La mission
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2014 dans la catégorie A dormir debout
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La mission
La mission :
(Avis, ce texte n’est pas pour les gens sérieux, ceux qui se prennent pour des cadors.)
Hercule est convoqué par son père Zeus, alors qu’il était avec un copain rencontré dans le café en sortant à droite. Un bel homme, avenant qui ne refusait rien de bonnes choses. Hercule était satisfait : dès qu’il lui demandait de lui faire du bien : lui mettre une bonne dose dans le cul, de le sucer jusqu’à ce qu’il donne sa réserve de sperme. C’est qu’il lui en fallait pour remplir son cul gourmand. Une fois la sodomie terminée comme il voulait à son tour il entrait sa queue dans le cul de son ami du moment : il en changeait souvent.
Bref, convoqué par Zeus, il est nécessaire d’aller au bureau du chef dieu. On n’y entrait pas comme ça : il y avait un secrétariat avec des mortelles aguichantes, très aimables, capables de satisfaire les gouts de visiteurs ou visiteuses. Pour ces dernières un double services : masturbations continues, léchages par des bouches masculines ou féminines selon arrivage. Selon les demandes il pouvait y avoir pénétration avec de véritables bites humaines bandées, avec bien sur l’homme maître de son instrument.
Donc Hercule passe par la réception. Il y est connu, il peut plaisanter, chatouiller les filles, les fesses des hommes. Mais la suite est très sérieuse : Zeus le reçoit dans son bureau. C’est le P.D.G. de l’affaire Olympe.
La mission est délicate, sérieuse, presque guerrière. Il s’agit d’aller détruire un autre dieu, d’une autre région, un fou dangereux, Thor, capable de détruite l’humanité si difficile à construire par la société Olympe, au départ. Pour mieux expliquer la mission Hercule se penche sur la carte du monde avec Zeus. En haut de la carte, vers le Nord, le grand Nord un pays qui longe une mer, celle du Nord inconnue de nos héros. Hercule pense qu’il faut qu’il se change avant d’affronter les frimas de ces pays qualifiés de glaciaux. Sa tunique ne suffiras pas : il en change (tant mieux la dernière était tâchées de tout : sauce, lait, sperme, cyprine, sang… Il est propre pour une fois.
En descendant de chez le Patron, il fat un arrêt au bistrot en bas à gauche. Il y trouve la sœur de son copain de baise. Il lui demande poliment s’il peut la baiser. Non, elle préfère se faire sodomiser pour profiter de sa queue énorme. Là, devant toute la clientèle, elle se penche un peu en avant, pas trop pour mieux sentir. Elle passe ses doits sur la chatte, récupère un peu de son jus pour s’en farcir l’entrée secondaire. Elle est parée pour la suite. Hercule relève sa tunique neuve qui le gêne un peu. Il passe le devant sur le dos de sa conquête. Sa queue passe dans le haut de la raie, dans la raie qu’elle écarte un peu, enfin elle arrive sur l’anus. Il force un peu avant de la lui mettre en entier : elle ouvre la bouche comme si la queue allait venir passer par là. Son petit cri de surprise est remplacé par celui de sa jouissance. Comme souvent, le jet de sperme envoyé Hercule deux pas en arrière. Il est satisfait : il a jouit.
Il enfourche Pégase (un cheval volant prêté par Zeus). Vogue la galère vers ce Tor, ou Thorn ou Thor il se sait plus avec ses noms d’étrangers. Il survole des plaines, des montagnes, des fleuves, des lacs, une mer et enfin ce pays de malheur ouvert d’une végétation étrange d’animaux encore plus étrange avec des cornes bizarres : en milieu même il voit un gros bonhomme habillé en rouge qui dresse visiblement ses animaux avec un chariot sans roue.
Hercule descend pour voir de plus près. Cet homme vit avec une femme, et qu’elle femme : une blonde munie d’une poitrine qui attire les mains, surtout celle d’Hercule. Il allait se payer la femme quand le gros en rouge l’invite pour la nuit. Il se laisse tenter par les mets (filet de rennes (?) pommes vapeurs, aquavit (?). Hercule se laisse tenter par la femme chaude du croupion. Avant le repas, fait par un lutin ( ?) La femme du nommé Noël sort la bite de son mari, la prend dans sa bouche. Hercule devine la langue qui lèche la queue du mari. Il bande aussi. Il le dit bien haut. Pour lui faire plaisir, rien que pour lui faire plaisir, elle se met en levrette. Elle offre son sexe au visiteur, comme le veut la tradition, belle tradition de l’endroit. Hercule enfile sa bite dans le con mouillé. Il ne pensait jamais que cette madame Noël jouirait autant.
Hercule ne se rend jamais compte du pouvoir orgasmique de sa bite. Il sent les spasmes de la femme autour de sa queue. Il en jouit. Pour se remettre, le trio grignote un peu avant de recommencer. Cette fois c’est Hercule qui est sucé par qui Noël lui, baise sa moitié.
Au matin alors que Monsieur Noël dort encore, madame lui donne son cul. Un cul pour Hercule le paradis.
Il vient encore bandant sur Pégase qui broute du lichen dans son coin. En prenant de l’altitude, au loin il voit un marteau et derrière un bras, celui de Thor. Il force le cheval ailé à piquer comme un stuka vers le marteau. Au passage il flanque une taloche monumentale à Thor qui tombe de haut en se cassant la tête. Mission accomplie.
Il retourne vers son Olympe ; au passage il voit encore Madame Noël. Pour se souvenir encore mieux de ses lieux infernaux, Hercule pense à tirer un coup. Madame Noël le voit venir : elle est vite nue, couchée dans sa cabane de mousse. Elle se caresse la chatte en attendant de se faire enculer. Hercule la voit : il bande encore, relève sa blouse, sa queue est raide. Enfin un cul de femme. Il sodomise longtemps la femme, trouve le moyen de prendre dans la bouche la queue de Monsieur Noël. Elle est bien raide, parfaite pour être léchée. Il fait jouir et madame et monsieur, il enfourche Pégase pour revenir chez lui boire un coup au bistro en bas à gauche.
(Merci pour ceux qui m’ont lu jusqu’au bout)
(Avis, ce texte n’est pas pour les gens sérieux, ceux qui se prennent pour des cadors.)
Hercule est convoqué par son père Zeus, alors qu’il était avec un copain rencontré dans le café en sortant à droite. Un bel homme, avenant qui ne refusait rien de bonnes choses. Hercule était satisfait : dès qu’il lui demandait de lui faire du bien : lui mettre une bonne dose dans le cul, de le sucer jusqu’à ce qu’il donne sa réserve de sperme. C’est qu’il lui en fallait pour remplir son cul gourmand. Une fois la sodomie terminée comme il voulait à son tour il entrait sa queue dans le cul de son ami du moment : il en changeait souvent.
Bref, convoqué par Zeus, il est nécessaire d’aller au bureau du chef dieu. On n’y entrait pas comme ça : il y avait un secrétariat avec des mortelles aguichantes, très aimables, capables de satisfaire les gouts de visiteurs ou visiteuses. Pour ces dernières un double services : masturbations continues, léchages par des bouches masculines ou féminines selon arrivage. Selon les demandes il pouvait y avoir pénétration avec de véritables bites humaines bandées, avec bien sur l’homme maître de son instrument.
Donc Hercule passe par la réception. Il y est connu, il peut plaisanter, chatouiller les filles, les fesses des hommes. Mais la suite est très sérieuse : Zeus le reçoit dans son bureau. C’est le P.D.G. de l’affaire Olympe.
La mission est délicate, sérieuse, presque guerrière. Il s’agit d’aller détruire un autre dieu, d’une autre région, un fou dangereux, Thor, capable de détruite l’humanité si difficile à construire par la société Olympe, au départ. Pour mieux expliquer la mission Hercule se penche sur la carte du monde avec Zeus. En haut de la carte, vers le Nord, le grand Nord un pays qui longe une mer, celle du Nord inconnue de nos héros. Hercule pense qu’il faut qu’il se change avant d’affronter les frimas de ces pays qualifiés de glaciaux. Sa tunique ne suffiras pas : il en change (tant mieux la dernière était tâchées de tout : sauce, lait, sperme, cyprine, sang… Il est propre pour une fois.
En descendant de chez le Patron, il fat un arrêt au bistrot en bas à gauche. Il y trouve la sœur de son copain de baise. Il lui demande poliment s’il peut la baiser. Non, elle préfère se faire sodomiser pour profiter de sa queue énorme. Là, devant toute la clientèle, elle se penche un peu en avant, pas trop pour mieux sentir. Elle passe ses doits sur la chatte, récupère un peu de son jus pour s’en farcir l’entrée secondaire. Elle est parée pour la suite. Hercule relève sa tunique neuve qui le gêne un peu. Il passe le devant sur le dos de sa conquête. Sa queue passe dans le haut de la raie, dans la raie qu’elle écarte un peu, enfin elle arrive sur l’anus. Il force un peu avant de la lui mettre en entier : elle ouvre la bouche comme si la queue allait venir passer par là. Son petit cri de surprise est remplacé par celui de sa jouissance. Comme souvent, le jet de sperme envoyé Hercule deux pas en arrière. Il est satisfait : il a jouit.
Il enfourche Pégase (un cheval volant prêté par Zeus). Vogue la galère vers ce Tor, ou Thorn ou Thor il se sait plus avec ses noms d’étrangers. Il survole des plaines, des montagnes, des fleuves, des lacs, une mer et enfin ce pays de malheur ouvert d’une végétation étrange d’animaux encore plus étrange avec des cornes bizarres : en milieu même il voit un gros bonhomme habillé en rouge qui dresse visiblement ses animaux avec un chariot sans roue.
Hercule descend pour voir de plus près. Cet homme vit avec une femme, et qu’elle femme : une blonde munie d’une poitrine qui attire les mains, surtout celle d’Hercule. Il allait se payer la femme quand le gros en rouge l’invite pour la nuit. Il se laisse tenter par les mets (filet de rennes (?) pommes vapeurs, aquavit (?). Hercule se laisse tenter par la femme chaude du croupion. Avant le repas, fait par un lutin ( ?) La femme du nommé Noël sort la bite de son mari, la prend dans sa bouche. Hercule devine la langue qui lèche la queue du mari. Il bande aussi. Il le dit bien haut. Pour lui faire plaisir, rien que pour lui faire plaisir, elle se met en levrette. Elle offre son sexe au visiteur, comme le veut la tradition, belle tradition de l’endroit. Hercule enfile sa bite dans le con mouillé. Il ne pensait jamais que cette madame Noël jouirait autant.
Hercule ne se rend jamais compte du pouvoir orgasmique de sa bite. Il sent les spasmes de la femme autour de sa queue. Il en jouit. Pour se remettre, le trio grignote un peu avant de recommencer. Cette fois c’est Hercule qui est sucé par qui Noël lui, baise sa moitié.
Au matin alors que Monsieur Noël dort encore, madame lui donne son cul. Un cul pour Hercule le paradis.
Il vient encore bandant sur Pégase qui broute du lichen dans son coin. En prenant de l’altitude, au loin il voit un marteau et derrière un bras, celui de Thor. Il force le cheval ailé à piquer comme un stuka vers le marteau. Au passage il flanque une taloche monumentale à Thor qui tombe de haut en se cassant la tête. Mission accomplie.
Il retourne vers son Olympe ; au passage il voit encore Madame Noël. Pour se souvenir encore mieux de ses lieux infernaux, Hercule pense à tirer un coup. Madame Noël le voit venir : elle est vite nue, couchée dans sa cabane de mousse. Elle se caresse la chatte en attendant de se faire enculer. Hercule la voit : il bande encore, relève sa blouse, sa queue est raide. Enfin un cul de femme. Il sodomise longtemps la femme, trouve le moyen de prendre dans la bouche la queue de Monsieur Noël. Elle est bien raide, parfaite pour être léchée. Il fait jouir et madame et monsieur, il enfourche Pégase pour revenir chez lui boire un coup au bistro en bas à gauche.
(Merci pour ceux qui m’ont lu jusqu’au bout)
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