La maison des secrets (08) - histoire érotique

Suite des histoires de Matthieu et Damien.
Comme d’habitude vos commentaires et questions sont toujours les bienvenus; n’hésitez pas à m’écrire. J’ai aussi des photos pour Matthieu et Damien (sylvainerotic@yahoo.com)

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Le lendemain, Damien me demande s'il n'a pas été trop autoritaire hier soir et si ça m'a plu.
Je lui réponds "non pas du tout" à la première question et "oui beaucoup" à la seconde.
Il me répond: "c'est bon à savoir"

Depuis mes confessions intimes sur le maitre des plaisirs et la découverte du carton de souvenirs, c'est la deuxieme fois que Damien me surprend avec un jeu érotique. Sans que nous en parlions ouvertement. Et cette dynamique me plait. Car l'effet de surprise est total. Et je perçois que Damien agit ainsi pour éviter que cela devienne une nouvelle routine. La spontanéité est la clé de tout...

Quelques semaines se passent sans qu'il ne me reserve de nouvelles surprises.
Puis un jour de semaine, alors que je suis au bureau, je reçois un SMS de sa part en milieu de matinee: "bloque ton 12 - 14". Et rien d'autre. C'est une semaine calme pour lui comme pour moi. Je n'ai donc aucun mal à prendre une longue pause déjeuner. Et nos bureaux ne sont pas si éloignés l'un de l'autre. Je suppose qu'il veut qu'on déjeune juste ensemble.
Mais vers 11.30 je reçois un autre SMS: "hotel X, rue X, chambre 205". Je suis pris d'un frisson. Je sais bien sûr ce que ça signifie. Et ca me rappelle bien sûr l'expérience avec le maitre des plaisirs.

Quand je pénètre dans la chambre, celle ci est déserte. Je m'attends à trouver un masque sur le lit. Mais à ma grande surprise, j'y trouve d'autre choses. Un collier en cuir, et de quoi me faire un lavement. Une belle surprise. Je me prépare donc. Me fais tout propre dans la salle de bains et me passe le collier autour du cou.
Instinctivement je me mets à genoux.
Damien pénètre dans la chambre peu après. Il est en costume cravate. Sexy. Il a l'air de beaucoup apprécier ce qu'il voit. Son mari à genoux, en collier, déjà en train de bander.
Il jette sa veste sur le lit et desserre sa cravate. Il s'approche et vient me plaquer la tête contre son paquet. Je sens sa bite complètement bandée sous son pantalon. Je veux cette bite. Le fait d'être nu et en collier a décuplé ma libido.
Il sort sa queue et jela suce aussitôt. Il attrape mes cheveux dans son poing. Je lève les yeux et lui jette un regard implorant tout en suçant.
Il se débarasse de sa cravate et déboutonne sa chemise, laissant apparaitre son torse sexy. Il est très expressif, soupire, se caresse le torse d'une main, et continue de me tenir par les cheveux de l'autre.
Il finit par faire tomber son pantalon et son boxer sur ses chevilles. Il s'amuse à tapoter sa bite contre ma langue puis la replonge dans ma bouche. J'agrippe ses fesses puissantes et l'avale le plus possible. Mon nez s'est rapproché de sa peau et je sens son odeur mâle et viril qui m'intoxique toujours. Je suce frénétiquement, tandis qu'il continue à se caresser, sur le torse avec sa chemise ouverte ou sur la fesse.

Il tire sur collier et me relève. Il m'embrasse aussitot, sa langue perçant mes lèvres, et sa main m'attrapant au paquet.
- Mets toi sur le lit, fesses en l'air

Je lui obéis, me mets sur les genoux, complètement penché en avant, la tête sur l'oreiller, et j'écarte les fesses avec mes mains.
- Prends moi, baise moi

Il aime cette supplication, alors qu'il se déshabille entièrement.
Il s'approche et me donne une fessée. Puis une caresse. Il enchaine avec une autre fessée.
Il se place derrière moi et plonge aussitot son visage dans ma raie. Il me dévore littéralement le cul. Jamais il ne m'avait fait ça. Ses coups de langue sont rapides, vifs, profonds. Ses mains agrippent et pétrissent mes deux fesses. La salive s'accumule. Je le sens même me mordiller dès qu'il le peut.
La tête toujours plongée dans l'oreiller, je gémis et l'encourage. Jamais l'expression se faire bouffer le cul n'avait aussi bien portée son nom.
Il marque une pause. Je ne me redresse pas. Je sais qu'il se met du gel sur la bite. Je veux être supris par la sodomie. Ne pas la voir arriver. Et surpris je le suis, car il plonge sa bite d'un coup sec, sans ménagement. Je sens une douleur vive et soudaine. Je crie. Mais je m'en fous. Je le veux tellement en moi. Je n'en pouvais plus d'attendre. L'envie, le désir d'avoir son corps en moi, de me faire pénétrer était devenu insupportable.
Il a aussitôt démarré ses va et vient. Il m'a attrapé par les hanches et m'encule par derrière. Je gémis, je fais du bruit. Et lui lâche des "baise moi"
Sa bite vient toucher le fond de mon rectum et ses hanches viennent claquer contre mes fesses.
Soudain il m'attrape par les cheveux pour me redresser
- Mets toi à quatre pattes
Je lui obéis.
Il continue à me sodomiser. Cette fois il attrape mes épaules, ou carrément le collier. Ses coups de queue demeurent vifs et profonds.
- Fuck, c'est bon...
Je m'agite un peu pour participer. Il me baise comme un pro. J'ai l'impression de faire un porno avec lui, tant l'intensité est là, et le sexe est brut.
Alors que je fatigue et m'affaisse encore sur mes coudes, il me fait changer de position.
- Mets toi sur le dos
Je lui obéis et lève les jambes. Il me tire par les jambes pour me placer au bord du lit, et lui se tient en dehors du lit, debout, au bord. Sa bite est à la bonne hauteur et il la replonge en moi sans ménagement. Il prend mes chevilles en main, m'écarte bien les jambes et commence une sodomie rapide et profonde. J'adore voir son torse puissant se contracter au dessus de moi, voir ainsi son corps dominant au dessus du mien. Je me laisse faire, lui jette des regards admiratifs et soumis, tout en agrippant les draps dans mes mains. Je suis un corps immobile et passif et je me donne entièrement à l'homme que j'aime.
Une fois qu'il a bien profité de cette position, il m'attrape par le col et je suis tout surpris et excité quand il me demande de m'allonger sur le bureau. C'est une table assez étroite. Mon corps est un peu plié, ma tête et mes épaules sont collées au mur, mais j'ai bien le cul au bord, les jambes levées, et Damien peut m'enculer en se tenant debout devant moi.
Il reprend ses coups de bite et la table grince et vient meme taper contre le mur. J'aime ça. Ca m'excite. Une baise sauvage, sur un meuble. Pas quelque chose qu'on fait tous les jours. Ca fait un moment qu'il m'encule et comme souvent je commence à ressentir du plaisir m'envahir un peu partout. Je mouille...
- Lève toi, je vais te finir

Je me redresse, et il me laisse debout, en me faisant me pencher contre la fenêtre, qui va du sol au plafond. Je réalise seulement maintenant qu'on n'a pas fermé les rideaux. Mais nous sommes sans vis a vis, à un étage élevé. C'est excitant...
Je me tiens debout, bien cambré, la ville face à moi. Damien est debout derrière moi et m'encule par derriére. Ses mouvements sont réguliers. Ses mains presque constamment en mouvement. Mes épaules qu'il saisit, mon dos qu'il caresse, mes côtes qu'il presse, ma bite qu'il vient branler de temps en temps, et ma taille qu'il serre de ses deux mains. Il me baise totalement. Et je me donne à lui. Je vois son reflet dans la fenêtre, ce qui ajoute du piment. Ses coups deviennent vifs. Il marque de légères pauses puis enchaine avec un coup de queue violent et profond qui me fait sursauter, mais il me tient bien en place par les hanches. Puis il me pilone car il veut maintenant me faire jouir. J'ai garde les mains collées contre la vitre. Une vague de plaisir me prend, de la tête aux pieds. Ma bite se tend et j'explose. Je vois des jets blancs et crémeux se projeter contre la vitre. Je regarde ensuite le sperme couler lentement
Pendant ce temps, Damien s'est mis à gemir
- Oh, je vais jouir, je vais jouir!
Je me détache aussitôt et tombe é genoux. Il a attrapé le collier dans sa main et un premier jet de sperme explose aussitôt sur le haut de ma tête. Sur mes cheveux et sur mon front. Le second jet directement à l'intérieur de ma bouche ouverte. Le troisième contre ma joue.
Encore ivre de plaisir, amoureux, sans tabou pour l'homme que j'aime, son corps et le mien ne faisant qu'un, je prends sa bite dans ma bouche et suce. Quelques gouttes de sperme continuent à s'échapper du gland dans ma bouche. La bite de Damien est ultra sensible et une secousse le prend quand je commence à le sucer. Je crois qu'il est aussi surpris de mon audance. Prendre comme ça sa bite en bouche alors qu'il vient de me baiser.
Il pousse de longs soupirs de soulagement et de plaisir.
Je me lève ensuite. Et on se serre dans les bras. Nos deux corps nus encore tremblants et chaud du sexe intense et passioné que nous nous sommes donnés l'un à l'autre.
Il me retire le collier
- Ca va, c'était bien? Pas trop dur?
- Non pas du tout, j'ai tout kiffé.

Il passe le doigt doucement sur mon cou, un peu inquiet d’avoir laissé une marque.
Il m'embrasse et me caresse un peu
- Douche?

Il me prend par la main. On marche nus vers la salle de bains
Il fait couler l'eau de la douche et s'assure qu'elle est à la bonne température avant de m'inviter avec lui.
On s'embrasse et se caresse. On fait un calin sous la douche. On se serre. J'adore.. C'est quelque chose qu'on s'est remis à faire apres le sexe. Comme une continuation sensuelle et érotique. Continuer à s'aimer mais de maniere chaste, douce, sans pénétration. J'aime le contact de sa peau nue. Ses caresses et ses baisers. Il s'est mis dans mon dos. Mes épaules reposent contre son torse. Il m'embrasse dans le cou, et ses mains me caressent un peu partout. Il me lave. C'est tellement sensuel.
On se murmure des je t'aime. C'est comme si il voulait se montrer le plus calin et doux possible, après avoir été si dominant.
Je me retroune et le serre fort dans mes bras. Je le remercie pour ce moment vraiment extraordinaire. J'espère qu'on recommencera.
On continue à se laver mutuellement, mais on réalise que l'heure tourne.
On s'habille rapidement pour repartir au boulot. Retour à la réalité.
Je dépose un bisou rapide sur ses lèvres
- Tu passes prendre les enfants à l’école ce soir? me lâche-t-il, n'oublie pas qu'Emma a son cours de danse après.
- Ok, bisou, à ce soir

Dès le soir, le tourbillon de la vie quotidienne reprend. Je prends les enfants à l'école, dépose Emma à la danse, et ramène Nathan à la maison pour le faire gouter tout en continuant à bosser depuis la maison. Puis je remets mon petit bonhomme dans la voiture pour aller chercher sa soeur à la danse, car il n'y a personne pour le surveiller. Je suis tellement fier de voir ma princesse dans son costume de danse. Je la prends dans mes bras et la félicite.
Retour à la maison avec toute la logistique du soir...

Je m'affale dans le canapé. Je repense enfin a ma sieste crapuleuse et un peu SM avec Damien. Wow! C'était vraiment excellent... c'est amusant... cette dualité... on a notre vie de famille... et notre vie de couple, intime. Et ces deux choses nous les vivons côte à côte. Comme ca. Le contraste est saisissant. Mais c'est ainsi. C'est l'étrangeté naturelle du sexe. Et évidemment cela est vrai dans tous les couples. Sauf qu'avec nos pratiques devenues plus coquines cela rend le contraste un peu plus fort. C'est tout...

Je me rends compte que j'ai de la chance au bout du compte. Je peux vivre pleinement tous les aspects de ma vie amoureuse et affective, avec l'homme que j'aime...

Pourtant, les semaines, et les mois qui suivent s'avèrent compliques. Il y a des moments où le quotidien vous rattrape et soudainement le sexe devient quelque chose de compliqué... D'abord, les enfants sont tombés malades. D'abord Nathan, pendant une semaine. Une fois passé le stade des biberons et des couches on se dit qu'on sera un peu plus tranquille... jusqu'au jour où les enfants tombent malades et il faut être à nouveau très présent. Puis Nathan a passé ça à sa soeur.... puis à Damien... puis à moi... bref en l'espace de deux mois, tout le monde a été cloué au lit... Inutile de dire que cela a clairement impacté notre vie affective.
Ensuite, le mari d'une de mes deux soeurs est tombé malade d'un cancer. La quarantaine, sportif. Aucun antécédent. Chimio. Il se bat et ça a l'air en très bonne voie. Mais cela nous a fait un choc. Nous a ramené à notre propre mortalité.
Cela crée aussi un sentiment de peur, de fragilité, de perte de confiance...
Bref, en quelques mois, notre vie sexuelle s'est à nouveau restreinte... la réalité et le quotidien étouffant le desir...
Non pas que cela me manquait terriblement. Pareil pour Damien, car je n'avais même pas le temps d'y penser. Mais je me faisais parfois la reflexion, quand Damien s'endormait avant moi, ou qu'il me prenait dans ses bras sans initier de calin ou de préparatif.

Quand les choses se sont apaisées, le désir est remonté. On a recommencé à faire l'amour plus souvent. Damien à me pénétrer régulièrement.
Mais je voulais aussi retrouver les plaisirs coquins que Damien avait initiés. Car j'en avais vraiment le désir, après avoir gouté ça avec lui. Mais aussi parce que je savais que c'était le meilleur moyen de pimenter, et d'éviter de tomber dans la monotonie. Toutefois, au début, étant soumis, ma première attitude a été d'attendre que Damien prenne l'initiative. Après tout, c'était toujours lui qui l'avait prise... Mais progressivement, ne voyant rien venir, je me suis mis à réfléchir. J'ai repensé au maitre des plaisirs.... à Patrick... qu'aurait-il voulu que je fasse?
J'ai compris que c'était à moi de prendre l'initiative. Etre plus soumis ne voulait pas dire que je ne pouvais pas initier les choses.

Il fallait juste trouver le bon moment, le bon contexte. Mais aussi quelque chose de different. Histoire que ce soit suffisamment excitant.
L'occasion s'est presentée un samedi soir. Premier samedi soir sans les enfants depuis des mois. Nous sommes invités chez des amis à diner à Paris. Ca nous fait du bien. On prend une baby sitter et se rend à Paris chez nos amis. On passe un très bon moment. On oublie tout. On rit. Mais j'ai quelque chose en tête.
En rentrant chez nous, il est déjà tard, et je quitte la route principale peu avant d'atteindre notre banlieue. Damien est surpris.
- Qu'est ce que tu fais?
- Chut... une surprise...
Heureusement pour moi il n'est pas trop fatigué. Et il est aussi très intrigué. Je garde un sourire énigmatique mais surtout coquin. Je crois qu'il se doute de quelque chose. On se connait suffisamment bien pour sentir certaines choses.

Je roule vers la forêt proche de notre ville. Tout est désert et calme bien sûr.
Je gare la voiture dans un chemin forestier complètement isolé. Je passe mon bras autour de Damien et commence à l'embrasser.
Il rit un peu.
- Oh... le coup des deux ados dans la voiture...
Il répond à mes baisers. Tant mieux.
Les langues se touchent. Cela devient un peu plus chaud
- Je l'ai jamais fait dans une voiture, je confesse
- Moi non plus répond Damien, avant de reprendre les baisers
Je pose ma main sur son jean. Il bande. Dur. Je le masse. Ma main finit par faire sauter les boutons pour lui caresser le sexe
Puis je me penche pour commencer à le sucer
- Mais qu'est ce que tu fais... ah.... mmmhh....oh...
J'adore le fait qu'il ait réagi comme ça, légèrement ou faussement surpris et pudique, avant de céder et de gémir. D'ailleurs sa main caresse instinctivement mes cheveux. Ce n'est pas très confortable pour moi, penché comme ca. Mais ce n'est rien comparé au plaisir d'avoir sa bite dans ma bouche. Damien relève les fesses légèrement et fait carrément glisser son jean et son boxer à ses pieds. J'ai un bien meilleur accès à sa queue maintenant. Je continue à sucer avec plaisir, excité par la situation. De la buée se forme sur les vitres de la voiture.
Je me redresse soudain et ouvre la porte
- Viens suis moi
Damien renfile vite son pantalon sans le reboutonner.
Je me suis adossé contre le côté de la voiture. Provocateur, j'ai fait tomber mon jean et mon boxer. Je l'attends, les jambes et les fesses à l'air, le sexe bandé, juste éclairé par les phares de la voiture.
Damien se met à genoux et me suce avec gourmandise. Il ne fait pas particulièrement chaud dehors mais ça m'est égal. Ma chemise me tombe sur la moitié des fesses, que Damien a pris dans ses mains et agrippe pour mieux me sucer et me faire des gorges profondes. Je peux soupirer et jurer sans m'inquiéter. Personne ne peut nous entendre. D'ailleurs les bruits de succion de Damien sont bien sonores. Et moi aussi je fais plus de bruit quand il vient me lécher les couilles.
De plus en plus excité, je me penche contre le capot et me cambre bien
- Prends moi

Le regard de Damien en dit long. Il crache à plusieurs reprises sur sa bite, l'enduit de salive et vient aussitôt presser son gland contre mon anus pour me pénétrer. Ca a du mal à rentrer et ça fait mal, quand il n'y a pas de gel. Mais je finis par prendre Damien en moi et il m'encule comme ça. Sauvage, contre le capot de la voiture. Juste éclairé par les phares. C'est brut, chaud, excitant. Je jure, je crie. Damien me baise en rythme. Il est fort excité et je sais qu'il ne tiendra pas longtemps. Au bout de quelques minutes d'ailleurs, je sens son corps se raidir, et son sexe pulser en moi. Il se penche un peu et moi je me redresse aussi, histoire que nos lèvres puissent se trouver. Il branle ma bite dans sa main et commence à me branler. Je me laisse faire. Et il me fait jouir. Debout, le pantalon baissé, le sexe de mon mari encore à moitié bande contre mes fesses, j'éjacule sur le capot de la voiture.
Damien m'embrasse dans le cou et me caresse sur le torse alors que je reprends mon souffle.
On remonte nos boxers et nos jeans qui étaient tombés à nos pieds, et on remonte dans la voiture, excités comme deux adolescents.

Dans la voiture en rentrant, on éclate de rire régulièrement en repensant à ce qu'on vient de faire. C'est ce que j'aime dans ces moments coquins. Pas seulement le plaisir de l'acte lui-même, la griserie de la suprise, mais aussi la complicité dont on fait preuve.

Quand nous rentrons, les enfants dorment depuis longtemps. La baby sitter est allongée sur le lit avec son smartphone. On s'excuse d'être rentré plus tard que prévu (et pour cause...) et j'ajoute un bon supplément à la somme.

Comme à chaque fois que l'on rentre tard, je ne peux m'empêcher de passer une tête dans la chambre des enfants. Celle d'Emma avec les poupées et les robes de princesse. Celle de Nathan avec les dinosaures et les camions partout sur sol. Le petit ange dort en serrant son doudou... ce qui me rappelle Patrick comme à chaque fois. C'est étrange, et inévitable. Pas forcément négatif en fait. Mais à 5 ans, Nathan va sûrement passer bientot à autre chose...

A suivre…