La Martinique... 3ieme jour... 3/3
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2014 dans la catégorie Plus on est
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La Martinique... 3ieme jour... 3/3
Le portier de l’hôtel repart satisfait d’avoir bien fait jouir ma femme, j’ouvre la porte fenêtre qui donne sur la terrasse aussitôt les quatre hommes s’engouffrent dans la chambre, Anita les attends allongée nonchalamment, nue sur le lit.
A peine remise de mes émotions avec le géant noir que mes amants précédents se disputent pour avoir la meilleure place auprès de mon corps maculé de traces de sperme , ma toison pubienne est empesée , difficile a définir si ma chatte est blonde ou brune
- Ne vous battez pas ! C’est moi qui décide, James tu vas t’allonger, je vais te chevaucher, antonin prendras mon petit trou, un autre ma bouche, et celui qui reste attend qu’un trou se libère, ça vous va ?
Au même moment on frappe à la porte...
- Chéri ta vas voir qui c’est ?
- Sans doute la femme de ménage
- Si elle est baisable profite-en mon amour, tu as mon consentement, je doute qu’elle vienne seulement pour faire le lit car je suis dessus ! allez les gars, un peu d’initiatives que diable !
Ma femme s’assied sur le ventre de James, sa queue est entrée sans peine, Antonin la fait pencher en avant … c’est bien parti, je vais ouvrir, j’entrouvre à peine la porte pour dissimuler le spectacle qui se déroule sur le lit, une fille brune, sublime, aux yeux en amandes, la peau cuivrée couleur des iles est là, deux obus pointent sous sa blouse de travail bleue, les tétons cherchent à crever l’étoffe
- Bonjour, je suis Clarisse, c’est le portier et mon tonton James qui m’envoient
- C’est que… je ne sais pas si le moment est bien choisi …
- Ne vous en faites pas, je suis au courant, voici ce que j’ai à vous offrir …
Toujours dans le couloir, sans hésiter elle déboutonne les premiers boutons de la blouse, des seins magnifiques apparaissent
- Entrez vite ont pourrait vous voir !
- Hooouuuu y’a du monde là-dedans ! je suppose que c’est Anita, votre femme, qui est coincée entre les deux mecs ? pouah !ça sent la bamboula !, qu’attendez-vous pour vous déshabiller cher monsieur ?
Un peu coincé j’obtempère, j’ai honte de ma queue insolente qui se dresse comme un paratonnerre sous les yeux émerveillés de clarisse tandis qu’elle ôte sa blouse de travail, un superbe string blanc met sa peau ambrée en valeur, aucun poils n’en dépasse , soit elle est taillée très court, soit elle est totalement épilée, heureusement il nous reste un petit clic-clac qui peu dépanner les familles nombreuses, la fille approche sûre d’elle, je dois me montrer a la hauteur, alors je l’enlace, elle ne me refuse pas ses lèvres, sur le lit des clameurs et des mots osés commencent à s’élever, plus rien ne me retient, je me met a genoux devant le calice a peine caché, une odeur de vanille et de sexe féminin envahissent mes narines , mes deux mains posées sur ses fesses rebondies et musclées, je l’attire a moi , elle se cambre en avant, j’appuis mon visage sur sa motte bombée, le clitoris est juste a bonne hauteur , je le roule de la pointe du nez avant de crocheter l’élastique du sou- vêtement avec mes dents, Clarisse pousse de petits cris hystériques, ses hanches bougent trop, sa chatte m’échappe
- Vient sur le sofa nous seront plus a l’aise pour que je te bouffe le minou
- Attend, je vais m’assoir pour lécher ta queue de blanc, c’est nouveau pour moi !
- Ta chatte métissée l’est aussi pour moi
Clarisse avance sa bouche vers ma queue sans me quitter des yeux, une main enveloppe mes testicules l’autre la base de ma verge, la langue sortie, elle tète sous mon gland avant d’engloutir le maximum de mon membre, je teste sa volonté en enfonçant d’autorité quelques centimètres supplémentaires, elle ouvre la bouche a la limite de la régurgitation, une salive abondante coule sur ses cuisses, je me retire pour mieux réinvestir son palais, la jeune fille a compris et me laisse baiser sa gorge a ma convenance, ma sève ne va pas tarder a monter dans mon canal ..
- Tu veux tout avaler clarisse ?
Elle fait un signe d’acquiescement de la tête et se prépare à ingurgiter mon foutre, c’est elle qui me finit en me branlant énergiquement, mon sperme gicle, ses joues gonflent, ses yeux s’humidifient, un haut le cœur vite maitrisé, clarisse déglutie plusieurs fois avant de retrouver une respiration normale, son menton est souillé de ma sauce
Au fait ? Ou en est ma femme ? La posture n’a pas changé, elle chevauche toujours James, son neveux la prend par derrière, les deux autres se font sucer a tour de rôle, tout va bien, je peu me concentrer sur clarisse qui vient de s’allonger, manifestement elle a envie que je broute son minou, le slip a disparu, quelques poils ébène finement taillés ornent son mont de vénus, les jambes hautement relevées mettent en valeur les lèvres légèrement séparées et violettes du vagin, sa conque d’un rose magnifiquement nacrée est un régal pour les yeux et certainement un festin pour la langue
- Bouffe-moi la coucoune avant de mettre ton cocoro dedans
- Je vais entrer jusqu’aux oreilles dans ta chatte
Je me jette sur son berlingot, par la surprise ses cuisses se resserrent sur ma tête puis se détendent a l’extérieur dans un alignement parfait je fais travailler ma langue, mon nez, mes doigts, je me vautre littéralement dans sa fente qui ruisselle, un brouhaha règne dans cette chambre qui sent le cul, c’est a qui braillera le plus fort de ma femme et de ma maitresse, Anita profite de ce que ses amants viennent de décharger tous en même temps pour se libérer et voir comment je m’occupe de la femme de ménage
- Huuummmm chéri tu la fait bien jouir ! C’est bien, si tu voyais dans quel état ils m’ont mis ces salauds ! Et ce n’est pas finit, bon, je ne te déconcentre pas, continue mon amour ! j’y retourne !
- Muuuuuuuuuummmmmm !
- Vient sur moi Mathis, enfile-moi vite
Clarisse me tire par les oreilles, un dernier coup de langue et je rampe sur son corps, au passage j’aspire un téton, ma queue prête à exploser est en contact avec sa vulve, la jeune femme ondule du bassin pour essayer de s’embrocher sur mon mât
- MET LA MOI !!!
Sa main fine et manucurée s’empare de ma verge et la place entre ses lèvres je n’aie plus qu’a donné un coup de rein … ce que j’ai fait lentement afin de sentir sa gaine serrée se déployer autour de ma queue, c’est sublime …ma queue baigne dans un magma ouaté, une fois au fond je pousse encore, huit ongles acérés font perler huit gouttes de sang sur mes omoplates, ses talons martèles mes fesses pour m’inciter a pousser ma bitte encore plus loin et plus fort dans son ventre
- Baise- moi ! Baise- moi ! Baise- moi !!!
Les deux mains sous ses fesses je secoue la femme comme un prunier, face à moi ma femme cramponnée au pied du lit, je sais que c’est elle mais elle est méconnaissable , une mèche de cheveux raidie par le foutre cache la moitié de son visage barbouillé de sève masculine , je pense que son corps est tout aussi maculé , elle se fait bourrer en levrette par ses amants qui se remplacent a la queue leu- leu dans son vagin ou son anus dévastés, elle commencer à grimacer, je ne vais pas tarder à intervenir pour faire cesser le défilé, sous moi la jeune femme en sueur grimace elle aussi, mais de jouissance, un coulée brulante suinte de sa vulve, mon gland a vif n’y résiste pas, le sperme monte a une vitesse vertigineuse dans ma queue ,je m’arque- boute sur sa motte , un hurlement accompagne la première giclée qui frappe son utérus
- OUI-OUI- OUI- OUI- OUUUUUUIIIIIIIIIII-NNNNNNOOOOOOOOOONNNN !!!!!! ENCORE ! ENCORE !!!
- HAAAAAAAAAAAAAAAAOOOOOOOOOOOOOH !!!!!!! je dééécharrrge !
Sur le lit, en échos Anita répond
- SALAUD !!!!!! TU ME FAIS JOUUUIIIIIIIRRRRRRRRRRRRRR
Dans la chambre ont n’entend plus que des respirations haletantes, l’odeur de sueur mélangée a celle de la fornication est forte mais aphrodisiaque …..
- PARTEZ ! Partez tous, laissez nous seuls avec ma femme, habillez vous sur la terrasse
Anita reste sur la couche les jambes ouvertes, la chatte aussi ! L’intérieur de ses cuisses n’est qu’une croute de foutre séché ainsi que ses seins, je la rejoins et me vautre sur elle comme pour m’imprégner de son odeur de fauve
- Chérie ? Tu ne m’en veux pas ? tu n’as pas trop souffert ?
- SI ! mais qu’est-ce que c’était bon !
- Tu veux te laver ?
- Pas avant que tu ne m’aie léchée et baissée ! je veux aussi gouter ta queue pleine de cyprine laissée par clarisse
Nous avons passés les derniers jours de vacances à faire l’amour et nous remémorer certaines scènes torrides
Dans l’avion du retour, Anita était placée entre un homme assis coté hublot et moi… ils se sont masturbés dans l’obscurité, très longuement sous une couverture ….
A peine remise de mes émotions avec le géant noir que mes amants précédents se disputent pour avoir la meilleure place auprès de mon corps maculé de traces de sperme , ma toison pubienne est empesée , difficile a définir si ma chatte est blonde ou brune
- Ne vous battez pas ! C’est moi qui décide, James tu vas t’allonger, je vais te chevaucher, antonin prendras mon petit trou, un autre ma bouche, et celui qui reste attend qu’un trou se libère, ça vous va ?
Au même moment on frappe à la porte...
- Chéri ta vas voir qui c’est ?
- Sans doute la femme de ménage
- Si elle est baisable profite-en mon amour, tu as mon consentement, je doute qu’elle vienne seulement pour faire le lit car je suis dessus ! allez les gars, un peu d’initiatives que diable !
Ma femme s’assied sur le ventre de James, sa queue est entrée sans peine, Antonin la fait pencher en avant … c’est bien parti, je vais ouvrir, j’entrouvre à peine la porte pour dissimuler le spectacle qui se déroule sur le lit, une fille brune, sublime, aux yeux en amandes, la peau cuivrée couleur des iles est là, deux obus pointent sous sa blouse de travail bleue, les tétons cherchent à crever l’étoffe
- Bonjour, je suis Clarisse, c’est le portier et mon tonton James qui m’envoient
- C’est que… je ne sais pas si le moment est bien choisi …
- Ne vous en faites pas, je suis au courant, voici ce que j’ai à vous offrir …
Toujours dans le couloir, sans hésiter elle déboutonne les premiers boutons de la blouse, des seins magnifiques apparaissent
- Entrez vite ont pourrait vous voir !
- Hooouuuu y’a du monde là-dedans ! je suppose que c’est Anita, votre femme, qui est coincée entre les deux mecs ? pouah !ça sent la bamboula !, qu’attendez-vous pour vous déshabiller cher monsieur ?
Un peu coincé j’obtempère, j’ai honte de ma queue insolente qui se dresse comme un paratonnerre sous les yeux émerveillés de clarisse tandis qu’elle ôte sa blouse de travail, un superbe string blanc met sa peau ambrée en valeur, aucun poils n’en dépasse , soit elle est taillée très court, soit elle est totalement épilée, heureusement il nous reste un petit clic-clac qui peu dépanner les familles nombreuses, la fille approche sûre d’elle, je dois me montrer a la hauteur, alors je l’enlace, elle ne me refuse pas ses lèvres, sur le lit des clameurs et des mots osés commencent à s’élever, plus rien ne me retient, je me met a genoux devant le calice a peine caché, une odeur de vanille et de sexe féminin envahissent mes narines , mes deux mains posées sur ses fesses rebondies et musclées, je l’attire a moi , elle se cambre en avant, j’appuis mon visage sur sa motte bombée, le clitoris est juste a bonne hauteur , je le roule de la pointe du nez avant de crocheter l’élastique du sou- vêtement avec mes dents, Clarisse pousse de petits cris hystériques, ses hanches bougent trop, sa chatte m’échappe
- Vient sur le sofa nous seront plus a l’aise pour que je te bouffe le minou
- Attend, je vais m’assoir pour lécher ta queue de blanc, c’est nouveau pour moi !
- Ta chatte métissée l’est aussi pour moi
Clarisse avance sa bouche vers ma queue sans me quitter des yeux, une main enveloppe mes testicules l’autre la base de ma verge, la langue sortie, elle tète sous mon gland avant d’engloutir le maximum de mon membre, je teste sa volonté en enfonçant d’autorité quelques centimètres supplémentaires, elle ouvre la bouche a la limite de la régurgitation, une salive abondante coule sur ses cuisses, je me retire pour mieux réinvestir son palais, la jeune fille a compris et me laisse baiser sa gorge a ma convenance, ma sève ne va pas tarder a monter dans mon canal ..
- Tu veux tout avaler clarisse ?
Elle fait un signe d’acquiescement de la tête et se prépare à ingurgiter mon foutre, c’est elle qui me finit en me branlant énergiquement, mon sperme gicle, ses joues gonflent, ses yeux s’humidifient, un haut le cœur vite maitrisé, clarisse déglutie plusieurs fois avant de retrouver une respiration normale, son menton est souillé de ma sauce
Au fait ? Ou en est ma femme ? La posture n’a pas changé, elle chevauche toujours James, son neveux la prend par derrière, les deux autres se font sucer a tour de rôle, tout va bien, je peu me concentrer sur clarisse qui vient de s’allonger, manifestement elle a envie que je broute son minou, le slip a disparu, quelques poils ébène finement taillés ornent son mont de vénus, les jambes hautement relevées mettent en valeur les lèvres légèrement séparées et violettes du vagin, sa conque d’un rose magnifiquement nacrée est un régal pour les yeux et certainement un festin pour la langue
- Bouffe-moi la coucoune avant de mettre ton cocoro dedans
- Je vais entrer jusqu’aux oreilles dans ta chatte
Je me jette sur son berlingot, par la surprise ses cuisses se resserrent sur ma tête puis se détendent a l’extérieur dans un alignement parfait je fais travailler ma langue, mon nez, mes doigts, je me vautre littéralement dans sa fente qui ruisselle, un brouhaha règne dans cette chambre qui sent le cul, c’est a qui braillera le plus fort de ma femme et de ma maitresse, Anita profite de ce que ses amants viennent de décharger tous en même temps pour se libérer et voir comment je m’occupe de la femme de ménage
- Huuummmm chéri tu la fait bien jouir ! C’est bien, si tu voyais dans quel état ils m’ont mis ces salauds ! Et ce n’est pas finit, bon, je ne te déconcentre pas, continue mon amour ! j’y retourne !
- Muuuuuuuuuummmmmm !
- Vient sur moi Mathis, enfile-moi vite
Clarisse me tire par les oreilles, un dernier coup de langue et je rampe sur son corps, au passage j’aspire un téton, ma queue prête à exploser est en contact avec sa vulve, la jeune femme ondule du bassin pour essayer de s’embrocher sur mon mât
- MET LA MOI !!!
Sa main fine et manucurée s’empare de ma verge et la place entre ses lèvres je n’aie plus qu’a donné un coup de rein … ce que j’ai fait lentement afin de sentir sa gaine serrée se déployer autour de ma queue, c’est sublime …ma queue baigne dans un magma ouaté, une fois au fond je pousse encore, huit ongles acérés font perler huit gouttes de sang sur mes omoplates, ses talons martèles mes fesses pour m’inciter a pousser ma bitte encore plus loin et plus fort dans son ventre
- Baise- moi ! Baise- moi ! Baise- moi !!!
Les deux mains sous ses fesses je secoue la femme comme un prunier, face à moi ma femme cramponnée au pied du lit, je sais que c’est elle mais elle est méconnaissable , une mèche de cheveux raidie par le foutre cache la moitié de son visage barbouillé de sève masculine , je pense que son corps est tout aussi maculé , elle se fait bourrer en levrette par ses amants qui se remplacent a la queue leu- leu dans son vagin ou son anus dévastés, elle commencer à grimacer, je ne vais pas tarder à intervenir pour faire cesser le défilé, sous moi la jeune femme en sueur grimace elle aussi, mais de jouissance, un coulée brulante suinte de sa vulve, mon gland a vif n’y résiste pas, le sperme monte a une vitesse vertigineuse dans ma queue ,je m’arque- boute sur sa motte , un hurlement accompagne la première giclée qui frappe son utérus
- OUI-OUI- OUI- OUI- OUUUUUUIIIIIIIIIII-NNNNNNOOOOOOOOOONNNN !!!!!! ENCORE ! ENCORE !!!
- HAAAAAAAAAAAAAAAAOOOOOOOOOOOOOH !!!!!!! je dééécharrrge !
Sur le lit, en échos Anita répond
- SALAUD !!!!!! TU ME FAIS JOUUUIIIIIIIRRRRRRRRRRRRRR
Dans la chambre ont n’entend plus que des respirations haletantes, l’odeur de sueur mélangée a celle de la fornication est forte mais aphrodisiaque …..
- PARTEZ ! Partez tous, laissez nous seuls avec ma femme, habillez vous sur la terrasse
Anita reste sur la couche les jambes ouvertes, la chatte aussi ! L’intérieur de ses cuisses n’est qu’une croute de foutre séché ainsi que ses seins, je la rejoins et me vautre sur elle comme pour m’imprégner de son odeur de fauve
- Chérie ? Tu ne m’en veux pas ? tu n’as pas trop souffert ?
- SI ! mais qu’est-ce que c’était bon !
- Tu veux te laver ?
- Pas avant que tu ne m’aie léchée et baissée ! je veux aussi gouter ta queue pleine de cyprine laissée par clarisse
Nous avons passés les derniers jours de vacances à faire l’amour et nous remémorer certaines scènes torrides
Dans l’avion du retour, Anita était placée entre un homme assis coté hublot et moi… ils se sont masturbés dans l’obscurité, très longuement sous une couverture ….
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quelle chance elle a eue, c'est décidé je pars pour la Martinique.