LA MERE ET SES DEUX FILLES ;1ère partie Dalila, la première fille

- Par l'auteur HDS GERACHE -
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA MERE ET SES DEUX FILLES ;1ère partie Dalila, la première fille Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA MERE ET SES DEUX FILLES ;1ère partie Dalila, la première fille
LA MERE ET SES DEUX FILLLES

Première partie
DALILA , LA PREMIERE FILLE

L’histoire que je vais vous raconter m’est arrivée, au printemps, à un moment ou j’effectuais une inspection dans un chantier que réalisait mon entreprise, près d’une cité populaire dans la banlieue est d’Alger. A l’entrée du chantier j’avais remarqué une bande bruyante d’enfants et de jeunes qui remplissaient seaux et jerricans à partir d’un robinet se trouvant à l’entrée du chantier. Il faut dire que le problème de pénurie d’eau était récurrent dans cette région. Tous ceux qui, comme moi, avaient les moyens de disposer d’une réserve permettaient à la population alentour de l’utiliser.
Mon regard avait été très vite attiré par une fille, qui d’une part dénotait dans le spectacle par son âge assez avancé (elle avait l’air d’avoir au moins dix huit ans) et d’autre part était d’une beauté remarquable. Elle avait une peau très blanche, contrastant très fort avec des cheveux noir-corbeau. Elle était assez grande, pour une fille de ce pays ; elle devait mesurer 1,75 mètre. Elle était vêtue d’une simple robe de coton ; une de ces robes d’intérieur longues et légères qui épousent, quand elles bougent, les formes des filles ou femmes qui les portent. Ses cheveux étaient en désordre, même s’ils étaient courts. Il faut dire que déjà le fait qu’elle était tête nue, dépareillait totalement dans cette contrée où la quasi-totalité des filles pubères portaient le hidjab, cette tenue islamique qui, parait-il, mettait à l’abri du regard concupiscent des hommes, la vertu des femmes.
Je n’avais pas pu m’empêcher de contempler longuement cette espèce d’amazone qui n’arrêtait pas de gesticuler et d’apostropher le gardien du chantier qui servait l’eau. Elle réclamait d’être servie en priorité et le gardien, probablement pour la garder auprès de lui le plus longtemps possible, refusait d’obtempérer. A chacun de ses gestes, sa robe se plaquait contre son corps et mettait en valeur des hanches étroites, des fesses rondes et bombées, des jambes longues et bien dessinées et surtout une paire de seins de taille moyenne mais au galbe irréprochable.
J’étais sûr qu’elle ne portait pas de soutien gorge. Et cette idée commençait à titiller mes sens quelques peu endormis, après une nuit sexuellement bien remplie. Les mouvements qu’elle faisait, plaquaient de temps en temps le léger tissu de sa robe contre ses hanches et ses fesses et mettaient en évidence le dessin du contour de sa culotte: elle ne portait pas de string, contrairement à une majorité de filles et de femmes modernes. J’étais sûr qu’elle portait une culotte en coton qui cachait toute son intimité, à l’image d’un caleçon de garçon. Cela n’avait rien d’érotique, mais cette idée qu’elle pouvait porter une telle vieillerie, aiguisait encore plus mon intérêt pour elle.
Elle avait une voix un peu rauque, comme si elle fumait beaucoup ; ce n’était pas, bien sûr, le cas. C’était sa voix naturelle; une voix qui vous pénétrait par la peau et qui allait titiller la colonne vertébrale et le bas ventre de l’homme qui l’écoutait. Une voix qui ferait bander un mort.
J’appelai le gardien et lui donnai l’ordre de la servir en priorité. Elle m’a regardé (elle venait de découvrir ma présence) et m’a lancé un bruyant merci, accompagné d’un sourire aguicheur. Je crois que je suis tombé amoureux de ce sourire; elle avait de petites dents très blanches, pas des dents de publicité pour une marque de dentifrice, mais des dents de carnassière qui aime croquer la vie. Ses lèvres pleines, sans être proéminentes ni même trop lippues, étaient naturellement rouges, comme des cerises. Sa bouche était un peu trop grande, mais l’ensemble, visage fin, petit nez pointu, grands yeux noirs rieurs, créait une harmonie saisissante. Le tout en faisait une belle jeune fille pleine de santé et un peu aguicheuse et dévergondée. Ce n’était pas pour me déplaire.
Une fois son jerrican rempli, elle s’approcha de moi pour me remercier encore. Je lui proposais de l’aider à porter son jerrican jusqu’à chez elle. Elle refusa. Je lui ai dit que j’aimerais la revoir. Elle jeta un regard intéressé à ma voiture (une grande marque) et me demanda pourquoi je voulais la revoir.
- Tu me plais et j’aimerais te connaître.
- Comment veux-tu me connaître ? Comme une femme ?
- Comme une femme, oui.
- Mais je suis trop jeune.
- Oui. Cà ajoute à ton charme. Et plus je te regarde, plus mon désir de te posséder grandit. Viens avec moi, je te donnerais tout ce que tu désires.
- Tu es fou ! Si mon père et ma mère t’entendaient, ils te tueraient.
- Non si tu leur dis qui je suis et tout ce qu’ils pourraient avoir comme bénéfices. Ecoute, va voir ta maman et dis lui que tu as rencontré un homme riche qui veut t’avoir comme petite amie et qui est capable d’exhausser tous ses besoins matériels, si elle accepte de te laisser partir avec moi.
- Tu es fou ! Elle n’acceptera jamais. Et puis qui te dit que moi je veux partir avec toi ?
- Je suis sûr que tu es intéressée : tu ne manqueras de rien. Et je ferais de toi une vraie dame, riche et belle. Fais ce que je t’ai dit ; va demander à ta maman et si elle accepte appelle moi et je viendrai te chercher. Prend mon numéro de téléphone et appelle-moi, ce soir.
- Je n’ai pas de portable.
J’ai pris l’un des deux téléphones que j’utilisais (pour l’impressionner j’avais choisi celui qui avait les options les plus modernes !) et je le lui ai offert. La discussion commençait à durer un peu trop et la bande d’enfants, intrigués par le manège qui se passait à côté de la voiture, se rapprochait dangereusement. La fille a pris le téléphone et est partie sans rien dire. Au bout de cinquante mètres elle a posé son lourd jerrican et s’est retournée vers moi ; elle m’a fait un sourire, un signe de la main et m’a lancé une œillade qui m’a fait comprendre que pour elle c’était OK.
Je restais planté là à côté de la voiture pendant un certain temps. Je venais de me rendre compte que je ne lui avais même pas demandé son prénom. Je suis remonté dans la voiture, excité à la seule idée de la revoir et de l’amener dans mon antre de célibataire endurci et de lui faire découvrir le paradis.
Cela ne s’est bien sûr pas passé comme je l’avais espéré. J’ai attendu longtemps son coup de fil : je crois qu’un mois entier s’était passé avant qu’elle ne m’appelle. J’avais même commencé à l’oublier. Je m’étais convaincu que c’était mieux ainsi, qu’elle était trop jeune et que j’allais m’embarquer dans une aventure que je n’aurais pas pu maîtriser.
Mais au moment où elle m’a appelé, tout était redevenu possible. Elle m’a dit que sa mère a fini par accepter (après semble-t-il de longs palabres avec le mari qui mettait son honneur de mâle en jeu) mais qu’elle exigeait que je trouve du travail pour son père qui avait fait l’objet d’un licenciement économique et qui était au chômage depuis plusieurs mois. Ce que bien sûr j’ai accepté. Je l’ai fait recruter dans le chantier où j’avais fait la connaissance de sa fille.
J’ai été la chercher le lendemain en début de journée. Je l’ai amenée dans le duplex que je venais d’acquérir au dernier étage d’un immeuble que ma société venait de construire et que je n’avais pas encore occupé.
Mon assistante que j’avais prévenue auparavant nous attendait à l’intérieur. Je lui ai présenté Dalila (c’est son prénom), lui ai donné une liasse de billets et lui ai demandé de l’accompagner dans les magasins pour acheter vêtements, sous vêtements et souliers et l’amener dans un institut de beauté pour arranger sa coiffure et la maquiller à l’instar d’une nouvelle mariée. J’étais sûr que mon assistante qui connaissait parfaitement mes goûts en la matière (elle avait été longtemps ma maîtresse) s’occuperait de Dalila comme il fallait. Elle lui donnerait même les conseils qu’il fallait pour qu’elle reste toujours à mon goût.
Je les ai laissées partir et j’ai passé la journée à mon travail. Le soir j’ai rejoint mon appartement et trouvé une vraie merveille qui m’attendait; l’assistante a réellement fait un travail d’orfèvre. La sauvageonne que je lui avais confiée s’était transformée en une belle plante, habillée sobrement avec une tenue qui mettait en valeur ses longues jambes pleines (les souliers à talons hauts qu’elle portait, maladroitement encore, mettaient en valeur ses mollets, ses cuisses et sa croupe qu’on dirait dessinés par un artiste), ses genoux bien ronds, ses hanches étroites, ses fesses d’africaine, ses seins tendus et fermes.
L’assistante lui avait par ailleurs choisi une coiffure qui respectait la forme de son visage et mettait en valeur ses grands yeux noirs, à peine maquillés. Le maquillage lui-même était discret ; il ne servait qu’à mettre en valeur sa grande bouche et ses lèvres pourpres. J’avais remarqué qu’elle ne fermait jamais totalement sa bouche. Même au repos elle laissait ses lèvres légèrement entrouvertes, lui donnant l’air de vouloir goûter à tout et de croquer la vie à pleines dents. Son regard coquin ne faisait qu’accentuer cette image de jeune fille en attente des belles choses que la vie voudra bien lui offrir, pour les avaler goulûment.
Elle n’était pas encore à l’aise dans ses nouveaux habits, ni dans sa nouvelle silhouette, ni dans sa nouvelle apparence physique. Elle se regardait constamment dans la glace du salon, comme si elle voulait se persuader que c’était bien elle qu’elle voyait en face. Mais petit à petit elle prenait de l’assurance et finissait même par marcher avec ses hauts talons sans vaciller ou trébucher. Il se dégageait d’elle toute la volupté du monde et toutes sortes d’images coquines me traversaient l’esprit pendant que je l’admirais. Je la déshabillais du regard, cherchant à deviner les images de paradis que le tailleur, les bas et les dessous cachaient à ma vue.
J’ai remercié l’assistante qui s’en alla, contente de son travail et je suis resté seul avec Dalila. Pour ne pas l’effaroucher en l’entreprenant immédiatement (ce que de toute évidence, elle attendait que je fasse) je lui ai proposé de l’amener manger au restaurant, histoire de l’habituer à ma présence et de faire plus ample connaissance. Histoire aussi de dégeler l’atmosphère et préparer la suite dans les meilleures conditions possibles.
Nous avons donc été manger dans un des restaurants chic de la capitale, dans lequel j’avais mes habitudes. Je ne me rappelle pas de ce que nous avions mangé ; cela n’a d’ailleurs aucune importance. Ce dont je me rappelle par contre, c’est qu’on était assis côte à côte dans un box à l’abri des regards indiscrets. Je la faisais parler d’elle, de ce qu’elle faisait, de sa famille, de ses amis, de ses amours. Je sus ainsi qu’elle était encore lycéenne et qu’elle devait passer son baccalauréat dans moins d’un mois maintenant. Qu’elle n’avait pas bien travaillé et qu’elle était sûre d’échouer à l’examen. Qu’elle n’avait pas beaucoup d’amies filles parce qu’elles étaient jalouses d’elle et surtout, qu’elle ne portait pas le hidjab. Qu’elle avait eu un petit copain qu’elle croyait aimer, mais qu’il exigeait d’elle qu’elle change de tenue et avec lequel elle avait rompu récemment.
Question relations sexuelles, elle n’avait aucune expérience, même pas de flirt poussé avec son petit copain : juste quelques baisers furtifs. Elle avait bien eu une expérience d’enfant (13 ans) avec un proche cousin qui l’a convaincu de lui montrer sa chatte pendant qu’il lui montrait son zob et qu’il se masturbait. Mais cela ne l’avait pas beaucoup marquée. C’est là aussi que j’ai découvert que Dalila n’avait pas de problèmes avec les mots : elle appelait un chat un chat et un zob, un zob. Elle n’était pas effarouchée par les mots, quoiqu’ils aient comme signification et quoiqu’ils renferment comme pesanteur sociale.
C’est à ce moment que le cochon qui sommeillait en moi a commencé à se réveiller et m’a poussé à des mots et des gestes qui ont enflammé mon sang et ont commencé à l’enflammer elle aussi. Je me suis mis à l’enlacer tendrement et à l’embrasser sur le cou. Je lui ai murmuré à l’oreille qu’elle était belle et que j’avais hâte de lui faire découvrir le paradis de l’amour (ou le septième ciel, comme elle disait). Je lui ai demandé de m’embrasser sur la bouche; ce qu’elle fit avec maladresse, en gardant ses lèvres fermées. Je lui ai demandé de recommencer en ouvrant ses lèvres et en me donnant sa langue. Ce qu’elle a fait docilement, mais sans encore y mettre de la passion ou du désir.
Je lui ai dit que c’était bien, mais qu’elle a encore beaucoup de chemin à parcourir avant d’atteindre la perfection du baiser sensuel. Elle a alors recommencé et petit à petit ses lèvres ont pris la mesure des miennes et sa langue pénétrait dans ma bouche et allait se mesurer à la mienne dans un fabuleux duel qui mit tous mes sens à vif. Au bout d’un quart d’heure, elle était devenue une spécialiste du baiser mouillé infernal ; celui qui réveille tous les sens et fait bander comme un âne. Des baisers prometteurs d’une nuit torride.
J’ai mis ma main sur son genou droit ; un genou rond et dodu, d’une douceur de soie. Je l’ai sentie frémir et se crisper un peu. J’ai laissé ma main sur son genou, comme si je n’avais pas senti sa crispation ; elle m’a laissé faire sans dire un mot. J’ai avancé ma main à l’intérieur de sa cuisse, tout en la forçant à s’écarter au fur et à mesure qu’elle remontait vers la naissance de ses cuisses ; vers le paradis. Elle était tentée de refermer ses jambes de manière à m’empêcher d’aller plus loin. Je lui ordonnais doucement à l’oreille, mais d’une voix sans réplique :
- Ouvre-les !
Elle obéit sans un mot et laissa ma main aller à la rencontre de sa culotte (c’était un string !). Elle se crispa un peu plus et resserra ses cuisses sur ma main sans comprendre qu’en la tenait prisonnière elle lui permettait ainsi de caresser sa chatte à travers son string. Je sentis son souffle devenir plus court et son corps commencer à remuer insensiblement; irrésistiblement. De mon autre main, j’entrepris de caresser son sein droit à travers son chemisier. Elle n’avait pas mis de soutien gorge. Son sein était tendu et ferme. Fiévreusement je dégrafais les premiers boutons de son chemisier pour mettre à nu ses mamelons. Le spectacle qui s’offrait à mes yeux était féerique : des seins blancs, de taille moyenne, dessinés pareils à des pommes avec des tétons violacés, tendus vers le ciel et appelant les caresses.
Je pris entre mes doigts le téton droit et le pinçait doucement quelques secondes avant de passer à l’autre sein. Son souffle devint encore plus court ; sa bouche s’ouvrait à moitié, comme si elle avait besoin de respirer plus fort. Elle murmurait des mots incompréhensibles, qui n’étaient destinés qu’à elle seule. Nous restâmes ainsi un bon laps de temps : elle la jupe relevée, les jambes entrouvertes et les seins en l’air ; moi avec une main caressant sa chatte à travers le tissu de sa culotte et manipulant l’un et l’autre de ses tétons entre mes doigts. Inutile de dire que j’étais au summum de l’excitation : mon membre était tellement tendu qu’il me faisait mal. J’avais l’impression qu’il n’allait pas tarder à traverser mon slip et mon pantalon. Je pris sa main droite et la posai sur lui. Involontairement elle résistait et j’ai du appliquer plus de force pour lui faire atteindre la monstrueuse boursouflure que faisait mon pénis prisonnier du slip et du pantalon.
Je fis faire à sa main les mouvements de caresse et lui ordonnait de continuer toute seule. Elle obéit, mais s’y pris maladroitement. Je me remis à lui guider la main, lui montrant les gestes qu’il convenait de faire, lui faisant faire des pressions de plus en plus fortes sur mon sexe. Elle comprit très vite la manœuvre et accomplit toute seule et de manière de plus en plus experte, les gestes de la masturbation à travers le pantalon. Je ne tenais plus. Je crois que si l’on n’était pas dans un lieu public (bien que retiré, discret et protégé par un patron et des serveurs qui me connaissaient) je l’aurais prise sans plus attendre.
Au lieu de cela je lui ai demandé, toujours à l’oreille, et toujours sous la forme d’un ordre donné gentiment, d’enlever sa culotte et de remonter sa jupe de manière à me laisser regarder son intimité. Elle hésita un moment, puis releva sa jupe et passa ses doigts à l’intérieur de l’élastique de son string et gigota un peu pour le retirer. Elle se mit dans la position que je lui demandais : la jupe relevée, les jambes ouvertes et sa chatte découverte et offerte à mon regard salace.
J’ai eu à admirer quelques jolies chattes dans ma vie, mais jamais une qui m’a fait de l’effet comme celle de Dalila. D’abord elle n’était pas totalement rasée comme il est de tradition dans nos contrées pour une fille préparée pour sa nuit de noces. Connaissant mes goûts (et pour cause !), mon assistante a certainement dû insister auprès de Dalila pour lui faire garder une petite touffe de poil noir sur son pubis. Tout le reste était imberbe et mettait en valeur une vulve dessinée par un artiste avec des grandes lèvres gonflées, ouvertes sur des petites lèvres rouge sang et laissant entrevoir un clitoris bien formé et de bonne dimension.
Je tendis la main pour caresser cet ensemble paradisiaque. Instinctivement, elle referma ses jambes. Je les lui fis rouvrir et commençai un mouvement de caresses superficielles. Dès que je touchai son sexe, je la sentis se tendre et pour la première fois gémir doucement. Elle me prit la main et lui fit faire un mouvement de pression qui entrouvrit ses grandes lèvres et l’amena à la rencontre de son clitoris. Elle bandait presque aussi fort que moi ; son clitoris était ferme ; dès que je le touchai, sa chatte se mit à mouiller et à répandre sur ma main un liquide visqueux. Elle continuait à guider ma main pour lui faire faire tous les mouvements qui aiguisaient encore plus son envie et son excitation. Elle se masturbait certainement comme cela quant elle était seule dans son lit et qu’elle était excitée.
Je sentais le plaisir l’envahir ; ses gémissements se faisaient plus forts. J’ai craint un moment qu’elle fasse trop de bruit et qu’elle attire la curiosité des clients du restaurant qui étaient dans les autres boxes. Je lui donnais un long baiser de manière à la faire taire et lui susurrais à l’oreille de se calmer ; « quand nous serons à la maison, tu pourras crier autant que tu voudras », lui dis-je. « Allons-y tout de suite ! », me répondit-elle.
- Patience ma grande, lui répondis-je, nous avons tout le temps. Tu peux commencer à prendre du plaisir ici même, ce ne sera qu’un début.
- Je suis trop excitée me dit-elle ; j’ai besoin de me lâcher pour jouir ; je veux crier mon plaisir, je veux que tout le monde m’entende gémir et jouir sous tes caresses.
Je compris alors qu’il me serait difficile de la faire taire et je pris la décision de quitter le restaurant avant qu’un scandale n’éclate. Je lui fis rabattre sa jupe, je lui dis de refermer les boutons de son chemisier et j’appelai le garçon pour la note. Comme par hasard, il ne mit pas plus de quelques secondes pour apparaître avec la note dans la main (comme s’il attendait à l’entrée du box, empêchant les autres clients de s’approcher et profitant tout seul du spectacle que nous donnions).
Je gardais pour moi le string, lui refusant l’autorisation de le remettre. Dans la voiture, je lui demandai de relever encore sa jupe et de me laisser regarder sa chatte tout en conduisant. Ce qu’elle fit sans se faire prier. Elle s’adossa contre la portière, plia le genou gauche et posa le pied sur le siège de manière à m’offrir le spectacle encore mouillé de son intimité. Je me remis à bander très fort ; je dégrafai ma braguette tout en conduisant et sortis du pantalon mon pénis qui était au summum du désir : il s’était considérablement allongé et était dur comme de la pierre. Elle le regardait étonnée par sa taille et par sa circonférence. Elle me dit qu’elle n’en avait jamais vu d’aussi grands dans les photos tirées de films pornographiques qu’elle regardait parfois avec ses copines de lycée.
Je lui pris sa main et lui demandait de le caresser : elle le fit sans attendre. Elle a fini en très peu de temps par acquérir le coup de main qui tirait de moi un flot gémissements de plaisir. Elle s’enhardit même à rapprocher sa bouche de lui et à déposer quelques baisers furtifs sur le gland. Je lui demandais, toujours en conduisant (lentement pour faire durer le plaisir), de lécher le gland, puis de l’introduire dans sa bouche. Sa langue agile telle une anguille se mit à parcourir mon gland et à l’envelopper ; puis elle l’aspira et il pénétra dans sa bouche sans y entrer profondément ; sa langue continua son jeu de titillement qui ne faisait qu’agrandir mon excitation. Je lui pris brutalement la tête pour lui faire enfoncer mon sexe jusqu’au fond de la gorge. Elle eut un mouvement de recul. Elle me dit que j’avais failli la faire vomir.
Je m’excusai et lui dis qu’on était arrivé. Je laissai la voiture au garage et nous primes l’ascenseur pour monter jusqu’au dernier étage où se trouvait le duplex que nous occupions. Dans l’ascenseur, je ne tentais rien, sinon l’enlacer tendrement, comme l’aurait fait n’importe quel homme amoureux. Elle se blottit dans mes bras les quelques secondes que dura la montée et resta silencieuse, jusqu’à ce que nous pénétrions dans l’appartement. La porte à peine fermée, elle entreprit de se déshabiller totalement et d’offrir à mon regard son corps splendide, brillant dans sa nudité. Je me rendis compte que c’était la première fois que je la voyais toute nue. Toutes les femmes ou filles nues que j’ai vues et possédées, même les plus belles, avaient une ou des imperfections qui gâchaient quelque peu l’effet de la nudité. C’est pour cela d’ailleurs que j’avais toujours préféré baiser des femmes sans les déshabiller totalement ; j’enlevais les culottes, j’envoyais au diable les soutiens gorges, mais je leur faisais toujours garder un habit léger qui les protégeait de la nudité totale et qui les rendaient encore plus désirables.
Mais Dalila nue, c’était une vraie merveille ! Je ne sais pas si c’était dû à sa jeunesse, mais son corps ne présentait pas la moindre boursouflure, ni le moindre pli qui aurait altéré sa beauté. Elle n’avait ni culotte de cheval, ni des hanches trop large, ni seins trop gros ou trop petits. Tout en elle était parfait : un ventre plat, des hanches étroites, des jambes longues et bien galbées, des fesses rondes, bombées et dures, des seins posés bien haut et tendus vers le ciel ; une peau blanche très douce, comme celle d’un bébé. Et pour le bonheur des yeux, un pubis proéminent, légèrement poilu, dominant une vulve dégagée, aux grandes lèvres charnues comme dessinées par un peintre figuratif.
Elle se laissait admirer sans fausse honte. Elle mettait même du plaisir à montrer avec une certaine impudeur les endroits de son corps qui ne s’offraient pas directement et naturellement à mes yeux : sa vulve et même son anus qu’elle me montrait en se retournant et en se penchant en avant. On aurait dit qu’elle avait fait cela tout au long de sa courte vie : s’offrir au regard des hommes pour les faire mourir de désir. (J’étais sûr que dans ses fantasmes de jeune fille, il y avait cet aspect exhibitionniste : s’offrir au regard de mille garçons pour les faire bander et jouir de ce pouvoir illimité d’excitation). Et moi comme tous ces garçons auxquels elles devaient penser dans ses séances de masturbation juvénile, j’étais gonflé à bloc. Mon sexe me faisait mal à force de bander et de se heurter au tissu de mon slip; il voulait quitter sa cachette, se retrouver à l’air libre et s’offrir à la vue de ma dulcinée.
Je lui ai donc demandé de s’approcher de moi et de me déshabiller en commençant par mes souliers. Elle s’exécuta et se mit à genoux pour défaire les lacets et ôter mes souliers, puis mes chaussettes. Elle voulut continuer directement par le pantalon ; je la retint et lui demandai de s’occuper de ma veste et de ma chemise. Elle m’ôta la veste qu’elle jeta par terre sans ménagement ; puis dégrafa doucement les boutons de ma chemise, sortant celle-ci du pantalon. Elle entrouvrit la chemise sur ma poitrine velue et caressa celle-ci avec ses doigts électrifiés. Chaque caresse équivalait à une légère décharge électrique, qui allait vers ma colonne vertébrale et qui, de là, irradiait sur tout mon corps et allait titiller mon bas ventre qui me faisait mal à force d’être excité. Pour corser la dose, elle se mit à déposer des baisers brûlants sur ma poitrine, mes tétons et mon ventre.
Je n’y tenais plus. Je ne voulais plus qu’elle me déshabille; j’enlevais moi-même mon pantalon et mon slip et lui offrit ainsi à admirer mon pénis tendu à l’extrême, tel un sabre menaçant. Elle poussa un petit cri en redécouvrant mon engin qu’elle trouva énorme. Elle le prit dans sa main et le branla quelques secondes ; puis elle se mit à genoux et commença à me lécher les couilles, puis la hampe, puis le gland comme une vraie experte (Je vois là les leçons de mon assistante, qu’elle a assimilées très vite, parce que naturellement très douées pour les choses de l’amour). Tout d’un coup, comme si elle avait entendu ma supplique muette, elle aspira le gland, puis l’ensemble du sexe qui pénétra ainsi dans sa bouche et alla se caller au fond de sa gorge. Cette fois elle n’eut pas cette réaction de rejet, qu’elle avait eue dans la voiture ; elle commença tout doucement un mouvement de va et vient en faisant jouer sa langue; malgré qu’elle me faisait un peu mal avec ses dents (elle n’était pas encore assez experte pour éviter la morsure des dents) le mouvement de sa langue sur mon gland à l’intérieur de sa bouche, conjugué au va et vient de mon sexe, me procurait un tel plaisir que je n’arrêtais pas de gémir.
J’étais à deux doigts de lui éjaculer dans la bouche, ce que je voulais à tout prix éviter, à ce moment de notre relation. Je me retirais donc de sa bouche en ignorant ses protestations : elle prenait goût à la fellation. Je la fis se lever, la pris dans mes bras et la portai jusqu’au grand fauteuil du salon. Je la fis asseoir délicatement, le dos callé sur le dossier du fauteuil ; je lui ouvris les jambes et me tint face à sa chatte grande ouverte, laissant découvrir ses grandes lèvres charnues, ses petites lèvres toutes rouges et son clitoris gonflé à bloc, et offrant à mon regard plein de concupiscence, son vagin brillant d’humidité, ainsi que son pucelage. En dessous de sa vulve, entre ses fesses je pouvais voir la rondelle brune, bien fermée, de son anus.
Je commençais par caresser sa vulve moite avec ma main et écartait les grandes lèvres pour offrir le tout à ma bouche gourmande. Je lui léchais les petites lèvres et prenait son clitoris en mes dents ; je le mordillai légèrement de manière à lui donner le plus de plaisir possible. Elle poussait des petits gémissements de plaisir et bougeait son bassin au rythme de ma bouche. On dirait qu’elle cherchait à se faire dépuceler par ma langue qui entrait et sortait de son vagin à une allure de plus en plus rapide. Ses gémissements se transformaient maintenant en petits cris ou en râles, qui sortaient du fond de sa gorge et qu’elle n’arrivait pas à retenir. Elle ne parlait pas, n’ordonnait rien, mais ses mains retenaient ma tête entre ses cuisses et lui faisait faire tous les mouvements qu’elle désirait. D’une pression elle me faisait descendre et remonter la langue de son pubis vers son anus et vice et versa ; d’une autre pression elle me commandait de faire pénétrer ma langue jusqu’à rencontrer son pucelage et d’entamer un mouvement de va et vient qui portait son plaisir à un paroxysme ; d’une autre pression elle voulait que je ne m’occupe que de son clitoris, que je suçai et mordillai, jusqu’à la faire jouir.
Je ne me rendais pas bien compte, mais il me sembla qu’elle avait joui plus d’une fois dans et grâce à ma bouche. Elle avait déchargé plusieurs fois et j’avais bu avec délectation tout son jus. Il avait le goût particulier de la fille vierge. J’ai toujours aimé sucer les filles et femmes encore vierges; leurs chattes ont une odeur et un goût particuliers, très différent de ceux de femmes mariées ou non vierges. Il me semble que cela réside dans le fait que les vulves des vierges n’ont pas encore pris l’habitude de pénis qui frottent sur le vagin et font secréter les glandes qui le tapissent ; par ailleurs, les vulves et les vagins des vierges sont fermes et offrent à la bouche une résistance élastique très agréable.
Je retirai ma bouche du sexe de Dalila, tout décidé à la pénétrer sans précaution aucune, tellement j’étais excité. Je voulais jouir en elle tout de suite. Mais tel n’était pas son avis à elle. Elle me laissa me lever et, tout de suite, approcha sa bouche de mon sexe qui dardait comme un sabre. Elle l’aspira avec une telle adresse que j’en restais tout ébahi ; elle avait appris en très peu de temps ce que des femmes plus expérimentées mettaient beaucoup de temps à assimiler : l’art de sucer un homme, en évitant de mordre son sexe et en utilisant la langue pour parfaire et maintenir, à un niveau très élevé, son excitation ; l’art aussi de faire rentrer le sexe jusqu’au fond de la gorge, en évitant le réflexe de rejet et de vomissement. Tout cela, ma Dalila l’avait appris en quelques minutes, de manière instinctive, en devinant ce qui devait être fait et ce qui ne devait pas l’être.
Elle me suça de manière si experte, sa langue enroulant et titillant mon gland, ses mains m’agrippant par les hanches de façon à commander le mouvement de va et vient que mon pénis réalisait dans sa bouche et jusqu’au fond de sa gorge, qu’au bout d’un moment je ne pus retenir un énorme orgasme qui me fit pousser un hurlement de plaisir et me fit abondamment éjaculer à l’intérieur même de sa bouche. Elle n’avait pas l’habitude de recevoir du sperme et pourtant, elle ne fit aucune difficulté à avaler une grande partie tout en laissant couler sur sa joue, son cou et sa gorge une autre partie que le mouvement de va et vient de mon pénis avait expulsé de sa bouche. Je me retirai heureux et reconnaissant. Elle était curieuse de ce sperme épais et abondant, dont elle avait encore le goût dans la bouche et qui lui recouvrait maintenant une partie de sa gorge. Je lui pris la main et lui fis étaler le liquide sur ses seins ; elle me laissa faire en riant ; elle y prenait du plaisir, elle m’enleva la main et continua à étaler toute seule le sperme sur son ventre jusqu’à son pubis. (Je lui interdisais d’aller plus bas, de peur qu’elle ne tombât enceinte). De temps en temps, elle portait ses doigts remplis de sperme vers sa bouche pour les lécher. Ce geste me fit rebander de plus belle.
Je lui dis que je voulais la dépuceler tout de suite; lui faire mal pour qu’elle sache qu’elle m’appartenaitt à jamais. Visiblement elle avait peur du dépucelage ; certainement des réminiscences de discussions de jeunes filles sur la douleur de la nuit de noces, le sang qui coule et la brutalité des hommes. Cela suffit à calmer quelque peu mes ardeurs. Je lui proposai de prendre une douche pour enlever sueur et sperme dont on était couvert et d’aller ensuite dans la chambre pour nous reposer. Nous prîmes une douche bien chaude; nous flirtâmes un peu dans la salle de bain. Elle voulut que cela soit moi qui la nettoie de haut en bas ; ce que je fis avec un plaisir tellement évident que mon sexe s’est remis à bander et à vouloir la pénétrer sous la douche même. Elle refusa parce que, dit-elle, ce n’est absolument pas commode et qu’elle tient à avoir un dépucelage normal, allongé sur un lit et pas debout sous la douche. Je me rendis à ses arguments, tout en me laissant masturber par elle en utilisant le gel douche pour mieux faire glisser mon sexe dans sa main. Elle s’y prit de manière tellement experte que j’ai bien failli jouir ; ce que je ne voulais pas, préférant garder l’éjaculation et la jouissance pour sa chatte et son anus.
En effet j’étais bien décider à la dépuceler ce soir même par devant et par derrière. En réalité je ne lui ai pas encore parlé de sodomisation ; je supputais qu’elle appréhendait cela de la même manière que le dépucelage ; plus encore, en tenant compte des tabous sociaux. Mais j’étais sûr que mon assistante lui avait touché un mot du plaisir que me procurait la sodomisation d’une femme; surtout vierge. Elle-même je l’avais sodomisée au bureau en la forçant un peu au début ; puis elle y avait pris goût ; et chaque fois que nous couchions ensemble cela se terminait toujours par une enculade à la hussarde ; cela lui faisait autant mal que plaisir, et elle en jouissait autant que moi.
La douche terminée je la pris dans mes bras pour l’amener dans la chambre qui était vaste et belle et disposait d’un superbe lit à baldaquin, véritable champ de bataille pour les amoureux. Nous étions toujours nus et moi je continuais de bander comme un âne. Je la posai sur le lit et la fis allonger sur le dos, toute offerte à ma vue. Elle avait toujours cette position impudique de tout me montrer à la fois de son corps, y compris son anus que ses jambes relevées et ses genoux repliés présentaient à mon regard. Je lui dis de se retourner et de s’allonger sur le ventre pour mieux admirer sa beauté ; ce qu’elle fit sans rechigner. Je vins me placer à ses pieds derrière elle et commencer à lui caresser et lui embrasser les fesses. Elle y prenait du plaisir et remuait son bassin pour bien montrer qu’elle aimait cela. Je remontais vers ses fesses toutes rondes, dodues et fermes et je les couvrais de baisers. Elle continuait à remuer ses hanches pour m’encourager à poursuivre. Je lui ai ensuite pris ses hanches de manière à relever ses fesses et à présenter à ma bouche et à mes doigts l’anneau brun de son anus. Elle se laissa faire sans rouspéter. Je commençais à lui ouvrir les fesses et lui lécher l’anus.
Il avait un léger goût de salé et avait encore l’odeur de gel douche. Je le mouillais avec de la salive de manière à permettre à mon doigt d’y pénétrer et d’élargir un peu l’entrée. Elle poussa un petit cri, mais ne protesta pas. Je recommençais à la lécher et à essayer d’y faire pénétrer ma langue. Elle aimait cela et me le fit savoir en poussant ses petits cris de plaisir ; je continuais donc à la lécher, à l’enduire de salive et à y faire entrer un doigt, puis deux doigts, toujours pour élargir l’entrée; puis j’essayais d’y introduire la langue. A chaque fois que je faisais entrer mes doigts elle poussait un petit cri de douleur, puis se remettait à gémir de plaisir quand ma langue prenait la place. Au bout d’un moment, je n’y tenais plus ; mon sexe était en état de transe ; il n’en pouvait plus d’attendre. Je mis donc une dernière couche de salive et me mis en position pour l’enculer.
Elle sentit qu’il se préparait quelque chose et se retourna, non pas pour protester, mais pour me faire un large sourire et m’inviter à y aller doucement, pour ne pas trop lui faire mal. Quel bonheur ! Je présentais donc le gland de mon pénis à l’entrée de l’anus. Il était dur comme de la pierre. Je savais que j’allais lui faire mal et je crois que cela m’excitait encore plus. Je poussai doucement pour forcer l’entrée ; elle poussa un petit cri. Je m’arrêtai une seconde et je repris la poussée ; la salive aidant, mon sexe pénétra à moitié ; elle cria encore, toujours doucement. Le canal était vraiment étroit et mon engin trop gros. Je poussai une troisième fois, cette fois-ci violemment ; mon sexe pénétra totalement ; mes couilles vinrent se coller aux fesses de ma chérie. Cette fois-ci elle cria très fort de douleur. Je restais un instant au fond de son cul, tout en lui parlant doucement et lui caressant le clitoris avec ma main gauche. Elle recommença à gémir ; cette fois-ci de plaisir.
Je repris le mouvement de mon sexe à l’intérieur de son cul ; doucement au début pour lui faire le moins mal possible, plus rapidement ensuite quand le canal s’était élargi et lubrifié, permettant ainsi une pénétration plus facile. Ma main gauche chatouillait toujours son clitoris. Elle gémissait de plus en plus fort, de douleur d’un côté et de plaisir de l’autre. Moi, j’étais au paradis ; je poussai des hans de bûcheron à chaque fois que je pénétrai d’un seul coup son cul jusqu’au fond et quand je revenais vers l’entrée, j’avais un gémissement de plaisir. Elle m’accompagnait dans mes mouvements : elle même criait quand je la pénétrais avec quelque violence et elle gémissait quand je ressortais et que ma main titillait son clitoris. Je crois qu’à la fin, elle ne ressentait plus la douleur de la pénétration en force ; elle ne gardait que le plaisir qui la fit jouir en même temps que moi. Elle eut un orgasme violent, qui lui fit serrer son anus sur mon sexe et me fit moi-même jouir en éjaculant une énorme quantité de sperme dans son cul. Je continuais un temps à faire le mouvement de va et vient pour tout éjaculer ; le va et vient éjecta pratiquement tout le sperme de son cul et descendit le long de sa vulve pour venir s’étaler sur les draps du lit. Elle se laissa tomber sur le ventre, tourna la tête vers moi, me sourit et me traita de salaud pour l’avoir dépucelé par derrière, avant de l’avoir fait par devant. Je l’ai embrassée et lui ai demandé d’aller vite se laver avant que mon sperme ne pénètre dans son vagin.
Cette phrase a eu le don de la réveiller et de la faire partir à toute vitesse vers la salle de bain. J’étais le plus heureux des hommes. Je venais de faire l’amour avec une déesse, belle et soumise ; totalement offerte à mon plaisir et qui prenait visiblement du plaisir à m’en donner. Il me restait à la dépuceler. J’avais décidé que cela ne se ferait pas cette nuit, mais demain au réveil : nous serions plus frais et plus en forme. C’était sans compter sur la volonté de Dalila de tout consommer cette nuit. A son retour de la salle de bain, elle me lança son sourire irrésistible et me dit de sa voix rauque et basse, qu’il ne lui restait plus que le dépucelage de devant pour devenir une vraie femme. A l’Entendre, elle n’avait même plus peur de la douleur.
- Cela ne peut pas me faire plus mal que ce que j’ai vécu tantôt, quand je tu m’as enculée !
Sa nudité et son impudeur continuaient à avoir sur moi un effet aphrodisiaque ; je n’étais plus fatigué et je n’aspirais qu’à la posséder encore et encore. Je l’ai allongée sur le lit, jambes largement ouvertes, genoux repliés de manière à me laisser voir en un seul regard sa chatte brillant de moiteur et son anus, maintenant moins fermé qu’auparavant. Je me mis à lui sucer le clitoris, à le mordiller de manière à lui redonner du désir. Je n’avais pas à forcer la dose; au bout de quelques secondes elle se remit à gigoter et à gémir et serrant très fortement ma tête de manière à ce que je continue la manœuvre. Elle bougeait de plus en plus fort ; ce sont ses hanches qui donnaient le rythme à ma bouche et ma langue. Je buvais avec délectation tout le liquide qui sortait de son vagin. Un moment elle s’arrêta, retira ma tête d’entre ses cuisses, me regarda avec ses grands yeux de gazelle et me dit de sa voix rauque :
- Prends-moi !
Je pris un préservatif dans un tiroir de la table de nuit et l’enfilais. Je me mis à genoux devant elle qui gardait ses jambes relevées posées sur son ventre; je lui soulevai le bassin de manière à mettre sa vulve au niveau de mon pénis. Je commençais un mouvement de caresse de sa vulve avec mon sexe; je montais et descendais le long de la fente en exerçant une pression sur son clitoris, de manière à maintenir au plus haut son excitation. De temps en temps je pénétrai dans l’antre et allai exercer une petite pression sur son pucelage, afin de tester sa résistance. A chaque fois que je touchais son hymen, je sentais chez elle comme une crispation, une crainte. Je relâchais la pression et recommençais le mouvement de frottement de bas en haut et de haut en bas, en m’arrêtant quelques secondes sur son clitoris. Elle gémissait et gigotait de plus en plus fort. Un moment j’ai cru qu’elle allait se dépuceler toute seule, en gigotant comme elle le faisait.
- Prends-moi ! Prends-moi ! Vas-y enfonce le ! n’arrêtait-elle pas de supplier.
D’un coup sec j’appuyais sur son hymen qui se déchira sous la forte pression de mon pénis. « Aie ! » fit-elle. J’enfonçais mon sexe au plus profond de son vagin ; mes couilles venaient buter sur ses grandes lèvres ouvertes. J’entrepris un long mouvement de va et vient depuis le fond jusqu’à l’ouverture et de l’ouverture jusqu’au fond en faisant attention à ne pas trop réveiller la douleur. Elle gémissait, haletait et prononçait des mots que je ne comprenais pas. De la bave coulait de sa bouche; ses yeux restaient grands ouverts et me fixaient comme s’ils me suppliaient de ne pas arrêter le mouvement. Elle donnait à son bassin un mouvement qui exigeait de moi d’accélérer le rythme du va et vient de mon pénis à l’intérieur de son ventre. Je la sentais au bord de l’explosion. Je me sentais aussi au bord de l’explosion. Elles se produisirent en même temps; moi déversant un flot de sperme, beaucoup moins épais qu’au début, dans le préservatif et poussant un long râle de plaisir ; elle le souffle court, gémissant et jouissant fortement en répétant « oui ! oui ! oui ! ».
Elle relâcha brusquement tous ses muscles et resta ainsi comme évanouie pendant de longues minutes en reprenant son souffle. Son visage rayonnait d’un superbe sourire inconscient, signe d’un grand bonheur. Ses yeux étaient lourds et avaient du mal à rester ouverts. Je continuais à admirer sa beauté. Comme je l’aimais ! Je remarquais une petite flaque de sang sur le drap du lit et la lui montrait. Elle eut un grand sourire et me dit tout doucement :
- A partir d’aujourd’hui, c’est toi mon maître ! Je garderais ce drap pour te rappeler chaque fois que c’est toi qui m’a faite femme !
Elle s’est blottie dans mes bras et s’est tout de suite endormie. Je suis resté longtemps éveillé, à surveiller son sommeil et à me dire que j’avais beaucoup de chance de l’avoir. C’est ainsi que finit cette première nuit avec Dalila. L’histoire, elle, continua longtemps, plusieurs années, avec des développements coquins avec sa maman Fahima et sa jeune sœur Feriel.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
je veux bien vous croire, hélas, cela ne peut être que de l'imagination d'une personne rêveuse.

Histoire Erotique
TB

Histoire Libertine
bonsoir cher monsieur , vous avez de belles histoires j'attends impatiemment la suite de cette histoire

bisous

naima

Histoire Erotique
vivement la suite avec autant de detail j'adore



Texte coquin : LA MERE ET SES DEUX FILLES ;1ère partie Dalila, la première fille
Histoire sexe : Une rose rouge
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