La mère Noël ne peux donner que ce qu'elle a ... - histoire érotique

Déjà noël 2013 ! Ça me rappelle noël 2012 quelle soirée inoubliable ….
Il était prévu que Florent et moi, Joy, fêtions çà dans l’intimité à la maison rien que tous les deux, quand je dis intimité c’est que nous allions nous éclater totalement, pas de route à faire, donc pas de restriction d’alcool, sans être ivre pour autant ! De plus nous pouvions nous habiller comme nous le souhaitions, c’est pour cela que j’ai commandé sur internet une tenue ‘spéciale’ de mère noël
Florent ne l’à pas vue jusqu’au soir du réveillon, il s’agit d’un soutien-gorge demi-sphère, c’est le mot juste, en voile rouge transparent, garni d’une bande de fourrure blanche sur laquelle reposent les tétons, le slip en même voile, garni aussi de fourrure qui épouse parfaitement le renflement de ma vulve , elle dessine à merveille les lèvres et la fente qui sont parfaitement visible par transparence, il y a aussi un porte-jarretelle qui soutient deux bas résilles blancs, pour Florent j’ai acheté aussi un slip sexy qui possède une poche pour ranger son gros paquet , je doute qu’il puisse le contenir totalement lorsqu’il aura découvert ma tenue que j’ai cachée sous mon déshabillé de soie très court !

Il était onze heures, dehors la neige a fait son apparition, les routes deviennent impraticables nous nous réjouissions de notre choix ! Mon mari était impatient de savoir quand est-ce que j’ôterais enfin mon déshabillé, lui avait revêtu sa sortie-de-bain sous laquelle il ne portait que son slip de ‘compétition’ que je devinais déjà bien rempli !

- Chérie, tu me fais languir nous avons terminé nos cocktails Pina colada, montre moi ta tenue enfin ! j’espère que ce n’est pas de collants mais des bas que tu portes ?
- Tu me promets de ne pas me sauter dessus ?
- Mais non voyons, je sais me retenir !

Je dénoue la ceinture, Florent, les yeux braqués sur moi la bouche ouverte de surprise lorsque le carillon de la porte d’entrée résonne….. Nous nous regardons incrédules…je renoue ma ceinture

- Qui cela peut-il être ?
- Je ne sais pas, on ouvre ?
- Nous somment à moitié à poil !
- On se débarrasse vite fait de cet intrus, ta tenue m’excite trop !

Florent ouvre, un homme apparemment transi de froid porte sur son dos un enfant a moitié endormi

- Excusez-moi de vous déranger monsieur, puis-je téléphoner ? Ma voiture est bloquée par la neige dans le bois et mon portable ne trouve pas de réseau
- Entrez vite, mon dieu votre enfant doit être gelé !
- C’est ma fille, elle a quatre ans, je l’amenais chez sa mère, dont je suis séparé, elle doit être morte d’inquiétude
- Le téléphone est là, donnez-moi la petite

Tandis qu’il téléphone l’homme me détaille des pieds à la tête, ça me procure des frissons, plutôt agréables, s’il pouvait deviner comment je suis habillée ! Au téléphone le ton monte, je perçois une voix de femme énervée, les derniers mots que je comprends, c’est ‘démerde-toi ‘ ! Et elle raccroche, l’homme nous regarde décontenancé

- Elle est folle ! Comment vai’je faire ? A cette heure pas de taxi, les routes sont coupées, y a-t-il un hôtel à proximité ?
- Héla ici nous somment isolés, il n’y a plus qu’une solution restez diner et coucher nous avons de la place, ont ne laissent pas un père et son enfant dans la détresse, votre fille doit avoir faim ?
- Elle a déjà mangé, elle tombe de sommeil

Effectivement la gamine dort sur le canapé prés du sapin

- Venez avec moi je vais vous montrer la chambre d’ami a l’étage, si elle se réveille ne craignez rien il y a un portillon qui ferme l’escalier
- Très bien, je ne sais comment vous remercier
- C’est normal de s’entraider, surtout un soir comme celui-là

Je monte la première, l’homme doit se tordre la tête pour essayer de voir sous mon vêtement, je pense qu’il doit voir mon porte-jarretelles, la petite ne s’est même pas réveillée, nous ressortons de la chambre mais le hasard fait que nous nous retrouvions tous les deux bloqués à la porte, mon déshabillé se dénoue, volontairement je ne réagis pas tout de suite, il a le temps de voir comment je suis accoutrée, nos regards se croisent, plus gêné que moi il finit par tourner la tête, nous redescendons

- Elle dort à poings fermés !
- Très bien, venez boire un verre pour vous remettre de vos émotions, demain, nous aviserons
- Je suis désolé de contrecarrer votre soirée, vous deviez sans doute vouloir fêter noël en amoureux ?
- Aucunement voyons, vous allez-vous asseoir à côté de Joy, ma femme, rassurez-vous, elle ne mord pas !
- Très joli prénom, moi, c’est Émilien

Petit à petit, l’atmosphère se détend, Émilien jette de fréquents coups d’œil sur mes cuisses dénudées qui laissent voir au-dessus de mes bas, c'est-à-dire tout prés de mon mini slip, nos genoux se touchent, il meurt d’envie de poser les mains sur moi, c’est sûr, sa braguette est gonflée ! Florent m’implore du regard, il semble demander : ‘quand est-ce que tu va ôter ce maudit déshabillé ‘, après le foie gras et les coquilles st- jacques, mon mari lance une réflexion qui va tout déclencher

- Au milieu du repas chez nous, nous avons pour coutume de prendre ‘le coup du milieu ‘
- Ha ? Cela consiste en quoi ?
- Hé bien ça dépend, c’est soit un colonel, boule de glace au citron vert avec de la vodka ou un verre de vieux pineau, que préférez-vous ?
- Cela m’est égal
- Chéri ? J’ai mieux à proposer … éteint la lumière, la cheminée éclaire suffisamment
- Mon dieu, je crains le pire ……

Une fois dans cette semi-pénombre qui me donne du courage j’ôte rapidement mon déshabillé et me glisse rapidement sous la table, à genoux sur le tapis moelleux, j’ai un homme à ma droite et un a ma gauche, je tends la main vers l’entre-jambe accessible de mon mari qui sursaute quand ma main se referme sur son érection a peine contenue par le slip tendu

- HOOOUU ! Tu m’as fait peur chérie, mais la politesse veut que l’on commence par l’invité !
- Huuummm- huuummm …

Mon autre main coure sur la cuisse d’Émilien qui a ma grande surprise écarte les genoux, il me serait difficile de choisir entre les deux queues, elles sont toutes deux très tendues et de volume quasi-identique

- Aidez-moi à la sortir ….

Notre invité défait la ceinture de son pantalon, fouille un instant pour sortir difficilement une verge digne de ce nom, me voilà avec une bitte dans chaque main que je masturbe gentiment

- Pas mal comme coup du milieu chéri ! Mais il faut aller jusqu’au bout

J’en déduis qu’il me faut sucer ?? Je lâche mon mari pour m’engouffrer entre les cuisses d’Émilien, je tire la queue vers moi et englouti le gland, un énorme HAAAA ! Me répond !
Le pied de mon mari cherche mon entre cuisses, les orteils caressent ma motte, le tulle est vite imprégné de mouille, les bruits de sucions excitent mes hommes qui échangent leurs impressions

- Elle suce bien la mère noël n’est-ce pas ?
- Whoooouuu ça me fait un bien fou !
- Mettez-vous à votre aise, comme moi
- Vous avez raison, il fait chaud chez vous
- Laissez vous aller dans sa bouche, elle adore ça
- Il était temps de le dire…n>…… ça viiiieeeeeennnnnnnnnnnnnnnnt haaaaaaaaaaaaaaaaa !

Après avoir avalé sa sauce, je refais surface en petite tenue et fais plusieurs tours sur moi-même afin que les hommes détaillent mon anatomie, j’en profite pour détailler celle d’Émilien, c’est un peu comme si mon mari avait un jumeau, même corpulence, même queue !

- Messieurs je vous présente la mère noël !
- Chérie ? Tu as du sperme au coin de la bouche !
- Ho pardon ! C’était succulent ! Merci Émilien !
- Tout le plaisir était pour moi !
- Et moi ? À quoi ai-je droit ?
- A la même chose, grand jaloux !
- Il est plus de minuit, nous voulons notre cadeau mère noël
- Que désirez-vous mes enfants ? Je n’ai quelques orifices disponibles
- Ça nous suffira amplement !
- Si je peux me permettre, je n’ai jamais pris une femme en double par la chatte
- Nous-même n’avons jamais tenté l’expérience, alors tes vœux vont êtres exaucés Émilien, vient t’empaler sur moi chérie
- Je quitte mon déguisement ?
- Que non ! Tu redeviendrais une femme ordinaire, c’est plus excitant en écartant simplement la culotte
- Elle me colle aux fesses tellement elle est trempée
- Monte sur moi chérie

J’enjambe Florent et me cambre afin de faire profiter Émilien de la vue

- Houa ! En effet, c’est plus qu’humide ! La vulve de Joy est visible comme si rien ne la cachait, c’est excitant de voir sa toison collée au slip…. Muuuum ça poisse aux doigts
- Écarte son string, je vais planter ma bitte

Des doigts crochètent ma culotte pour la repousser sur une fesse à la limite de la rupture, le gland de Florent se place a l’entrée de ma fente, je me laisse descendre, mes lèvres sont refoulées, mon ventre avale la queue de mon mari, notre invité commente la pénétration, mon vagin est déjà bien remplis, je me demande comment il va accepter l’autre queue

- C’est trop beau, je vais te la mettre tout de suite

Je cambre mon cul au maximum, Émilien cherche une faille où il va pouvoir enfoncer sa bitte, mes lèvres s’écartent, j’ai l’impression qu’elles vont déchirer, mais le vagin est prévu pour laisser passer un bébé, aussi, j’ai l’impression d’accoucher à l’envers, le membre glisse sur celui de mon mari qui se crispe, sans doute surpris qu’une bitte caresse la sienne
Une fois que mon vagin s’est adapté à l’extraordinaire grosseur j’ondule du cul, seul Émilien se met en mouvement car mon mari n’est pas en posture de me limer à son aise
Quel pied d’être étirée à fond, quelle jubilation lorsqu’un doigt s’enfonce dans mon anus qui s’assouplit pour en accueillir un deuxième, je me demande quelle position serait possible pour prendre trois queues en même temps ???? De toute façon je n’ai que deux hommes sous la main…ou plutôt entre les cuisses !
Notre hôte très excité se colle à mon cul, je sens sa queue se contracter et sa semence abondante couler en moi, il retire ses doigts de mon œillet désormais ouvert, je pousse un cri de surprise, car sa verge vient subitement de changer de trou

- Chéri !!! Je suis enculée !
- Je sais, ça me donne un peu d’aisance pour te baiser, donne-toi a fond c’est trop bon a trois, je vais décharger moi aussi, continue à te faire enculer mon amour
- Nous recommencerons bientôt ? ?
- Je suis entièrement d’accord

Je me propulse sur les queues qui malmènent mes orifices, combien ai-je eus d’orgasmes cette nuit là ? Impossible à me rappeler, épuisée, je suis allée au lit sans me laver, le lendemain matin mon premier geste a été d’aller à la salle de bains, j’étais prête à ressortir lorsqu’Émilien est entré

- Nous allons partir, Florent m’a permis de venir te dire au revoir …..

Lorsqu’il est ressorti mon mari est entré peu après, j’étais encore appuyée sur le lavabo, le sperme de mon amant de passage dégoulinait entre mes jambes… il a rajouté le sien …..