La manif contre le CPE...
Récit érotique écrit par Inconnue75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2006 dans la catégorie Plus on est
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La manif contre le CPE...
Simplement, je pensais que j'allais pouvoir me taper quelques manifestants, mais.... ce fut tout autre. J'adore les CRS depuis hier ! Les CRS et leurs belles matraques.... Enfin, je ne sais pas trop si c'étaient des CRS mais ce qui est sûr, c'est que c'était des flics. Ils étaient peut-être de la région, peut-être pas. Mais ils avaient en tout cas l'ordre de ne pas bouger des rues adjacentes à la manif.
J'y étais donc, avec la tenue prévue pour c'est-à-dire un haut facile à enlever (donc sans boutons devant), une jupe ma fois assez courte et pas de culotte dessous. Je pensais que vu le temps de la veille, je n'aurais pas froid. Raté, il a plu plusieurs fois et je me suis caillée les miches. Mais ne t'inquiète pas, je vais te raconter comment je me suis réchauffée !!!
Après deux bonnes heures de marche, de piétinement devrais-je dire, je n'avais même pas réussi à obtenir un tripotage, même léger, rien, pas de main au cul, même pas de frôlement, vraiment désespérant. Je me suis dit qu'il était temps de reposer mes pieds, et je me suis dirigée vers une des rues pour sortir de la manif. C'était sans compter sur le zèle des poulets qui étaient présents un peu partout. Je leur ai demandé poliment de me laisser passer car j'étais fatiguée, réponse : non. "S'il vous plait, j'ai mal aux pieds, il fait froid, faut vraiment que je me repose". "On ne peut pas, on a des ordres !".
- Je comprends bien que vous avez des ordres, mais moi je suis crevée !!! Je ne fais rien de mal, je veux juste sortir...", et sur ces mots, je m'avance vers les flics dans l'idée qu'ils allaient s'écarter et me laisser passer. Que nenni ! Au contraire, ils se sont rapprochés l'un de l'autre pour faire un rempart et m'ont repoussé d'une main.
Là, je m'énerve un peu quand même, car j'étais réellement crevée. Je dis, très en colère :" Mais bordel de m.... (je suis très injurieuse qd je m'énerve), vous êtes vraiment une bande de trous du c... ! Je vous dis que je veux juste passer, c'est trop compliqué pour votre petit cerveau ?".... Et je refonce dans le tas. Alertés par les bruits d'une nana qui braillent, les collègues flics d'à côté observaient la scène. Donc quand j'ai essayé de passer à nouveau, ils étaient tous sur leurs gardes, et bien entendu je n'ai pas pu passer, pas plus (et encore moins !) que la première fois. Sauf qu'au passage, en me bousculant, et en me débattant pour qu'ils me lâchent, j'ai saisi et tordu une bite à travers un pantalon et j'ai senti une main baladeuse qui avait repéré mes belles fesses sans culotte. Le flic à qui j'avais agrippé la queue a hurlé, mais je me suis rappelée d'un coup pourquoi j'étais là....
Continuant, d'un air outré : "TOUT CA PARCE-QUE VOUS AVEZ DES BITES A LA PLACE DU CERVEAU....", je n'ai pas pu continuer, sur l'ordre d'un chef, un groupe de 6 m'a embarqué illico pour me mettre dans leur camionnette à quelques mètres. Comme je m'agitais comme une diablesse, ils m'ont assise de force et menottées, derrière le dos. Je n'avais d'autres solutions pour me débattre que de donner des coups de pieds... Et que voit-on quand une fille assise lance ses jambes à droite et à gauche ? Les 3 flics qui m'ont maîtrisées dans la camionnette ont vu très nettement ma petite chatte, et m'ont immobilisé les jambes. Jambes écartées, et menottées aussi, unne à droite et une à gauche. Ma chatte écartée ainsi sous ma jupe, j'ai commencé à sentir une douce chaleur.
Un des flics qui avaient repéré mon manège m'a dit d'un ton sévère : "alors, on veut jouer au casseur de flic ? On fait une manif toute seule et on n'assure pas ?.... Vous savez ce que vous risquez ? Violence, injures... Vous pouvez faire de la prison pour ça, en plus de l'amende que vous aurez à payer !!!". J'ai tenté une conciliation : "Mais, euh, non, c'est pas ce que je voulais faire, c'est un malentendu, on peut sûrement s'arranger.....".
- Un malentendu ? Mais vous avez injurié toute une patrouille et vous avez blessé intimement un agent, c'est ça un malentendu pour vous ?
- je vous assure, c'est un malentendu.... Lui ai-je répondu d'un air un peu péteux...
- Et comment comptez-vous vous arranger ?
- Ben, je ne sais pas moi, je peux soigner la personne que j'ai blessée par exemple....".
Ils ont appelé le flic en question, qui avait vraiment mal le pauvre. Il s'appelait Hervé, comme je ne connais pas son nom de famille, ça pose pas de pb à ce que je continue dans mon histoire à l'appeler ainsi. "Hervé, y'a Madame qui voudrait faire un arrangement". Regard de haine de la part du flic. "Elle a proposé de te soigner". Regard de haine de nouveau, puis comme Hervé était un peu en contrebas sur l'asphalte, moi étant attachée assise sur un banc dans la camionnette, il a vu ma chatte a l'air libre. Son regard est devenu lubrique et ses yeux se sont mis à briller... "Je crois que je peux négocier avec elle, mais il va me falloir un peu de.... temps, et d'espace !". Un regard complice avec son supérieur, tout le monde est sorti de la camionnette, et un des flics a refermé les portes arrières, ne laissant qu'Hervé, et moi.
Assis sur le banc d'en face, il m'observe. Un silence de mort !...
Il se lève et s'approche, et levant ma jupe sur la taille, il me laisse avec ma chatte à l'air. Je suis toujours menottée les jambes écartées, et je suis humide. Avec un sourire de renard sur les lèvres, il plaque sa main sur ma chatte, et d'un coup il enfonce 3 doigts dans ma vulve. Mmmmm, prise au dépourvu, je gémis de bonheur. "Elle est déjà mouillée, la salope !". Il me lâche, baisse sa braguette et me fourre sa bite à moitié bandée dans la bouche. "Suce, chienne, si tu veux t'arranger !". Je n'ai pas d'autre choix, mais en même temps, il ne viendrait pas à l'esprit de refuser si j'avais eu la possibilité. Alors, jambes écartées et main dans le dos, je le suce, je sens sa belle bite grossir, je m'applique, je serre mes lèvres contre son gland, je mordille un peu, mmm, et j'y prends un plaisir fou. D'ailleurs, il s'en aperçoit. Il prend sa matraque (la vraie, car l'autre, je l'ai toujours dans la bouche !) et il me caresse la chatte avec. Je me tortille sur le banc. J'aime cette situation, correspondant à plusieurs de mes fantasmes. Etre totalement offerte, sans avoir le moyen de partir, le droit de cuissage me fait mouiller également. Voyant que je tends de plus en plus ma chatte pour aller à la rencontre de sa matraque, et mes petits gémissements aidant, il déclare : "Je crois qu'on peut essayer de trouver un accord....".
On frappe à la porte de la camionnette. "Hervé, dépêche-toi, on a besoin de toi !". Ca ne fait aucun doute que ses collègues imaginent qu'il est en train de me baiser, purement et simplement. "OK, J'ARRIVE !" crie-t-il à travers la porte. Il me laisse comme ça, sur ma faim, excitée, chaude de la chatte, et il sort de la camionnette. De longues minutes passent, j'entends de l'agitation dehors. Puis, Il ouvre la portière en grand. Ses collègues sont à côté, ils découvrent ma chatte a l'air libre. Malgré le fait que j'aime ça, j'ai un peu la honte tout de même. Ils me détachent et me conduisent à quelques mètres plus loin, dans un hôtel bon marché. Hervé m'explique : "J'ai trouvé un arrangement pour toi, mon chef est d'accord pour oublier l'incident de tout-à -l'heure". Je suis soulagée. "Mais comme tu as insulté plusieurs flics, ils demandent réparation. Déshabille-toi !". Je reste un peu stupéfaite, et je crois que je commence à comprendre. La radio crépite, les 2 flics qui l'accompagnaient disparaissent, et Hervé reste seul pour me voir finir mon effeuillage. Rapide du reste, car je l'avais prévu... "Mets toi à 4 pattes sur le lit !". Ca devient excitant, je m'exécute.Il me menotte les mains aux barreaux du lit devant moi, il me menotte les pieds, j'ai une fois de plus les jambes écartées et la chatte offerte. Il me baillonne et me dit : "Tu vas voir ce que c'est, que la droiteur de la justice !!!".
Je ne comprends pas le sens de sa phrase, mais je sens qu'il me remet ses doigts dans ma chatte. "tu es encore mouillée, c'est parfait !". Et là, il m'enfonce sa matraque, toujours la vraie, dans la chatte ! MMMMM JE GEMIS ! C'est bon, il fait quelques allers et retours dans ma chatte avec sa matraque, et je me sens dégouliner. Je la sens, oui, je la sens bien, il l'enfonce au fond maintenant, le plus loin possible, et il pousse un peu dessus, comme s'il voulait me transpercer. "Alors, tu la sens bien la droiteur de la justice ?...". Je ne peux faire que "mmmmmmm......" de délice et pousser des soupirs de contentement. "Je reviens après, et nous rendrons justice avec mes collègues". Et là, il part, me laissant menottée, baillonnée, et avec sa matraque collée au fond de mon vagin.
Je ne sais pas combien de temps j'ai attendu. J'étais chaude de la chatte, j'ai tenté de m'allonger sur le ventre mais je ne pouvais pas, j'avais envie de jouir, je voulais sentir encore cette masse bouger dans ma chatte. Finalement, j'ai jouis 3 fois à force de contracter mes muscles intimes. J'ai entendu la porte s'ouvrir, et Hervé et 5 de ses collègues sont arrivés. Sur le matelas, entre mes jambes, une tache humide était apparue, l'intérieur de mes cuisses était humide de ma mouille et la matraque en était remplie aussi. Je ne parle pas de l'odeur de ma jouissance, même si elle est moins forte que la jouissance masculine....
Ce tableau a excité tout de suite les 6 gars, et je me suis retrouvée en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire, entourée de 6 belles bites prêtes à se faire sucer. Hervé s'est approché le 1er de mon petit cul. "Alors on se fait plaisir sans nous ? Tu aimes avoir une matraque dans la chatte on dirait...." dit-il en me caressant ma vulve. Il prend le bout de sa matraque et la fait tourner un peu. Mmmm, enfin du mouvement, je commençais à me languir.... "Puisque tu aimes la matraque, tu vas en avoir !!! Hein les gars ?!!! Regardez ça, en levrette comme une chienne !". Rires gras de caserne, je sens qu'il me retire la matraque et qu'il la remplace par sa colonne de chair. Celle-ci est bien plus épaisse et plus douce, je laisse échapper un soupir assez sonore, puis j'entends une voix dire : "Mais c'est qu'elle aime ça la salope ?!!! Allez les gars !....". On m'a enlevé mon baillon et j'ai commencé à sucer une bite, pendant que je me faisais ramoner la chatte. Puis une 2e bite. Hervé a commencé à me doigter le petit trou. Aaaaah, il est épais et tout est gros chez lui, ses doigts comme sa queue, il me fait un peu mal quand il le rentre, mais une fois dedans, je sens qu'il agite son doigt dans mon trou, et je sens sa queue qui me lime juste en dessous, "ouiiiii, je mouille, vas-y ! plus fort, enfonce-moi tes doigts dans mon trou.....". Il se retire alors et présente doucement son gland à l'entrée de mon anus. Il pousse, un peu, je sens que mon trou a du mal. Il me tient par les hanches et pousse encore plus fort.
La 2e queue se retire et la 3e est prête. Je sens une poussée beaucoup plus forte dans mon anus et je lui dit : "Noooonnnn, ça me fait mal, s'il te plait, pas par le cul....
- Tais-toi sale pute, c'est ça ou tu vas en taule !".
Le 3e flic me saisit la tête sans ménagement et me défonce la bouche avec sa bite. Hervé pousse une dernière fois, et son énorme gland franchit mon trou plus qu'étroit. Je hurle en lâchant la bite de l'autre ! AAAAAHHHHH ! NOOOONNN, ENLEVE-TOI, TU ME FAIS MAL ! CA FAIT MAL ! PAS DANS LE CUL ! Au lieu de ça, je reçois une claque sur les fesses, puis une 2e, puis une 3e. Hervé se met à crier plus fort que moi : "TAIS-TOI JE TE DIS !!! C'EST TOUT CE QUE TU MERITES ! C'EST LE PAIEMENT DE NOTRE SENTENCE !!!". Mais je n'écoute plus, il ramone mon petit trou et je hurle de douleur, car il ressort son gros gland et me le rentre en cadence. Et à chaque passage de son gland, à l'endroit où son diamètre est le plus grand, je pousse un cri, ponctué par 4 ou 5 fessées maintenant à chaque cri.
Pendant que les bites se succèdent dans ma bouche, un flic vient se mettre sous moi et me lèche ma vulve, ce qui apaise un peu la douleur ressentie vers mon petit trou. Il y glisse un doigt, 2 doigts, 3 doigts, tout rentre et glisse facilement. A quatre doigts, ça commence à être beaucoup plus dur, mais sa main qui me doigte la chatte associée à la grosse pine d'Hervé dans mon cul, je ne crie plus de douleur, mais de plaisir. Et entre deux bites qui se présente à ma bouche, mon discours devient "VAS-Y, PLUS FORT, BOURRE-MOI LA CHATTE, OUIIII, VIENS ME DEFONCER LE CUL !" et je donne des coups de hanche en arrière, pour bien me faire pénétrer....
Des râles s'élèvent, Hervé m'enfonce une dernière fois son gland et sa bite jusqu'à la garde, au fond de mon petit trou, et en me le maintenant au fond, il pousse un cri de victoire. Je sens son liquide se répandre à l'intérieur. J'ai déjà dû avaler la jouissance de son collègue, qui m'a presque étouffée en me tenant la tête. Il a éjaculé dans ma gorge, je n'avais pas d'autre choix que d'avaler. Les bites se sont succédées ainsi, dans ma chatte et dans mon petit trou, et dans ma bouche. A 6, ceux qui s'étaient lâchés avaient le temps de reprendre des forces, pendant que les 3 autres me ramonaient de tous les côtés. J'ai reçu des quantités de ofutre à l'intérieur de mon ventre, de mon cul et de ma bouche et je dégoulinais de partout. J'ai jouis des dizaines de fois ! Ils m'ont enfin détachée.
J'allais en direction de la douche quand Hervé m'a attrappée par le bras. "Viens là ma salope ! Ca, c'était pour t'éviter la taule ! Mais tu dois payer ton amende !". Sans plus de ménagement, il m'a prise sous son bras et a commencé à me fesser. Une bonne fessée, comme on donne aux gamins pas sages. Alors que tout le monde venait de juter dans tous mes trous, je me sentais humiliée, à être traitée comme ça. Je me débattais, ou j'essayais, en bougeant mes jambes, mais il continuait à me fesser, et CLAC ! CLAC ! CLAC ! Une vraie fessée déculottée bien sûr, il me faisait mal, et c'était si bon en même temps. Je me débattais, mais parce-que j'avais envie de jouir. Il s'est arrêté, et m'a simplement enfoncé ses doigts en V, dans la chatte et dans mon trou, j'ai jouis aussitôt. "Suce-moi, maintenant !". J'étais à genoux cette fois, et je l'ai re-sucé. Un de ses collègues ont pris la suite, chacun leur tour. J'ai reçu une fessée très dure de la part du 2e collègue, qui s'est défoulé sur mes globes. Il m'a défoncé aussi mes deux trous avec ses doigts, mais j'ai joui avec une telle violence, j'ai eu 2 orgasmes de suite. Il a fallu que je le suce lui aussi. Je croyais mon calvaire fini quand un 3e s'est décidé lui aussi, à me fesser. J'avais la vulve tellement sensible que j'ai jouis pendant sa fessée, en lâchant ma mouille abondante... Après ma séance de pompage de queue, Hervé m'a dit :
"Voilà ce qu'on fait aux filles de ton genre qui ne respecte pas la loi, on les remet dans le droit chemin ! T'as compris maintenant ?
- Oui, oui, j'ai compris !
- Tu obéiras aux flics maintenant ?
- Oui, je ferai ce qu'ils me diront.
- Ne te crois pas sauvée pour autant. Nous reviendrons te donner quelques cours d'instruction civique !!!".
J'avais les fesses rouges, et la vulve sensible. Sans parler de mon petit trou qui s'est fait défoncer bien comme il faut. J'ai eu du mal à m'endormir mais je suis revenue sur mes mauvaises intentions, vis à vis des flics !!!
J'y étais donc, avec la tenue prévue pour c'est-à-dire un haut facile à enlever (donc sans boutons devant), une jupe ma fois assez courte et pas de culotte dessous. Je pensais que vu le temps de la veille, je n'aurais pas froid. Raté, il a plu plusieurs fois et je me suis caillée les miches. Mais ne t'inquiète pas, je vais te raconter comment je me suis réchauffée !!!
Après deux bonnes heures de marche, de piétinement devrais-je dire, je n'avais même pas réussi à obtenir un tripotage, même léger, rien, pas de main au cul, même pas de frôlement, vraiment désespérant. Je me suis dit qu'il était temps de reposer mes pieds, et je me suis dirigée vers une des rues pour sortir de la manif. C'était sans compter sur le zèle des poulets qui étaient présents un peu partout. Je leur ai demandé poliment de me laisser passer car j'étais fatiguée, réponse : non. "S'il vous plait, j'ai mal aux pieds, il fait froid, faut vraiment que je me repose". "On ne peut pas, on a des ordres !".
- Je comprends bien que vous avez des ordres, mais moi je suis crevée !!! Je ne fais rien de mal, je veux juste sortir...", et sur ces mots, je m'avance vers les flics dans l'idée qu'ils allaient s'écarter et me laisser passer. Que nenni ! Au contraire, ils se sont rapprochés l'un de l'autre pour faire un rempart et m'ont repoussé d'une main.
Là, je m'énerve un peu quand même, car j'étais réellement crevée. Je dis, très en colère :" Mais bordel de m.... (je suis très injurieuse qd je m'énerve), vous êtes vraiment une bande de trous du c... ! Je vous dis que je veux juste passer, c'est trop compliqué pour votre petit cerveau ?".... Et je refonce dans le tas. Alertés par les bruits d'une nana qui braillent, les collègues flics d'à côté observaient la scène. Donc quand j'ai essayé de passer à nouveau, ils étaient tous sur leurs gardes, et bien entendu je n'ai pas pu passer, pas plus (et encore moins !) que la première fois. Sauf qu'au passage, en me bousculant, et en me débattant pour qu'ils me lâchent, j'ai saisi et tordu une bite à travers un pantalon et j'ai senti une main baladeuse qui avait repéré mes belles fesses sans culotte. Le flic à qui j'avais agrippé la queue a hurlé, mais je me suis rappelée d'un coup pourquoi j'étais là....
Continuant, d'un air outré : "TOUT CA PARCE-QUE VOUS AVEZ DES BITES A LA PLACE DU CERVEAU....", je n'ai pas pu continuer, sur l'ordre d'un chef, un groupe de 6 m'a embarqué illico pour me mettre dans leur camionnette à quelques mètres. Comme je m'agitais comme une diablesse, ils m'ont assise de force et menottées, derrière le dos. Je n'avais d'autres solutions pour me débattre que de donner des coups de pieds... Et que voit-on quand une fille assise lance ses jambes à droite et à gauche ? Les 3 flics qui m'ont maîtrisées dans la camionnette ont vu très nettement ma petite chatte, et m'ont immobilisé les jambes. Jambes écartées, et menottées aussi, unne à droite et une à gauche. Ma chatte écartée ainsi sous ma jupe, j'ai commencé à sentir une douce chaleur.
Un des flics qui avaient repéré mon manège m'a dit d'un ton sévère : "alors, on veut jouer au casseur de flic ? On fait une manif toute seule et on n'assure pas ?.... Vous savez ce que vous risquez ? Violence, injures... Vous pouvez faire de la prison pour ça, en plus de l'amende que vous aurez à payer !!!". J'ai tenté une conciliation : "Mais, euh, non, c'est pas ce que je voulais faire, c'est un malentendu, on peut sûrement s'arranger.....".
- Un malentendu ? Mais vous avez injurié toute une patrouille et vous avez blessé intimement un agent, c'est ça un malentendu pour vous ?
- je vous assure, c'est un malentendu.... Lui ai-je répondu d'un air un peu péteux...
- Et comment comptez-vous vous arranger ?
- Ben, je ne sais pas moi, je peux soigner la personne que j'ai blessée par exemple....".
Ils ont appelé le flic en question, qui avait vraiment mal le pauvre. Il s'appelait Hervé, comme je ne connais pas son nom de famille, ça pose pas de pb à ce que je continue dans mon histoire à l'appeler ainsi. "Hervé, y'a Madame qui voudrait faire un arrangement". Regard de haine de la part du flic. "Elle a proposé de te soigner". Regard de haine de nouveau, puis comme Hervé était un peu en contrebas sur l'asphalte, moi étant attachée assise sur un banc dans la camionnette, il a vu ma chatte a l'air libre. Son regard est devenu lubrique et ses yeux se sont mis à briller... "Je crois que je peux négocier avec elle, mais il va me falloir un peu de.... temps, et d'espace !". Un regard complice avec son supérieur, tout le monde est sorti de la camionnette, et un des flics a refermé les portes arrières, ne laissant qu'Hervé, et moi.
Assis sur le banc d'en face, il m'observe. Un silence de mort !...
Il se lève et s'approche, et levant ma jupe sur la taille, il me laisse avec ma chatte à l'air. Je suis toujours menottée les jambes écartées, et je suis humide. Avec un sourire de renard sur les lèvres, il plaque sa main sur ma chatte, et d'un coup il enfonce 3 doigts dans ma vulve. Mmmmm, prise au dépourvu, je gémis de bonheur. "Elle est déjà mouillée, la salope !". Il me lâche, baisse sa braguette et me fourre sa bite à moitié bandée dans la bouche. "Suce, chienne, si tu veux t'arranger !". Je n'ai pas d'autre choix, mais en même temps, il ne viendrait pas à l'esprit de refuser si j'avais eu la possibilité. Alors, jambes écartées et main dans le dos, je le suce, je sens sa belle bite grossir, je m'applique, je serre mes lèvres contre son gland, je mordille un peu, mmm, et j'y prends un plaisir fou. D'ailleurs, il s'en aperçoit. Il prend sa matraque (la vraie, car l'autre, je l'ai toujours dans la bouche !) et il me caresse la chatte avec. Je me tortille sur le banc. J'aime cette situation, correspondant à plusieurs de mes fantasmes. Etre totalement offerte, sans avoir le moyen de partir, le droit de cuissage me fait mouiller également. Voyant que je tends de plus en plus ma chatte pour aller à la rencontre de sa matraque, et mes petits gémissements aidant, il déclare : "Je crois qu'on peut essayer de trouver un accord....".
On frappe à la porte de la camionnette. "Hervé, dépêche-toi, on a besoin de toi !". Ca ne fait aucun doute que ses collègues imaginent qu'il est en train de me baiser, purement et simplement. "OK, J'ARRIVE !" crie-t-il à travers la porte. Il me laisse comme ça, sur ma faim, excitée, chaude de la chatte, et il sort de la camionnette. De longues minutes passent, j'entends de l'agitation dehors. Puis, Il ouvre la portière en grand. Ses collègues sont à côté, ils découvrent ma chatte a l'air libre. Malgré le fait que j'aime ça, j'ai un peu la honte tout de même. Ils me détachent et me conduisent à quelques mètres plus loin, dans un hôtel bon marché. Hervé m'explique : "J'ai trouvé un arrangement pour toi, mon chef est d'accord pour oublier l'incident de tout-à -l'heure". Je suis soulagée. "Mais comme tu as insulté plusieurs flics, ils demandent réparation. Déshabille-toi !". Je reste un peu stupéfaite, et je crois que je commence à comprendre. La radio crépite, les 2 flics qui l'accompagnaient disparaissent, et Hervé reste seul pour me voir finir mon effeuillage. Rapide du reste, car je l'avais prévu... "Mets toi à 4 pattes sur le lit !". Ca devient excitant, je m'exécute.Il me menotte les mains aux barreaux du lit devant moi, il me menotte les pieds, j'ai une fois de plus les jambes écartées et la chatte offerte. Il me baillonne et me dit : "Tu vas voir ce que c'est, que la droiteur de la justice !!!".
Je ne comprends pas le sens de sa phrase, mais je sens qu'il me remet ses doigts dans ma chatte. "tu es encore mouillée, c'est parfait !". Et là, il m'enfonce sa matraque, toujours la vraie, dans la chatte ! MMMMM JE GEMIS ! C'est bon, il fait quelques allers et retours dans ma chatte avec sa matraque, et je me sens dégouliner. Je la sens, oui, je la sens bien, il l'enfonce au fond maintenant, le plus loin possible, et il pousse un peu dessus, comme s'il voulait me transpercer. "Alors, tu la sens bien la droiteur de la justice ?...". Je ne peux faire que "mmmmmmm......" de délice et pousser des soupirs de contentement. "Je reviens après, et nous rendrons justice avec mes collègues". Et là, il part, me laissant menottée, baillonnée, et avec sa matraque collée au fond de mon vagin.
Je ne sais pas combien de temps j'ai attendu. J'étais chaude de la chatte, j'ai tenté de m'allonger sur le ventre mais je ne pouvais pas, j'avais envie de jouir, je voulais sentir encore cette masse bouger dans ma chatte. Finalement, j'ai jouis 3 fois à force de contracter mes muscles intimes. J'ai entendu la porte s'ouvrir, et Hervé et 5 de ses collègues sont arrivés. Sur le matelas, entre mes jambes, une tache humide était apparue, l'intérieur de mes cuisses était humide de ma mouille et la matraque en était remplie aussi. Je ne parle pas de l'odeur de ma jouissance, même si elle est moins forte que la jouissance masculine....
Ce tableau a excité tout de suite les 6 gars, et je me suis retrouvée en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire, entourée de 6 belles bites prêtes à se faire sucer. Hervé s'est approché le 1er de mon petit cul. "Alors on se fait plaisir sans nous ? Tu aimes avoir une matraque dans la chatte on dirait...." dit-il en me caressant ma vulve. Il prend le bout de sa matraque et la fait tourner un peu. Mmmm, enfin du mouvement, je commençais à me languir.... "Puisque tu aimes la matraque, tu vas en avoir !!! Hein les gars ?!!! Regardez ça, en levrette comme une chienne !". Rires gras de caserne, je sens qu'il me retire la matraque et qu'il la remplace par sa colonne de chair. Celle-ci est bien plus épaisse et plus douce, je laisse échapper un soupir assez sonore, puis j'entends une voix dire : "Mais c'est qu'elle aime ça la salope ?!!! Allez les gars !....". On m'a enlevé mon baillon et j'ai commencé à sucer une bite, pendant que je me faisais ramoner la chatte. Puis une 2e bite. Hervé a commencé à me doigter le petit trou. Aaaaah, il est épais et tout est gros chez lui, ses doigts comme sa queue, il me fait un peu mal quand il le rentre, mais une fois dedans, je sens qu'il agite son doigt dans mon trou, et je sens sa queue qui me lime juste en dessous, "ouiiiii, je mouille, vas-y ! plus fort, enfonce-moi tes doigts dans mon trou.....". Il se retire alors et présente doucement son gland à l'entrée de mon anus. Il pousse, un peu, je sens que mon trou a du mal. Il me tient par les hanches et pousse encore plus fort.
La 2e queue se retire et la 3e est prête. Je sens une poussée beaucoup plus forte dans mon anus et je lui dit : "Noooonnnn, ça me fait mal, s'il te plait, pas par le cul....
- Tais-toi sale pute, c'est ça ou tu vas en taule !".
Le 3e flic me saisit la tête sans ménagement et me défonce la bouche avec sa bite. Hervé pousse une dernière fois, et son énorme gland franchit mon trou plus qu'étroit. Je hurle en lâchant la bite de l'autre ! AAAAAHHHHH ! NOOOONNN, ENLEVE-TOI, TU ME FAIS MAL ! CA FAIT MAL ! PAS DANS LE CUL ! Au lieu de ça, je reçois une claque sur les fesses, puis une 2e, puis une 3e. Hervé se met à crier plus fort que moi : "TAIS-TOI JE TE DIS !!! C'EST TOUT CE QUE TU MERITES ! C'EST LE PAIEMENT DE NOTRE SENTENCE !!!". Mais je n'écoute plus, il ramone mon petit trou et je hurle de douleur, car il ressort son gros gland et me le rentre en cadence. Et à chaque passage de son gland, à l'endroit où son diamètre est le plus grand, je pousse un cri, ponctué par 4 ou 5 fessées maintenant à chaque cri.
Pendant que les bites se succèdent dans ma bouche, un flic vient se mettre sous moi et me lèche ma vulve, ce qui apaise un peu la douleur ressentie vers mon petit trou. Il y glisse un doigt, 2 doigts, 3 doigts, tout rentre et glisse facilement. A quatre doigts, ça commence à être beaucoup plus dur, mais sa main qui me doigte la chatte associée à la grosse pine d'Hervé dans mon cul, je ne crie plus de douleur, mais de plaisir. Et entre deux bites qui se présente à ma bouche, mon discours devient "VAS-Y, PLUS FORT, BOURRE-MOI LA CHATTE, OUIIII, VIENS ME DEFONCER LE CUL !" et je donne des coups de hanche en arrière, pour bien me faire pénétrer....
Des râles s'élèvent, Hervé m'enfonce une dernière fois son gland et sa bite jusqu'à la garde, au fond de mon petit trou, et en me le maintenant au fond, il pousse un cri de victoire. Je sens son liquide se répandre à l'intérieur. J'ai déjà dû avaler la jouissance de son collègue, qui m'a presque étouffée en me tenant la tête. Il a éjaculé dans ma gorge, je n'avais pas d'autre choix que d'avaler. Les bites se sont succédées ainsi, dans ma chatte et dans mon petit trou, et dans ma bouche. A 6, ceux qui s'étaient lâchés avaient le temps de reprendre des forces, pendant que les 3 autres me ramonaient de tous les côtés. J'ai reçu des quantités de ofutre à l'intérieur de mon ventre, de mon cul et de ma bouche et je dégoulinais de partout. J'ai jouis des dizaines de fois ! Ils m'ont enfin détachée.
J'allais en direction de la douche quand Hervé m'a attrappée par le bras. "Viens là ma salope ! Ca, c'était pour t'éviter la taule ! Mais tu dois payer ton amende !". Sans plus de ménagement, il m'a prise sous son bras et a commencé à me fesser. Une bonne fessée, comme on donne aux gamins pas sages. Alors que tout le monde venait de juter dans tous mes trous, je me sentais humiliée, à être traitée comme ça. Je me débattais, ou j'essayais, en bougeant mes jambes, mais il continuait à me fesser, et CLAC ! CLAC ! CLAC ! Une vraie fessée déculottée bien sûr, il me faisait mal, et c'était si bon en même temps. Je me débattais, mais parce-que j'avais envie de jouir. Il s'est arrêté, et m'a simplement enfoncé ses doigts en V, dans la chatte et dans mon trou, j'ai jouis aussitôt. "Suce-moi, maintenant !". J'étais à genoux cette fois, et je l'ai re-sucé. Un de ses collègues ont pris la suite, chacun leur tour. J'ai reçu une fessée très dure de la part du 2e collègue, qui s'est défoulé sur mes globes. Il m'a défoncé aussi mes deux trous avec ses doigts, mais j'ai joui avec une telle violence, j'ai eu 2 orgasmes de suite. Il a fallu que je le suce lui aussi. Je croyais mon calvaire fini quand un 3e s'est décidé lui aussi, à me fesser. J'avais la vulve tellement sensible que j'ai jouis pendant sa fessée, en lâchant ma mouille abondante... Après ma séance de pompage de queue, Hervé m'a dit :
"Voilà ce qu'on fait aux filles de ton genre qui ne respecte pas la loi, on les remet dans le droit chemin ! T'as compris maintenant ?
- Oui, oui, j'ai compris !
- Tu obéiras aux flics maintenant ?
- Oui, je ferai ce qu'ils me diront.
- Ne te crois pas sauvée pour autant. Nous reviendrons te donner quelques cours d'instruction civique !!!".
J'avais les fesses rouges, et la vulve sensible. Sans parler de mon petit trou qui s'est fait défoncer bien comme il faut. J'ai eu du mal à m'endormir mais je suis revenue sur mes mauvaises intentions, vis à vis des flics !!!
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