La masseuse thaï (2) - Sous son toit, je le souille

- Par l'auteur HDS Passions_secrètes -
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Récit libertin : La masseuse thaï (2) - Sous son toit, je le souille Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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La masseuse thaï (2) - Sous son toit, je le souille
Je m’appelle Nira, et ce soir, je lâche mon salon pourri pour son monde. Il m’a appelée, le gendarme, sa voix râpeuse au bout du fil, presque nerveuse : “Elle est partie pour le week-end. Viens chez moi.” Pas d’hôtel, pas de Paris – sa maison, son lit, son terrain. Mon pouls s’affole, mes mains moites fourrent mes huiles et mes serviettes dans un sac. Je veux le baiser jusqu’à ce qu’il s’écroule, mais plus encore : je veux qu’elle sache. Sa femme. Je vais laisser des traces, des preuves qui puent le sexe et la crasse, pour qu’elle comprenne qu’il m’appartient, même juste une nuit.
Sa maison est moche, banale, volets verts fatigués, gravier qui grince sous mes pieds. Il ouvre la porte, torse nu, un jean à moitié ouvert, une odeur de bière rance qui traîne sur lui comme un vieux parfum. Il me tire dedans sans un mot, et je scrute tout : le canapé beige trop propre, les photos d’eux sur le mur – elle, blonde, lisse, une meuf qui sent le savon et la morale. Je la déteste. La cuisine pue le café froid et la graisse, mais je vais tout changer. Ce soir, ça sentira moi – ma chatte velue, ma sueur, mon envie.
Il m’attrape le bras, me traîne vers l’escalier, et je monte, mes cuisses qui frottent, ma chatte qui mouille déjà, une chaleur humide qui colle à mon string. Sa chambre est là, un lit double, des draps blancs qui sentent la lessive – leur lit. Je ricane dans ma tête. Plus pour longtemps. “Fous-toi à poil,” je grogne en thaï, et il obéit, son jean qui claque au sol, sa queue qui pend, lourde, épaisse, prête à bander sous mes mains. Je balance mon sac, sors mes huiles, et je le pousse sur le lit, à quatre pattes, son cul en l’air. C’est chez lui, et je vais tout salir.
J’ouvre l’huile – une merde visqueuse qui pue le plastique – et j’en fous partout, sur ses fesses, sur mes doigts, sur les draps. Ça dégouline, des taches grasses qui s’étendent, et je veux qu’elle les voie. Je l’écarte, brutal, mes ongles qui lacèrent sa peau, et je plonge – trois doigts d’un coup, bien profond, jusqu’à ce que son cul se crispe, sa prostate qui cogne sous mes phalanges. Il gueule, un “putain” qui déchire la pièce, et je sens ma chatte pulser, une odeur forte qui monte de moi, ma touffe noire trempée, un mélange âcre de sueur et de mouille qui me définit. Je chope sa queue – grosse, veinée, déjà glissante – et je le branle, mes doigts qui claquent, mes ongles qui râpent son gland gonflé. L’odeur me cogne – huile rance, sueur de mec, son cul ouvert – et il jouit, un jet épais, brûlant, qui éclabousse les draps, qui tache leur lit de bourge. Je ramasse son foutre avec mes doigts, encore chauds, collants, et je les porte à sa bouche. “Goûte-toi, salaud,” je siffle en thaï, et il hésite, mais je force, mes doigts qui s’enfoncent entre ses lèvres. Il suce, maladroit, le goût de son propre sperme sur sa langue, et je jouis presque à le voir comme ça, soumis, humilié sous mon regard.
Mais c’est pas assez. Je veux qu’elle sente tout. Je balance mes fringues – ma jupe trempée, mon string qui pue ma chatte velue, une odeur sauvage, humide, qui traîne dans l’air – et je les fous sous leur oreiller, un piège qu’elle trouvera. Je me mets à poil, mes seins lourds qui tombent, mes tétons durs comme des lames, et je grimpe sur lui. “Retourne-toi, chien,” je grogne, et il me plaque sur le dos, ses mains qui puent la bière et la crasse sur mes cuisses. Il m’écarte, brutal, et ses doigts – quatre, direct – s’enfoncent dans ma chatte, m’ouvrent, me fouillent, et je hurle, trempée, mes cuisses qui tremblent sous ses coups. Je sens chaque pression, chaque frottement contre mes poils mouillés, et l’odeur monte, ma touffe qui pue le sexe brut, une chaleur animale qui envahit la pièce. Il m’embrasse, sa langue qui force ma bouche, un goût de clope, de bière et de son propre foutre, et je le mords, mes dents qui percent sa lèvre, un filet de sang qui goutte sur les draps – une marque pour elle.
Je le repousse, le remets à quatre pattes, et je prends le vibro dans mon sac – un truc noir, gros, qui vibre fort. J’en fous de l’huile dessus, ça coule sur le matelas, et je l’enfonce dans son cul, lent, puis brutal, jusqu’à ce qu’il hurle, son corps qui tremble, sa queue qui rebande sous mes yeux. Je sens l’odeur – son cul écarté, sa sueur qui pique, le plastique chaud du vibro – et je le branle en même temps, ma main qui glisse dans son foutre d’avant, mes doigts qui serrent jusqu’à ce qu’il râle, un son de gorge qui me fait mouiller encore plus. Ma chatte velue dégouline, une odeur lourde, musquée, qui colle à mes cuisses, et je veux qu’elle la sente, qu’elle sache que j’ai joui ici.
Je craque. Je me fous sur lui, à califourchon, ma chatte qui frotte sa queue, et je le prends, je m’empale d’un coup, un cri qui me brûle la gorge. Il est énorme, dur, et je sens chaque veine qui me remplit, chaque coup qui cogne au fond, mes poils mouillés qui frottent contre lui. Mes seins balancent, mes cuisses brûlent, et je le baise, moi, je le domine, mes ongles dans son torse, son sang qui coule sous mes doigts. L’odeur de ma chatte velue explose – sueur, mouille, sexe cru – et je jouis, un spasme qui me casse, ma touffe qui se serre autour de lui, un flot qui trempe le lit. Il grogne, “t’es une salope,” et je le gifle, fort, une marque rouge sur sa gueule qu’elle verra. Il me retourne, me fout à quatre pattes, et me prend par derrière – sa queue qui force mon cul, qui m’ouvre, et je hurle, la douleur qui me déchire, le plaisir qui me noie, mes larmes qui coulent sur leur oreiller. Je sens son gland qui m’écartèle, ses couilles qui claquent, et il jouit, son foutre qui gicle en moi, chaud, épais, un bordel qui coule entre mes cuisses, qui tache tout. Je ramasse une goutte avec mes doigts, encore chaude, et je la fous dans sa bouche, “Re-goûte,” je siffle, et il avale, ses yeux troubles, son souffle coupé.
Dans ma tête, c’est pas fini. Je veux le baiser partout – sur leur canapé, je veux qu’il me prenne sur leur table, qu’il me foute contre leur frigo et me baise jusqu’à ce que je pisse de plaisir. Je veux le sucer, sa queue dans ma gorge jusqu’à ce que je m’étouffe, recracher son foutre sur leurs photos, laisser mes poils noirs sur son peigne, l’odeur de ma chatte velue sur ses fringues. Je veux qu’il me prenne encore, qu’il me foute sur le ventre et me défonce le cul jusqu’à ce que je hurle son nom – “Jean,” ou peu importe – qu’il me marque avec ses dents, qu’il me dise qu’il me veut plus qu’elle. Je veux qu’elle rentre, qu’elle sente ma touffe puante dans son lit, qu’elle trouve mon string, les draps trempés, le foutre, le sang, et qu’elle pète un câble, qu’elle le largue, qu’elle me haïsse. Je veux être sa vengeance, sa honte, sa drogue.
On s’effondre, collés, puants – huile, sueur, foutre, ma chatte velue qui empeste encore, une odeur sauvage qui flotte dans leur chambre. Je respire fort, ma touffe qui palpite, mes doigts qui tremblent. Il dort presque, son souffle rauque contre mon cou, et je me lève, nue, dégoulinante. Je fous mon string bien en vue sous l’oreiller, je renverse de l’huile sur leur tapis, je laisse une serviette tachée dans la salle de bain, un poil de ma chatte collé sur le miroir. Je veux qu’elle hurle, qu’elle pleure, qu’elle sache que j’ai baisé son mec, que j’ai marqué son monde.
Je me rhabille, mes fringues qui collent à ma peau trempée, l’odeur de ma touffe qui me suit, et je le mate une dernière fois, vautré sur leur lit ravagé. Je sors, la nuit me gifle, mais je souris, ma chatte encore chaude, mes désirs qui brûlent. Lundi, il reviendra au salon, à quatre pattes, et je le baiserai encore dans ma tête. Mais là, chez lui, j’ai tout gagné. Elle saura. Et moi, je serai partout.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Sexe sauvage et bestial d’une masseuse thai incommodant qui nous donne l’impression d’en vouloir à la société et le gendarme trinque elle veut détruire son couple motif non connu bizarre cette histoire
Daniel

Merci pour nos avis les amis, la suite arrive, n’hésitez pas à m’envoyer un mail pour échanger …



Texte coquin : La masseuse thaï (2) - Sous son toit, je le souille
Histoire sexe : Une rose rouge
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