La ménopause n'est pas un obstacle à la jouissance... suite - histoire érotique

- Fin de la première partie…

- J’ai une copine un peu plus jeune que moi mais encore plus en jachère que moi !
- La pauvre !
- Et si tu la baisais ?? ….


Début de la deuxième …

- Mon amie s’appelle Aline, je vais l’inviter sans la prévenir de notre relation
- Elle le prendrait mal ?
- Non, mais cela fait partie de mon plan

Trois jours plus tard la copine est là, je dois admettre qu’elle est plutôt jolie, un peu ronde et complexée, d’après elle, ce serait la raison pour laquelle elle est seule
Malgré les explications à la raison de ma présence chez Gabrielle, elle ne comprend pas bien notre décontraction très intime

- Je connais Fabien depuis qu’il est tout petit, il est devenu bel homme hein ?
- Hoooo, moi tu sais les hommes ne me font pas beaucoup d’effet ! je tiens à rester célibataire, ceci dit ton protégé n’est pas mal battit
- Rester célibataire ne veux pas dire, s’interdire les relations intimes…
- C’est toi qui dis ça ? aurais-tu trouvé le prince charmant ? … ma parole ? j’ai raison ? j’ai remarqué en arrivant que tu étais habillée plus ‘moderne’ que d’habitude, bien maquillée, parfumée, tu sors ce soir ?
- Inutile il est là …
- Il est là …Fabien ? je ne te crois pas ….
- Fabien ? vient m’embrasser …
- Ça ne veut rien dire, vous pouvez être complices pour me décider à trouver un homme !
- Fabien ? passe ta main sous ma robe et caresse-moi le minou ….
- Oui Gabrielle … huuummmm, tu n’as pas mis de culotte ?
- Alors c’est vrai ? vous baisez ensembles………tu as de la veine … personne ne veux de moi ….
- Tu ne sais pas regarder les hommes, j’en connais beaucoup qui aimeraient bien te déshabiller
- Ha bon ? et qui ?
- Fabien par exemple
- Baah !
- Oui Aline, elle a raison, vous êtes une jolie femme, faites vous confiance, osez porter des décolletés a la mode et des jupes courtes plutôt qu’un pantalon
- Ce n’est pas bien de vous moquer !
- Aline ? tu fais confiance à ta vielle amie ? alors défait quelques boutons a ton corsage
- Vous êtes fous ?
- Fais-le …..
- Deux boutons ?
- Trois !
- On voit mon soutient gorge !
- Il est de trop, viens avec moi dans la chambre, tu vas l’ôter et je vais te prêter une jupe plus propice à passer une bonne soirée
- Donne-moi un autre apéro ….

Les deux femmes partent dans la chambre, j’entends sa copine rechigner puis glousser, lorsqu’elle franchit la porte elle est rouge et regarde ses pieds, moi je mate deux jambes bien pleines sans être grasses et une naissance de poitrine qui donne envie d’être tétée

- Venez prés de moi Aline …

Elle obéit, tremblante, arrivée face à moi elle éclate en sanglots, confus, je la prends chastement dans mes bras

- Allons ! Ça va aller, calme toi, appuis toi contre moi ….

Gabrielle semble ravie de la tournure que prend la situation, elle me fait signe d’en profiter, mes bras ceinturent plus fermement la fille en pleurs qui peu a peu se laisse aller sur moi, ses spasmes et ses reniflements cessent, ses seins s’écrasent sur ma poitrine, je n’hésite pas a lui faire sentir la proéminence qui se forme plus bas, surprise elle se recule, je récidive, elle ne refuse plus la proximité de nos ventres

- Fabiieeeeeeenn, que va dire Gabrielle ?
- Chuuuuuuuuut... Gabrielle est d’accord …embrasse moi …
- Nooooonnnnnn …..il ne faut pas …….

Je n’insiste pas et pose une main sur le corsage à hauteur d’un sein, elle soupire lorsque je le serre dans ma paume, son ventre se fait plus souple sur mon érection, elle lève la tête vers moi, bouche entrouverte, je l’enlace, glisse ma langue avec la sienne, délaisse la poitrine pour visiter sous la jupe, les genoux se séparent …, l’intérieur des cuisses est brulant, soyeux, je plaque ma paume sur le pubis protégé par une culotte ‘antiviol’, nouveau profond soupir, c’est le moment que choisit Gabrielle pour se joindre a nous par derrière, elle défait complètement le corsage et malaxe la poitrine généreuse, pendant ce temps mes doigts ont trouvés l’élastique du slip pour le faire glisser sur un coté
La fille s’abandonne entre nous deux, à moitié à la renverse, la tête reposée sur l’épaule de Gabrielle, elle la laisse tirer sur ses bouts de seins qui s’érigent et tolère mes doigts qui touillent vigoureusement et bruyamment son vagin d’où s’échappe une rosée intime odorante

- Baise là Fabien, retire lui sa jupe et sa culotte, je la tiens

Je cherche la glissière du vêtement et le tire vers le bas, la culotte a suivi, la femme résignée ferme les yeux en respirant bruyamment, elle sépare ses pieds en signe de consentement, une toison drue et bouclée et noire orne son pubis et le haut de ses cuisses, je quitte mon pantalon, avant de la pointer je m’agenouille devant sa chatte, avec deux doigts je fait une raie au milieu dans cette jungle qui sent bon la femelle, une cicatrice très bombée, luisante, rose foncé apparait, je débusque le clitoris dilaté, a moitié sorti de son capuchon de peau, je le relève de la pointe de la langue, Aline accuse un brusque réflexe en se raidissant

- Tout doux ma belle, je vais t’emmancher
- Ouuuuuuuuiiiii baise moi vite ….
- Tu vas voir comme elle fait du bien a la chatte sa grosse bite, surement plus que ton gode en plastique caché dans ta table de nuit
- Tu fouille chez moi Gabrielle ?
- Tu as bien trouvées mes boules de geisha sous mon oreiller ! enfonce lui ta queue mon chéri

La position est inconfortable, les genoux fléchis, je dirige mon gland décalotté et enduit de salive sur la fente qui baille comme une huitre a marée basse, mon manche n’a pas de mal a franchir la barrière de grosses lèvres, Adeline gronde tout le temps que met ma queue à la pénétrer entièrement, pour ne pas être en reste, avec une main derrière le dos elle triture la chatte de sa copine par-dessus la robe

La position est idéale pour qu’elles voient ma queue besogner ce vagin poilu, je me retire jusqu’au gland avant de forcer la vulve comme d’un coup sec, elle hurle a chaque défroissement de sa gaine vaginale, les longs poils s’imbibent d’une crème visqueuse, j’abrège l’inconfort de la position en déchargeant dans la chatte ramonée

- Tu vois que c’est bon de se faire tirer ma vielle !
- J’admets que je suis bête d’avoir autant attendu, Fabien est un bon amant
- Si nous allions au lit tous les trois ? j’aimerais vous voir vous caresser entre femmes
- Ok, mais après tu nous satisfais toutes les deux
- Je vous vois bien en levrette côte à côte, je changerais de trous toutes les trente secondes !
- Moi j’aimerais bien te chevaucher
- Nous avons la nuit devant nous
- Et demain aussi !