La masseuse thaï 4 - Sous leurs vagues, je les engloutis

- Par l'auteur HDS Passions_secrètes -
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Récit libertin : La masseuse thaï 4 - Sous leurs vagues, je les engloutis Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La masseuse thaï 4 - Sous leurs vagues, je les engloutis
Je m’appelle Nira, et je suis encore empêtrée avec eux, ce couple tordu qui pue le sexe et la pisse depuis que j’ai souillé leur lit. Ma touffe velue palpite, une odeur âcre, sauvage, qui colle à mes cuisses, un souvenir de cette nuit où on s’est tous noyés – lui, le gendarme, elle, sa femme, et moi, la Thaïe qui les a brisés. Mon string traîne toujours sous leur oreiller, mes poils sur leur miroir, et je pensais que c’était fini. Mais un samedi, il rapplique au salon, seul, en short taché, ses yeux qui fuient. “Demain, une plage,” il marmonne. “Viens avec nous.” Elle m’appelle dix minutes après, sa voix mielleuse : “Naturiste, échangiste. T’en es ?” Ma chatte mouille direct, une chaleur qui me brûle, et je dis oui, sans réfléchir.
Ils passent me chercher dans une caisse pourrie qui sent l’essence et la sueur rance. Elle est là, blonde, lunettes noires, une robe fine qui laisse voir ses tétons durs. Elle me mate dans le rétro, un sourire tranchant, et je sens l’odeur de ma touffe velue qui monte sous ma jupe, mêlée à la moiteur de la route. “Une plage libertine,” elle dit, presque un défi. “T’as peur ?” Je ricane, mon cœur qui tape, et lui, il conduit, muet, ses doigts crispés sur le volant. Ma chatte palpite, une envie de les baiser encore, là, sous le ciel.
On débarque après des heures, une plage paumée, sable qui crame les pieds, vagues qui grondent. Des corps partout – nus, bronzés, mous, tendus – et une odeur qui me cogne : sel, sueur, sexe flottant dans l’air chaud. Ils se foutent à poil direct – lui, sa queue qui pend, épaisse, elle, ses seins qui tombent, lourds – et moi, je balance tout, ma jupe, mon haut, mon string – ma touffe velue à l’air, puante, une odeur de sexe brut qui fait pivoter des têtes. On s’étale sur une serviette, et elle me fixe, ses yeux qui brillent. “Prête ?” elle souffle, et elle me pousse sur le sable, à quatre pattes, ma chatte offerte.
Elle m’écarte les cuisses, brutal, et ses doigts plongent dans ma touffe – trois, qui m’ouvrent, qui fouillent – et je hurle, ma chatte qui tremble, mes poils trempés qui collent à ses mains. L’odeur explose – ma mouille, ma sueur, une puanteur animale qui cogne le sel de la mer – et je squirt, un jet violent qui gicle sur le sable, sur ses doigts, une odeur de pisse et de sexe qui pique. Lui, il mate, sa queue qui durcit, et elle le tire par les couilles. “À toi,” elle grogne, et elle le fout à quatre pattes à côté de moi, ses doigts dans son cul, qui l’ouvrent, qui le font râler. Son foutre gicle, épais, brûlant, sur le sable, et elle le ramasse, le fous dans sa bouche. “Goûte,” elle siffle, et il avale, son souffle rauque, pendant que des regards se rapprochent.
Au loin, je les vois – des ombres qui avancent, lentes, curieuses. Des très jeunes, à peine majeurs, peaux lisses, queues frêles, et des très vieux, ridés, voûtés, bites molles ou tendues par miracle. Ils s’approchent, attirés par nos cris, notre puanteur – ma chatte velue, leur foutre, notre sueur. Un gamin, dix-huit ans max, s’agenouille près de moi, ses yeux bleus écarquillés, et elle lui fait signe. “Baise-la,” elle dit, et il me prend, maladroit, sa queue fine qui glisse dans ma touffe, qui cogne ma chatte. Je hurle, ma touffe qui pue, trempée, une odeur de sexe et de sel qui envahit tout, et je squirt encore, un jet qui gicle sur son torse, sur le sable, une puanteur acide qui le fait gémir. Un vieux s’approche d’elle – barbe blanche, peau flasque – et elle le suce direct, sa bite fripée dans sa bouche, son foutre qui coule, rance, sur ses lèvres. Lui, le gendarme, grogne, mais un autre jeune le chope, une meuf, très jeune, qui le branle, ses doigts frêles sur sa queue, son sperme qui gicle sur ses cuisses.
Ça part en vrille. Les jeunes et les vieux nous encerclent, une marée de corps nus, puants – sueur fraîche, sueur vieille, pisse, foutre, ma chatte velue qui domine tout. Un vieux me grimpe, sa queue molle qui frotte ma touffe, ses mains tremblantes qui m’écartent, et je pisse, un jet chaud qui gicle sur lui, sur le sable, une odeur acide qui le fait bander. Une gamine s’assoit sur mon visage, sa chatte lisse qui pue la jeunesse, et je la lèche, ma langue dans sa mouille, son squirt qui gicle dans ma bouche, un goût sucré et salé qui me noie. Elle, la femme, prend deux vieux à la fois – un dans sa bouche, un dans son cul – et elle hurle, son foutre et leur pisse qui coulent sur ses cuisses. Lui, le gendarme, se fait baiser par un jeune, sa queue frêle dans son cul, et il râle, son foutre qui gicle encore, mélangé à l’odeur de sel et de crasse.
Et là, le twist frappe. Un haut-parleur grésille au loin – “Police ! Tout le monde à terre !” – et une vague de flics déboule, matraques en main, gyrophares qui flashent dans les dunes. Les jeunes hurlent, les vieux s’effondrent, et moi, je reste là, à quatre pattes, ma chatte velue qui pue, trempée de pisse et de squirt. Lui, le gendarme, se redresse, nu, sa queue molle, et gueule, “Je suis des vôtres !” mais un flic le plaque, menottes aux poignets. Elle, elle rit, un rire hystérique, et me mate, “C’était mon idée !” Je capte : elle a tout orchestré – la plage, les échangistes, une descente bidon pour le piéger, pour se venger de ses magouilles.
Mais ça s’arrête pas là. Les flics nous chopent tous, nus, puants, et on finit au poste – une cellule crade, une odeur de pisse et de métal froid. Elle me glisse à l’oreille, “J’ai un contact. On sort demain.” Et elle avait raison. Le lendemain, un avocat louche nous libère, un type qui pue le cigare et le fric, et elle me prend à part. “T’es libre, mais t’es avec moi maintenant,” elle dit, ses yeux fous. “On va le laisser pourrir, et on va vivre – toi, moi, les plages, le sexe.” Je la fixe, ma chatte qui palpite encore, une odeur qui me suit, et je ris, un rire rauque qui déchire l’air.
Un mois après, on est ailleurs – une autre plage, un autre pays, nues sous le soleil, ma touffe velue qui pue, sa chatte rasée qui squirt sur moi, des jeunes et des vieux qui nous baisent, une odeur de pisse, de foutre, de sel qui nous définit. Lui, il croupit en taule, son uniforme oublié, et nous, on rit, reines d’un monde tordu, ma chatte comme un drapeau, une fin que j’aurais jamais vue venir.

Les avis des lecteurs

À ce point :) d’autres arrivent accrochez-vous Daniel

Histoire Erotique
Fin de cette histoire bizarre dérangeante. Daniel



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