La mission 7
Récit érotique écrit par Ange [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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La mission 7
Je remontais dans la voiture avec cette frustration en moi. Je demandais combien ma prestation lui avait fait gagner. Pas pour savoir mais pour lui signifier qu’au moins il aurait pu laisser le type me faire venir. Mais il ne me répondit pas.
Je n’insistais pas et me tassais dans mon coin tentant d’oublier le feu en moi. J’étais trempée et énervée, pas du tout à l’aise et inquiète de la suite.
Il faisait une chaleur incroyable, je retirais mon gilet et sombrais de nouveau dans le sommeil.
Je sentis d’un coup que nous arrivions à notre destination, il me semblait avoir dormi des heures, alors que cela ne faisait que 45 minutes. La voiture roulait sur une allée en gravier menant vers une belle demeure de campagne.
Je savais que mes questions seraient vaines, je décidais de ne rien dire et la boule au ventre, je descendis de voiture quand il vint m’ouvrir la portière.
- Tu fais ce qu’on te dis, tu ne discutes pas et tout se passera bien pour toi !
Je répondais d’un hochement de tête.
Sur le palier un homme d’environ l’âge de Bernard, bien fait, musclé et en short de bain. Il devait y avoir un piscine à l’arrière de la maison.
- Alors la voilà ! Tu avais raison elle est pas mal du tout ! Je peux toucher ?
- Oui vas-y, elle est là pour ça. Ce qui est à moi est à toi ! Je te présente JC.
Il me dit cela pendant que l’autre type avait déjà mis un main dans mon décolleté et sortait un sein de mon chemisier pour l’admirer.
Il nous dit d’entrer, j’allais remettre ma tenue quand le regard de Bernard m’arrêta. Je le suivis. Un autre type arriva et fit une accolade à Bernard, il était mouillé, visiblement il sortait de la piscine. Il se tourna vers moi et émit un sifflement.
- Voici Romain.
Il regarda rapidement Bernard pour avoir son approbation et lui aussi me tâta le sein. Mais en plus il me mis une main aux fesses et remonta ma jupe sur mon string. Il caressait mes fesses et ma raie, tout en continuant à parler à Bernard de tout et de rien.
- Elle sait ?
- Non, je ne lui ai rien dit, mais elle fera ce qu’on lui demande. C’est dans son intérêt.
- Bon, alors les affaires sont en haut.
Il tapa dans ses mains et une femme plutôt jolie, en tenue de soubrette arriva. Elle avait une jupette ultra courte, laissant voir ses fesses et son sexe épilé, le haut de la tenue était un bustier dénudant le haut de seins. Autant dire qu’elle ne portait rien.
Je la trouvais vulgaire mais excitante à la fois. Elle ne disait rien et attendait qu’on lui dise quoi faire.
- Tourne toi et penche toi lui dit Romain.
Elle se pencha en avant les jambes à moitié écartées et tendues. Nous vîmes alors qu’elle avait un plug dans son anus. Jean s’approcha et le sorti lentement. Il y avait un trou béant des muscles distendus, le trou n’était pas encore refermé. Elle devait avoir ce plug depuis longtemps. Puis, il regarda Bernard qui lui fit un signe de la tête.
Alors il m’attrapa les cheveux et mis le plug devant ma bouche.
- Toi tu es la lécheuse de cul, nous a dit Bernard. Alors tu as beaucoup de boulot. Vas-y lèche et met beaucoup de salive sinon ça va lui faire mal quand je vais lui remettre.
Et me mis le plug dans la bouche, j’étais penchée sur le cul offert de la fille qui ne disait rien et j’avais ce plug dans la bouche qu’on m’obligeait à lécher.
- Mieux que ça ! Bernard nous a dit qu’on devais t’apprendre à lécher des culs. Alors vas-y, fout lui ta langue dans le cul ! Leçon numéro un !
Les autres regardaient et Jean me poussait le visage dans le cul de la fille. Elle plia un peu le genoux, de sorte que sa position était encore plus indécente. Et j’avais le visage entre ses fesses, je sortais la langue, je ne pouvais pas lutter contre ces trois gaillards. Mais je les maudissais. Ils devaient prendre leur pied avec un tel spectacle. Je passais la langue dans le trou ouvert de la fille, il s’était un peu refermé par rapport au départ, mais une simple pression de ma langue le faisait s’ouvrir et ma langue rentrait quasi entièrement.
Romain avait toujours les mains sur mes fesses, il entra deux doigts dans mon sexe d’un coup, me poussant encore un peu plus en avant dans le cul de la fille.
Jean me fis reculer un peu et remis lentement le plug, puis il le ressortit et le donna à lécher de nouveau.
- Il ne rentre pas bien, suce le !
Je le pris en bouche, j’avais toujours ces deux doigts en moi, et ça m’excitait terriblement. Je n’avais pas oublié la séance de midi et la frustration.
Il le remis puis me le donna de nouveau en me caressant les cheveux et la joue.
- C’est bien, tu vois c’est pas difficile. Elle mouille ?
- Ouais, grave ! Elle est trempée, elle est faite pour lécher les culs. Bernard avait raison.
Les entendre parler de moi comme ça, sans pouvoir rien dire était hyper frustrant. Mais je savais que je ne devais pas bouger. D’un coup Romain accéléra sa caresse dans mon sexe et Jean appuya mon visage sur le cul de la fille. Je commençais à gémir et à bouger, je sentais l’orgasme monter. Je dégoulinais. Un orgasme retenu depuis des heures explosa en moi, et je criais ma jouissance.
- Tu vois que tu aimes ça, tu fais ta mijaurée, mais en réalité ce rôle te va comme un gant. Tu seras notre lécheuse de cul.
Ils m’avaient eue. Bien sûr que j’allais jouir avec le traitement que me faisait subir Bernard depuis le matin. Ca n’avait rien à voir avec leur petite séance avec la fille. Il me remit un dernière fois le plug dans la bouche et le remit à la fille. Il lui dit de se redresser avec une tape sur la fesse.
- Rachel, c’est notre suceuse de bite ! hein Rachel ?
Elle ne dit rien.
- Allez montre à Bernard comme tu suces les bites.
Immédiatement la fille se mit accroupie, les jambes écartées, comme on avait certainement du lui dire de faire et elle se positionna devant le pantalon de Bernard. Elle ouvrit son pantalon et sortit son sexe. Elle ouvrit la bouche et pris le sexe déjà tendu de Bernard. Romain s’approcha d’elle et lui mis la main sur la tête pour la faire aller plus vite dans ses aller retour.
Elle haletait et bavait beaucoup mais ne bronchait pas. Bernard allait loin dans se gorge. Il ne tint pas longtemps, il avait dû être excité lui aussi. Et il gicla dans la gorge de la fille. En sortant un peu de sperme coula sur la poitrine dénudée de la fille.
Jean me pris de nouveau par les cheveux et me força à me pencher pour lécher la poitrine.
- Ici le sperme c’est précieux, vous ne devez pas en perdre une goutte. Lèche lui les nichons !
Il me tenait la tête comme une poupée et me fit lécher les nichons de la fille.
- Voilà pour ton cadeau de bienvenue, Bernard !
Il congédia la fille.
- Tu vois on va pouvoir faire quelque chose d’elle ! Dit-il en me montrant du menton. Tiens sa tenue est là dans le coin. On vous laisse faire, on vous attend derrière.
Bernard m’accompagna dans le coin. J’avais la même tenue que la fille. Je me déshabillais et mis la tenue en silence. Je décidais de jouer le jeu pour ne pas avoir d’ennuis.
Bernard me regardais faire, il passa un short de bain. Et nous nous dirigeâmes vers la piscine.
Là il y avait un quatrième gars, allongé sur un transat en train de lire un livre et boire une bière fraîche. Il avait les jambes repliées et écartées et une fille était en train de lui lécher les couilles du bout de la langue. Ce n’était pas la même que tout à l’heure. Elle était à quatre patte les fesses relevées devant lui sur le transat et elle aussi avait un plug dans le cul. Elle devait lui faire ça depuis longtemps, le type bandait beaucoup. Mais il ne bougeait pas.
Il fit signe à Bernard, qui vint lui serrer la main.
- Lui c’est Nicolas. Me dit Bernard.
- Et elle c’est notre lécheuse de couilles me dit Romain.
- Maintenant on a une lécheuse de bite, une de couilles et une de cul. C’est parfait. Dit Jean. Maintenant, va chercher une bière fraîche à Bernard, dit il à l’autre fille qui était près de lui.
Elle parti.
- Tu vas te mettre allongée à quatre pattes sur ce transat, il faut qu’on te mette ton plug. Me dit Bernard.
Je craignais le pire, mais me mis sur le transat. Du coup, Nicolas était intéressé, il repoussa la fille qui lui léchait les couilles.
- Mets toi en position d’attente ! Lui dit-il.
Je me demandais bien ce que ça voulais dire. Mais je n’eus pas le temps d’y penser. J’étais placée à quatre patte sur un transat avec une vue directe sur mon anatomie. Romain appuya sur ma tête pour la poser sur le transat, accentuant la position offerte et l’ouverture de mon cul. Jean pris du gel sur une table et en mis sur ses doigts. Il entra d’un coup deux doigts dans mon cul. Je criais de surprise. Mon anneau n’avait pas eu le temps de s’ouvrir. Il ressortit ses doigts et vint devant moi.
- Tu es la lécheuse de cul et le tien ne fait pas exception. Il faut qu’on t’élargissent on ne veut pas te faire mal en te mettant le plug.
Il me mit ses doigts dans la bouche. Romain avait toujours sa main sur mes cheveux, me forçant à rester dans cette position. J’avais le doigt de Jean dans la bouche mais je sentis tout de même un autre doigt me fouiller et tourner dans mon cul. Jean retira ses doigts de ma bouche et les autres doigts, ceux de Nicolas, vinrent les remplacer. Je reçus les doigts de tous les hommes dans mon cul. Et je dus les lécher tous dès qu’ils sortaient de mon cul.
Puis, je sentis le plug appuyer sur ma rondelle, lentement et progressivement. Jean le fit ressortir et me le donna à lécher.
- Celui là est allé plus profond que nos doigts, il faut le lécher aussi, tu comprends. Tu sentiras mieux le goût de ton cul. C’est bon, hein ?
Il le remit de nouveau en appuyant bien pour le faire entrer, et le ressortis de nouveau.
- Tiens, goûte, il est allé encore plus loin, celui là. Tu aimes ?
Il le remis de nouveau, et cette fois lui fit faire des tours en le sortant et en l’enfonçant plus loin. Il m’enculait avec le plug et je commençais à aimer la sensation. Je mouillais de nouveau. Je gémissais, je ne voulais pas qu’il s’arrête.
- Ouvre la bouche, tiens, il bon encore, cette fois je l’ai bien tourné dans ton cul, tu vas aimer.
Je gémissais d’excitation j’avais envie qu’il continue. Mais il remit le plug, en me touchant la chatte.
- Voilà, il est bien au fond cette fois, il ne bougera pas. Il va bien t’élargir le cul, comme ça on pourra t’enculer à notre guise. Va te mettre en position d’attente, on va prendre un bain, il fait chaud.
Je ne savais pas trop de quoi il parlait, mais je vis les deux filles sur des transats à l’ombre devant la piscine. Elles étaient allongées sur le dos, les jambes écartées et se caressaient la chatte en écartant avec l’autre main. On aurait dit des jumelles, elles faisaient les mêmes gestes. Les mecs pouvaient ainsi se rincer l’œil en nageant où en prenant leur bière.
Je me plaçais à coté d’elle. Aucune d’elle ne m’adressa la parole. Je fis comme elle. J’écartais les jambes, j’étais trempée. De toutes façons, j’avais envie de jouir.
- Oh, j’oubliais de te préciser, tu dois juste rester disponible. Il t’est interdit de jouir, sauf si on te le permet.
Mince ! Ca allait être dur. Je regardais à la dérobée les chattes des filles, les petites séances avaient du les exciter elles aussi, elles avaient des chattes luisantes de mouille. Elles se caressaient de manière lascive, le regard dans le vague.
Je mis ma main sur mon sexe et écartais me lèvres avec l’autre main. Bernard plongea dans la piscine, m’éclaboussant. Il se posta devant moi et regarda entre mes jambes.
Je rougis de honte. J’étais mouillée alors qu’on m’humiliait complètement. Il avait un regard de triomphe. Il avait une vue directe sur mon sexe écarté, et sur le plug que l’on pouvait voir dans mon cul.
L’après midi ne faisait que commencer…
Je n’insistais pas et me tassais dans mon coin tentant d’oublier le feu en moi. J’étais trempée et énervée, pas du tout à l’aise et inquiète de la suite.
Il faisait une chaleur incroyable, je retirais mon gilet et sombrais de nouveau dans le sommeil.
Je sentis d’un coup que nous arrivions à notre destination, il me semblait avoir dormi des heures, alors que cela ne faisait que 45 minutes. La voiture roulait sur une allée en gravier menant vers une belle demeure de campagne.
Je savais que mes questions seraient vaines, je décidais de ne rien dire et la boule au ventre, je descendis de voiture quand il vint m’ouvrir la portière.
- Tu fais ce qu’on te dis, tu ne discutes pas et tout se passera bien pour toi !
Je répondais d’un hochement de tête.
Sur le palier un homme d’environ l’âge de Bernard, bien fait, musclé et en short de bain. Il devait y avoir un piscine à l’arrière de la maison.
- Alors la voilà ! Tu avais raison elle est pas mal du tout ! Je peux toucher ?
- Oui vas-y, elle est là pour ça. Ce qui est à moi est à toi ! Je te présente JC.
Il me dit cela pendant que l’autre type avait déjà mis un main dans mon décolleté et sortait un sein de mon chemisier pour l’admirer.
Il nous dit d’entrer, j’allais remettre ma tenue quand le regard de Bernard m’arrêta. Je le suivis. Un autre type arriva et fit une accolade à Bernard, il était mouillé, visiblement il sortait de la piscine. Il se tourna vers moi et émit un sifflement.
- Voici Romain.
Il regarda rapidement Bernard pour avoir son approbation et lui aussi me tâta le sein. Mais en plus il me mis une main aux fesses et remonta ma jupe sur mon string. Il caressait mes fesses et ma raie, tout en continuant à parler à Bernard de tout et de rien.
- Elle sait ?
- Non, je ne lui ai rien dit, mais elle fera ce qu’on lui demande. C’est dans son intérêt.
- Bon, alors les affaires sont en haut.
Il tapa dans ses mains et une femme plutôt jolie, en tenue de soubrette arriva. Elle avait une jupette ultra courte, laissant voir ses fesses et son sexe épilé, le haut de la tenue était un bustier dénudant le haut de seins. Autant dire qu’elle ne portait rien.
Je la trouvais vulgaire mais excitante à la fois. Elle ne disait rien et attendait qu’on lui dise quoi faire.
- Tourne toi et penche toi lui dit Romain.
Elle se pencha en avant les jambes à moitié écartées et tendues. Nous vîmes alors qu’elle avait un plug dans son anus. Jean s’approcha et le sorti lentement. Il y avait un trou béant des muscles distendus, le trou n’était pas encore refermé. Elle devait avoir ce plug depuis longtemps. Puis, il regarda Bernard qui lui fit un signe de la tête.
Alors il m’attrapa les cheveux et mis le plug devant ma bouche.
- Toi tu es la lécheuse de cul, nous a dit Bernard. Alors tu as beaucoup de boulot. Vas-y lèche et met beaucoup de salive sinon ça va lui faire mal quand je vais lui remettre.
Et me mis le plug dans la bouche, j’étais penchée sur le cul offert de la fille qui ne disait rien et j’avais ce plug dans la bouche qu’on m’obligeait à lécher.
- Mieux que ça ! Bernard nous a dit qu’on devais t’apprendre à lécher des culs. Alors vas-y, fout lui ta langue dans le cul ! Leçon numéro un !
Les autres regardaient et Jean me poussait le visage dans le cul de la fille. Elle plia un peu le genoux, de sorte que sa position était encore plus indécente. Et j’avais le visage entre ses fesses, je sortais la langue, je ne pouvais pas lutter contre ces trois gaillards. Mais je les maudissais. Ils devaient prendre leur pied avec un tel spectacle. Je passais la langue dans le trou ouvert de la fille, il s’était un peu refermé par rapport au départ, mais une simple pression de ma langue le faisait s’ouvrir et ma langue rentrait quasi entièrement.
Romain avait toujours les mains sur mes fesses, il entra deux doigts dans mon sexe d’un coup, me poussant encore un peu plus en avant dans le cul de la fille.
Jean me fis reculer un peu et remis lentement le plug, puis il le ressortit et le donna à lécher de nouveau.
- Il ne rentre pas bien, suce le !
Je le pris en bouche, j’avais toujours ces deux doigts en moi, et ça m’excitait terriblement. Je n’avais pas oublié la séance de midi et la frustration.
Il le remis puis me le donna de nouveau en me caressant les cheveux et la joue.
- C’est bien, tu vois c’est pas difficile. Elle mouille ?
- Ouais, grave ! Elle est trempée, elle est faite pour lécher les culs. Bernard avait raison.
Les entendre parler de moi comme ça, sans pouvoir rien dire était hyper frustrant. Mais je savais que je ne devais pas bouger. D’un coup Romain accéléra sa caresse dans mon sexe et Jean appuya mon visage sur le cul de la fille. Je commençais à gémir et à bouger, je sentais l’orgasme monter. Je dégoulinais. Un orgasme retenu depuis des heures explosa en moi, et je criais ma jouissance.
- Tu vois que tu aimes ça, tu fais ta mijaurée, mais en réalité ce rôle te va comme un gant. Tu seras notre lécheuse de cul.
Ils m’avaient eue. Bien sûr que j’allais jouir avec le traitement que me faisait subir Bernard depuis le matin. Ca n’avait rien à voir avec leur petite séance avec la fille. Il me remit un dernière fois le plug dans la bouche et le remit à la fille. Il lui dit de se redresser avec une tape sur la fesse.
- Rachel, c’est notre suceuse de bite ! hein Rachel ?
Elle ne dit rien.
- Allez montre à Bernard comme tu suces les bites.
Immédiatement la fille se mit accroupie, les jambes écartées, comme on avait certainement du lui dire de faire et elle se positionna devant le pantalon de Bernard. Elle ouvrit son pantalon et sortit son sexe. Elle ouvrit la bouche et pris le sexe déjà tendu de Bernard. Romain s’approcha d’elle et lui mis la main sur la tête pour la faire aller plus vite dans ses aller retour.
Elle haletait et bavait beaucoup mais ne bronchait pas. Bernard allait loin dans se gorge. Il ne tint pas longtemps, il avait dû être excité lui aussi. Et il gicla dans la gorge de la fille. En sortant un peu de sperme coula sur la poitrine dénudée de la fille.
Jean me pris de nouveau par les cheveux et me força à me pencher pour lécher la poitrine.
- Ici le sperme c’est précieux, vous ne devez pas en perdre une goutte. Lèche lui les nichons !
Il me tenait la tête comme une poupée et me fit lécher les nichons de la fille.
- Voilà pour ton cadeau de bienvenue, Bernard !
Il congédia la fille.
- Tu vois on va pouvoir faire quelque chose d’elle ! Dit-il en me montrant du menton. Tiens sa tenue est là dans le coin. On vous laisse faire, on vous attend derrière.
Bernard m’accompagna dans le coin. J’avais la même tenue que la fille. Je me déshabillais et mis la tenue en silence. Je décidais de jouer le jeu pour ne pas avoir d’ennuis.
Bernard me regardais faire, il passa un short de bain. Et nous nous dirigeâmes vers la piscine.
Là il y avait un quatrième gars, allongé sur un transat en train de lire un livre et boire une bière fraîche. Il avait les jambes repliées et écartées et une fille était en train de lui lécher les couilles du bout de la langue. Ce n’était pas la même que tout à l’heure. Elle était à quatre patte les fesses relevées devant lui sur le transat et elle aussi avait un plug dans le cul. Elle devait lui faire ça depuis longtemps, le type bandait beaucoup. Mais il ne bougeait pas.
Il fit signe à Bernard, qui vint lui serrer la main.
- Lui c’est Nicolas. Me dit Bernard.
- Et elle c’est notre lécheuse de couilles me dit Romain.
- Maintenant on a une lécheuse de bite, une de couilles et une de cul. C’est parfait. Dit Jean. Maintenant, va chercher une bière fraîche à Bernard, dit il à l’autre fille qui était près de lui.
Elle parti.
- Tu vas te mettre allongée à quatre pattes sur ce transat, il faut qu’on te mette ton plug. Me dit Bernard.
Je craignais le pire, mais me mis sur le transat. Du coup, Nicolas était intéressé, il repoussa la fille qui lui léchait les couilles.
- Mets toi en position d’attente ! Lui dit-il.
Je me demandais bien ce que ça voulais dire. Mais je n’eus pas le temps d’y penser. J’étais placée à quatre patte sur un transat avec une vue directe sur mon anatomie. Romain appuya sur ma tête pour la poser sur le transat, accentuant la position offerte et l’ouverture de mon cul. Jean pris du gel sur une table et en mis sur ses doigts. Il entra d’un coup deux doigts dans mon cul. Je criais de surprise. Mon anneau n’avait pas eu le temps de s’ouvrir. Il ressortit ses doigts et vint devant moi.
- Tu es la lécheuse de cul et le tien ne fait pas exception. Il faut qu’on t’élargissent on ne veut pas te faire mal en te mettant le plug.
Il me mit ses doigts dans la bouche. Romain avait toujours sa main sur mes cheveux, me forçant à rester dans cette position. J’avais le doigt de Jean dans la bouche mais je sentis tout de même un autre doigt me fouiller et tourner dans mon cul. Jean retira ses doigts de ma bouche et les autres doigts, ceux de Nicolas, vinrent les remplacer. Je reçus les doigts de tous les hommes dans mon cul. Et je dus les lécher tous dès qu’ils sortaient de mon cul.
Puis, je sentis le plug appuyer sur ma rondelle, lentement et progressivement. Jean le fit ressortir et me le donna à lécher.
- Celui là est allé plus profond que nos doigts, il faut le lécher aussi, tu comprends. Tu sentiras mieux le goût de ton cul. C’est bon, hein ?
Il le remit de nouveau en appuyant bien pour le faire entrer, et le ressortis de nouveau.
- Tiens, goûte, il est allé encore plus loin, celui là. Tu aimes ?
Il le remis de nouveau, et cette fois lui fit faire des tours en le sortant et en l’enfonçant plus loin. Il m’enculait avec le plug et je commençais à aimer la sensation. Je mouillais de nouveau. Je gémissais, je ne voulais pas qu’il s’arrête.
- Ouvre la bouche, tiens, il bon encore, cette fois je l’ai bien tourné dans ton cul, tu vas aimer.
Je gémissais d’excitation j’avais envie qu’il continue. Mais il remit le plug, en me touchant la chatte.
- Voilà, il est bien au fond cette fois, il ne bougera pas. Il va bien t’élargir le cul, comme ça on pourra t’enculer à notre guise. Va te mettre en position d’attente, on va prendre un bain, il fait chaud.
Je ne savais pas trop de quoi il parlait, mais je vis les deux filles sur des transats à l’ombre devant la piscine. Elles étaient allongées sur le dos, les jambes écartées et se caressaient la chatte en écartant avec l’autre main. On aurait dit des jumelles, elles faisaient les mêmes gestes. Les mecs pouvaient ainsi se rincer l’œil en nageant où en prenant leur bière.
Je me plaçais à coté d’elle. Aucune d’elle ne m’adressa la parole. Je fis comme elle. J’écartais les jambes, j’étais trempée. De toutes façons, j’avais envie de jouir.
- Oh, j’oubliais de te préciser, tu dois juste rester disponible. Il t’est interdit de jouir, sauf si on te le permet.
Mince ! Ca allait être dur. Je regardais à la dérobée les chattes des filles, les petites séances avaient du les exciter elles aussi, elles avaient des chattes luisantes de mouille. Elles se caressaient de manière lascive, le regard dans le vague.
Je mis ma main sur mon sexe et écartais me lèvres avec l’autre main. Bernard plongea dans la piscine, m’éclaboussant. Il se posta devant moi et regarda entre mes jambes.
Je rougis de honte. J’étais mouillée alors qu’on m’humiliait complètement. Il avait un regard de triomphe. Il avait une vue directe sur mon sexe écarté, et sur le plug que l’on pouvait voir dans mon cul.
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