La malédiction de la Momie (2)

- Par l'auteur HDS Trixie -
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La malédiction de la Momie (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La malédiction de la Momie (2)
Le lendemain on se remit au travail, mais il y avait tellement d'artefacts que l'on n'avançait pas.

— Cela ne me plaît pas trop, mais je crois qu'il va falloir que je demande de l'aide auprès de l'Emirpour qu'il nous envoie du renfort pour emballer tout ça !
— Et pourquoi, cela vous pose-t-il un problème demanda Alfred.
— Ce monsieur, a été élevé en Europe, il fait fi des traditions musulmanes, et n’applique les coutumes que si elle lui rapportent du fric. Il est très fantasque, il ne faut surtout pas le contrarier, sinon il est capable de dire que c'est sa découverte et de garder une partie du trésor ! Et vous savez dans ces contrées notre parole par rapport à la sienne ne vaut pas grand chose.

Il prit contact par radio et des ouvriers et de camions arrivèrent. Sous les ordres d'Alfred tout fut inventorié, étiqueté, emballé. Le convoi fit route vers le palais de l'Emir. Amar nous le présenta.
Il était très basané, pas très grand, assez enrobé. Des petits yeux cruels, lui donnaient l'air de quelqu'un qui ne souffre pas d'être contredit. Notre guide fit les présentations.

— Voici son excellence Bouka, sa femme Eddah et leur secrétaire monsieur Abam... Je vous présente Alfred Delaroux, archéologue français de renom et mademoiselle Trixie sa secrétaire.
— Bien, très bien dit Bouka. Vous apportez deux trésors avec vous, dit-il en me regardant avec des yeux de velours ! Mais j'ai fait préparer un succulent repas français pour vous, vous devez mourir de faim mademoiselle, et vous aussi Monsieur ! Mais allez vous rafraîchir et changer de vêtements avant de passer à table.

Ses yeux faisaient sans discontinuer des aller et retour de ma poitrine à mes jambes. A chaque poignées de mains, le décolleté de ma robe avait tendance à s'écarter et dévoiler un peu plus mes aréoles. Bouka s'en était aperçu et il me secoua la main jusqu'à ce qu'un téton se dévoile, un large sourire s’épanouit alors sur son visage. Alfred m'accompagna jusqu'à ma chambre.

— Tu vois, j'ai eu raison de te faire prendre des habits de soirée, tu vas les mettre pour l'éblouir !J'ai l'impression qu'il en pince pour toi ! Il faut le mettre dans notre poche, alors porte-jarretelles etc... C'est une découverte extrêmement importante que nous avons fait là ! Il ne faut pas se la faire spolier ! IL va falloir que je penne contact avec le gouvernement tunisien.

Je lui obéis et passai  la robe de soirée noire que je mettais souvent, lors de nos dîners en tête à tête. Elle était retenue par de fines bretelles sur les épaules. Il n'était pas pensable de porter un soutien-gorge en dessous. Je nouai mes cheveux châtain doré presque blonds en un savant chignon, laissant ma nuque et mon dos complètement nus. Des pendentifs en pierres précieuses ornèrent mes oreilles et j'accrochai un collier du même genre à mon cou. Des deux cotés, la robe était fendue très haut sur les cuisses. Chaque mouvement laissait apercevoir une bande de peau blanche, au-dessus de mes bas noirs. Assise, le pan de devant tombait entre mes jambes, dévoilant les fermetures et les lanières de mon porte-jarretelles sur mes deux cuisses. J'avais hésité à en mettre un, ainsi que des bas, mais je savais que cette lingerie aguichait follement les hommes, et Alfred ne m'avait-il pas dit qu'il fallait le séduire ? Je fis une entrée remarquée dans la salle à manger.
Notre hôte nous plaça autour de la table, j’eus bien sûr droit à la place d'honneur à droite du maître de maison. Sa femme était en face de moi, je pus remarquer sa sublime beauté. Entre les hommes, la conversation roulait sur les péripéties de la conquête du trésor.
Subrepticement je sentis la main de l'Emir se poser juste au dessus de mon genou. Elle commença une lente ascension, s'attardant sur l'attache de la jarretelle, glissant dessous caressant ma peau nue. Son majeur suivi l’aine de ma jambe lentement, puis il s'insinua sous la fine ceinture de mon string, il tira fortement d'un seul coup, le léger tissu ne résista pas. Il me sembla que toute la tablée entendit le craquement du tissu, et remarquait ma figure qui rosissait.
Il ne fallait pas que le contrarier. Alfred et Amar m'avaient fait la leçon, je restai stoïque. Il tira sur le morceau de tissu arachnéen qui céda entièrement. je soulevai les fesses pour faciliter son extraction, il le mit comme un trophée dans la poche de sa veste. Sa main refit le même chemin, écartant cette fois ci ma robe pour accéder plus facilement à mon intimité. Malgré moi, je me pris à lui faciliter le travail, j'écartai les jambes, il me sourit. Sa main engloba mon sexe et son majeur pénétra doucement dans ma fente, qui devenait humide sous cette caresse insistante. Je me traitai encore une fois de nymphomane, qui ne pouvait pas résister aux attouchements d'un homme. Chaque fois que sa main droite était libre, elle revenait me malaxer la chatte, qui ne demandait que ça. et mouillait de plus en plus.

— Cela vous plaît-il ? Euh, enfin ce menu, vous convient-il Trixie ? Aimez-vous les sensations qu'il vous procure ? On dirait que oui.
— Je... je... Oh oui. c'est, c'est vraiment, délicieux, excellent, ce sont des sensations rares que je ressent et j'adore !
— Oui, hein je me donne du mal pour exciter vos sens ! J'attends avec impatience la fin du repas pour goûter aux délicieuses petites fraises brunes et au nectar auquel j'aurai sûrement droit !

La fin du repas arriva. Bouka se leva.

— Mademoiselle Trixie, je serai très heureux de vous montrer, ma collection de statues érotiques, c'est de l'art africain, elle est splendide. Elle se trouve dans ma chambre, si vous voulez bien me suivre.

Si je ne voulais pas le froisser, je ne pouvais pas refuser la proposition, je regardai sa femme Eddah, une grimace de colère déformait son visage. Mais suivant les ordres d'Alfred qui opinait de la tête pour me faire signe d'accepter, j'obtempérai.
La porte à peine fermée ses deux mains noires se posèrent des deux côtés de mon dos nu, puis elles se glissèrent sous le mince tissu et enserrèrent mes seins. Les bretelles tombèrent, la robe aussi. Il fit rouler mes mamelons entre ses doigts, les étirant, les pinçant, ils répondirent aussitôt à l'excitation et doublèrent de volume. Il me retourna face à lui. Il sorti son sexe, il bandait, la taille était assez importante sans plus, il se déshabilla en un tour de main.

— Regarde petite garce, dans quel état je suis depuis que je t'ai vu. Nous, les gens de couleur, nous raffolons des blondes comme toi. Surtout quand elles sont jeunes, bien roulées et vêtues ainsi avec des bas et un porte-jarretelles, il met bien en valeur ta chatte épilée. Je me suis aperçu à table que tu ne détestais pas l'intrusion de mes doigts dans ta chatte. Laisse moi voir si tu mouilles autant que tout à l'heure, car toi aussi tu as l'air d'apprécier les noirs ! Putain oui, mes doigts glissent tous seuls, ma grosse bite ne devrait pas avoir de mal entrer. Tu crois que tu vas aimer ? Elle est assez grosse et noire, en général ça excite les petites blanches !

En petite salope que j'étais devenue, je décidais de l'exciter encore un peu plus, en flattant sa libido.

— Vous savez, vous serez le premier homme de couleur à me posséder, on m'avait dit que les noirs avaient de gros sexes, mais le votre et impressionnant, je crois que je vais aimer, lui mentis-je.
— C'est vrai ça ? Petite salope de savoir que je suis le premier noir qui va te baiser, ça me fait bander encore plus fort. Tiens mets ma bite dans ta bouche et tu la suces, doucement sans me faire éjaculer.

Avec un peu de répulsion je m'appliquai à avaler la colonne de chair qui emplissait ma bouche. Les mains de Bouka s'appliquèrent à nouveau sur mes seins, le tiraillement des pointes durcies, le malaxage de mes globes fermes, la présence de la grosse bite dans ma bouche, la chaleur de l'homme, ses caresses sur ma poitrine, commencèrent à me procurer une douce chaleur dans le bas ventre, la perversion prenait à nouveau possession de mon corps et de mon esprit.

— Tu suces, comme une reine, bien mieux que ma salope de femme, met toi face à moi, tu vas me chevaucher, je veux voir mon gros mandrin pénétrer lentement dans ta jolie chatte de blanche, surtout si comme tu le dis je suis le premier noir à te baiser ! J'espère que je vais te faire crier de jouissance !

J'étais à califourchon sur lui, les seins dressés, et tenant sa bite d'une main je m'empalai lentement, faisant entrer le phallus dur comme de la pierre dans ma chatte dégoulinante.

—Ouuuuuiiiii, oooouuuuuiii, c'est bon salope ça rentre, ça rentre, vas-y encore descend, descend fais tout rentrer, ouiiiiiii, c'est bon de baiser une jolie blanche !

Il souleva ses reins afin de faire aller et venir son énorme bite de plus en vite dans ma chatte écartelée et ruisselante, il effectua d'un doigt léger comme une plume des cercles de plus en plus rapides sur mon clitoris érigé, je me pétris les seins, douloureux de plaisir. Le bout de son gland remplaça le doigt sur mon clitoris. Son manège infernal me rendit folle. Il enfonça sans prévenir d'un seul coup, entièrement le gigantesque rouleau noir au diamètre impressionnant, et chaque pénétration me fit crier de plaisir. Je sentis les palpitations annonçant la jouissance de Bouka.
La perversité se répandit en moi, je m'entendis crier.

— Ouuuuui, ouiiiiii, donne moi le sperme de ta grosse queue noire, éjacule bien au fond de moi. Tu es le premier noir à te vider dans ma chatte. OOOOOOOHHHHHHH, Ohhhhhhh, c'est,c'est bon je... je joooooooouuuuuiiiiiis, et c'était sincère maintenant, mon corps le désirait ardement.
— Oui, c'est bien, c'est bien continue petite salope blanche, remue, Aaaaaahhhhh, tiens, tiens, putain ça fait du bien de se vider dans la chatte d'une petite salope de blonde !!

Il se vida longuement, pris rassasié il me dit.

— Ah oui, tu ne te laves pas, cela m'excite de savoir que mon sperme coule de ta chatte, nous allons retourner au salon. Je veux que ma femme puisse sentir l'odeur de mon sperme sur toi. Tu couches ici maintenant, ta chambre est juste à côté. Avant de passer au lit nous aurons une autre petite séance.

Nous rejoignîmes les invités dans la salle à manger, il ne restait plus qu'Alfred et Amar, Eddah vint vers nous, un rictus sur les lèvres.
Le dernier convive partit, La jeune femme noire s'approcha de moi, elle écarta les pans de ma robe. Sa main se glissa entre mes cuisses.

— La petite Salope blanche, a mit des bas, un porte jarretelle et n'a pas de culotte ! Laisse moi vérifier si les statues érotiques ont éjaculées dans ta chatte. Ah putain si Salope !

Elle retira sa main moite du sperme de son mari, je sentis la panique m'envahir., je devint rouge comme un pivoine, mon cœur battit à tout rompre, je m'attendis à subir les foudres de son courroux Elle porta ses doigts à sa bouche et les suça.

— Oui, comme je le pensait, elles ont bien déversées leur semence. Mais permet moi de te souhaiter bonne nuit Trixie.

Un étrange sourire flottait sur ses lèvres, sa bouche s'approcha de moi et sa langue me caressa les lèvres. Son mari s'approcha en souriant.

— Cela fait parti de la petite séance que nous allons avoir. Il faut que je me fasse pardonner.Allez viens, allons la rejoindre ! Me dit l'Emir. Bonne nuit Messieurs.

Me prenant par la taille, sa main glissa sur ma chatte et il m’entraîna vers la chambre. Eddah était déjà nue, lorsque Bouka me poussa presque dans la pièce. Elle s'approcha et d'un geste rageur, tira sur ma robe les bretelles cédèrent je me retrouvai en porte-jarretelles, elle m'examina d'un regard connaisseur. Puis presque méchamment elle me poussa sur le lit.

—Toi, Bouka pour l'instant tu ne bouges pas, compris...

Ses cuisse enjambèrent ma tête, elle me présenta son sexe complètement imberbe, m'invitant à le sucer. Timidement ma langue parti en exploration des replis du vagin qu'elle tint écarté.

— Ouuuiiiii, petite pute blonde, tu suces bien, mordille mon clitoris, enfonce bien ta langue, oooohhhhhh, tu sens comme je mouille ? Aspire bien mon jus. Enfonce tes doigts, écarte bien tes jambes pour faire bander le gros porc qui nous regarde, en général il prend son pied lorsque je me fais sucer par une copine. Ouuuuiiiii, c'est bien continue, je vais jouir, bouffe moi bien la chatte c'est super. Et toi Boukka monte sur le lit. Mets bien ta langue au fond, aspire mon clito. Espèce de Salaud, ta grosse queue bande bien. Trixie, tu vas le branler, tu vas le faire éjaculer, Boukka tu sais ce que je veux !! Allez petite salope de blanche masturbe la grosse bite noire.

Je pris en main le phallus au diamètre imposant, et lentement je commençai à lui prodiguer des caresses. Eddah, me caressa les seins, me les comprimant fortement comme pour me punir de m'être fait baiser par son mari. Mais je me demandai a quel jeu ils me faisaient jouer.

— Allez, petite salope, branle le avec plus de vigueur, fait le éjaculer,— Oui, ouiiii ça vient, ça vient, oooohhhhhhh
Un énorme jet de sperme chaud et visqueux gicla sur mes seins, puis d'autres de moins en moins abondant inondèrent mon ventre. Eddah étala le liquide séminal de son mari sur mon corps.

— Maintenant que tu as nouveau éjaculé, sur cette petite pute, tu vas lécher le sperme que tu as répandu, et n'oublie pas celui de sa chatte, et toi la petite salope continue à me lécher.

Bouka obéit avec empressement aux ordres de sa femme, sa langue chaude et râpeuse fit merveille sur mon corps et dans ma chatte, ce qui me fit redoubler mes caresses buccales sur celle de Eddah.
Elle n'attendait que ça. Elle jouit dans ma bouche avec un feulement rauque. Je compris qu'en fin de compte c'était elle qui en grande partie menait la barque, surtout sexuellement.

Le lendemain matin, Amhed arriva au palais, la mine déconfite.

— Un grand malheur, dit-il, cette nuit des pillards ont attaqué l’entrepôt ou était stocké les objets que nous avons ramenés ! Ils ont emporté presque toutes les reliques en or et le sarcophage contenant la momie, il y a même un garde qui c'est fait tuer !

Alfred, pale comme un mort, laissa éclater sa rage.

— Ce n'est pas vrai, un tel trésor, C'étaient des pièces uniques d'une dynastie encore inconnue, spécifique de cette région de l'Afrique. C'est une découverte importante, et mon nom aurait pu y être associé, cela me désespère ! Tous ces efforts réduits à néant ! J'en pleurerai presque.
— Alfred, ne soyez pas si triste, dit Amar après avoir palabré à voix basse avec Alfred, je crois que nous pouvons essayer de les récupérer. Il faut un certain temps aux pillards pour les vendre ! Je connais un receleur, avec qui j'ai fait des affaires en lui rachetant certaines pièces, justement dérobées. Je vais prendre contact avec lui. C'est un chinois, qui tient une sorte de maison de passe à Tataouine, Je lui avais évité quelques ennuis, il me doit un service. Je vais prendre un hélico pour m'y rendre.
— Trixie, ne pourrais-tu pas accompagner Amar, moi je dois rester pour faire l'inventaire de ce qui a disparu.
— Ce serait une excellente idée, dit Amar en souriant, on pourrait avoir besoin d'elle.
— D'accord, répondis-je, je vais me changer et nous pourrons partir.

Amar me prit à part.

— Si tu viens, ne pourrais-tu pas t'habiller sexy, bas, porte jarretelles, sans soutien gorge, il adore ça !

L'appareil se posa sans encombre à Tatouine et Amar m'entraîna dans une ruelle des vieux quartiers de la casbah . Il me fit entrer dans une sorte de bouge, ou des femmes en tenue légère étaient attablées en compagnie d'hommes assez patibulaires. On s'assit à une table, puis il frappa à une porte et disparut, me laissant seule, tous les regards des hommes me scrutaient, je n'étais pas rassurée.

— Ta copine c'est la jolie blonde là bas, qui veux ces renseignements ? Demanda Pham me montrant à travers un miroir sans tain qui donnait sur le bar.
— Oui, c'est elle.
— C'est bon, elle est mignonne, elle aura ce qu'elle recherche, mais tu connais les conditions ! Si elle est d'accord amène la moi.

Amar, revint, s'attabla à côté de moi, il était temps car deux gars commençaient à s'approcher de ma table.

— Alors, est-il prêt à m'aider ?
— Pham, veux bien te donner des tuyaux sur l'endroit ou il croit que se trouvent les bijoux et les artefacts volés, il a entendu parlé du vol. Mais bien sûr, il y a un prix à payer, il veut te voir, tu comprends ce que ça veux dire !
— Alfred est trop, malheureux après la perte de ces trésors, je suis prête à tout, pour qu'il les récupère.
— C'est toi qui vois, il t'attend dans cette pièce . Je t'attends ici !

J'entrai timidement et me tenait droite devant lui, il allait sûrement me baiser, mais Alfred, attendait avec confiance que je revienne avec l'adresse de l'endroit ou se trouvaient les objets volés. Le tenancier en kimono de soie, été affalé sur un sofa luxueux, son pied gauche était posé sur un petit tabouret, ce qui ouvrait son vêtement et laissait sciemment apercevoir une bite énorme, flasque pour l'instant, qui reposait sur le divan, tel un serpent entre ses cuisses graisseuses. Il était en effet difforme, vraiment gros. Son crâne était rasé et il portait une fine moustache, la pièce était parfumée par de l'encens dont la fumée s’élevait d'un brûloir en porcelaine, le parfum était très entêtant. De ses petits yeux bridés à demi fermés il m'étudiait.

— Alors, il paraît que tu cherches des renseignements sur des objets dérobés ?
— Oui, Monsieur, si vous en avez, pourriez-vous m'aider, s'il vous plaît ?
— Cela dépend de ce que tu as à m'offrir, jolie jeune fille !
— Une prime conséquente !
— Alors commence par te .déshabiller, nous pourrons continuer la discussion, Il me semble apercevoir les attaches de porte-jarretelles ils font des bosses à travers ta jupe, et tu ne dois pas avoir de soutien gorge, on devine tes tétons en transparence sous ton chemisier.
— Oui, mais... dis-je en minaudant.
— Ne soit pas timide, relève ta jupe, montre moi ton porte-jarretelles. Oui c'est bien, un peu plus haut, ton string est vraiment transparent, Veux-tu bien déboutonner ton chemisier et le quitter. Oui écarte le, ne dénude pas trop vite tes seins, voilà ainsi c'est parfait, quitte le ! Tes nichons sont vraiment splendides. Quitte ta jupe maintenant, laisse là tomber, oui ! Approche, ton string ne sert plus à rien !

Il attrapa la mince ficelle et tira, il porta le petit morceau de tissu à ses narines.

— Hummmmm,ton parfum est suave, ta chatte est magnifique, ton porte-jarretelles la met en valeur, elle est rasée, j'adore ! Allez viens, viens ma jolie embrasse moi. Je vais te laisser tes bas et ton porte-jarretelles, je trouve cela plus qu'érotique !

Il se laissa tomber sur le dossier du sofa, et releva les pans de son kimono, écarta les jambes, sa bite turgescente avait une érection phénoménale, elle était aussi grosse que celle de Simon. Une décharge électrique me traversa le corps, je frissonnai, je sentis que ma chatte devenait moite
— C'est la vue de mon appendice qui te fait trembler, dit-il en souriant, approche plus près que je puise vérifier quelque chose. C'est bien ça tu mouilles, dit-il en regardant les doigts boudinnés qu'il avait enfilé dans ma chatte, et qui luisaient de mon foutre. Si elle te plaît, tu vas la sucer !

Je savais que je me mentais, lorsque je pensais que c'était pour Alfred que je cédais à sa demande ! Je me mis à genoux devant lui, et commençai à le sucer.

— C'est bien, j'aime les filles qui ne discutent pas. Oh putain, c'est bon, tu es aussi experte que la meilleure de mes filles.

Je pris cela pour un compliment, et m'appliquai encore plus dans ma fellation, ce qui n'était pas facile vu la grosseur de son mandrin. Au bout de quelques minutes, il grogna d'une voix saccadée.

— Arrête, arrête ta bouche va me faire jouir, et j'ai une furieuse envie de te prendre comme une bête, tourne toi !

Une quantité assez importante de liquide pré éjaculatoire avait coulé, sur la langue, je le déglutis et toujours à genoux me tournai pour lui présenter mes fesses.

— Oui, comme ça c'est bien, ta chatte et le fourreau prêt à recevoir mon gros sabre !

Le gros homme présenta, le bout de son gland à l'entrée de ma fente humide.

— Regarde comme elle est bien raide, tu veux que te l'enfile ?
— Ho oui, je vous veux ! Il y a si longtemps que je n'ai pas senti une aussi grosse queue en moi, mentis-je, pour flatter son ego.
— Fais voir si tu mouilles, dit-il en enfilant deux doigts dans ma chatte, Oh putain oui ! C'est bon, tu en as envie, je vais commencer à te pénétrer !

Puis, ce qui m'étonna, il commença à enfiler son immense phallus avec beaucoup de précaution.

— Je ne veux pas te déchirer, ni te faire mal, je veux que tu sentes bien chaque centimètre de ma bite qui entre en toi ! Haaaaa, putain ce que tu es chaude. Oh, je sens bien les contractions de ta chatte autour de ma bite, c'est extra !

Puis il me laboura pendant plusieurs minutes, alternant des coups de rein lascifs, avec d'autres plus violents ce qui me tirait des gémissements de plaisir. J'étais prête à jouir, lorsqu'il s'arrêta.

— Tu es exactement comme j'aime les filles, je vais maintenant investir ton petit trou.
— Non, non, vous êtes trop gros, vous allez me déchirer, je voulais attiser sa convoitise.
— Tais toi !

Une claque sonore s’abattit sur mes fesses. Tout en poursuivant sa punition de la main droite, son pouce gauche s'enfonça dans mon trou intime.

— J'obtiens toujours ce que je veux, compris gronda-t-il ! Et toi, tu veux toujours obtenir les renseignements ?
— Oui, bien sur, mais faites attention, il y a longtemps que je n'ai pas été prise de cette façon et avec un tel engin !
— Ne sois pas effrayée, je vais m'y prendre avec douceur !

Pham était en sueur, il ôta son kimono, je pus admirer dans un miroir la totalité de sa masse graisseuse, il était affreux. Trois bourrelets s'étalaient autour de son ventre proéminent. Alfred aurait été content de me voir baiser par ce gros porc obèse à la bite démesurée, pensai-je ! Il enfila à nouveau son sexe monstrueux dans ma chatte, le ressortit et y cracha dessus.

— Ça va aller, dit-il ma queue est toute humide de ta mouille ! Tu vois je pousse, oh putain ma bite entre.

Son gland retourna mon ampoule rectale, j'essayais de détendre mes sphincters, le gros phallus glissa plus profondément.

— Tu vois, ça rentre, il suffit de pousser encore un peu.
— Oh putain, aieeee, ça fat un peu mal, ouille ouille !

Je m'étais à moitié relevée et m'arc-boutait aux accoudoirs du sofa, Toujours en moi, Pham bascula en arrière sur ses talons, et dans cette position acrobatique, il assuma quand même sa pénétration malgré son poids. J'avais les jambes largement écartées, ce qui permettait au sexe éléphantesque de bien coulisser entre mes parois anales. Je levai les yeux, nous étions en face de la porte et dans l'encadrement de celle-ci, se tenait Amar en train de se masturber, il éjacula à ce moment là. J'entendis Pham qui criait.

— Oh je n'en peux plus, j'éjacule, tiens prends, prends tout Salope ! Ooooohhhhh c'est bon !

Le giclées de son sperme chaud, la surprise de voir Amar mater, nos ébats déclencha, ma jouissance, je fermai les yeux, et me laissai tomber contre le torse du gros chinois ou des spasmes de voluptés secouèrent mon corps, et des gémissements de plaisir s’échappèrent de mes lèvres.

— Tu es une sacré baiseuse me dit Pham, c'est vraiment plaisant de baiser une fille aussi jolie et experte que toi ! Tu peux compter sur moi, je vais te dénicher les renseignements que tu cherches.

Nous nous habillâmes, et il me reconduisit à la porte.

— J'ai le téléphone de Amar, sitôt que je sais quelque chose, mais sûrement pas avant demain, je t’appelle pour que tu viennes. Au fait la prime c'est mille dollars !

Je fis un compte rendu à Amar, de mon entretien, lui indiquant que j'aurai une réponse demain.

— Bien, il est tard, nous allons réserver des chambres à l’hôtel, mais tu ne m'as pas fait un compte rendu fidèle de ta réunion me dit-il avec un grand sourire. Je t'ai surveillé car je ne voulais pas qu'il t’arrive malheur, je ne le regrette pas, vous m'avez offert un spectacle érotique époustouflant. Demain si tu veux, je t emmène en excursion atour de Tataouine, tu connais ?

Le lendemain matin, Amar m'emmena visiter KSAR OULED SOLTANE : Ce patrimoine exceptionnel est organisé autour de deux grandes cours communicantes, datant pour l’une du 15ème siècle et pour l’autre du 19ème siècle. Ces cours sont entourées de Ghorfas qui constituent en elles-mêmes la véritable enceinte fortifiée de ce ksar qui se trouve au sommet d’une colline à 23 km au sud de Tataouine, l’un des plus beaux du sud tunisien et des mieux conservés du pays.
Ksar Ouled Soltane est constitué de plus de 400 Ghorfas (des greniers ou cellules de stockage des récoltes et des réserves alimentaires : céréales, blé, orge, dattes, huile, olives, produit de bétail ..) réparties et disposées sur trois, parfois quatre étages, accessibles uniquement par des petits escaliers raides, défiant l'apesanteur, dépourvus de protection et courant sur les façades intérieures en prenant naissance au niveau des cours.
Des dallettes de pierres incrustées dans les murs forment d’autres sortes d’escaliers suspendus permettant d’accéder à certaines des ghorfas les plus hautes. Je trouvais cela d'une pure merveille.
Puis nous primes la route jusqu'au Très beau village Troglodyte de Chimini, nous l'avons visité avec Youssef jeune guide local qui nous a fait partager sa passion pour l'histoire de son village., nous y avons dégusté un très bon couscous.
Sur la route du retour, Amar reçu un coup de téléphone de Pham, lui indiquant qu'il avait les heures renseignements, et qu'il était à me les fournir. Il me donnait rendez-vous chez lui, a cette adresse à 18 heures.
De retour à l'hôtel, je pris une bonne douche, je remis mon porte-jarretelles et mes bas, qui étaient secs après une petite lessive, je n'avais plus de string ! Amar me conduisit à l'adresse indiquée . Un domestique m'introduisit dans l'appartement, Amar me dit qu'il attendrait dans la voiture. Je pénétrai dans la chambre de Pham.

— Trixie, tu es ponctuelle, je t'attendais, mais tu es encore plus belle que l'autre soir !
— Oui, bonsoir Monsieur, alors vous avez-pu les renseignements ?
— Bien sur ma petite Chérie ! Pham n'a qu'une parole, surtout que le versement de la prime a bien été fait sr mon compte !
— Vous avez l'adresse ou on pourra récupérer les pièces volées.
— Bien sûr, tiens un papier et un crayon pour noter ! Il va falloir vous dépêcher car c'est un entrepôt dans un petit village de pêcheur, le responsable s'appelle Mustapha Dahoui, tu as bien tout noté ?
— Oui, mais, mais il me manque le lieu !
— Ah pour ça, il va falloir me verser un petit supplément !

Il s'approcha rapidement, m'enserrant fortement la taille d'un de ses gros bras, il défit rapidement les boutons de mon chemisier et me l'ôta, puis il descendit la fermeture éclair de ma robe qui chu à mes pieds. Cela fut si rapide que je pus esquisser un geste.

— Putain tu m'excites toujours autant avec tes bas et ton porte-jarretelles. Hummmm tes nichons sont magnifiques dit-il en s'emparant d'un téton avec ses lèvres.

Puis il ouvrit son kimono, dévoilant se trois bourrelets graisseux qui lui faisaient le tour du ventre ses lourds pectoraux flasques et glabres et surtout son phallus gros et tendu, le bout du gland décalotté lui arrivait au nombril, ses énormes testicules pendaient entre ses cuisses.

— Regarde comme j'attendais ta venue !

Il profitait de la situation, mais pour Alfred je...! Et puis au diable les fausses excuses, je sentais que mon corps était heureux de s'offrir à cet homme, gros et laid au phallus démesuré. Ma chatte voulait connaître à nouveau les délices de cette énorme pénétration !

— Voilà monsieur Pham, je suis prête !
— Place tes mains sur ce meuble et cambre toi en écartant tes jambes, pour que je puisse te prendre, là, tu sens le bout de ma bite, qui va se faufiler entre tes lèvres !
— Oui, oui, enfilez moi votre grosse bite, je la désire très fort, oui venez, enfoncez là !
— Je sens qu'elle glisse, oui tu es encore plus chaude et tu mouilles plus que la première fois, tu es divine !
— Oui oui prends moi, prends moi. Plus fort, plus loin, c'est bon ! Ho oui, putain ce qu'elle est grosse, je suis pleine de ta queue, c'est bon !

Il me tenait à la taille a hauteur de mon porte-jarretelles, mes paroles durent l'exciter car il redoubla la cadence de ses pénétrations me tirant des cris de bonheur. Puis m’entraînant avec lui, il s'accroupit et s'assit. Ses mains aux doigts boudinés remontèrent et me malaxèrent avec vigueur les seins, tandis qu'il me léchait le dos, me le barbouillant de bave.

— Hummmm tes seins sont gros et durs, tes tétons magnifiques, ils sont longs et durs.
— Ouuuiiiiiii, j'aime quand tu me les pinces ainsi, ouiiiii ça fait mal, mais encore encore, cette douleur décuple ma jouissance !

Il me fit mettre à genoux, accéléra sa cadence, me serrant fortement les seins .

— Ça y est je viens, je vais jouir, tu va s tout prendre au fond de... Haaaaaaaaaaaaaaaaa, putain que c'est bon, hurla-t-il.

Sa grosse queue tressauta dans ma chatte, les giclées chaudes de son sperme déclenchèrent mon orgasme.

— Oui, oui, c'est chaud, hurlai-je, c'est bon, vide toi bien au fond de moi, donne moi tout ton sperme, oui, oui c'est bon.

Il nous fallut un assez long moment pour reprendre nos esprits.

— Bon tu as eu ce que tu voulais, pourrais-tu me donner le nom du port ou se trouve les objets ?
— Mais oui, tu le mérites, ils se trouvent dans un village de pêcheurs Zarzis, il y a un grand entrepôt sur le quai.

Je m'habillai rapidement et allai rejoindre Amar, il attendait patiemment dans la voiture, la nuit était tombée.

— Eh bien, me dit celui-ci, la baise a été bonne ? Car tu en as mis du temps !
— Oui, mais j'ai tous les renseignements, regarde j'ai tout noté !
— Je vais téléphoner à l'Emir.

La conversation en arabe, dura un certain temps .

— Alors qu'a-t-il dit ?
— Il nous donne rendez-vous demain à Zarzis, il vient avec sa milice, pour donner l'assaut et récupérer le trésor !

Le lendemain après midi lorsque nous arrivâmes, les miliciens de l'Emir avaient encerclé l’entrepôt et lui donnaient l'assaut. Il n'y eut pas de coup de feu de tirés, les voleurs en infériorité numérique ne firent aucune difficultés pour se rendre.
Alfred en compagnie de l'Emir me complimentèrent pour le rôle que j'avais joué.

— Elle a été très courageuse, leur dit Amar en riant.
— Bien dit l'Emir, il commence a se faire tard, j'ai réservé des chambres à l’Hôtel sur la plage pour fêter cela je vous invite autour d'un bon repas !

Eddah, la femme de l'Emir Boukka était venue nous rejoindre, après un repas succulent, nous décidâmes tous les cinq d'aller prendre un bain de minuit.
La nuit était belle et chaude, notre choix se porta sur une petite crique assez bien dissimulée par la végétation maritime. Je regardai Eddah et lentement on se dévêtit devant les trois hommes en extase. Amar déjà nu, me ris la main.

Allez Trixie viens, nous serons les premiers dans l'eau ! Les autres nous rejoignirent, je plongeai et fis des brasses sous l'eau, je ressortis assez loin du groupe, cherchant a reprendre ma respiration et je leur tournai le dos, J'avais de l'eau largement plus haut que mon nombril.
Soudain deux mains puissantes s'emparèrent de mes seins, avec violences les doigts pincèrent mes pointes brunes déjà en érection par la fraîcheur de l'eau, je le laissai faire envahie par un bien-être délicieux, tout en pensant que cela devait être Amar, frustré par ce qu'il avait vu de mes ébats avec Pham !

— Hummmmmm c'est bonnnnnn gémissai-je.

Le sexe bandé et dur de l’inconnu se pressa contre moi, il m’entraîna en direction de la plage, Une main continuait à me malaxer un sein tandis que l'autre s'insinua entre mes cuisses pour faire vibrer mon clitoris en feu. Je l'entendais souffler derrière moi, mais il me tira sur le sable en position de levrette.

— Oh ouiiiii, Amar prends moi !

IL s'accroupit derrière moi, et me pénétra assez brutalement en poussant un grognement de victoire. Je reçu en moi, le sexe tendu avec un soupir de contentement, la dur phallus se mit à aller et venir avec force.

— Oui, oui Amar, je suis une salope, je me suis laissée baiser deux fois par ce gros porc de Pham avec sa bite énorme, il m'a fait énormément jouir et toi tu m'attendais sagement, punis moi, vas y !

Ces paroles déclenchèrent la fureur sexuelle de mon amant, Ses coups de boutoirs redoublèrent et forcirent. Je savais que son étreinte ne durerait pas tant je sentis son désir grand, il me baisait avec une sorte de rage, j'aimais cela et je voulais en tirer le maximum de plaisir.

— Ahhhhh Ahhhhhh j'aime ton sexe Amar, il est gros et dur il me rempli bien, vas-y éjacule ton sperme je veux le sentir couler en moi, remplit ma chatte.

Il m'attrapa les cheveux et me tira la tête en arrière. Sa grosse gros tressauta en moi.

— Tiens salope, tiens mon sperme, il est aussi bon que celui de se salaud de Pham, tu as aimé qu'il éjacule son sperme de chinetoque en toi, Salope ! Tiens, tiens Putain ! je jouis, c'est bon !

Je sursautai, ce n'étais pas la voix d'Amar, Le visage de Boukka était penché sur moi. Surprise je me détachai des bras qui m'enserraient, mon plaisir était retombé d'un seul coup. J'enrageai intérieurement d'avoir été bernée, mais je m'efforçai de ne pas le montrer, c'était l'Emir et il était notre hôte !

— Ah vous voilà dit Alfred, ou étiez-vous passé ?
— Viens Alfred rentrons, répondis-je !

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