La maison du bonheur (9)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2013 dans la catégorie Plus on est
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La maison du bonheur (9)
Svetlana descendit le gode d'Emilie se balançant mollement entre les jambes.
— Je viens d'enculer les garçons. Ils vont avoir du mal à s'en remettre.
Je rigolais en voyant la belle blonde et son sexe noir déambuler dans le salon. Buvant un grand verre d'eau je ne me souvenais pas l'avoir vue habillée. Depuis la veille elle s'offrait nue à nos regard. Et quand le livreur de pizza sonna c'est elle qui alla lui ouvrir.
Si nous avions été dans un film porno (et nous n'en étions pas loin) Svetlana lui aurait proposé de rentrer pour se faire payer. Il l'aurait suivi en bandant déjà. Svetlana aurait dit qu'elle était désolée mais qu'elle n'avait pas d'argent. Elle lui aurait proposé de le payer autrement. Il aurait sorti sa queue et lui aurait demandé de le sucer. Svetlana aurait fait mine de la trouver trop grosse et l'aurait prise en bouche. Dans un film de cul le livreur aurait vite oublié son boulot et serait entré dans notre groupe de baise. Même si nous étions presque dans un tel film, le livreur resta bouche bée sur le pas de la porte. Svetlana appela Emilie pour qu'elle vienne payer. Elle déboula tout aussi nue avec de quoi régler. Au même moment les garçons descendaient, bites au vent. Le livreur parti. Heureux de sa course. Bandant sans doute comme un cerf. Il se soulagera en arrivant. Une petite branlette dans les toilettes en repensant a cette livraison.
Assis autour de la table basse du salon nous dévorons notre pizza. Fabien appelle chez lui pour dire qu'il ne rentrera pas. Nous sommes tous fatigués mais nous ne voulons pas nous quitter. L'odeur de foutre, de sueur, de cul qui plane dans la maison nous tient en état d'excitation quasi permanente. Nous engloutissons notre repas. Emilie se lève et met un DVD. Un film de cul.
Ils baisent. C'est le mot le plus juste. Ils baisent. Sans amour. C'est mécanique. Pas érotique. Bassement pornographique. Ils baisent. Les hommes ont un regard bovin. Vide. Ils liment. Ils tronchent. Ils bourrent une femme qui feint de prendre du plaisir dans ces assauts virils. Elle pousse des cris. Elle gémit. Elle joue. Tous d'ailleurs ils jouent. Ils baisent devant une caméra. Ils reproduisent crument l'acte sexuel. Ils baisent pour la caméra. Pour un film. Et nous assis devant la télé, une part de pizza à la main nous les regardons faire.
Svetlana est amusée par ce qui se passe à l'écran. Elle se caresse et prend la bite de Fabien en main. Erwann se branle aussi. Doucement. Puis, alors que sur l'écran un mec aux ados luisants se fait sucer par une bimbo, Emilie et moi commençons aussi à passer à l'action.
Sur l'écran les filles faciles qui se font prendre dans des positions acrobatiques en poussant des cris, peuvent apparaitre parfaites sous les éclairages, le maquillage, les retouches chirurgicales ou numériques. Si depuis hier nous baisons, dans toutes les pièces, dans toutes les positions, explorant toutes les combinaisons, nous n'avons rien de commun avec ce qui se déroule sous nos yeux. Erwann et Svetlana sucent Fabien. Emilie me branle. Nous oublions vite que d'autres font presque la même chose que nous juste a portée de regard. Ils baisent, mais jamais ils ne baiseront comme nous le faisons. Ils peuvent être performants. Avoir des sexes énormes. Des seins obusiers. Faire durer et durer leur gymnastique, ce ne sera au final que de la gymnastique. Un acte artificiel. Nos corps fatigués, imparfaits. Les bruits que nous produisons, bruits organiques, naturels, sont plus harmonieux que la musique d'ascenseur sur laquelle ils baisent. Les hésitations, les maladresses sont bien plus belles que leur chorégraphie. Nous baisons sauvagement, fiévreusement parce que nous cherchons le plaisir de l'autre au travers du nôtre. Pas l'excitation d'anonymes. Nous baisons tendrement, calmement parce que nous nous aimons et que cet acte physique, charnel en est l'expression la plus naturelle, pas parce qu'on nous a payés pour le faire.
Svetlana a laissé les garçons entre eux et vient s'occuper d'Emilie qui me suce. Ils baisent sur le pont d'un bateau, dans des chambres d'hôtel luxueux, dans des limousines. Les filles portent de la lingerie couteuse et sexy, des bijoux. Elles sont impeccablement coiffées et maquillées. Nous le faisons sur un canapé.
Svetlana qui n'a pas quitté sa bite noire depuis tout à l'heure prend Emilie en levrette. Erwann encule Fabien. Deux blondasses se gouinent en poussant des cris. Je me branle avant de pénétrer Emilie, de la prendre en sandwich avec Svetlana. Une bite dans chaque trou. Erwann se vide dans le cul de Fabien.
Ils continuent de s'agiter. Dans tous les sens. Nous les regardons. Une fille blonde aux ongles peints en rouge à genoux devant un type au regard éteint le branle sans passion, avec une application professionnelle. L'autre type attend que son copain éjacule sur le visage de la blonde avant d'à son tour aller se vider les couilles. Emilie jouit sous les coups de nos bites, artificielle et naturelle. Svetlana vient me sucer, et Fabien se branle dans la bouche d'Erwann.
Autour d'une piscine une demi douzaine de nanas vulgaires se font défoncer par des culturistes tatoué. "Fuck me hard, Yes, yes.", "Oh god, yeah, harder, harder", "Suck my cock bitch, suck it" sont les dialogues qui nous parviennent. Erwann se lèche les babines du sperme de son amant. Svetlana se branle avec le gode qu'elle à détaché de ses hanches. Emilie reprend ses esprit. Je regarde des flots de foutre se répandre sur les visages et les seins siliconés des bimbos.
Nous sommes fatigués, le salon est ruiné. J'ai la bite en feu.
— Je viens d'enculer les garçons. Ils vont avoir du mal à s'en remettre.
Je rigolais en voyant la belle blonde et son sexe noir déambuler dans le salon. Buvant un grand verre d'eau je ne me souvenais pas l'avoir vue habillée. Depuis la veille elle s'offrait nue à nos regard. Et quand le livreur de pizza sonna c'est elle qui alla lui ouvrir.
Si nous avions été dans un film porno (et nous n'en étions pas loin) Svetlana lui aurait proposé de rentrer pour se faire payer. Il l'aurait suivi en bandant déjà. Svetlana aurait dit qu'elle était désolée mais qu'elle n'avait pas d'argent. Elle lui aurait proposé de le payer autrement. Il aurait sorti sa queue et lui aurait demandé de le sucer. Svetlana aurait fait mine de la trouver trop grosse et l'aurait prise en bouche. Dans un film de cul le livreur aurait vite oublié son boulot et serait entré dans notre groupe de baise. Même si nous étions presque dans un tel film, le livreur resta bouche bée sur le pas de la porte. Svetlana appela Emilie pour qu'elle vienne payer. Elle déboula tout aussi nue avec de quoi régler. Au même moment les garçons descendaient, bites au vent. Le livreur parti. Heureux de sa course. Bandant sans doute comme un cerf. Il se soulagera en arrivant. Une petite branlette dans les toilettes en repensant a cette livraison.
Assis autour de la table basse du salon nous dévorons notre pizza. Fabien appelle chez lui pour dire qu'il ne rentrera pas. Nous sommes tous fatigués mais nous ne voulons pas nous quitter. L'odeur de foutre, de sueur, de cul qui plane dans la maison nous tient en état d'excitation quasi permanente. Nous engloutissons notre repas. Emilie se lève et met un DVD. Un film de cul.
Ils baisent. C'est le mot le plus juste. Ils baisent. Sans amour. C'est mécanique. Pas érotique. Bassement pornographique. Ils baisent. Les hommes ont un regard bovin. Vide. Ils liment. Ils tronchent. Ils bourrent une femme qui feint de prendre du plaisir dans ces assauts virils. Elle pousse des cris. Elle gémit. Elle joue. Tous d'ailleurs ils jouent. Ils baisent devant une caméra. Ils reproduisent crument l'acte sexuel. Ils baisent pour la caméra. Pour un film. Et nous assis devant la télé, une part de pizza à la main nous les regardons faire.
Svetlana est amusée par ce qui se passe à l'écran. Elle se caresse et prend la bite de Fabien en main. Erwann se branle aussi. Doucement. Puis, alors que sur l'écran un mec aux ados luisants se fait sucer par une bimbo, Emilie et moi commençons aussi à passer à l'action.
Sur l'écran les filles faciles qui se font prendre dans des positions acrobatiques en poussant des cris, peuvent apparaitre parfaites sous les éclairages, le maquillage, les retouches chirurgicales ou numériques. Si depuis hier nous baisons, dans toutes les pièces, dans toutes les positions, explorant toutes les combinaisons, nous n'avons rien de commun avec ce qui se déroule sous nos yeux. Erwann et Svetlana sucent Fabien. Emilie me branle. Nous oublions vite que d'autres font presque la même chose que nous juste a portée de regard. Ils baisent, mais jamais ils ne baiseront comme nous le faisons. Ils peuvent être performants. Avoir des sexes énormes. Des seins obusiers. Faire durer et durer leur gymnastique, ce ne sera au final que de la gymnastique. Un acte artificiel. Nos corps fatigués, imparfaits. Les bruits que nous produisons, bruits organiques, naturels, sont plus harmonieux que la musique d'ascenseur sur laquelle ils baisent. Les hésitations, les maladresses sont bien plus belles que leur chorégraphie. Nous baisons sauvagement, fiévreusement parce que nous cherchons le plaisir de l'autre au travers du nôtre. Pas l'excitation d'anonymes. Nous baisons tendrement, calmement parce que nous nous aimons et que cet acte physique, charnel en est l'expression la plus naturelle, pas parce qu'on nous a payés pour le faire.
Svetlana a laissé les garçons entre eux et vient s'occuper d'Emilie qui me suce. Ils baisent sur le pont d'un bateau, dans des chambres d'hôtel luxueux, dans des limousines. Les filles portent de la lingerie couteuse et sexy, des bijoux. Elles sont impeccablement coiffées et maquillées. Nous le faisons sur un canapé.
Svetlana qui n'a pas quitté sa bite noire depuis tout à l'heure prend Emilie en levrette. Erwann encule Fabien. Deux blondasses se gouinent en poussant des cris. Je me branle avant de pénétrer Emilie, de la prendre en sandwich avec Svetlana. Une bite dans chaque trou. Erwann se vide dans le cul de Fabien.
Ils continuent de s'agiter. Dans tous les sens. Nous les regardons. Une fille blonde aux ongles peints en rouge à genoux devant un type au regard éteint le branle sans passion, avec une application professionnelle. L'autre type attend que son copain éjacule sur le visage de la blonde avant d'à son tour aller se vider les couilles. Emilie jouit sous les coups de nos bites, artificielle et naturelle. Svetlana vient me sucer, et Fabien se branle dans la bouche d'Erwann.
Autour d'une piscine une demi douzaine de nanas vulgaires se font défoncer par des culturistes tatoué. "Fuck me hard, Yes, yes.", "Oh god, yeah, harder, harder", "Suck my cock bitch, suck it" sont les dialogues qui nous parviennent. Erwann se lèche les babines du sperme de son amant. Svetlana se branle avec le gode qu'elle à détaché de ses hanches. Emilie reprend ses esprit. Je regarde des flots de foutre se répandre sur les visages et les seins siliconés des bimbos.
Nous sommes fatigués, le salon est ruiné. J'ai la bite en feu.
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