La manteau en cuir

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
  • • 973 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
  • • L'ensemble des récits érotiques de Baiserjouir ont reçu un total de 8 610 756 visites.
Récit libertin : La manteau en cuir Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2010 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 5 409 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
La manteau en cuir
Je me promène, tranquille, au bord du chemin dans la forêt.
Personne à l"horizon. Tant mieux. J'ai besoin de me soulager la
vessie. Je suis sur le point de m'accroupir quand je pense que le
manteau en cuir me gênera. Je le retire puisqu'il n'y a personne
autour. Il faut dire que je ne porte pas grand chose sur moi: un petit
string qu'il me faut enlever aussi et un soutien gorge. Je porte en
plus un foulard autour du cou. Je m'installe et au moment où je
termine j'aperçois qu'un jeune d'une vingtaine d'année me regarde,
juste en face de moi: il a pu me voir le sexe à loisir. Comme si de
rien n'était je me relève et remet de l'ordre dans les vêtements: je
n'ai que le string à remettre. Je ne sais pourquoi la situation m'excite
un peu. J'ai rarement, à ma connaissance été espionnée ainsi. Je
me relève lentement et, mon manteau toujours largement ouvert.
J'enlève le string devant ce garçon et lui montre bien en face ce qu'il
veut voir. D'un geste de la main je le fait venir. Je n'ai pas peur de
lui, nu d'aucun homme. Je suis assez vicieuse pour même s'il le faut
inventer de nouvelles façon de faire.
D'abord un peu d'histoire sur moi: j'ai 30 ans et donc 15 ans de
baise derrière moi. J'en n'ai eu des amants, des bien montés, des
petitement dotés, des jeunes et des vieux ( ce sont les plus salops en
matière de baise), quelques filles aussi, mais plus rarement quand
j'ai envie de douces caresses. Actuellement je n'ai personne dans
ma vie: je viens juste de changer d'affectation administrative. C'est
un bon avancement pour moi. J'ai pas mal de personnes sous mes
ordre. Je ne mélange jamais le travail et le sexe.
Ce jeune me semble disposé à venir me faire des "mamours".
Autant en profiter. Quand il arrive, c'est moi qui l'embrasse
longuement. Il n'ose pas trop me caresser. Je prends ses mains les
pose sur mes seins. Il me caresse enfin, à travers le soutien gorge. Il
s'enhardi et descend vers mon bas ventre. Je tends vers lui mon
pubis pour qu'il comprenne ce que je veux. Maladroitement sa main
se pose sur mon con. Je suis obligé de le guider pour que sa main
vienne sur mon clitoris. Je le sens tendu: il bande. je suppose que je
dois être sa première femme. Tant mieux, je pourrai en faire ce que
je veux.
Alors tant pis, j'enlève mon manteau en cuir, le pose sur le sol
jonché d'aiguille de pins. j'enlève mon soutif et nue je me donne à
lui.
Jusqu'à présent nous n'avons pas échangé un seul mot. Je me
couche et il veut venir me baiser avant seulement de m'avoir pelotée
ou branlée. Je le relève et reprend sa main et le remet sur le chemin
de mon con. Enfin il commence à me caresser la fente,
maladroitement au début: il vagabonde sans but bien précis. Je suis
encore obligée de lui montrer mon bouton. Enfin il comprend et
commence à me masturber. Je ferme les yeux pendant toute la
durée de sa caresse. Il est surpris quand je jouis. Il veux enlever sa
main, je le retiens et il recommence. Il me fait jouir encore.
je le déshabille complètement. Il a une belle bite: je vais lui
apprendre à s'en servir. Son éducation commence dans une forêt de
pins: c'est un peu différent qu'une chambre: dissolue comme je suis
je peux être vue avec une bite au cul: quelle importance, ça
m'exciterai. Je le fais coucher à mes cotés, l'embrasse encore. je lui
pend la bite dans main et le branle un peu avant de me pencher et
de la prendre à pleine bouche. Je le décalotte avec les lèvres et lui
fait un pompier dont il se souviendra toute sa vie. Je passe
lentement mes lèvres serrées sur son gland qui commence à avoir
des fuites pré-jouissance. J'enfonce son dard dans la bouche et je
me sert d'elle comme d'un con. Il ne tient pas longtemps et jouit. Il
allait sortir de ma bouche, le coquin alors que j'aime le sperme.
J'avale toute sa giclée qui est importante. Je me relève et
l'embrasse. Je sais qu'il va renaître rapidement: à son âge on est
vite sur pied. Je le caresse partout où c'est possible. Bien sur il
bande rapidement. Si je veux lui laisser le souvenir d'une femme
vicieuse, je dois agir comme je vais le faire: il reste couché, le reste
me regarde. Je vais sur lui, lui montre au passage toute ma féminité
et l'enjambe. je suis sur lui, les jambes écartées et me met seule sa
queue dans mon con. Il bouge un peu, moins que moi qui assure
l'essentiel des mouvements. Cette fois il tarde à jouir. Je prends
mon pied plusieurs fois. A chaque orgasme il parait étonné de sentir
mes spasmes autour de sa pine. Dieu ou le Diable au choix, seul
sait quelles jouissances de qualité j'ai. Enfin il jouit en moi. Je ne
sort pas sa queue de mon vagin. Je la garde et la serre par mes
muscles vaginaux. Il ne débande pas tout à fait. J'ai encore besoin
de lui. Quand il ressort, je le reprends en bouche et le fait bander en
lui caressant les couilles et le cul. Enfin à nouveau il bande de plus
en plus. Je me positionne en levrette et me mouille l'entrée du cul
avec ma cyprine. Il comprend ce que je veux. Il vient sur moi et
m'encule sans préparation préalable. Bien sur qu'il s'y prend mal. Le
résultat est quand même à la hauteur: il arrive à me la mettre sans
trop de dégâts et s'enfonce complètement . Je sens ses jeunes
couilles sur mes fesses. Il me fait jouir encore ce petit salop. Enfin
je le sens jouir en moi une dernière fois.
Je rappelle que depuis le début nous n'avons rien dit. Enfin il me
parle:
- J'aimerai recommencer !
- Quel âge as-tu ?
- 17 ans madame, presque 18.
- Ne m'appelle pas madame, dis moi chérie si tu veux. Si tu veux
recommencer, il faudra que tu apprennes à baiser une femme
comme il faut dès le début. Je te l'apprendrai. Puisque tu veux
recommencer, viens chez moi.
Je me lève, nue, devant lui tout aussi nu et qui recommence à
bander encore. Je ne peux pas le laisser dans cet état. Puisqu'il faut
que je débauche, je vais le faire de suite: je me remets sur lui en
position de 69, une de mes préférées tant avec les filles qu'avec les
homme. Je lui donne mon clitoris à lécher. je lui indique comment
faire: il pose sa langue là où il faut et je peux prendre encore dans
ma bouche. Cette fois je le mordille un peu avant de la pendre
presque totalement et profondément. Je lèche tout sa colonne de
bas en haut et de haut en bas. J'en profite pour lui mettre deux
doigts dans le cul. Je jouis encore une fois lorsqu'enfin je reçois sa
dernière décharge dans la bouche.
Nous finissons de baiser: il est plus que satisfait d'être devenu un
véritable homme et moi de mettre fait mettre aux endroits que
j'aime.
Nous repartons ensemble, lui habillé et moi avec seulement le
manteau de cuir, ouvert pour l'instant. Il en profite pour me mettre
les mans aux fesses. Je le laisse faire. Il me dit qu'il a encore envie:
je me mets contre un arbre et ouvre mes jambes: baises moi, petit. Il
ma la met rapidement et nous jouissons ensemble. Nous
approchons de la route principale et cette fois je referme mon
manteau.
Je le trouve mignon et surtout il a les reins solides. Si j'ai des envies
fortes je pourrai compter sur lui.
Rendez vous est prit pour le lendemain soir. Il me tarde d'y être.
Le lendemain matin, au réveil je pense encore aux plaisirs que m'a
donné ce jeune homme. J'en mouille. Je prend mon godemiché et
men sert pour me branler avec. C'est le seul amant régulier que j'ai,
je sais qu'en plus il me restera fidèle.
Enfin le soir est là. Il arrive avec un bouquet de roses. C'est gentil de
sa part et ça ma fait plaisir. les plaisirs que j'attends ne sont pas
d'un bouquet.
Je l'embrasse longuement et lui pose la main sur la queue. Il bande
déjà. Il se laisse faire. je lui dis qu'avant que je lui fasse quoi que ce
soit, il doit s'occuper de mon plaisir avant le sien? Du coup, sa main
va directement vers :mon con. J'aurai préféré les seins. je lui prends
la main et enfin il commence à me caresser sans douceur. Je lui
demande d'aller moins fort. Il comprend et cette fois, il me pelote
comme un grand. J'ai les seins qui gonflent et les mamelons qui
bandent. Il prend sur lui de me déshabiller. Je le laisse faire. il prend
seul la décision de me mettre sa main sur le con et de l'y engager
vers mon clitoris qu'il branle: je jouis. Je sort sa queue du pantalon
et me mets à le masturber. Il est sur le point de jouir. J'arrête juste à
temps. Il se met nu aussi. Je regarde cette queue qui va me donner
du plaisir et à qui j'en donnerai tout à l'heure. Elle ne me déplais pas
du tout.
J'ai envie de commencer par la fin: je veux qu'il m'encule d'abord. Il
est charmant en obéissant comme un enfant bien élevé, alors que
nous baisons. Nous sommes toujours debout. Il pensait qu'une
sodomie se faisait toujours couché. Je reste debout, comme je
mouille je me tartine le cul et me penche en avant: je guide sa pine
vers mon cul et là, le bonheur: il m'encule royalement. Il ma fait jouir
encore plusieurs fois. J'ai mis ma main sur mon con et je le
caresse. Il s'en aperçoit et me demande d'arrêter pour le moment: il
sort de mon anus sans jouir. Je me remets à ma branler devant lui. Il
ne savait pas que les femmes se branlent aussi. J'ai toujours ma
main sur le clitoris que j'astique devant lui. Je savais qu'il aller le
faire: il se branle aussi devant moi: je regarde sa main qui monte et
remonte sur sa tige. Il ferme les yeux au moment de jouir. je regrette
simplement que son sperme soit parti ailleurs que dans ma bouche.
Nous allons nous coucher. je lui fais réviser ses gammes et il me
baise comme je le lui ai dit: il pense à mon plaisir et ne prend le sien
qu'après. Il me baise quand je suis à plat ventre, m'encule dans
cette même position et c'est lui qui me demande un 69.
Cette fois je l'avertis que je vais aussi l'enculer. Il regimbe bien un
peu. mais quand pendant le 69, quand je l'ai bien en bouche, je lui
pose, après l'avoir bien mouillé le gode sur le cul. Il continu à me
sucer. Je reste immobile un instant avant de lui mettre lentement
dans le cul. Sa réaction est positive. Il jouit rapidement en me
remerciant de l'avoir enculé. Quand j'arrive à le faire encore bander
je lui demande s'il veux bien me la mettre au cul pendant qu'il me
mettra le gode dans le con. Il est un peu étonné de ma demande. Je
lui dit que j'aime me faire mettre dans les deux trous à la fois. Il me
baise et me dit qu'il se régale de sentir contre son sexe le gode qui
va et vient. pour ma part je ne boude pas mon plaisir je n'arrête pas
de jouir tout le temps de cette double pénétration.
Je lui ai promis pour la semaine prochaine une rencontre avec une
autre fille pour une baise à trois.
Je ne sais pas trop avec qui: je trouverai bien une autre fille aussi
vicieuse que moi. En attendant je me fais l'amour seule souvent le
matin sous la douche.
( à suivre )

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
C'est une histoire très très excitante. Ce jeune homme a beaucoup de chance !!



Texte coquin : La manteau en cuir
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Baiserjouir

La maîtresse de mon, mari - Récit érotique publié le 27-08-2016
Nos turpitudes - Récit érotique publié le 25-08-2016
Quatuor improvisé - Récit érotique publié le 23-08-2016
Amour à quatre - Récit érotique publié le 21-08-2016
La nymphomane guérie - Récit érotique publié le 19-08-2016
Trio improvisé - Récit érotique publié le 17-08-2016
Nouvelles amies - Récit érotique publié le 14-08-2016
Ma nouvelle voisine (suite) - Récit érotique publié le 11-08-2016
Mon anniversaire - Récit érotique publié le 05-08-2016
Avec mes amantes, je suis heureuse. - Récit érotique publié le 02-08-2016