualité cachée, il doit donner le change avec des filles.
Pour cela, il s'est entrainé avec la jeune Sarah et des clients, lors de quelques trioq bisexuels.
Cela rassure son père, Charles Henri, qui ne comprend pas pourquoi Jacques-Edouard ne l'accompagne plus à la maison close.
Il pense d'ailleurs qu'il n'y va plus, puisque c'est lui qui paie la tenancière.
"Père ! Je vais voir des amis ! Je vous souhaite une bonne soirée !".
Jacques-Edouard arrive à la "maison des plaisirs", comme il aime la nommer.
On le prépare pour un nouveau client.
Cette fois, on l'habille de vêtements clairs, et on lui a mis un masque qui lui donne un air félin, lui couvrant tout le haut du visage.
Le masque est solidement fixé par l'arrière, mais lui permet d'utiliser sa bouche.
Il attend dans une pièce faiblement éclairée, ou il a de nombreuses fois subit les assauts de groupes d'hommes vicieux.
Il y a aussi, et enfin, connu ses premiers orgasmes anaux.
C'est Antoine qui lui a fait connaitre ce plaisir intense, en premier.
Il faut dire que l'homme apprécie beaucoup de l'enculer à chacune de ses venues.
Donc, Jacques-Edouard est allongé sur un sofa recouvert de velours.
Il voit entrer un homme mûr, très grand et possédant une certaine prestance.
"Bonsoir monsieur ! Je m'appelle Antonio !".
"Bonsoir Antonio ! Vous me plaisez beaucoup ! Vous me rappelez quelqu'un ! J'ai de la chance !".
L'homme s'approche et caresse le cou de Jacques-Edouard, qui se met à frissonner.
Leurs lèvres se mélangent très vite, Jacques-Edouard est pris de picotements dans tout le corps.
C'est la première fois qu'il ressent cela, il attire le visage de l'homme pour lui rendre son baiser passionné.
L'homme le dévêtit lentement, puis le caresse longuement sur tout le corps.
Jacques-Edouard se contorsionne de plaisir sous ses caresses appuyées.
"Oh, Antonio ! Vous me plaisez énormément !".
"Vous aussi ! Monsieur !".
Jacques-Edouard dénude son nouveau client, et après de longues caresses mutuelles, il s'attarde sur son magnifique sexe.
Bien sûr, il a connu des queues bien plus longues ou plus larges, mais il en adore les proportions parfaites, avec son gland très proéminent.
L'homme gémit en découvrant le contact des lèvres du jeune garçon sur sa queue.
"Arhhhhh ! Antonio ! C'est divin ! Encore !".
"Mmmm, vous aimez ma bouche monsieur ?".
"Ohhh ! J'adore ! Mais appellez moi, Etienne, ce sera plus simple !".
"J'aime vous sucer, monsieur Etienne !".
"Alors continuez, Antonio ! Arhhhhhhhhh !".
Jacques-Edouard n'a jamais été aussi assidu dans cette pratique, il y met toute sa passion, il n'a jamais ressenti cela.
Etienne râle son plaisir à de nombreuses reprises, puis profite d'un temps d'arrêt, quand son jeune amant se place au dessus de lui.
Les deux hommes mêlent encore leurs bouches tendrement.
Etienne poses ses mains sur les fesses du jeune homme qui le chevauche.
Il guide sa grosse queue contre l'œillet de Jacques-Edouard qui pousse déjà pour se pénétrer.
"Oh, j'en ai jamais eu autant envie ! Monsieur Etienne !".
"Moi aussi ! Antonio ! Vous me faites perdre la raison, jeune homme !".
Commence alors une danse corporelle à deux corps, passionnée et amoureuse, interminable.
Chacun cherche à montrer, à quel point, il aime le corps de l'autre.
Jacques-Edouard change souvent de position, il veut connaitre tous les plaisirs avec Etienne.
Il s'offre avec fougue et sans retenue.
Etienne ne se contrôle plus également, excité par les râles de jouissance du jeune garçon.
C'est une longue séance sexuelle qui emmène chacun d'eux, vers un constat d'amour réciproque.
C'est Etienne qui lâche en premier, lors de son déversement de sperme dans l'anus de Jacques-Edouard.
"Arghhhhhhhhhhh ! Antonio, je vous aime ! Je deviens fou ! Argggggggggghhhhhhhhhhhhh !".
Jacques-Edouard attire son amant vers lui, pour lui permettre de mieux l'ensemencer, et lui réponds:
"Moi aussi ! Monsieur Etienne ! Je vous aime !".
Après une interminable jouissance commune, les deux hommes peinent à briser le silence.
Etienne parle en premier:
"Je veux vous revoir Antonio !".
"Moi aussi ! Monsieur Etienne ! je serai là, tous les vendredi, samedi et dimanche soirs !".
"Je viendrai demain, alors ! Je me doute que tu as d'autres clients que moi, mais je ne veux pas y penser !".
"Vous êtes le seul avec qui j'ai fais l'amour ! Monsieur Etienne ! Et cela restera comme ça !".
Ils se retrouvent dès qu'ils peuvent, aux jours convenus.
Jusqu'au jour ou Etienne ne tient plus et enlève son masque pour révéler à Jacques-Edouard, sa véritable identité.
Le jeune homme a un sursaut, en découvrant le visage d'Etienne.
Il le reconnait comme une vague connaissance de son père, et se souvient de ses regards appuyés envers lui, lors d'un déjeuner d'affaire organisé par son père dans le parc de leur château.
Cela explique le trouble qu'il ressentait en sa présence.
Mais le jeune homme ne dit rien et garde son secret.
Puis quelques jours passent, et Etienne reçoit un visite.
C'est Jacques-Edouard qui se présente:
"Bonjour jeune homme ! Vous êtes le fils de Charles Henri ! C'est cela !".
"Oui, monsieur ! Je m'appelle Jacques-Edouard !".
Etienne est toujours sous le charme de ce jeune garçon, qu'il a remarqué chez son père.
"Enchanté Jacques-Edouard ! Que me vaut votre visite ?".
"Eh bien, vous me connaissez plutôt sous un autre nom !".
"Ah bon ? Je ne comprends pas ! Expliquez vous !".
"Et si je vous dis; Je vous aime ! Monsieur Etienne !".
"Antonio ? C'est ... C'est vous ?".
"Oui, je suis venu vous rendre la confiance que vous avez mise en moi, en enlevant votre masque !".
L'homme l'enlace aussitôt et l'embrasse longuement, puis lui demande:
"Donc je dois vous appeler Jacques-Edouard, à présent ! Si on se tutoyait, vu tout ce qu'on a partagé !".
"Si tu veux Etienne ! Je t'aime tellement !".
"Je suis très heureux que ce soit toi ! Tu m'a plu tout de suite, chez ton père ! Je n'osais imaginer te connaitre d'abord en Antonio ! je t'aime tellement, moi aussi ! J'ai envie de toi, là ! Tout de suite !".
"Alors, prends moi ! Je t'appartiens !".
Etienne dirige le jeune garçon vers sa chambre, et lui fait l'amour toute l'après-midi.
Jacques-Edouard éjacule à deux reprises, et connait le bonheur d'une première éjaculation d'Etienne dans sa gorge.
Puis, après un temps de repos, ampli de caresses, il se fait inonder l'anus de sperme à deux reprises par celui qu'il considère comme l'homme de sa vie.
"Tu ne peux plus me quitter, à présent ! Je vais te trouver un emploi dans mon entreprise automobile ! D'après ta mère, tu as des dons artistiques ?".
"Oui, ça ne nourrit pas, mais j'aime la peinture et je dessine assez bien !".
"Très bien, tu feras un excellent chef de projet pour mes futures voitures ! Et si ça ne marche pas, on trouvera autre chose !".
"Je t'aime Etienne !".
"Moi aussi ! Par contre, j'aimerai être le seul, tu t'en doutes ! Il va falloir quitter l'établissement de Madame T... !".
"Oui, je sais, dès que cela sera possible ! je te le promets !".
Cela prendra quelques mois, le temps que Jacques-Edouard trouve lui-même son remplaçant.
Il s'agit du fils d'un client de son père, Jacques-Edouard a décelé chez lui, ce coté timide et androgyne.
Il lui a glissé l'adresse de la maison des plaisirs avec une date, une heure et un message "De la part d'Antonio ! Pour Antoine !".
Etienne a été très heureux, quand Jacques-Edouard lui a annoncé:
"Voila, je suis entièrement à toi, à présent !".
Il l'a possédé avec fougue, puis après avoir éjaculé, lui a demandé:
"Tu as fait des choses perverses, je suppose ! Ca ne va pas te manquer ?".
"J'avoue que je ne sais pas ! Je veux essayer de m'en passer pour toi, nous verrons bien !".
"Parles m'en, si cela te manque trop ! Je veux le savoir ! Il y a surement des choses qu'on peut faire tous les deux ! J'ai moi aussi, mon coté pervers !".
"D'accord Etienne ! On va laisser faire le temps ! Mais on peut commencer par ça: Prends moi sauvagement ! J'ai envie que tu me domines !".
"Ah, tu veux être dominé ? Je vais te donner ce plaisir !".
Etienne va prendre des liens et attache son protégé entre deux poteaux qui servent de continuation à une porte stylée.
Jacques-Edouard est attaché avec les bras et les jambes écartées.
Etienne se risque à le flageller sur les fesses, avec un martinet en cuir.
Le jeune homme se cambre en gémissant de plaisir douleur.
Etienne se place derrière lui et lui insère le manche du martinet en travers de la bouche, pendant qu'il s'enfonce d'une traite dans son cul.
Il se sert du manche, comme accroche, pour l'enculer sauvagement.
Jacques-Edouard jouit analement en criant son plaisir et en réclamant à son amant de continuer ce traitement.
Etienne s'applique à lui procurer plusieurs orgasmes successifs, puis il se retire et lui enfonce le manche du martinet dans l'anus.
Il détache les mains du jeune garçon et le penche sur sa bite pour lui défoncer la gorge en le faisant saliver avec abondance.
"Mmmm ! Etienne, je veux ta semence ! Donne la moi ! Mmmmmmm".
"Tu la veux ? Tu vas l'avoir !".
Etienne retourne derrière son cul et remplace le manche de bois par sa grosse bite en se déchainant avec fougue.
Il sent monter son plaisir et au moment d'exploser, il revient dans la gorge de Jacques-Edouard pour lui défoncer profondément.
Le jeune garçon s'étouffe sur le gros sexe, puis il est pris de suffocations en recevant le sperme de son amant.
Etienne se déverse en lui sans reculer son gland, enfoncé à l'extrême contre la glotte de Jacques-Edouard.
Il sent un liquide chaud sur sa cuisse, c'est le jeune garçon qui se branle et éjacule sur lui, tout en avalant son foutre.
Etienne s'écarte lentement, vidé de tout désir et semence.
"Je t'aime Etienne ! C'était vraiment très bon ! Merci beaucoup !".
"Pour moi aussi, c'était bon ! On recommencera !".
Comme il fallait s'en douter, Jacques-Edouard a eu des envies de soumission plus poussée.
Après en avoir été informé, Etienne lui a organisé des soirées avec des hommes virils et bien dotés, dont fera partie Antoine, qui n'aurait manqué cette occasion, pour quoi que ce soit.
Il y a découvert un plaisir nouveau, le voyeurisme.
Il aimait diriger les hommes, en leur offrant le jeune garçon.
Après chaque séance perverse, ils pouvaient ensuite se retrouver plus tendrement.
Jacques-Edouard a aussi trouvé sa voie professionnellement, ses dessins ont fortement influencé le design des autos d'Etienne.
Il a donc fait la fierté de son père, malgré le fait qu'il n'aura jamais d'enfant.
Pour cela, il s'est entrainé avec la jeune Sarah et des clients, lors de quelques trioq bisexuels.
Cela rassure son père, Charles Henri, qui ne comprend pas pourquoi Jacques-Edouard ne l'accompagne plus à la maison close.
Il pense d'ailleurs qu'il n'y va plus, puisque c'est lui qui paie la tenancière.
"Père ! Je vais voir des amis ! Je vous souhaite une bonne soirée !".
Jacques-Edouard arrive à la "maison des plaisirs", comme il aime la nommer.
On le prépare pour un nouveau client.
Cette fois, on l'habille de vêtements clairs, et on lui a mis un masque qui lui donne un air félin, lui couvrant tout le haut du visage.
Le masque est solidement fixé par l'arrière, mais lui permet d'utiliser sa bouche.
Il attend dans une pièce faiblement éclairée, ou il a de nombreuses fois subit les assauts de groupes d'hommes vicieux.
Il y a aussi, et enfin, connu ses premiers orgasmes anaux.
C'est Antoine qui lui a fait connaitre ce plaisir intense, en premier.
Il faut dire que l'homme apprécie beaucoup de l'enculer à chacune de ses venues.
Donc, Jacques-Edouard est allongé sur un sofa recouvert de velours.
Il voit entrer un homme mûr, très grand et possédant une certaine prestance.
"Bonsoir monsieur ! Je m'appelle Antonio !".
"Bonsoir Antonio ! Vous me plaisez beaucoup ! Vous me rappelez quelqu'un ! J'ai de la chance !".
L'homme s'approche et caresse le cou de Jacques-Edouard, qui se met à frissonner.
Leurs lèvres se mélangent très vite, Jacques-Edouard est pris de picotements dans tout le corps.
C'est la première fois qu'il ressent cela, il attire le visage de l'homme pour lui rendre son baiser passionné.
L'homme le dévêtit lentement, puis le caresse longuement sur tout le corps.
Jacques-Edouard se contorsionne de plaisir sous ses caresses appuyées.
"Oh, Antonio ! Vous me plaisez énormément !".
"Vous aussi ! Monsieur !".
Jacques-Edouard dénude son nouveau client, et après de longues caresses mutuelles, il s'attarde sur son magnifique sexe.
Bien sûr, il a connu des queues bien plus longues ou plus larges, mais il en adore les proportions parfaites, avec son gland très proéminent.
L'homme gémit en découvrant le contact des lèvres du jeune garçon sur sa queue.
"Arhhhhh ! Antonio ! C'est divin ! Encore !".
"Mmmm, vous aimez ma bouche monsieur ?".
"Ohhh ! J'adore ! Mais appellez moi, Etienne, ce sera plus simple !".
"J'aime vous sucer, monsieur Etienne !".
"Alors continuez, Antonio ! Arhhhhhhhhh !".
Jacques-Edouard n'a jamais été aussi assidu dans cette pratique, il y met toute sa passion, il n'a jamais ressenti cela.
Etienne râle son plaisir à de nombreuses reprises, puis profite d'un temps d'arrêt, quand son jeune amant se place au dessus de lui.
Les deux hommes mêlent encore leurs bouches tendrement.
Etienne poses ses mains sur les fesses du jeune homme qui le chevauche.
Il guide sa grosse queue contre l'œillet de Jacques-Edouard qui pousse déjà pour se pénétrer.
"Oh, j'en ai jamais eu autant envie ! Monsieur Etienne !".
"Moi aussi ! Antonio ! Vous me faites perdre la raison, jeune homme !".
Commence alors une danse corporelle à deux corps, passionnée et amoureuse, interminable.
Chacun cherche à montrer, à quel point, il aime le corps de l'autre.
Jacques-Edouard change souvent de position, il veut connaitre tous les plaisirs avec Etienne.
Il s'offre avec fougue et sans retenue.
Etienne ne se contrôle plus également, excité par les râles de jouissance du jeune garçon.
C'est une longue séance sexuelle qui emmène chacun d'eux, vers un constat d'amour réciproque.
C'est Etienne qui lâche en premier, lors de son déversement de sperme dans l'anus de Jacques-Edouard.
"Arghhhhhhhhhhh ! Antonio, je vous aime ! Je deviens fou ! Argggggggggghhhhhhhhhhhhh !".
Jacques-Edouard attire son amant vers lui, pour lui permettre de mieux l'ensemencer, et lui réponds:
"Moi aussi ! Monsieur Etienne ! Je vous aime !".
Après une interminable jouissance commune, les deux hommes peinent à briser le silence.
Etienne parle en premier:
"Je veux vous revoir Antonio !".
"Moi aussi ! Monsieur Etienne ! je serai là, tous les vendredi, samedi et dimanche soirs !".
"Je viendrai demain, alors ! Je me doute que tu as d'autres clients que moi, mais je ne veux pas y penser !".
"Vous êtes le seul avec qui j'ai fais l'amour ! Monsieur Etienne ! Et cela restera comme ça !".
Ils se retrouvent dès qu'ils peuvent, aux jours convenus.
Jusqu'au jour ou Etienne ne tient plus et enlève son masque pour révéler à Jacques-Edouard, sa véritable identité.
Le jeune homme a un sursaut, en découvrant le visage d'Etienne.
Il le reconnait comme une vague connaissance de son père, et se souvient de ses regards appuyés envers lui, lors d'un déjeuner d'affaire organisé par son père dans le parc de leur château.
Cela explique le trouble qu'il ressentait en sa présence.
Mais le jeune homme ne dit rien et garde son secret.
Puis quelques jours passent, et Etienne reçoit un visite.
C'est Jacques-Edouard qui se présente:
"Bonjour jeune homme ! Vous êtes le fils de Charles Henri ! C'est cela !".
"Oui, monsieur ! Je m'appelle Jacques-Edouard !".
Etienne est toujours sous le charme de ce jeune garçon, qu'il a remarqué chez son père.
"Enchanté Jacques-Edouard ! Que me vaut votre visite ?".
"Eh bien, vous me connaissez plutôt sous un autre nom !".
"Ah bon ? Je ne comprends pas ! Expliquez vous !".
"Et si je vous dis; Je vous aime ! Monsieur Etienne !".
"Antonio ? C'est ... C'est vous ?".
"Oui, je suis venu vous rendre la confiance que vous avez mise en moi, en enlevant votre masque !".
L'homme l'enlace aussitôt et l'embrasse longuement, puis lui demande:
"Donc je dois vous appeler Jacques-Edouard, à présent ! Si on se tutoyait, vu tout ce qu'on a partagé !".
"Si tu veux Etienne ! Je t'aime tellement !".
"Je suis très heureux que ce soit toi ! Tu m'a plu tout de suite, chez ton père ! Je n'osais imaginer te connaitre d'abord en Antonio ! je t'aime tellement, moi aussi ! J'ai envie de toi, là ! Tout de suite !".
"Alors, prends moi ! Je t'appartiens !".
Etienne dirige le jeune garçon vers sa chambre, et lui fait l'amour toute l'après-midi.
Jacques-Edouard éjacule à deux reprises, et connait le bonheur d'une première éjaculation d'Etienne dans sa gorge.
Puis, après un temps de repos, ampli de caresses, il se fait inonder l'anus de sperme à deux reprises par celui qu'il considère comme l'homme de sa vie.
"Tu ne peux plus me quitter, à présent ! Je vais te trouver un emploi dans mon entreprise automobile ! D'après ta mère, tu as des dons artistiques ?".
"Oui, ça ne nourrit pas, mais j'aime la peinture et je dessine assez bien !".
"Très bien, tu feras un excellent chef de projet pour mes futures voitures ! Et si ça ne marche pas, on trouvera autre chose !".
"Je t'aime Etienne !".
"Moi aussi ! Par contre, j'aimerai être le seul, tu t'en doutes ! Il va falloir quitter l'établissement de Madame T... !".
"Oui, je sais, dès que cela sera possible ! je te le promets !".
Cela prendra quelques mois, le temps que Jacques-Edouard trouve lui-même son remplaçant.
Il s'agit du fils d'un client de son père, Jacques-Edouard a décelé chez lui, ce coté timide et androgyne.
Il lui a glissé l'adresse de la maison des plaisirs avec une date, une heure et un message "De la part d'Antonio ! Pour Antoine !".
Etienne a été très heureux, quand Jacques-Edouard lui a annoncé:
"Voila, je suis entièrement à toi, à présent !".
Il l'a possédé avec fougue, puis après avoir éjaculé, lui a demandé:
"Tu as fait des choses perverses, je suppose ! Ca ne va pas te manquer ?".
"J'avoue que je ne sais pas ! Je veux essayer de m'en passer pour toi, nous verrons bien !".
"Parles m'en, si cela te manque trop ! Je veux le savoir ! Il y a surement des choses qu'on peut faire tous les deux ! J'ai moi aussi, mon coté pervers !".
"D'accord Etienne ! On va laisser faire le temps ! Mais on peut commencer par ça: Prends moi sauvagement ! J'ai envie que tu me domines !".
"Ah, tu veux être dominé ? Je vais te donner ce plaisir !".
Etienne va prendre des liens et attache son protégé entre deux poteaux qui servent de continuation à une porte stylée.
Jacques-Edouard est attaché avec les bras et les jambes écartées.
Etienne se risque à le flageller sur les fesses, avec un martinet en cuir.
Le jeune homme se cambre en gémissant de plaisir douleur.
Etienne se place derrière lui et lui insère le manche du martinet en travers de la bouche, pendant qu'il s'enfonce d'une traite dans son cul.
Il se sert du manche, comme accroche, pour l'enculer sauvagement.
Jacques-Edouard jouit analement en criant son plaisir et en réclamant à son amant de continuer ce traitement.
Etienne s'applique à lui procurer plusieurs orgasmes successifs, puis il se retire et lui enfonce le manche du martinet dans l'anus.
Il détache les mains du jeune garçon et le penche sur sa bite pour lui défoncer la gorge en le faisant saliver avec abondance.
"Mmmm ! Etienne, je veux ta semence ! Donne la moi ! Mmmmmmm".
"Tu la veux ? Tu vas l'avoir !".
Etienne retourne derrière son cul et remplace le manche de bois par sa grosse bite en se déchainant avec fougue.
Il sent monter son plaisir et au moment d'exploser, il revient dans la gorge de Jacques-Edouard pour lui défoncer profondément.
Le jeune garçon s'étouffe sur le gros sexe, puis il est pris de suffocations en recevant le sperme de son amant.
Etienne se déverse en lui sans reculer son gland, enfoncé à l'extrême contre la glotte de Jacques-Edouard.
Il sent un liquide chaud sur sa cuisse, c'est le jeune garçon qui se branle et éjacule sur lui, tout en avalant son foutre.
Etienne s'écarte lentement, vidé de tout désir et semence.
"Je t'aime Etienne ! C'était vraiment très bon ! Merci beaucoup !".
"Pour moi aussi, c'était bon ! On recommencera !".
Comme il fallait s'en douter, Jacques-Edouard a eu des envies de soumission plus poussée.
Après en avoir été informé, Etienne lui a organisé des soirées avec des hommes virils et bien dotés, dont fera partie Antoine, qui n'aurait manqué cette occasion, pour quoi que ce soit.
Il y a découvert un plaisir nouveau, le voyeurisme.
Il aimait diriger les hommes, en leur offrant le jeune garçon.
Après chaque séance perverse, ils pouvaient ensuite se retrouver plus tendrement.
Jacques-Edouard a aussi trouvé sa voie professionnellement, ses dessins ont fortement influencé le design des autos d'Etienne.
Il a donc fait la fierté de son père, malgré le fait qu'il n'aura jamais d'enfant.
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