La masseuse thaï (3) - Sous leurs eaux, je règne

- Par l'auteur HDS Passions_secrètes -
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Récit libertin : La masseuse thaï (3) - Sous leurs eaux, je règne Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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La masseuse thaï (3) - Sous leurs eaux, je règne
Je m’appelle Nira, et je viens de tout ravager chez lui. Le gendarme roupille encore, vautré sur leur lit déglingué, les draps trempés d’huile, de foutre, et de l’odeur âcre de ma chatte velue. Ma touffe noire dégouline, une puanteur sauvage, humide, qui colle à mes cuisses – un mélange brut de sueur, de mouille et de sexe qui empuantit la pièce. Mon string traîne sous l’oreiller, mes poils sont collés sur leur miroir, l’huile tache leur tapis. J’ai tout fait pour qu’elle sache, pour qu’elle pète un câble en rentrant. Je me rhabille, mes fringues puantes qui collent à ma peau moite, et je descends l’escalier, un rictus aux lèvres, prête à me barrer. Mais la porte d’entrée claque comme un coup de feu.
Elle est là. Sa femme. Trop tôt. Une blonde sèche, sac à main chic, un air crevé qui se fige en me voyant. Ses yeux bleus me balayent, s’arrêtent sur mes cheveux en vrac, mes cuisses luisantes, et je sens l’odeur de ma touffe velue qui flotte autour de moi, lourde, animale. “T’es qui, toi ?” elle crache, sa voix qui tremble, et je reste plantée, mon cœur qui cogne, mais une part de moi kiffe ça. Elle grimpe l’escalier, rapide, et je la suis, mes baskets qui couinent sur le bois. Elle ouvre la porte de la chambre, et c’est la guerre.
Il se redresse, à poil, la queue encore molle, les draps en bordel, puants son foutre et ma mouille. L’odeur la gifle – huile rance, sueur de mec, ma chatte velue qui empeste le sexe cru – et elle hurle, un cri qui me vrille les tympans. “C’est quoi cette merde, Jean ?” elle gueule, et lui, il bafouille, rouge, cherchant son froc comme un gamin pris la main dans le sac. Elle chope mon string sous l’oreiller, le brandit, et ses yeux passent de lui à moi, pleins de rage et d’eau salée. Je devrais avoir la trouille, mais je bande presque à l’idée qu’elle capte tout.
Et là, elle fait un truc qui me coupe les jambes. Elle balance le string, s’avance vers moi, et me chope par le bras, ses ongles qui s’enfoncent dans ma peau. “Toi, t’as baisé mon mec ici ?” elle siffle, son haleine qui pue la menthe chimique. Je hoche la tête, un sourire en coin, et elle me plaque contre le mur, ses mains qui tremblent. “Tu pues la chatte, salope,” elle grogne, et je sens ma touffe pulser sous son regard, une chaleur humide qui me trahit. Mais au lieu de me cogner, elle se tourne vers lui, et tout part en vrille. “Tu crois que t’es le seul à te vider ? J’ai baisé ton pote Duclos tout l’été. Alors ferme ta gueule.”
Il reste là, la bouche ouverte, sa queue qui rebande malgré lui, et moi, je pige rien. Elle me mate encore, un rictus tordu, et me tire vers le lit. “T’as voulu marquer ma maison ? On va jouer, alors.” Elle me pousse sur le matelas, à côté de lui, et je tombe, mes cuisses écartées, l’odeur de ma chatte velue qui explose – un mélange âcre, musqué, de sueur et de mouille qui envahit tout. Elle grimpe sur moi, brutal, et arrache ma jupe, mes poils noirs trempés sous ses yeux. “Tu pues la pisse et le sexe,” elle grogne, et elle fout sa main là-dedans, ses doigts qui glissent dans ma touffe, qui frottent ma chatte comme si elle voulait la déchirer. Je hurle, le choc et le plaisir qui se cognent, ma touffe qui palpite sous ses phalanges, une chaleur qui me brûle. Elle sent fort, elle aussi – un parfum sucré pourri par sa sueur, et je sens ma mouille couler, une odeur sauvage qui pique le nez.
Et puis, elle va plus loin. Elle se redresse, baisse son jean, sa culotte beige qui tombe, et elle se fout au-dessus de moi. “T’aimes salir ? Goûte ça,” elle grogne, et elle pisse – un jet chaud, doré, qui gicle sur ma gueule, mes seins, ma touffe velue. L’odeur me cogne – pisse acide, sueur salée, ma chatte qui pue encore plus sous son eau – et je jouis presque, ma langue qui lèche par réflexe, un goût âcre qui me brûle la gorge. Elle rit, un son sec, et me retourne, me fout à quatre pattes. Ses doigts reviennent dans ma chatte, quatre, qui m’ouvrent, qui me fouillent, et je sens la pression monter, ma touffe qui tremble, jusqu’à ce que je squirt – un jet violent, clair, qui éclabousse le lit, les draps, son visage. L’odeur explose – ma pisse, ma mouille, ma chatte velue – et je hurle, mes cuisses qui claquent, mon corps qui se vide sur leur lit sacré.
Elle se tourne vers lui, le chope par les cheveux. “À toi, connard,” elle grogne, et elle le force à quatre pattes à côté de moi. Elle prend mon vibro – noir, taché de son cul – et l’enfonce en lui, brutal, jusqu’à ce qu’il gueule, son cul qui se crispe, son foutre d’avant qui suinte encore. “Goûte-toi,” elle siffle, et elle ramasse son sperme sur les draps, le fout dans sa bouche, ses doigts qui le forcent à avaler. Il gémit, humilié, et elle pisse sur lui aussi – un jet qui coule sur son dos, son cul, qui trempe le matelas. L’odeur me prend à la gorge – sa pisse, son foutre, ma touffe velue – et je kiffe ça, ce bordel qui souille tout.
Mais elle s’arrête pas. Elle me plaque sur le dos, m’écarte les cuisses, et elle me prend – sa main entière dans ma chatte, qui m’ouvre, qui me déchire, et je squirt encore, un jet qui gicle sur elle, sur lui, une odeur de pisse et de sexe qui remplit la pièce. Elle grogne, “t’aimes ça, hein,” et elle me gifle le cul, une marque rouge qui brûle. Puis elle le pousse sur moi, sa queue qui cogne mon cul, et il me baise, brutal, ses mains qui lacèrent mes hanches, son gland qui m’ouvre, qui me remplit. Je sens chaque coup, chaque veine qui frotte, et l’odeur – sa sueur, ma chatte velue, sa pisse, la mienne – me gave les poumons. Il jouit, un flot chaud qui gicle en moi, qui coule sur mes cuisses, et elle ramasse une goutte, me la fout dans la bouche. “Goûte-le,” elle siffle, et je lèche, le goût salé, épais, mêlé de pisse, qui me brûle la langue.
Dans ma tête, c’est la folie. Je voulais qu’elle sache, qu’elle hurle, qu’elle le largue – mais là, elle me baise, elle pisse sur moi, et je veux plus. Je veux qu’elle m’étouffe avec sa chatte, qu’elle me force à la lécher jusqu’à ce qu’elle squirt sur ma gueule, une odeur de pisse et de sexe qui me noie. Je veux qu’il me baise pendant qu’elle pisse sur nous, qu’on se vide tous les trois, qu’on marque ce lit avec nos eaux, nos odeurs, nos cris. Je veux qu’on souille leur maison entière – pisser sur leur canapé, squirt dans leur cuisine, laisser des flaques puantes partout. Je veux être leur salope, leur vengeance, leur feu.
Elle s’effondre sur moi, son souffle court, ses seins collés à mon dos, trempés de pisse et de sueur, et lui, il tombe à côté, vidé, puant le foutre, la pisse et la honte. La chambre est un cloaque – draps trempés de pisse, de squirt, d’huile, l’odeur de ma chatte velue qui domine, un mélange âcre, animal, qui flotte comme une victoire. Elle me mate, essoufflée, et elle lâche un rire rauque. “T’es dégueulasse, mais t’es bonne,” elle dit, et elle se lève, nue, dégoulinante de nos eaux. “Reste. On recommencera demain. Et tu pisseras encore.” Puis elle sort, laissant une traînée humide derrière elle, et lui, il me regarde, paumé, sa queue molle sur sa cuisse, son visage encore taché de son foutre.
Je reste là, sur leur lit noyé, ma touffe velue qui pue, mes cuisses trempées de pisse et de squirt, mon corps qui tremble. J’ai gagné, mais pas comme je croyais. Elle sait, elle m’a baisée, elle m’a marquée – et maintenant, elle me garde dans leur merde. Je souris, un rictus sauvage, et je m’allonge, mon odeur qui s’imprime dans leur matelas, ma pisse qui sèche sur leur oreiller. Lundi, il reviendra au salon, et je le baiserai encore – mais elle, elle sera là, dans ma tête, dans leur lit, dans cette maison puante. Je suis leur eau, leur crasse, leur fin. Et ils me veulent encore.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Histoire on ne peut plus bizarre Daniel

Histoire Erotique
Histoire très, trop romantique !..
heureusement pas en odorama...



Texte coquin : La masseuse thaï (3) - Sous leurs eaux, je règne
Histoire sexe : Une rose rouge
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