La maison des plaisirs - histoire érotique

Jacques-Edouard est un jeune homme issu d'une famille bourgeoise.

Son père est fier de ses premiers fils, tous bien mariés et très prolifiques en descendance.

Mais Jacques-Edouard tarde à montrer un intérêt pour les filles, son truc, c'est plutôt l'art et la musique.

Nous sommes encore à une époque ou tout cela parait futile, les années 20.

Charles Henri (le père), ne voit plus qu'une chose à faire, emmener son fils dans un lieu de luxure.
Il choisit un soir, sans en parler à son épouse.

Il entre dans une maison close, très chic, la tenancière reconnait son client, mais fait mine de lui parler pour la première fois, en le voyant accompagné.

"Bonsoir, monsieur, que pouvons nous faire pour vous ?".
"Bonsoir, j'aimerai que vous appreniez certaines choses à mon fils Jacques-Edouard ! Je vous fais entièrement confiance !".

La dame d'un certain âge, s'adresse au jeune homme:

"Monsieur, si vous voulez bien vous donner la peine de me suivre !".

Elle entraine Jacques-Edouard dans une pièce recouverte de feutrine rouge et éclairée de lumières feutrées.

"Attendez là, je vous envoie quelqu'un !".
Pendant ce temps, elle prévient quelqu'un de l'arrivée de Charles Henri, son client fortuné.

Peu de temps après, le jeune homme voit entrer une magnifique et jeune créature en tenue légère.

"Bonsoir, je m'appelle Sarah ! Je vous plais monsieur ?".
"Euh, vous ètes très belle, mais je sais pas...".
"Chht ! Laissez-moi faire ! C'est votre première fois ! C'est ça ?".
"Oui ! Mais ...".
"Chhht !".

La jeune femme dévêtit Jacques-Edouard en mêlant sa bouche à la sienne.
Elle est décontenancée par le manque d'entrain du jeune garçon.

Elle insiste en caressant sa jeune verge, qui peine à bander.
Puis elle va plus loin en se pénétrant la bouche pour lui faire une longue fellation.

Elle a beau mettre tout son savoir à l'ouvrage, rien n'y fait et au bout d'un quart d'heure, elle lui demande:

"Je vous plais pas, c'est ça ?".
"Non, vous êtes très jolie, je sais pas pourquoi, j'y arrive pas !".

La jeune femme lui couvre les yeux et lui dit:

"Attends-moi ici ! On va essayer autre chose !".

Après quelques minutes, le jeune Jacques-Edouard entend des pas, puis retrouve la sensation des doigts de la jeune femme sur sa queue.
Il sent sa main, être attirée vers quelque chose de très dur.

La jeune femme fait coulisser les doigts de Jacques-Edouard sur ce qui s'avère être une grosse verge d'homme.

Le jeune garçon devine alors ce qu'il touche et ressent un frisson dans le corps.

"Ohhhh ! Je ...".
"Chhht ! Continuez !".

Jacques-Edouard branle doucement le sexe inconnu, il accompagne sa caresse de son autre main.

La jeune femme voit clairement que Jacques-Edouard se met à bander fermement.
Elle accompagne les deux hommes en masturbant Jacques-Edouard, pendant une bonne dizaine de minutes.
Puis elle imprime un appui derrière la nuque du jeune homme qui découvre alors, le contact du gland de la verge qu'il masturbe avec ses lèvres.

L'inconnu force encore un peu dans sa bouche et parvient à toucher le fond de sa glotte.
Jacques-Edouard gémit, il bande encore plus fermement.

"Bon, vous n'avez plus besoin de moi à présent ! Je vous laisse ! Antoine, je te laisse faire son éducation !".
"Merci Sarah ! Tu peux me faire confiance !".

Antoine prend un plaisir certain à se faire pomper la queue par ce nouveau jeune client.
Il lui ordonne de se branler en le suçant, mais il ne doit pas éjaculer.

Jacques-Edouard est submergé de pensées excitantes avec les yeux toujours bandés et la gorge pénétrée sans cesse.
Il pompe inlassablement la verge de l'inconnu sans le voir, et salive parfois en se faisant baiser la gorge longuement.

Il est surpris par la main d'Antoine qui le bloque sur son gros membre, puis, aussitôt après, il a la gorge inondée d'un gout âpre et chaud.

"Il faut avaler monsieur ! Vous m'avez bien sucé, il faut assumer à présent !".

Le jeune homme fait de nombreux bruits d'avalements, il est au bord de l'éjaculation lui aussi.

"Allez monsieur, jusqu'au bout ! Il faut tout prendre ! Oui, arhhhh ! Comme ça ! C'est bien !".

Antoine fait durer le plaisir en se faisant laver le sexe très longtemps, ensuite.

Puis, il relève le jeune Jacques-Edouard et l'entraine dans une autre salle.
Une fois au centre, il affuble le garçon d'un masque type Vénitien et lui dit:

"Vous pouvez regarder à présent !".

Jacques-Edouard voit cinq autres hommes, masqués eux aussi.
Antoine s'adresse à eux:

"Messieurs ! Je vous présente notre nouvelle recrue ! Amusez-vous bien ! Il faut tout lui apprendre !".

Les hommes entourent le jeune homme et le caressent avec désir.
Jacques-Edouard se retrouve vite à genoux avec un défilé de queues dans sa bouche.

Il devine à leurs voix que ce sont tous des hommes mûrs.
Il est surpris de comprendre qu'un homme lui lèche l'anus en serrant sa queue dans la paume de la main.

Puis vient le moment ou cet homme lui enduit l'œillet d'un lubrifiant gras.

Il se cambre en devinant la présence d'un doigt dans son cul, puis deux, et enfin trois, en quelques minutes.

Il se fait ainsi dilater l'anus longuement, puis se détend en pensant être libéré de cette pénétration, quand les doigts quittent son petit trou.

Mais il sent quelque chose de plus gros, pointer contre ses fesses.
Le sexe le pénètre assez vite sur les premiers centimètres, il a bien été dilaté.

Puis l'homme se tient à ses épaules et s'enfonce entièrement pour entamer, très vite, une possession lente et profonde.

"Arhhhhhhhhhhhh ! Oh ! C'est gros, et c'est long ! Arhhhhhhhhh !".

Un autre homme le masturbe, Jacques-Edouard replonge sur les sexes devant lui pour les sucer.

Il gémit en même temps, révélant aux inconnus qu'il aime ce qu'il subit.

"Attention, il ne faut pas qu'il jouisse trop vite !".

Celui qui le branle écarte ses doigts de la bite de Jacques-Edouard et laisse son complice le posséder pleinement.

Le jeune homme est bien dilaté à présent, l'inconnu parvient à sortir sa longue queue et revenir dans son anus sans difficulté.
Jacques-Edouard se met à râler de plaisir en suçant, à chaque enfoncement de queue dans son cul.

Il ne remarque pas le changement de sexe dans son anus, puis s'en rend compte au troisième changement.

Antoine qui est resté pour veiller au bon déroulement des choses, se fait à nouveau sucer par le jeune homme.
Jacques-Edouard subit les assauts successifs des cinq autres inconnus.

La séance dure plus d'une heure, les deux premiers hommes éjaculent dans le cul de Jacques-Edouard.

Puis les trois autres forment un cercle et se déversent dans la gorge ouverte du jeune garçon.

Enfin, Antoine prend la suite et encule Jacques-Edouard avec son sexe épais et long, comme un forcené.
Jacques-Edouard crie son nouveau plaisir, il aime cette sensation de soumission anale.

Antoine lâche sa semence dans ses entrailles, puis entraine Jacques-Edouard dans un cabinet de toilettes et salle de bain.

"Je vous attends dans la pièce à coté, monsieur ! Et merci beaucoup pour votre prestation, nos clients vous ont adoré !".
"Quoi ? Vos clients ?".
"Oui, monsieur ! Mais Chhht ! Ce sera notre secret ! Vous revenez quand vous voulez, ce sera gratuit pour vous !".

La tenancière le retient pour lui proposer une fréquence de venue afin de contenter certains clients, amateurs de jeunes hommes.

Ensuite, Jacques-Edouard se fait accompagner de Sarah pour retrouver son père, soulagé lui aussi, qui demande:

"Alors ? Ca c'est passé comment ?".
"Très bien monsieur ! Votre fils est très doué ! Il revient quand il veut !".
"Ben ! Ca va me couter cher !".
"A vous de voir monsieur ! Rentrez bien ! A bientôt, Monsieur Jacques-Edouard !".
"Merci Sarah ! A bientôt !".
"Eh bien ! Jacques-Edouard ! Tu as l'air d'avoir laissé une bonne impression ! Tu as compris ce que c'est, une femme, maintenant ?".
"Oui, merci Père ! J'ai compris beaucoup de choses ! C'est vrai !".

Le jeune garçon est devenu la coqueluche de nombreux clients, il se faisait prendre et humilier à chaque fin de semaine.
Il pratiquait toujours masqué et avait choisit le surnom d'Antonio en remerciement à celui qui l'avait initié.

Parfois, il devait rejoindre des hommes dans un boudoir sombre, ou certains clients aimaient le dominer avec violence.
Puis, il a refusé d'y retourner quand il a pensé que l'un d'eux était peut être son père.