La monnaie de la piece 1
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La monnaie de la piece 1
recit co-écrit avec valeriane
La journée a été caniculaire, la nuit est lourde. Fenêtre grande ouverte, lumière éteinte, Jennifer, vêtue d'une culotte taille basse, est étendue sur son lit. Ses petits seins s'étalent sur son torse comme des œufs au plat. Elle a chaud, son corps est moite, elle ne trouve pas le sommeil. Son regard est attiré par des mouvements dans la maison en face.
La chambre de ses voisins est éclairée, la fenêtre est ouverte. Jennifer voit deux corps nus monter sur le lit. Elle s'avance vers sa fenêtre est, ce qu'elle voit, la fait sursauter. Elle reconnait son mari Thomas, qui d'après ses dires devait travailler de nuit, le salaud. Sur le moment, Jennifer reçoit un coup de masse sur la tête, elle voudrait hurler, lui arracher les yeux.
Elle comprend que sous ses airs de mari prévenant, très attentionné, se cache un homme volage, sans morale, en un mot un traitre.
Jennifer est ulcérée, elle est détruite, elle envisage le pire. Mais peu à peu, elle reprend son sang-froid. Comme la distance qui sépare les deux maisons est faible, elle peut entendre les gémissements des deux traitres. Cocufiée par Mégane dont elle croyait être son amie, c'est la pire des choses qui pouvait lui arriver. Elle essuie d'un revers de la main les larmes qui coulent sur ses joues. Elle ne peut que dans l'immédiat, observer les deux amants.
Le couple et tête bêche l'un sur l'autre, Mégane agite la verge de Thomas qui lui, en même temps, lui dévore la chatte. Les grognements que poussent les deux adultères, sont distincts et sont ambigüités. Les deux prennent beaucoup de plaisir, Mégane cesse de branler la verge, la décalotte totalement et donne plusieurs coups de langue sur le gland. Elle titille le frein, lape les perles précieuses qui s'échappent du méat. Soudain une giclée puissante de sperme jaillit de la verge tendue, et retombe sur les doigts de la sainte-nitouche, en lui frôlant le visage. D'un coup, Mégane gobe l'objet cracheur, elle le suce et le tète avec voracité, elle ne veut pas perdre une seule goutte du précieux nectar.
Thomas geint comme une bête malade. Jennifer ravale plusieurs fois sa salive, lentement la tension monte dans son corps. Inconsciemment, elle passe sa main sur son entrejambe et se caresse le bas-ventre. Sa culotte s'humidifie de plus en plus. Soudain, elle réagit et retire sa main, elle se dit, mais qu'est-ce que je fais, je suis folle. Thomas enfonce sa langue dans la chatte de son amante et la fouille comme un affamé. Les gémissements de Mégane sont très, très bruyants. Il est vrai que cette femme est très expressive.
Mégane, en se cramponnant d'une main au manche de chair, se met à l'agiter à toute vitesse. Pour Thomas, c'est le délire, il envoie une seconde décharge, mais Mégane a eu le temps de gober le gland juste avant l'expulsion de la crème. Elle se régale, ses yeux brillent. Dans l'excitation, Thomas lui mord le clito, cela a pour effet de faire jouir Mégane comme une fontaine.
Thomas la bascule sur le lit et prend place entre ses cuisses, il lui plante sa bite au plus profond des entrailles. Mégane se cabre en s'agrippant à son amant. Elle commence à agiter son bassin comme une forcenée, une seconde jouissance la cloue sur le lit. Une bonne partie de la nuit, les deux amants se font jouir, avant d'éteindre la lumière. Jennifer rejoint son lit, mal à l'aise, elle retire sa culotte humide. Son corps est fébrile, elle sent la cyprine s'échapper de son abricot.
Sans chercher midi à quatorze heures, elle commence à se caresser. Rapidement sa jouissance arrive, elle se fait jouir plusieurs fois avant de remettre une culotte. Dans sa tête, ce n'est pas très clair, elle broie du noir. Mais elle cogite un plan de vengeance. Le lendemain matin, lorsqu'elle se lève, Thomas est en train de prendre un café, le bougre rentre de sa nuit laborieuse. Elle l'embrasse comme si de rien n'était. Le menteur lui parle de la nuit épuisante qu'il a eut. Jennifer serre les dents pour ne pas lui sauter dessus. Mais elle lui prépare une surprise qu'il n'oubliera jamais.
Jennifer et encore en culotte, seins nus, lorsque qu'elle se déplace, elle évolue comme un félin, naturellement son bassin ondule de gauche à droite. Thomas se lève et la rejoint à la cuisine, il se plaque à elle et frotte son bassin contre les fesses de sa femme. Rapidement l'infidèle bande dur. Jennifer ne peut ignorer l'érection, elle profite de la situation. Pour se cambrer et lui offrir son fessier.
Thomas veut lui retirer sa culotte, mais il déchante vite. Jennifer lui dit :
-Ce n'est pas le moment Thomas, tu as eu une nuit pénible que tu as dit alors monte te coucher, plus tard peut-être, lorsque tu seras frais et dispo !
Jennifer prend une douche, s'habille, elle doit faire des courses, elle a un projet qui faut qu'elle-même à bien. La journée se passe très bien, Jennifer semble détendue. Lorsque son mari se lève, elle lui dit :
-Comme demain, c'est le week-end, j'ai invité Alban !
Thomas répond :
-Génial, c'est mon meilleur copain, mais pourquoi tu invites grosse bite !
(Grosse bite, c'est le surnom d'Alban, il parait qu'il est monté comme un cheval)
Jennifer en souriant répond :
-Je le trouve très sympa et en plus, il est pas mal, et cela fait longtemps que nous ne l'avons vu !
Thomas sourit est dit :
- Ah c'est vrai, mais fais gaffe, c'est un sacré dragueur !
Le lendemain, Jennifer prépare le repas, elle est nue sous blouse, le fin tissus laisse apercevoir son entrejambe, garnit d'une fine toison. Ses mamelons appuient frottement sur le tissu comme pour le forer. Thomas ne peut s'empêcher de lui dire :
-Tu sais que tu es très bandante comme ça ma chérie !
Jennifer hausse les épaules, le traitre a parlé, elle met les petits plats dans les grands. Elle termine juste que la sonnette de la porte d'entrée retentit, Thomas va ouvrir, c'est son pote Alban, mais le coquin n'est pas seul, il est accompagné Fiona, une bombe. Une fois entré, il dit :
-Je m'excuse, mais j'ai eu la visite surprise de ma nièce Fiona ce matin, et je me suis permis de l'emmener avec moi !
Jennifer en souriant salue les deux arrivants et répond :
-Tu as bien fait Alban, quand il y en a pour trois, il y en a pour quatre, soyez la bienvenue Fiona, je n'ai pas eu le temps de me changer, ne me jugez pas sur ma tenue !
Tous s'installent autour de la table, Thomas sert l'apéro. Fiona ne cesse de sourire, elle semble très sociale. Ses formes ne laissent pas indifférentes les personnes présentes. Les apéros se suivent, les discutions, vont bon train. Jennifer et Fiona semblent devenir intime, elles évoquent leurs petits soucis féminins, pendant que Thomas et Alban se rincent la glotte. Les deux hommes se remémorent leurs aventures de jeunesse, en riant aux éclats. Les deux femmes plus calmes parlent froufrou et spectacle. Jennifer commence être un peu grisée par l'alcool, elle qui ne boit pratiquement jamais. Fiona avoue être un peu éméchée, et qu'il est temps qu'elle arrête de boire. Thomas en profite pour lui verser encore un apéro.
Les deux femmes, euphoriques, trinquent en riant comme des enfants. Leurs mains se frôlent souvent, elles se lancent des regards ravageurs. Fiona involontairement fait du pied à Jennifer. Fiona un peu gênée :
-Oh, excusez-moi, c'est involontaire !
Jennifer en souriant lui répond :
-Ce n'est pas grave, je pense qu'il faut se tutoyer !
Les deux hommes ignorent les femmes, ils parlent fort en se remémorant le temps passé. Jennifer se lève pour aller chercher l'entrée. Fiona se lève à son tour et dit :
-Je vais t'aider Jennifer !
Les deux femmes se rendent à la cuisine, Jennifer se penche pour prendre un plat. Fiona passe dernière, elle, et frotte volontairement son bas-ventre contre le fessier de Jennifer. Elle se raidit et reste figée sur place. Fiona l'enlace et lui murmure à l'oreille :
-Je te demande pardon, avec tout cet alcool, je suis maladroite !
Doucement, Jennifer se retourne, les deux femmes sont face à face, elles sont si près que leurs souffles se mêlent. Elles se regardent droit dans les yeux, et sans trop savoir pour quelle raison, elles s'enlacent. Jennifer lui dit tendrement :
-Je ne sais pas ce qui se passe en moi, mais mon sang boue dans mes veines, tu me fais un effet terrible !
Fiona lui avoue :
-Moi aussi, tu m'attires comme un aimant, mais qu'est-ce qui se passe !
Les deux femmes joignent leurs lèvres, et échangent un vrai baiser d'amour. Mais il ne faut pas tarder, les hommes risquent de s'impatienter. Elles reviennent avec chacune un plat dans les mains. Le repas part sur de bonnes bases. Les deux amoureuses, ne cessent de se sourire. Fiona retire une chaussure et le place contre la jambe de Jennifer. Elle sursaute, ses yeux luisent de bonheur. Le pied monte lentement le long de son tibia, s'insère entre les genoux que Jennifer écarte. L'intrus glisse entre les cuisses, vient buter contre le sexe.
Les orteils pianotent sur la fente qui rapidement se met à suinter. Entre deux bouchées, Jennifer pousse un soupir. La jouissance approche, Jennifer serre fortement les cuisses, elle grimace et pousse un gémissement qui fait sursauter les deux hommes, qui la fusillent du regard.
Jennifer en ravalant sa salive dit :
- Ce n'est rien, je me suis mordue la langue, ça fait un mal de chien !
Progressivement, Fiona retire son pied, elle jette une œillade complice à Jennifer, en lui souriant.
Une fois les entrées terminées, Jennifer se lève, elle est immédiatemment suivit pas Fiona. Une fois la la cuisine, Fiona à l'abrit des regards, enlace Jennifer, se plaque contre ses fesses, et lui donne pleins de petits baisers sur la nuque et dans le cou. Jennifer frissonne et dit :
-Arrete, ce n'est pas le moment Fiona !
Fiona ne l'entend pas, elle lui fait sauter un bouton de la blouse, et glisse une main par l'ouverture et saisit un sein. Jennifer se cabre, les doigts habiles malaxent en douceur le lobe, puis accrochent le mamelon, plusieurs petites pressions le font se dresser rapidement le petit mat durcit.Jennifer priteste faiblement. Fiona retire sa main et la passe sous la blouse, elle la pose sur le sexe qui rejette encore la cyprine de la précédente jouissance.
Fiona coince entre ses doigts la boule de chair qui est déjà gonflée, la presse plusieurs fois avant de la branler. Jennifer gémit en se mordant le poignet pour ne pas faire trop de bruit. Fiona lui mordille l'épaule en accélérant le branlage. Soudain, une voix se fait entendre, c'est Alban qui trouvait que le service était lent, il dit :
-Thomas, viens voir, il s'en passe des chose chez toi !
Fiona cesse de branler le clito mais le garde entre ses doigts. Thomas entre à son tour dans la cuisine. Il lève les bras au ciel en vociférant :
Quoi, tu me trompes sous mon toit avec la première venue, tu n'es qu'une trainée, honte à toi salope !
En regardant son mari droit dans les yeux, Jennifer réplique :
-Toi mon cochon, tu ferai mieux de te faire tout petit, au lieu de faire tant de cinéma, figure-toi que hier soir mon salaud je t'ai vu avec la voisine, et je peux dire que vous n'enfiliez pas des perles, et maintenant tu veux me faire la morale, je crois rever là. Pour tout te dire, j'avais l'intention de te tromper avec Alban, c'est pour cela que je l'ai invité, mais je suis tombée sous le charme de Fiona, et j'ai l'intention de m'envoyer en l'air avec !
Thomas lui dit :
-Mais tu n'es pas lesbienne !
Jennifer lui répond avec ironie :
-Non mais il y a un debut à tout, aller vient fiona nous finirons de déjeuner après !
Fiona en souriant lui presse fortement le clito avant de retirer sa main. Jennifer se cabre et lui dit en toisant son mari de haut :
-Ne sois pas si pressée ma chérie, nous avons tout notre temps !
Elle lui prend la main et l'entraine au salon. Alban,n'en revient pas que la femme de son pote vouler baiser avec lui, il dit en regardant le couple s'éloigner :
-Jennifer, si tu as besoin de moi, sais que je suis à ton service, un plan cul ça me va !
Une fois au salon, Fiona fait tomber la blouse sur le sol. Les yeux d'Alban sortent presque de leurs orbites, il ne quitte pas les formes de jennifer, qui se laisse tomber sur le canapé. Fiona la regarde longuement et comme une strip-teaseuse, s'effeuille lentement. Les deux voyeurs, ne se sentent plus, ils serrent les poings. Fiona se penche sur Jennifer et lui donne quelques baisers sur son ventre plat. De la pointe de sa langue, elle lèche quelques parcelles de peau, en remontant vers la poitrine, pour titiller les mamelons.
Jennifer fond de bonheur, sa première expérience lesbienne ne semble pas lui déplaire. Ses mamelons prennent du volume, elle gémit doucement. Thomas et Alban se regardent, ils serrent les dents car il leur est interdit d'intervenir. La solution pour eux c'est de sortir de leur pantalon leur queue, et de jouer avec. Il est vrai que Alban est bien monté le bougre, il se caresse en ne quittant pas des yeux les deux amantes.
Jennifer geint de plus en plus fort, la bouche de Fiona se fait plus vorace, ses mamelons sont la cible privilégiée. Fiona, suce, tète comme un bébé qui s'allaite. Les tètons sont au maximum de leurs volumes. Chaque fois que fiona libére un mamelon, celui-ci oscille un petit moment avant de se stabiliser.
Jennifer et tendue comme un arc, la bouche de Fiona la rend folle. La bouche insatiable commence une descente sur le corps de Jennifer, en se rapprochant dangereusement de sa toison très, très humide. Elle s'attarde un court instant sur le nombril pour le taquiner. Jennifer pâme de bonheur, ses gémissements le prouvent. Lorsque les lèvres charnues se posent sur son clitoris, Jennifer se cabre comme un cheval. Fiona déguste la perle comme un bonbon. La vulve devient un petit torrent, la cyprine qu'elle libére, se répand sur le canapé, et sur le sol. Jennifer, ne peut retenir un gémissement plus fort que les autres, la langue de Fiona vient de s'enfoncer profondement dans son vagin pour en fouiller chaque recoin.
À chaque coup de langue, c'est comme une décharge éléctrique que croit recevoir Jennifer. Elle n'en peut plus, elle grince des dents, se cambre le plus possible et offre à Fiona un flot de cyprine. La butineuse l'avale avec délectation, pour elle c'est sa récompense. La jouissance de Jennifer est si forte qu'elle restera gravée dans sa mémoire.
Fiona se couche sur Jennifer, elle ondule comme un reptile, en frottant la chatte contre celle de son amante. Les vulves sont débordant de cyprine, Fiona descend en se tortillant souplement, et revient sur le fruit juteux. Elle serre entre les grandes lèvres le clito hyper gonflé et commence un branlage d'enfer. Jennifer s'agite en geignant fortement, une nouvelle jouissance la secoue à l'en faire délirer :
-Oh Fiona tu me fais mourir de plaisir, n'arrete pas, n'arrête pas c'est trop bon !
La journée a été caniculaire, la nuit est lourde. Fenêtre grande ouverte, lumière éteinte, Jennifer, vêtue d'une culotte taille basse, est étendue sur son lit. Ses petits seins s'étalent sur son torse comme des œufs au plat. Elle a chaud, son corps est moite, elle ne trouve pas le sommeil. Son regard est attiré par des mouvements dans la maison en face.
La chambre de ses voisins est éclairée, la fenêtre est ouverte. Jennifer voit deux corps nus monter sur le lit. Elle s'avance vers sa fenêtre est, ce qu'elle voit, la fait sursauter. Elle reconnait son mari Thomas, qui d'après ses dires devait travailler de nuit, le salaud. Sur le moment, Jennifer reçoit un coup de masse sur la tête, elle voudrait hurler, lui arracher les yeux.
Elle comprend que sous ses airs de mari prévenant, très attentionné, se cache un homme volage, sans morale, en un mot un traitre.
Jennifer est ulcérée, elle est détruite, elle envisage le pire. Mais peu à peu, elle reprend son sang-froid. Comme la distance qui sépare les deux maisons est faible, elle peut entendre les gémissements des deux traitres. Cocufiée par Mégane dont elle croyait être son amie, c'est la pire des choses qui pouvait lui arriver. Elle essuie d'un revers de la main les larmes qui coulent sur ses joues. Elle ne peut que dans l'immédiat, observer les deux amants.
Le couple et tête bêche l'un sur l'autre, Mégane agite la verge de Thomas qui lui, en même temps, lui dévore la chatte. Les grognements que poussent les deux adultères, sont distincts et sont ambigüités. Les deux prennent beaucoup de plaisir, Mégane cesse de branler la verge, la décalotte totalement et donne plusieurs coups de langue sur le gland. Elle titille le frein, lape les perles précieuses qui s'échappent du méat. Soudain une giclée puissante de sperme jaillit de la verge tendue, et retombe sur les doigts de la sainte-nitouche, en lui frôlant le visage. D'un coup, Mégane gobe l'objet cracheur, elle le suce et le tète avec voracité, elle ne veut pas perdre une seule goutte du précieux nectar.
Thomas geint comme une bête malade. Jennifer ravale plusieurs fois sa salive, lentement la tension monte dans son corps. Inconsciemment, elle passe sa main sur son entrejambe et se caresse le bas-ventre. Sa culotte s'humidifie de plus en plus. Soudain, elle réagit et retire sa main, elle se dit, mais qu'est-ce que je fais, je suis folle. Thomas enfonce sa langue dans la chatte de son amante et la fouille comme un affamé. Les gémissements de Mégane sont très, très bruyants. Il est vrai que cette femme est très expressive.
Mégane, en se cramponnant d'une main au manche de chair, se met à l'agiter à toute vitesse. Pour Thomas, c'est le délire, il envoie une seconde décharge, mais Mégane a eu le temps de gober le gland juste avant l'expulsion de la crème. Elle se régale, ses yeux brillent. Dans l'excitation, Thomas lui mord le clito, cela a pour effet de faire jouir Mégane comme une fontaine.
Thomas la bascule sur le lit et prend place entre ses cuisses, il lui plante sa bite au plus profond des entrailles. Mégane se cabre en s'agrippant à son amant. Elle commence à agiter son bassin comme une forcenée, une seconde jouissance la cloue sur le lit. Une bonne partie de la nuit, les deux amants se font jouir, avant d'éteindre la lumière. Jennifer rejoint son lit, mal à l'aise, elle retire sa culotte humide. Son corps est fébrile, elle sent la cyprine s'échapper de son abricot.
Sans chercher midi à quatorze heures, elle commence à se caresser. Rapidement sa jouissance arrive, elle se fait jouir plusieurs fois avant de remettre une culotte. Dans sa tête, ce n'est pas très clair, elle broie du noir. Mais elle cogite un plan de vengeance. Le lendemain matin, lorsqu'elle se lève, Thomas est en train de prendre un café, le bougre rentre de sa nuit laborieuse. Elle l'embrasse comme si de rien n'était. Le menteur lui parle de la nuit épuisante qu'il a eut. Jennifer serre les dents pour ne pas lui sauter dessus. Mais elle lui prépare une surprise qu'il n'oubliera jamais.
Jennifer et encore en culotte, seins nus, lorsque qu'elle se déplace, elle évolue comme un félin, naturellement son bassin ondule de gauche à droite. Thomas se lève et la rejoint à la cuisine, il se plaque à elle et frotte son bassin contre les fesses de sa femme. Rapidement l'infidèle bande dur. Jennifer ne peut ignorer l'érection, elle profite de la situation. Pour se cambrer et lui offrir son fessier.
Thomas veut lui retirer sa culotte, mais il déchante vite. Jennifer lui dit :
-Ce n'est pas le moment Thomas, tu as eu une nuit pénible que tu as dit alors monte te coucher, plus tard peut-être, lorsque tu seras frais et dispo !
Jennifer prend une douche, s'habille, elle doit faire des courses, elle a un projet qui faut qu'elle-même à bien. La journée se passe très bien, Jennifer semble détendue. Lorsque son mari se lève, elle lui dit :
-Comme demain, c'est le week-end, j'ai invité Alban !
Thomas répond :
-Génial, c'est mon meilleur copain, mais pourquoi tu invites grosse bite !
(Grosse bite, c'est le surnom d'Alban, il parait qu'il est monté comme un cheval)
Jennifer en souriant répond :
-Je le trouve très sympa et en plus, il est pas mal, et cela fait longtemps que nous ne l'avons vu !
Thomas sourit est dit :
- Ah c'est vrai, mais fais gaffe, c'est un sacré dragueur !
Le lendemain, Jennifer prépare le repas, elle est nue sous blouse, le fin tissus laisse apercevoir son entrejambe, garnit d'une fine toison. Ses mamelons appuient frottement sur le tissu comme pour le forer. Thomas ne peut s'empêcher de lui dire :
-Tu sais que tu es très bandante comme ça ma chérie !
Jennifer hausse les épaules, le traitre a parlé, elle met les petits plats dans les grands. Elle termine juste que la sonnette de la porte d'entrée retentit, Thomas va ouvrir, c'est son pote Alban, mais le coquin n'est pas seul, il est accompagné Fiona, une bombe. Une fois entré, il dit :
-Je m'excuse, mais j'ai eu la visite surprise de ma nièce Fiona ce matin, et je me suis permis de l'emmener avec moi !
Jennifer en souriant salue les deux arrivants et répond :
-Tu as bien fait Alban, quand il y en a pour trois, il y en a pour quatre, soyez la bienvenue Fiona, je n'ai pas eu le temps de me changer, ne me jugez pas sur ma tenue !
Tous s'installent autour de la table, Thomas sert l'apéro. Fiona ne cesse de sourire, elle semble très sociale. Ses formes ne laissent pas indifférentes les personnes présentes. Les apéros se suivent, les discutions, vont bon train. Jennifer et Fiona semblent devenir intime, elles évoquent leurs petits soucis féminins, pendant que Thomas et Alban se rincent la glotte. Les deux hommes se remémorent leurs aventures de jeunesse, en riant aux éclats. Les deux femmes plus calmes parlent froufrou et spectacle. Jennifer commence être un peu grisée par l'alcool, elle qui ne boit pratiquement jamais. Fiona avoue être un peu éméchée, et qu'il est temps qu'elle arrête de boire. Thomas en profite pour lui verser encore un apéro.
Les deux femmes, euphoriques, trinquent en riant comme des enfants. Leurs mains se frôlent souvent, elles se lancent des regards ravageurs. Fiona involontairement fait du pied à Jennifer. Fiona un peu gênée :
-Oh, excusez-moi, c'est involontaire !
Jennifer en souriant lui répond :
-Ce n'est pas grave, je pense qu'il faut se tutoyer !
Les deux hommes ignorent les femmes, ils parlent fort en se remémorant le temps passé. Jennifer se lève pour aller chercher l'entrée. Fiona se lève à son tour et dit :
-Je vais t'aider Jennifer !
Les deux femmes se rendent à la cuisine, Jennifer se penche pour prendre un plat. Fiona passe dernière, elle, et frotte volontairement son bas-ventre contre le fessier de Jennifer. Elle se raidit et reste figée sur place. Fiona l'enlace et lui murmure à l'oreille :
-Je te demande pardon, avec tout cet alcool, je suis maladroite !
Doucement, Jennifer se retourne, les deux femmes sont face à face, elles sont si près que leurs souffles se mêlent. Elles se regardent droit dans les yeux, et sans trop savoir pour quelle raison, elles s'enlacent. Jennifer lui dit tendrement :
-Je ne sais pas ce qui se passe en moi, mais mon sang boue dans mes veines, tu me fais un effet terrible !
Fiona lui avoue :
-Moi aussi, tu m'attires comme un aimant, mais qu'est-ce qui se passe !
Les deux femmes joignent leurs lèvres, et échangent un vrai baiser d'amour. Mais il ne faut pas tarder, les hommes risquent de s'impatienter. Elles reviennent avec chacune un plat dans les mains. Le repas part sur de bonnes bases. Les deux amoureuses, ne cessent de se sourire. Fiona retire une chaussure et le place contre la jambe de Jennifer. Elle sursaute, ses yeux luisent de bonheur. Le pied monte lentement le long de son tibia, s'insère entre les genoux que Jennifer écarte. L'intrus glisse entre les cuisses, vient buter contre le sexe.
Les orteils pianotent sur la fente qui rapidement se met à suinter. Entre deux bouchées, Jennifer pousse un soupir. La jouissance approche, Jennifer serre fortement les cuisses, elle grimace et pousse un gémissement qui fait sursauter les deux hommes, qui la fusillent du regard.
Jennifer en ravalant sa salive dit :
- Ce n'est rien, je me suis mordue la langue, ça fait un mal de chien !
Progressivement, Fiona retire son pied, elle jette une œillade complice à Jennifer, en lui souriant.
Une fois les entrées terminées, Jennifer se lève, elle est immédiatemment suivit pas Fiona. Une fois la la cuisine, Fiona à l'abrit des regards, enlace Jennifer, se plaque contre ses fesses, et lui donne pleins de petits baisers sur la nuque et dans le cou. Jennifer frissonne et dit :
-Arrete, ce n'est pas le moment Fiona !
Fiona ne l'entend pas, elle lui fait sauter un bouton de la blouse, et glisse une main par l'ouverture et saisit un sein. Jennifer se cabre, les doigts habiles malaxent en douceur le lobe, puis accrochent le mamelon, plusieurs petites pressions le font se dresser rapidement le petit mat durcit.Jennifer priteste faiblement. Fiona retire sa main et la passe sous la blouse, elle la pose sur le sexe qui rejette encore la cyprine de la précédente jouissance.
Fiona coince entre ses doigts la boule de chair qui est déjà gonflée, la presse plusieurs fois avant de la branler. Jennifer gémit en se mordant le poignet pour ne pas faire trop de bruit. Fiona lui mordille l'épaule en accélérant le branlage. Soudain, une voix se fait entendre, c'est Alban qui trouvait que le service était lent, il dit :
-Thomas, viens voir, il s'en passe des chose chez toi !
Fiona cesse de branler le clito mais le garde entre ses doigts. Thomas entre à son tour dans la cuisine. Il lève les bras au ciel en vociférant :
Quoi, tu me trompes sous mon toit avec la première venue, tu n'es qu'une trainée, honte à toi salope !
En regardant son mari droit dans les yeux, Jennifer réplique :
-Toi mon cochon, tu ferai mieux de te faire tout petit, au lieu de faire tant de cinéma, figure-toi que hier soir mon salaud je t'ai vu avec la voisine, et je peux dire que vous n'enfiliez pas des perles, et maintenant tu veux me faire la morale, je crois rever là. Pour tout te dire, j'avais l'intention de te tromper avec Alban, c'est pour cela que je l'ai invité, mais je suis tombée sous le charme de Fiona, et j'ai l'intention de m'envoyer en l'air avec !
Thomas lui dit :
-Mais tu n'es pas lesbienne !
Jennifer lui répond avec ironie :
-Non mais il y a un debut à tout, aller vient fiona nous finirons de déjeuner après !
Fiona en souriant lui presse fortement le clito avant de retirer sa main. Jennifer se cabre et lui dit en toisant son mari de haut :
-Ne sois pas si pressée ma chérie, nous avons tout notre temps !
Elle lui prend la main et l'entraine au salon. Alban,n'en revient pas que la femme de son pote vouler baiser avec lui, il dit en regardant le couple s'éloigner :
-Jennifer, si tu as besoin de moi, sais que je suis à ton service, un plan cul ça me va !
Une fois au salon, Fiona fait tomber la blouse sur le sol. Les yeux d'Alban sortent presque de leurs orbites, il ne quitte pas les formes de jennifer, qui se laisse tomber sur le canapé. Fiona la regarde longuement et comme une strip-teaseuse, s'effeuille lentement. Les deux voyeurs, ne se sentent plus, ils serrent les poings. Fiona se penche sur Jennifer et lui donne quelques baisers sur son ventre plat. De la pointe de sa langue, elle lèche quelques parcelles de peau, en remontant vers la poitrine, pour titiller les mamelons.
Jennifer fond de bonheur, sa première expérience lesbienne ne semble pas lui déplaire. Ses mamelons prennent du volume, elle gémit doucement. Thomas et Alban se regardent, ils serrent les dents car il leur est interdit d'intervenir. La solution pour eux c'est de sortir de leur pantalon leur queue, et de jouer avec. Il est vrai que Alban est bien monté le bougre, il se caresse en ne quittant pas des yeux les deux amantes.
Jennifer geint de plus en plus fort, la bouche de Fiona se fait plus vorace, ses mamelons sont la cible privilégiée. Fiona, suce, tète comme un bébé qui s'allaite. Les tètons sont au maximum de leurs volumes. Chaque fois que fiona libére un mamelon, celui-ci oscille un petit moment avant de se stabiliser.
Jennifer et tendue comme un arc, la bouche de Fiona la rend folle. La bouche insatiable commence une descente sur le corps de Jennifer, en se rapprochant dangereusement de sa toison très, très humide. Elle s'attarde un court instant sur le nombril pour le taquiner. Jennifer pâme de bonheur, ses gémissements le prouvent. Lorsque les lèvres charnues se posent sur son clitoris, Jennifer se cabre comme un cheval. Fiona déguste la perle comme un bonbon. La vulve devient un petit torrent, la cyprine qu'elle libére, se répand sur le canapé, et sur le sol. Jennifer, ne peut retenir un gémissement plus fort que les autres, la langue de Fiona vient de s'enfoncer profondement dans son vagin pour en fouiller chaque recoin.
À chaque coup de langue, c'est comme une décharge éléctrique que croit recevoir Jennifer. Elle n'en peut plus, elle grince des dents, se cambre le plus possible et offre à Fiona un flot de cyprine. La butineuse l'avale avec délectation, pour elle c'est sa récompense. La jouissance de Jennifer est si forte qu'elle restera gravée dans sa mémoire.
Fiona se couche sur Jennifer, elle ondule comme un reptile, en frottant la chatte contre celle de son amante. Les vulves sont débordant de cyprine, Fiona descend en se tortillant souplement, et revient sur le fruit juteux. Elle serre entre les grandes lèvres le clito hyper gonflé et commence un branlage d'enfer. Jennifer s'agite en geignant fortement, une nouvelle jouissance la secoue à l'en faire délirer :
-Oh Fiona tu me fais mourir de plaisir, n'arrete pas, n'arrête pas c'est trop bon !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe récit, hâte d'avoir la suite
Jennifer a raison de se venger de son mari menteur et volage, j'aurais fait la même chose et pour l'avoir pratiqué j'avoue que l'amour entre filles est loin d'être désagréable
C'est génial!
@ Valeriane, @ linsee, sachez que j'adore les récits à quatre mains. Alors si le coeur vous en dit, je suis partante!
Bisous
@ Valeriane, @ linsee, sachez que j'adore les récits à quatre mains. Alors si le coeur vous en dit, je suis partante!
Bisous
Histoire toute en douceur
bien agréable à lire
On pressent que la suite se jouera à 4 ?
bien agréable à lire
On pressent que la suite se jouera à 4 ?