La maîtresse de mon, mari
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2016 dans la catégorie Plus on est
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La maîtresse de mon, mari
Je suspectais mon mari d’avoir une liaison avec une collègue. Je suis certaine de l’avoir aperçu avec une fille plutôt sexy. Il m’assurais toujours que je me faisais des idées. Pour me le prouver il m’a excitée tellement que je devenais comme une fontaine: j’avais ma culotte toute trempée. Je me souviens encore de cette nuit là. Il m’a tout fait et je le lui ai bien rendu. Il a commencé par me caresser partout de bas en haut et de haut en bas. Je lui prenais le bite dans une main non pas pour le masturber: simplement pour qu’il bande bien. Ensuite il a mit sa tête entre mes jambes. Je sentais sa langue monter entre mes cuisses. Enfin quand il arrivait vers ma chatte, sa langue a dévié un peu. Il m’a léché l’anus pour la première fois. Il en a rentré même un bout. J’essayais d’ouvrir mes fesses pour qu’il y entre toute sa langue, Il a abandonné pour venir dans ma moule. Je ne sais pas trop ce qu’il m’a fait. Je ne me souviens qu’une d’une seule chose: j’ai joui et j’ai encore joui quand il a pris mon clitoris dans sa bouche. Quand il s’est relevé je voulais moi aussi le sucer: il n’a pas voulu. IL ne voulais qu’une chose jouir dans mon corps. Quand il s’est mis sur moi, j’ignorais toujours s’il allait me baiser ou m’enculer. Au fond, pour moi c’est toujours l’occasion d’orgasme que se soit par le cul ou le con.
Il m’a baisé et fort bien baisé. Il me semblait même qu’il me faisait l’amour mieux qu’avant. Quand il a jouit, contrairement à ses habitudes il t’endormais, alors que nous nous baisions encore, après que je l’ai excité.
Mes doutes recommençaient. Je me décidais à réagir: je le surveillais surtout vers 17 heures à la sortie du bureau. Il sortait seul pour aller dans un café proche. Un moment après une de ses collègue allait le rejoindre: ils partaient ensemble, bras dessus, bras dessous pour un petit hôtel.
Je n’avait plus de doute: il me trompait. Au début j’étais désespérée quand j’ai eu une idée: voir seule à seule cette fille.
Le lendemain j’arrivais à l’approcher. Je lui disais que je savais qu’elle faisait l’amour à mon mari. Je ne sais pourquoi je lui ai demandé de venir baiser chez moi. J’étais surprise de cette demande. Elle aussi semble-t-il. Elle m’a demandé si mon mari serait là, je lui ai répondu qu’il ne le méritait pas.
Le soir même mon mari était de mauvaise humeur: il ne parlait pas. J’en connaissais la cause. Entre temps j’avais mis au point une tactique. J’avais eu une relation avec une amie plusieurs semaines avant que je le rencontre. Cette relation j’en rêvais quelque fois. Il m’arrivais quelque fois de me masturber en me voyant entre ses bras pendant que je m’embrassais. Je ne voulais qu’un chose: me venger en jouissant avec sa maîtresse et lui. Pour commencer j’allais d’abord baiser son amie. En réalité j’avais menti: je comptais bien faire l’amour avec la fille en attendant que mon mari nous trouve nues sur le lit de notre chambre.
Le lendemain donc son amie venait comme prévue. Elle était même sortie plus tôt, vers 16 heures. Je l’accueillais donc par un baiser sur la bouche. A ma grande surprise elle y répondait: nos langue commençaient la danse de tout les amants. Sans perdre de temps, nous allions nous coucher. Je la déshabillait: elle était nue sous sa robe. Elle m’en faisait autant, j’étais dans la même tenue.
Nous nous sommes encore embrassées avec plus de vigueur que la première fois. Collées contre l’autre nous sentions nos seins durcir contre les autres. Elle me caressait les fesses pour passer un doigt vers mon anus. Je la laissais faire parce que j’aime quand on me fait ça. Moi, je ne faisais que chercher son bouton. Elle écartait les jambes pour que je trouve facilement son clitoris. Je la branlais comme pour moi. De son coté, elle avait trouvé mon cul et y entrait deux doigts. Nos mouvement étaient coordonnées. Notre jouissance l’était aussi. Nous nous sommes couchées sur le lit, sans même prendre le temps de le défaire. Nous nous sommes embrassées avant de continuer nos caresses sur le seins et nos mains descendaient plus bas. Cette fois nous nous sommes encore branlées. Après cet orgasme nous nous mettions en 69. Nos langues s’occupaient du con de l’autre.
C’est elle qui a recommencé avec deux doigts dans le cul. J’y répondait la première. J’étais dessous elle: nous avons changé de place.
Nous jouissions encore quand mon mari est arrivé. Quand il m’a vu ainsi avec quel’ autre fille il en devenait tout rouge, par contre quand il s’est aperçu qui était la femme à mes cotés, il est carrément devenu violet. Nous faisions celles qui ne l’avaient pas vue, surtout que notre amante jouissait à cet instant. Pas trop rancunière nous l’invitions à venir baiser avec nous.
L’excitation faisait place à la jalousie. Nous le regardions quand il était nu, avec sa bite au garde à vous. Nous le connaissions assez pour savoir qu’ il était parti pour une longue période d’érection: il pourrai nous baiser toutes les deux. Pour bien faire remarquer que j’étais au courant de leur relation, c’est notre commune amante qui l’attirait vers elle: elle était encore sous moi.
Je laissais ma place. Il pouvais entrer dans sa maîtresses sans difficultés tellement elle était mouillée pas sa cyprine et ma salive. Il la baisait comme si je n’étais pas là. Notre amie, heureusement pour moi, ne m’avais pas oubliée. Elle posait une main sur mon bas ventre à la recherche mal commode de mon bouton. Quand elle le trouvait elle commençais une masturbation pas ordinaire: elle avait le vagin rempli de la bite de mon mari et trouvait le moyen de me donner du plaisir. Elle arrivait à me faire partir une ou deux fois.
Enfin il jouissait de là ou avant j’avais donner des orgasmes. Quand il sortait du vagin de sa maîtresse sa bite avait encore belle allure. Je me mettais en levrette: j’avais envie de me faire enculer. Pourtant je demandais à mon amie de passer dessous pour me sucer à la fois. C’est elle qui guidait le pine de mon mari vers mon cul. Quand il était à fond, elle a mit sa langue juste à l’endroit que j’aime: sur le clito. J’ai joui particulièrement bien. Je sais que quand il sorti de moi, elle a sucé le sperme sur la bite.
Il bandait encore. Cette fois nous voulions jouir tous les trois ensemble. Il s’est mis sur le dos.
Notre amante est venue se mettre sur lui après l’avoir enjambé. Elle s’est mise seule la queue dans son anus: elle s’y est assise lentement pour faire durer le plaisir de la pénétration. Elle était les genoux pliés entre le corps de mon mari. J’attendais qu’elle se soit faite pénétrée à fond.
Placée comme elle était je pouvais également intervenir, surtout que je posais mon entre jambes sur la bouche de mon époux. Il léchais tout avec délice pour moi. J’étais penchée en avant: je pouvais branler l’autre et l’embrasser. Nous avons jouis tous le trois.
Maintenant deux ou trois fois par semaine nous baisons en trio. Pourtant la plus part du temps nous baisons entre filles: nous y avons pris goût.
Il m’a baisé et fort bien baisé. Il me semblait même qu’il me faisait l’amour mieux qu’avant. Quand il a jouit, contrairement à ses habitudes il t’endormais, alors que nous nous baisions encore, après que je l’ai excité.
Mes doutes recommençaient. Je me décidais à réagir: je le surveillais surtout vers 17 heures à la sortie du bureau. Il sortait seul pour aller dans un café proche. Un moment après une de ses collègue allait le rejoindre: ils partaient ensemble, bras dessus, bras dessous pour un petit hôtel.
Je n’avait plus de doute: il me trompait. Au début j’étais désespérée quand j’ai eu une idée: voir seule à seule cette fille.
Le lendemain j’arrivais à l’approcher. Je lui disais que je savais qu’elle faisait l’amour à mon mari. Je ne sais pourquoi je lui ai demandé de venir baiser chez moi. J’étais surprise de cette demande. Elle aussi semble-t-il. Elle m’a demandé si mon mari serait là, je lui ai répondu qu’il ne le méritait pas.
Le soir même mon mari était de mauvaise humeur: il ne parlait pas. J’en connaissais la cause. Entre temps j’avais mis au point une tactique. J’avais eu une relation avec une amie plusieurs semaines avant que je le rencontre. Cette relation j’en rêvais quelque fois. Il m’arrivais quelque fois de me masturber en me voyant entre ses bras pendant que je m’embrassais. Je ne voulais qu’un chose: me venger en jouissant avec sa maîtresse et lui. Pour commencer j’allais d’abord baiser son amie. En réalité j’avais menti: je comptais bien faire l’amour avec la fille en attendant que mon mari nous trouve nues sur le lit de notre chambre.
Le lendemain donc son amie venait comme prévue. Elle était même sortie plus tôt, vers 16 heures. Je l’accueillais donc par un baiser sur la bouche. A ma grande surprise elle y répondait: nos langue commençaient la danse de tout les amants. Sans perdre de temps, nous allions nous coucher. Je la déshabillait: elle était nue sous sa robe. Elle m’en faisait autant, j’étais dans la même tenue.
Nous nous sommes encore embrassées avec plus de vigueur que la première fois. Collées contre l’autre nous sentions nos seins durcir contre les autres. Elle me caressait les fesses pour passer un doigt vers mon anus. Je la laissais faire parce que j’aime quand on me fait ça. Moi, je ne faisais que chercher son bouton. Elle écartait les jambes pour que je trouve facilement son clitoris. Je la branlais comme pour moi. De son coté, elle avait trouvé mon cul et y entrait deux doigts. Nos mouvement étaient coordonnées. Notre jouissance l’était aussi. Nous nous sommes couchées sur le lit, sans même prendre le temps de le défaire. Nous nous sommes embrassées avant de continuer nos caresses sur le seins et nos mains descendaient plus bas. Cette fois nous nous sommes encore branlées. Après cet orgasme nous nous mettions en 69. Nos langues s’occupaient du con de l’autre.
C’est elle qui a recommencé avec deux doigts dans le cul. J’y répondait la première. J’étais dessous elle: nous avons changé de place.
Nous jouissions encore quand mon mari est arrivé. Quand il m’a vu ainsi avec quel’ autre fille il en devenait tout rouge, par contre quand il s’est aperçu qui était la femme à mes cotés, il est carrément devenu violet. Nous faisions celles qui ne l’avaient pas vue, surtout que notre amante jouissait à cet instant. Pas trop rancunière nous l’invitions à venir baiser avec nous.
L’excitation faisait place à la jalousie. Nous le regardions quand il était nu, avec sa bite au garde à vous. Nous le connaissions assez pour savoir qu’ il était parti pour une longue période d’érection: il pourrai nous baiser toutes les deux. Pour bien faire remarquer que j’étais au courant de leur relation, c’est notre commune amante qui l’attirait vers elle: elle était encore sous moi.
Je laissais ma place. Il pouvais entrer dans sa maîtresses sans difficultés tellement elle était mouillée pas sa cyprine et ma salive. Il la baisait comme si je n’étais pas là. Notre amie, heureusement pour moi, ne m’avais pas oubliée. Elle posait une main sur mon bas ventre à la recherche mal commode de mon bouton. Quand elle le trouvait elle commençais une masturbation pas ordinaire: elle avait le vagin rempli de la bite de mon mari et trouvait le moyen de me donner du plaisir. Elle arrivait à me faire partir une ou deux fois.
Enfin il jouissait de là ou avant j’avais donner des orgasmes. Quand il sortait du vagin de sa maîtresse sa bite avait encore belle allure. Je me mettais en levrette: j’avais envie de me faire enculer. Pourtant je demandais à mon amie de passer dessous pour me sucer à la fois. C’est elle qui guidait le pine de mon mari vers mon cul. Quand il était à fond, elle a mit sa langue juste à l’endroit que j’aime: sur le clito. J’ai joui particulièrement bien. Je sais que quand il sorti de moi, elle a sucé le sperme sur la bite.
Il bandait encore. Cette fois nous voulions jouir tous les trois ensemble. Il s’est mis sur le dos.
Notre amante est venue se mettre sur lui après l’avoir enjambé. Elle s’est mise seule la queue dans son anus: elle s’y est assise lentement pour faire durer le plaisir de la pénétration. Elle était les genoux pliés entre le corps de mon mari. J’attendais qu’elle se soit faite pénétrée à fond.
Placée comme elle était je pouvais également intervenir, surtout que je posais mon entre jambes sur la bouche de mon époux. Il léchais tout avec délice pour moi. J’étais penchée en avant: je pouvais branler l’autre et l’embrasser. Nous avons jouis tous le trois.
Maintenant deux ou trois fois par semaine nous baisons en trio. Pourtant la plus part du temps nous baisons entre filles: nous y avons pris goût.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cela est bien cela faitjoure unr auyreirenco
L'histoure serait excitante sans doute, si elle était mieux écrite, sans faute d'orthographe ni de synthaxe ni de concordance de temps approximative. Ça gâche toute excitation