La mère et la fille…
Récit érotique écrit par LTHKM [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La mère et la fille…
Pour vous planter le décor, nous sommes pendant les grandes vacances, c’est la période où les expatriés reviennent en masse dans nos iles.
Une amie de ma mère, Julia est venue passer quelques jours chez nous durant son séjour. Elle était accompagnée de sa fille Manuela.
Comme je vous l’ai dit dans mes précédents récits, quand vous vivez dans une ile, dans un archipel tropical, dans un pays du tiers-monde, à part le sexe, vous ne risquez pas de trouver tellement de distractions… Sans surprise, donc il ne m’a fallu que 2 jours pour que Manuela se retrouve avec ma bite plantée en elle. Je l’ai copieusement « opéré », comme on dit chez nous dans ma chambre, pendant toute une nuit… Par contre ce qui allait être croustillant c’est que je n’avais pas fait attention au fait que sa mère dormait dans la chambre juste au dessus de la mienne…
Ainsi donc, le lendemain matin, je remarquais des regards assez insistant à mon égard de la part de Julia.
Plus tard dans l’après-midi, ma mère me demanda d’aller réinstaller la moustiquaire de la chambre de Julia qui apparemment n’avait pas tenu la nuit. Pendant mon ouvrage, Julia est venue dans la chambre, elle a fermé la porte et s’est assise sur le lit. Elle commence par le cheminement d’une discussion banale, puis fini par me demander : -c’est ta chambre en dessous ?
- oui…- la fille qui était avec toi hier soir s’est bien amusée d’après ce que j’ai entendu- euh… ouais désolé, pourtant j’ai essayé de lui faire faire le moins de bruit possible…- C’est que tu n’étais pas très persuasif alors… (rire)- (rire)- Qu’est ce que tu lui faisais exactement pour la faire crier aussi fort, elle avait l’air d’aimer…- (Rire)… je ne sais pas comment te raconter ça, tu as du comprendre je pense…Elle se lève et me prend la main-c’est vrai, j’ai compris… mais j’aimerai savoir… ou plutôt j’aimerai que tu me fasses la même chose…- (rire un peu gêné)… euh - tu m’invites dans ta chambre ce soir ?
- si tu veux…Elle m’embrasse dans le cou et me dis-je viendrai à 23h…
23h, elle rentre dans ma chambre juste vêtue d’un pagne noué sur la poitrine.
Je venais moi-même de rentrer à la maison. Elle me rejoint dans mon lit et on commence à s’échauffer doucement. Elle ressemble beaucoup à sa fille mais avec 2 tailles au-dessus, une poitrine bien rembourrée et moelleuse et une taille relativement fine qui souligne et sublime la cambrure de son fessier.
Elle arrive finalement au niveau de ma queue déjà bien armée et entame une fellation démoniaque. Elle me lèche d’abord sur toute la longueur, puis salive abondamment sur mon gland pour bien lubrifié avant de me branler… la chaleur de sa main combinée à sa salive me donne des sensations incroyable.
Elle s’attaque ensuite à mes couilles et me les suçotes merveilleusement avant de me faire plusieurs gorges profondes…
Je décide de prendre les choses en mains, je la relève et la place à 4 pattes devant moi. Sa chatte était baveuse à souhait, pour me calmer un peu je me jette à bouche perdu dessus. Elle miaule comme une tigresse, pendant que je joue avec son gros bouton je lui enfonce 2 doigts à la recherche de son point G. son est incroyablement visqueux, un régal. Je m’acharne sur sa chatte jusqu’à l’achever. Elle s’écroule en vibrant de bonheur.
Sans lui laisser de repis, je relève ses hanches et m’enfonce puissamment en elle. Elle reprend tout de suite la symphonie au rythme de mes coups, elle est cambrée, elle mouille comme un robinet, et sa chatte est chaude comme une fournaise. Je lui attrape les mains vers l’arrière et m’en serre comme contre poids pour accentué l’intensité de ma culbute, elle hurle maintenant comme une folle.
Je me retire et me couche pour le faire monter sur moi, ce que je trouve toujours génial avec les mamans africaines, c’est que la taille imposante de leurs culs ne les empêches jamais de chevaucher comme des furies. Elle s’assoit sur ma queue et commence à tortiller son derrière, et toujours en exprimant son plaisir intensément.
Elle me travaille de haut en bas, d’avant en arrière, me donne ses seins à sucer, je lui malaxe les fesses… c’est incroyable elle a exactement le même corps que sa fille mais avec plus de rembourrage. Elle est bord de la jouissance, mais je décide de l’achever en missionnaire.
Je retourne la bête sans la désarçonner et reprend la direction des opérations. Je m’agrippe à elle comme une sangsue en lui écartant les jambes au maximum. Je commence par des coups puissants, étant moi-même au bord de la rupture, je m’assure qu’elle soit à point et entame enfin le sprint final, je me couche sur elle et la bombarde en profondeur. Elle perd la voie au moment de sa jouissance, et je me déverse en elle par 4 jets de foutre que j’ai sentis remonter dans toute ma colonne vertébrale… Je dois avouer que j’ai perdu un peu pied tellement ça a été fort pour moi également.
Elle me sort de ma torpeur en me couvrant de baiser et de remerciements.
On passe un peu de temps à se dorloter, j’étais prêt à lui remettre un coup, mais elle me convainc de la laisser regagner sa chambre pour ne pas se faire piquer par ma mère… mais elle me demande de lui laisser l’exclusivité de ma queue pour les quelques jours qui lui reste…J’ai donc passé toutes les nuits suivantes à l’opérer. Je prenais mon pied mais je regrettais quand même de ne pas avoir le temps de goûter à sa progéniture une nouvelle fois. Mais j’allais découvrir que sa fille n’était pas allé très loin pour m’oublier… je vous raconte çà prochainement
Une amie de ma mère, Julia est venue passer quelques jours chez nous durant son séjour. Elle était accompagnée de sa fille Manuela.
Comme je vous l’ai dit dans mes précédents récits, quand vous vivez dans une ile, dans un archipel tropical, dans un pays du tiers-monde, à part le sexe, vous ne risquez pas de trouver tellement de distractions… Sans surprise, donc il ne m’a fallu que 2 jours pour que Manuela se retrouve avec ma bite plantée en elle. Je l’ai copieusement « opéré », comme on dit chez nous dans ma chambre, pendant toute une nuit… Par contre ce qui allait être croustillant c’est que je n’avais pas fait attention au fait que sa mère dormait dans la chambre juste au dessus de la mienne…
Ainsi donc, le lendemain matin, je remarquais des regards assez insistant à mon égard de la part de Julia.
Plus tard dans l’après-midi, ma mère me demanda d’aller réinstaller la moustiquaire de la chambre de Julia qui apparemment n’avait pas tenu la nuit. Pendant mon ouvrage, Julia est venue dans la chambre, elle a fermé la porte et s’est assise sur le lit. Elle commence par le cheminement d’une discussion banale, puis fini par me demander : -c’est ta chambre en dessous ?
- oui…- la fille qui était avec toi hier soir s’est bien amusée d’après ce que j’ai entendu- euh… ouais désolé, pourtant j’ai essayé de lui faire faire le moins de bruit possible…- C’est que tu n’étais pas très persuasif alors… (rire)- (rire)- Qu’est ce que tu lui faisais exactement pour la faire crier aussi fort, elle avait l’air d’aimer…- (Rire)… je ne sais pas comment te raconter ça, tu as du comprendre je pense…Elle se lève et me prend la main-c’est vrai, j’ai compris… mais j’aimerai savoir… ou plutôt j’aimerai que tu me fasses la même chose…- (rire un peu gêné)… euh - tu m’invites dans ta chambre ce soir ?
- si tu veux…Elle m’embrasse dans le cou et me dis-je viendrai à 23h…
23h, elle rentre dans ma chambre juste vêtue d’un pagne noué sur la poitrine.
Je venais moi-même de rentrer à la maison. Elle me rejoint dans mon lit et on commence à s’échauffer doucement. Elle ressemble beaucoup à sa fille mais avec 2 tailles au-dessus, une poitrine bien rembourrée et moelleuse et une taille relativement fine qui souligne et sublime la cambrure de son fessier.
Elle arrive finalement au niveau de ma queue déjà bien armée et entame une fellation démoniaque. Elle me lèche d’abord sur toute la longueur, puis salive abondamment sur mon gland pour bien lubrifié avant de me branler… la chaleur de sa main combinée à sa salive me donne des sensations incroyable.
Elle s’attaque ensuite à mes couilles et me les suçotes merveilleusement avant de me faire plusieurs gorges profondes…
Je décide de prendre les choses en mains, je la relève et la place à 4 pattes devant moi. Sa chatte était baveuse à souhait, pour me calmer un peu je me jette à bouche perdu dessus. Elle miaule comme une tigresse, pendant que je joue avec son gros bouton je lui enfonce 2 doigts à la recherche de son point G. son est incroyablement visqueux, un régal. Je m’acharne sur sa chatte jusqu’à l’achever. Elle s’écroule en vibrant de bonheur.
Sans lui laisser de repis, je relève ses hanches et m’enfonce puissamment en elle. Elle reprend tout de suite la symphonie au rythme de mes coups, elle est cambrée, elle mouille comme un robinet, et sa chatte est chaude comme une fournaise. Je lui attrape les mains vers l’arrière et m’en serre comme contre poids pour accentué l’intensité de ma culbute, elle hurle maintenant comme une folle.
Je me retire et me couche pour le faire monter sur moi, ce que je trouve toujours génial avec les mamans africaines, c’est que la taille imposante de leurs culs ne les empêches jamais de chevaucher comme des furies. Elle s’assoit sur ma queue et commence à tortiller son derrière, et toujours en exprimant son plaisir intensément.
Elle me travaille de haut en bas, d’avant en arrière, me donne ses seins à sucer, je lui malaxe les fesses… c’est incroyable elle a exactement le même corps que sa fille mais avec plus de rembourrage. Elle est bord de la jouissance, mais je décide de l’achever en missionnaire.
Je retourne la bête sans la désarçonner et reprend la direction des opérations. Je m’agrippe à elle comme une sangsue en lui écartant les jambes au maximum. Je commence par des coups puissants, étant moi-même au bord de la rupture, je m’assure qu’elle soit à point et entame enfin le sprint final, je me couche sur elle et la bombarde en profondeur. Elle perd la voie au moment de sa jouissance, et je me déverse en elle par 4 jets de foutre que j’ai sentis remonter dans toute ma colonne vertébrale… Je dois avouer que j’ai perdu un peu pied tellement ça a été fort pour moi également.
Elle me sort de ma torpeur en me couvrant de baiser et de remerciements.
On passe un peu de temps à se dorloter, j’étais prêt à lui remettre un coup, mais elle me convainc de la laisser regagner sa chambre pour ne pas se faire piquer par ma mère… mais elle me demande de lui laisser l’exclusivité de ma queue pour les quelques jours qui lui reste…J’ai donc passé toutes les nuits suivantes à l’opérer. Je prenais mon pied mais je regrettais quand même de ne pas avoir le temps de goûter à sa progéniture une nouvelle fois. Mais j’allais découvrir que sa fille n’était pas allé très loin pour m’oublier… je vous raconte çà prochainement
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