La Marquise esclave – (suite de l'épisode précédent N°1155)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Marquise esclave – (suite de l'épisode précédent N°1155)
La Marquise esclave – (suite de l'épisode précédent N°1155) -
- Tournez-vous Mes chiennes que mes amis puissent voir l’effet du fouet sur cette peau blanche !...
Ma sœur de soumission avait déjà eu effectivement l’occasion de manier le fouet sous la direction du Maître ou de son compagnon, Dominant, Monsieur le Commandant (voir l’histoire de Vanessa au Château) mais c’était la première fois que je me retrouvais fouettée par elle. Je ne retrouvais pas, évidemment le doigté affiné et précis de Celui à qui nous appartenions, mais elle était de toute évidence très douée ! Les coups étaient suffisamment mordants pour que j’en ressente de la douleur, et pour que j’en ressente de l’excitation. Je sentais ma peau chauffer, mais je sentais aussi qu’elle ne me blessait pas. Sur un « STOP ! » laconique du Châtelain, elle arrêta son bras, au bout d’un bon quart d’heure, elle prit le fouet dans sa bouche et retourna le déposer aux pieds du Maître Vénéré, avant de se prosterner. Il lui flatta le derrière avant de claquer des doigts et qu’elle ne rejoigne Walter. Ce dernier fit apporter trois croix de Saint André et il y attacha un par un chacun des soumis invités.
- Ma chienne, tu vas devoir tout mettre en œuvre, mettre tout ton talent, tout ce que tu auras appris depuis que tu es arrivée au Château, pour faire jouir ces trois chiens. Mais écoute-bien ! Eux ont l’interdiction de jouir jusqu’à la fin du défi. Une fois que le gong aura retenti, si celui ou celle dont tu es en train de t’occuper a un orgasme il ne sera pas puni, alors choisis bien l’ordre dans lequel tu vas t’occuper d’eux. Ceux qui ne réussiront pas à obéir à l’exigence reçue seront sanctionnés par le Dominant ou la Dominante à qui ils appartiennent. Si c’est toi qui doit être sanctionnée, la première sanction sera que tu n’auras pas méritée que je te sanctionne moi-même, tu le seras par le Maître ou la Maîtresse qui possède celui ou celle que tu n’auras pas réussi à faire jouir. Et tu as une demi-heure pour ne pas me décevoir…
J’avais un avantage sur au moins deux d’entre eux, qui n’avaient pas reçu la si exigeante éducation de tout membre du Cheptel MDE. Pour le mâle, qui à priori n’était pas soumis depuis très longtemps, cela fut rapide, il éjacula dans ma bouche après que celle-ci s’activa dans une cadence rapide sur toute sa hampe dressée, il jouit donc tout en râlant tel un cerf en rut au bout de quelques minutes. Pour soumise Alice, j’eus un peu plus de mal, mais mes coups de langue bien placés, titillant abondamment son clitoris, ses lèvres intimes, eurent raison de sa volonté. Restait soumise Keira MDE, une de mes sœurs de soumission… je n’avais jamais eu l’occasion d’être soumise en même temps qu’elle, mais je savais qu’elle avait une volonté de fer. Je n’étais pas sûre que le fait d’avoir mérité mon statut d’esclave soit un avantage suffisant. On se regarda quelques secondes. Nous avions toutes les deux de sacrés enjeux. Toutes deux avions dans cette pièce le Maître qui nous soumettait, et l’homme que nous aimions, et même si ce n’était pas le même, les deux étaient des Dominants reconnus. Et chacune avait la profonde et farouche volonté de montrer une parfaite obéissance !
Il nous restait quinze minutes. Je n’avais reçu aucune consigne de limite. Avec le mâle et soumise Alice, je n’avais eu besoin de m’occuper que de leur sexe. Mais pour soumise Keira MDE, je savais que cela ne suffirait pas. Pourtant je commençais de la même façon. Puis sans prévenir, sans que rien ne puisse le lui laisser deviner par avance, je m’attaquai à un de ses seins, tout en lui léchant le clito. Ensuite, ma langue sortit de cet antre chaud et humide et se dirigea vers son anus, souple évidemment. Je la pénétrais de ma langue, tandis que mes doigts d’une main lui baisaient la chatte et que l’autre travaillait sans relâche son clitoris. Petit à petit, je la sentais se tendre, son souffle s’accélérait, sa poitrine se soulevait, une fine pellicule de sueur commençait à se former. Je savais que le temps défilait et ne me ferait pas de cadeau. Je devenais comme possédaient, mes mains, ma langue semblaient être partout en même temps. Mes mouvements étaient rapides et en même temps précis. Je la touchais partout en même temps, je la pénétrais par tous ses orifices en même temps… je la sentais de plus en plus sur le point de vaciller. Je peux dire que j’y mettais absolument toutes les techniques que j’avais pu apprendre du Maître, de Walter et de Marie… Je ne saurais dire exactement à la seconde près à quel moment elle lâcha son orgasme, si ce fut juste avant ou la seconde après que le gong sonna la fin du défi. Et à priori tous ceux qui nous regardaient n’arrivaient à se décider sur la question non plus.
- Mes chiennes, puisqu’aucun d’entre nous ne peut déterminer avec certitude laquelle de vous deux a rempli l’exigence qui lui avait été donnée, je vous nomme toutes les deux gagnantes. Je tiens à vous dire que je suis particulièrement fière de vous, vous m’avez fait honneur ce soir ! Et je veux vous récompenser. Vous allez venir à Mes pieds et vous aurez le droit de lécher Ma Noble verge, jusqu’à ce que je vous dise de Vous arrêter ! esclave Aphrodite MDE, détache ta sœur, et toutes les deux, venez à moi.
Je lui obéissais et avec un sourire l’une à l’autre, nous nous dirigeâmes avec bonheur aux pieds du Maître Vénéré pour recevoir notre récompense. Pendant que nous nous concentrions à Lui apporter un maximum de plaisir, Il nous caressait, la tête, le visage, les seins. De Ses pieds, Il nous titillait l’entrejambe. Il appuya également sur nos nuques pour nous offrir l’honneur et le bonheur incroyable de pouvoir le prendre en bouche, en gorge profonde. Jusqu’à ce qu’Il recule Sa chaise d’un coup sec. Il se leva, ordonna qu’on se place côte à côte et que nous relevions la tête, tout en gardant le regard baissé, et il éjacula sur nos poitrines, avant de nous ordonner de nous nettoyer mutuellement. Dans de doux coups de langue, nous dégustâmes avec dévotion la noble semence du Maître, un privilège dont on savait être reconnaissante. Les deux chiens pénitents furent conduits pour le reste de la soirée dans les geôles du Château, attachés par des chaines aux poignets, fixées au plafond, leur permettant à peine de se tenir sur le bout de leurs pieds, dans lesquelles ils restèrent dans le noir la plupart du temps, sauf tous les quarts d’heure où la porte s’ouvrait sur un domestique qui venait les fouetter pendant dix minutes... soumise Keira MDE fut conduite au Chenil où l’attendait une douce couverture et un bon repas chaud.
Dans la Grande Salle à Manger, les festivités continuèrent. Je restais la seule soumise pour occuper 8 Dominants. Et ils s’en donnèrent à cœur joie ! Je fus besognée par tous mes orifices. Je léchais tous les sexes, masculin ou féminin qui se présentaient. Je reçus pour leur plaisir des coups de fouet, de badine, de martinet. Pour leur plaisir, oui. Mais je ne pouvais nier que mon côté maso assumé se régalait également de cette torride soirée orgiaque, et ma chatte ne cessait de mouiller et de couler ! Je fus couverte de tous les spermes, cyprines et urines possibles. Lorsque la soirée s’acheva, j’étais ligotée sur une table, souillée, puante, mais heureuse. Je pensais avoir pu faire honneur à l’éducation que j’avais reçue jusqu’ici. Après que le Châtelain ait raccompagné ses invités jusqu’au bas du perron, Il revint me détacher, et sans un mot, Il saisit ma laisse et m’entraina jusqu’à la salle d’eau des soumis, où Il m’ordonna de me nettoyer, de Sa voix Dominante, laconique. Je n’arrivais pas à deviner sur Son visage impassible si je l’avais satisfait et je commençais à douter de mes certitudes à ce niveau. Lorsque je fus propre, Il ne reprit pas la dragonne de ma laisse en main, Il se contenta de claquer des doigts pour que je Le suive. Je la prenais donc dans ma gueule de petite chienne et je Lui emboitais le pas. Ce qui me rassura un petit peu fut que je reconnus le chemin qui menait à Sa chambre. Il y entra et s’assit sur un fauteuil. Je me prosternais alors devant Lui, et attendis patiemment de longues minutes. Jusqu’à ce qu’Il se lève et vienne jusqu’à moi.
- A genoux, Ma chienne !
Je me mis en position, les mains dans le dos, dos bien droit, tête baissée. Au bout de peut-être cinq minutes, Il posa deux doigts sous mon menton et doucement Il me releva le visage vers Lui.
- Regarde-moi Ma chienne ! Je suis fier de toi ! Tu t’es parfaitement conduite ce soir, tu as fait honneur à l’éducation que tu as reçu ici, tu M’as fait honneur ! Je n’ai reçu que des compliments de mes amis ce soir à ton propos. Je suis heureux de savoir que très bientôt tu deviendras Ma femme esclave. Pour te récompenser, cette nuit, tu es autorisée à dormir au pied de Mon lit. Sois heureuse et reconnaissante de cela !
Il se pencha vers moi et m’embrassa longuement, avant de saisir ma laisse pour l’attacher à un anneau enfoncé dans le sol près d’une couverture. Je me couchais dessus sous Son ordre.
- Endors-toi Ma chienne chérie ! Sois apaisée, je veille sur toi…
Et après la longue soirée que je venais de vivre, je ne tardais pas à m’endormir, en chien de fusil, sous les mains du Maître de ma vie et de mon cœur, qui me caressait comme Il l’aurait fait avec une vraie chienne animale…
(A suivre …)
- Tournez-vous Mes chiennes que mes amis puissent voir l’effet du fouet sur cette peau blanche !...
Ma sœur de soumission avait déjà eu effectivement l’occasion de manier le fouet sous la direction du Maître ou de son compagnon, Dominant, Monsieur le Commandant (voir l’histoire de Vanessa au Château) mais c’était la première fois que je me retrouvais fouettée par elle. Je ne retrouvais pas, évidemment le doigté affiné et précis de Celui à qui nous appartenions, mais elle était de toute évidence très douée ! Les coups étaient suffisamment mordants pour que j’en ressente de la douleur, et pour que j’en ressente de l’excitation. Je sentais ma peau chauffer, mais je sentais aussi qu’elle ne me blessait pas. Sur un « STOP ! » laconique du Châtelain, elle arrêta son bras, au bout d’un bon quart d’heure, elle prit le fouet dans sa bouche et retourna le déposer aux pieds du Maître Vénéré, avant de se prosterner. Il lui flatta le derrière avant de claquer des doigts et qu’elle ne rejoigne Walter. Ce dernier fit apporter trois croix de Saint André et il y attacha un par un chacun des soumis invités.
- Ma chienne, tu vas devoir tout mettre en œuvre, mettre tout ton talent, tout ce que tu auras appris depuis que tu es arrivée au Château, pour faire jouir ces trois chiens. Mais écoute-bien ! Eux ont l’interdiction de jouir jusqu’à la fin du défi. Une fois que le gong aura retenti, si celui ou celle dont tu es en train de t’occuper a un orgasme il ne sera pas puni, alors choisis bien l’ordre dans lequel tu vas t’occuper d’eux. Ceux qui ne réussiront pas à obéir à l’exigence reçue seront sanctionnés par le Dominant ou la Dominante à qui ils appartiennent. Si c’est toi qui doit être sanctionnée, la première sanction sera que tu n’auras pas méritée que je te sanctionne moi-même, tu le seras par le Maître ou la Maîtresse qui possède celui ou celle que tu n’auras pas réussi à faire jouir. Et tu as une demi-heure pour ne pas me décevoir…
J’avais un avantage sur au moins deux d’entre eux, qui n’avaient pas reçu la si exigeante éducation de tout membre du Cheptel MDE. Pour le mâle, qui à priori n’était pas soumis depuis très longtemps, cela fut rapide, il éjacula dans ma bouche après que celle-ci s’activa dans une cadence rapide sur toute sa hampe dressée, il jouit donc tout en râlant tel un cerf en rut au bout de quelques minutes. Pour soumise Alice, j’eus un peu plus de mal, mais mes coups de langue bien placés, titillant abondamment son clitoris, ses lèvres intimes, eurent raison de sa volonté. Restait soumise Keira MDE, une de mes sœurs de soumission… je n’avais jamais eu l’occasion d’être soumise en même temps qu’elle, mais je savais qu’elle avait une volonté de fer. Je n’étais pas sûre que le fait d’avoir mérité mon statut d’esclave soit un avantage suffisant. On se regarda quelques secondes. Nous avions toutes les deux de sacrés enjeux. Toutes deux avions dans cette pièce le Maître qui nous soumettait, et l’homme que nous aimions, et même si ce n’était pas le même, les deux étaient des Dominants reconnus. Et chacune avait la profonde et farouche volonté de montrer une parfaite obéissance !
Il nous restait quinze minutes. Je n’avais reçu aucune consigne de limite. Avec le mâle et soumise Alice, je n’avais eu besoin de m’occuper que de leur sexe. Mais pour soumise Keira MDE, je savais que cela ne suffirait pas. Pourtant je commençais de la même façon. Puis sans prévenir, sans que rien ne puisse le lui laisser deviner par avance, je m’attaquai à un de ses seins, tout en lui léchant le clito. Ensuite, ma langue sortit de cet antre chaud et humide et se dirigea vers son anus, souple évidemment. Je la pénétrais de ma langue, tandis que mes doigts d’une main lui baisaient la chatte et que l’autre travaillait sans relâche son clitoris. Petit à petit, je la sentais se tendre, son souffle s’accélérait, sa poitrine se soulevait, une fine pellicule de sueur commençait à se former. Je savais que le temps défilait et ne me ferait pas de cadeau. Je devenais comme possédaient, mes mains, ma langue semblaient être partout en même temps. Mes mouvements étaient rapides et en même temps précis. Je la touchais partout en même temps, je la pénétrais par tous ses orifices en même temps… je la sentais de plus en plus sur le point de vaciller. Je peux dire que j’y mettais absolument toutes les techniques que j’avais pu apprendre du Maître, de Walter et de Marie… Je ne saurais dire exactement à la seconde près à quel moment elle lâcha son orgasme, si ce fut juste avant ou la seconde après que le gong sonna la fin du défi. Et à priori tous ceux qui nous regardaient n’arrivaient à se décider sur la question non plus.
- Mes chiennes, puisqu’aucun d’entre nous ne peut déterminer avec certitude laquelle de vous deux a rempli l’exigence qui lui avait été donnée, je vous nomme toutes les deux gagnantes. Je tiens à vous dire que je suis particulièrement fière de vous, vous m’avez fait honneur ce soir ! Et je veux vous récompenser. Vous allez venir à Mes pieds et vous aurez le droit de lécher Ma Noble verge, jusqu’à ce que je vous dise de Vous arrêter ! esclave Aphrodite MDE, détache ta sœur, et toutes les deux, venez à moi.
Je lui obéissais et avec un sourire l’une à l’autre, nous nous dirigeâmes avec bonheur aux pieds du Maître Vénéré pour recevoir notre récompense. Pendant que nous nous concentrions à Lui apporter un maximum de plaisir, Il nous caressait, la tête, le visage, les seins. De Ses pieds, Il nous titillait l’entrejambe. Il appuya également sur nos nuques pour nous offrir l’honneur et le bonheur incroyable de pouvoir le prendre en bouche, en gorge profonde. Jusqu’à ce qu’Il recule Sa chaise d’un coup sec. Il se leva, ordonna qu’on se place côte à côte et que nous relevions la tête, tout en gardant le regard baissé, et il éjacula sur nos poitrines, avant de nous ordonner de nous nettoyer mutuellement. Dans de doux coups de langue, nous dégustâmes avec dévotion la noble semence du Maître, un privilège dont on savait être reconnaissante. Les deux chiens pénitents furent conduits pour le reste de la soirée dans les geôles du Château, attachés par des chaines aux poignets, fixées au plafond, leur permettant à peine de se tenir sur le bout de leurs pieds, dans lesquelles ils restèrent dans le noir la plupart du temps, sauf tous les quarts d’heure où la porte s’ouvrait sur un domestique qui venait les fouetter pendant dix minutes... soumise Keira MDE fut conduite au Chenil où l’attendait une douce couverture et un bon repas chaud.
Dans la Grande Salle à Manger, les festivités continuèrent. Je restais la seule soumise pour occuper 8 Dominants. Et ils s’en donnèrent à cœur joie ! Je fus besognée par tous mes orifices. Je léchais tous les sexes, masculin ou féminin qui se présentaient. Je reçus pour leur plaisir des coups de fouet, de badine, de martinet. Pour leur plaisir, oui. Mais je ne pouvais nier que mon côté maso assumé se régalait également de cette torride soirée orgiaque, et ma chatte ne cessait de mouiller et de couler ! Je fus couverte de tous les spermes, cyprines et urines possibles. Lorsque la soirée s’acheva, j’étais ligotée sur une table, souillée, puante, mais heureuse. Je pensais avoir pu faire honneur à l’éducation que j’avais reçue jusqu’ici. Après que le Châtelain ait raccompagné ses invités jusqu’au bas du perron, Il revint me détacher, et sans un mot, Il saisit ma laisse et m’entraina jusqu’à la salle d’eau des soumis, où Il m’ordonna de me nettoyer, de Sa voix Dominante, laconique. Je n’arrivais pas à deviner sur Son visage impassible si je l’avais satisfait et je commençais à douter de mes certitudes à ce niveau. Lorsque je fus propre, Il ne reprit pas la dragonne de ma laisse en main, Il se contenta de claquer des doigts pour que je Le suive. Je la prenais donc dans ma gueule de petite chienne et je Lui emboitais le pas. Ce qui me rassura un petit peu fut que je reconnus le chemin qui menait à Sa chambre. Il y entra et s’assit sur un fauteuil. Je me prosternais alors devant Lui, et attendis patiemment de longues minutes. Jusqu’à ce qu’Il se lève et vienne jusqu’à moi.
- A genoux, Ma chienne !
Je me mis en position, les mains dans le dos, dos bien droit, tête baissée. Au bout de peut-être cinq minutes, Il posa deux doigts sous mon menton et doucement Il me releva le visage vers Lui.
- Regarde-moi Ma chienne ! Je suis fier de toi ! Tu t’es parfaitement conduite ce soir, tu as fait honneur à l’éducation que tu as reçu ici, tu M’as fait honneur ! Je n’ai reçu que des compliments de mes amis ce soir à ton propos. Je suis heureux de savoir que très bientôt tu deviendras Ma femme esclave. Pour te récompenser, cette nuit, tu es autorisée à dormir au pied de Mon lit. Sois heureuse et reconnaissante de cela !
Il se pencha vers moi et m’embrassa longuement, avant de saisir ma laisse pour l’attacher à un anneau enfoncé dans le sol près d’une couverture. Je me couchais dessus sous Son ordre.
- Endors-toi Ma chienne chérie ! Sois apaisée, je veille sur toi…
Et après la longue soirée que je venais de vivre, je ne tardais pas à m’endormir, en chien de fusil, sous les mains du Maître de ma vie et de mon cœur, qui me caressait comme Il l’aurait fait avec une vraie chienne animale…
(A suivre …)
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