La motarde - 1
Récit érotique écrit par DocUS [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La motarde - 1
Agenouillée sur le lit, jambes écartées, croupe haute, seins écrasés contre le matelas, Carole recula davantage les fesses pour se faire sodomiser plus complètement par l’homme qui la besognait vigoureusement, enfonçant au plus profond son sexe tendu dans son anus dilaté.
Entre deux halètements de jouissance, elle eut une pensée amusée pour les hommes qui croyaient que la majorité des femmes rechignaient faire l’amour ainsi. C’était exactement l’inverse : la plupart des femmes adorent se faire pénétrer par derrière, pour peu que leur partenaire sache s’y prendre. Les habituées de la sodomie profonde jouissent davantage par le rectum que par le vagin et beaucoup deviennent vite des adeptes du sandwich : un sexe devant, un autre derrière, soit avec deux partenaires masculins, soit avec des sexes artificiels.
Son amant du moment était visiblement un sodomisateur expert, un maître des plaisirs de la rosette, Carole l’avait pressenti dès les préliminaires qui les avaient jetés haletants l’un contre l’autre aussitôt entrés dans la chambre d’hôtel.
*
Ils s’étaient rencontrés au bar de l’hôtel où la jeune femme faisait halte sur la route de ses vacances. Après un dîner convenable mais sans plus - comme souvent dans les chaînes de trois étoiles du bord des routes - Carole était passée au bar pour siroter un café et un digestif en lisant un roman, mais surtout pour observer le cheptel masculin présent et voir si elle pourrait y dénicher un étalon pour la nuit. Verre à la main, elle faisait semblant d’être absorbée dans sa lecture, jetant de fréquents coups d’oeil aux mâles qui passaient dans le hall ou venaient s’installer au bar.
Alors qu’elle s’était presque résolue à se contenter d’un rapide plaisir solitaire avant de s’endormir, un homme était entré au bar pour s’accouder au comptoir. Il était grand, bien découplé, brun et viril, le visage agréable, environ la trentaine. Un candidat tout à fait possible s’il n’était pas accompagné. Comme personne ne semblait le rejoindre, elle l’avait dévisagé sans complexe pendant qu’il commandait une bière pression. En levant la tête, le regard du gibier avait croisé celui de la jeune femme dans la glace. Il avait souri en surprenait l’examen dont il était l’objet, puis s’était retourné sur son tabouret et l’avait détaillée à son tour, sans cesser de sourire.
Il faut dire qu’elle en valait la peine.
Un peu moins d’un mètre soixante pour quarante-cinq kilos, elle avait tout d’un tanagra sexy, d’un sablier fait pour l’amour. Ses cheveux presque noirs, raides et coupés courts faisaient ressortir le bleu faïence des yeux en amandes qui éclairaient son visage déjà bronzé. De longues cuisses minces et galbées sortaient de son mini short noir moulant, réplique de ceux des années 70. Sa taille était mince, faisant mieux ressortir l’extraordinaire cambrure de sa croupe. Des petites fesses rondes et très rebondies, comme on n’en trouve que chez les noires du centre de l’Afrique, séparées par un profond sillon s’évasant vers le haut et vers le bas. Ses amants en étaient fous, on ne pouvait la voir de dos sans penser immédiatement à la sodomiser, ce qui ne la gênait pas le moins du monde, bien au contraire. Devant, la matière légère et élastique du mini short moulait son mont de Vénus avec une précision presque anatomique et il était impossible d’ignorer qu’elle ne portait rien sous ce vêtement réduit.
En haut, la chaleur de ce soir de juillet l’autorisait à ne porter qu’un léger caraco de soie noire, retenu par deux fines bretelles, et qui découvrait la moitié de ses seins pommés. Sa poitrine était relativement importante pour sa taille : 90C. Les seins ronds et fermes se silhouettaient nettement sous la fine étoffe du bustier dont les coutures étaient mises à rude épreuve. La soie moulait les masses tièdes, révélait leurs formes et épousait le moindre mouvement. Les mamelons toujours en érection annonçaient un tempérament incendiaire. Au repos, ils saillaient déjà très visiblement, même sous un pull épais. Si la fille était excitée, alors ils devenaient carrément obscènes, longs de plus d’un centimètre, enflés, turgescents et attirant inévitablement le regard de tous les mâles qu’elle croisait. Sous l’examen du beau gosse du bar, elle les sentit se tendre légèrement sous la soie, ce que le garçon ne manqua pas de remarquer, accusant réception d’un petit élargissement de son sourire entendu.
Carole décroisa et recroisa les cuisses, exhibant ses jambes fines chaussées de spartiates dont les lanières entrelacées mettaient en valeur le galbe de ses mollets délicats.
L’homme ramassa au jugé le demi de bière que le serveur venait de poser à coté de lui et porta un toast silencieux en direction de la créature de rêve qui continuait à le détailler. Elle lui rendit son geste et sécha son marc de Bourgogne d’un coup sec, sans le lâcher des yeux. L’invitation était évidente. Il se leva, verre en main, s’approcha de la femme assise dans un canapé bas et lui offrit de remplacer son verre désespérément sec par un autre, plein celui-là. Elle accepta et l’invita à s’asseoir sur le canapé d’en face.
Un verre après l’autre, ils se présentèrent. Il s’appelait Hervé, était ingénieur informatique et travaillait pendant l’été. Elle était conseil en relations publiques free-lance, elle descendait sur la Côte passer une semaine de vacance chez des amis. Puis se racontèrent des choses sans importance sur leurs vies respectives. Le hasard les avait réunis dans cet hôtel anonyme au nord de Lyon. Peu importait, l’essentiel se passait de mots, leurs regards se disaient leur fringale sexuelle l’un de l’autre.
Après un moment, ils n’y tinrent plus et se levèrent ensemble, les mamelons de Carole lui faisaient mal et menaçaient de crever la soie de son bustier tendu. Elle sentit son clitoris turgescent se frayer un chemin entre les lèvres de son sexe et pointer fièrement entre elles. Le Docker d’Hervé était largement déformé par une érection impressionnante. Il plaça devant lui le pull léger qu’il tenait à la main, pour dissimuler le gros sexe qui se découpait de façon indécente sous le tissu beige. De l’inconvénient (ou de l’avantage) de préférer les caleçons aux slips : la bandaison vous donne immédiatement des airs de satyre.
Après un bref conciliabule, ils se dirigèrent vers la chambre de la jeune femme.
*
Aussitôt entrés, le désir les plaqua l’un à l’autre. Bouches soudées, langues entrelacées, le souffle court, ils se palpaient par dessus leurs vêtements. Il l’appuya contre un mur pour libérer le bras qui la maintenait contre lui. Sa main gauche caressait alternativement les seins dardés, incroyablement fermes pour leur masse. La paume englobait tour à tour les dômes galbés sans autre protection qu’une fine couche de soie glissante, le pouce et l’index faisaient rouler les tétons en érection, augmentant encore leur volume et leur tension, arrachant des gémissements à la femelle en chaleur qui se tordait sous les mains expertes.
La main droite descendit sur une cuisse à la peau douce et remonta sans plus perdre de temps pour empaumer le sexe charnu à travers le short. Le mont de Vénus était rebondi et chaud sous ses doigts. Elle écartait les cuisses pour lui faciliter la tâche. Il ne chercha pas la fente du sexe sous l’étoffe, mais au contraire laissa sa main à plat pour mieux frictionner l’ensemble de la vulve de haut en bas et de bas en haut. Les grandes lèvres, écrasées l’une contre l’autre, massaient puissamment le clitoris qui bandait désespérément, saillant hors de la fente humide.
Carole mouillait abondamment. Folle de désir contenu, elle projetait spasmodiquement son bassin vers l’avant pour mieux profiter de la caresse musclée de la main de celui à qui elle brûlait d’appartenir. Elle ne restait pas pour autant inactive. Ses petites mains s’activaient sur le mâle qui la pelotait, elle déboutonna fiévreusement la chemise de toile pour promener ses ongles acérés sur son torse velu.
Descendant d’un geste vif, une de ses mains vint envelopper le volume sans cesse grossissant de la virilité de l’homme. Sa vue ne l’avait pas trompée, sans être monté comme un âne, il avait un sexe de taille respectable. Elle en détailla les contours d’une main avide, le caressant à travers son pantalon, descendant soupeser les bourses impatientes, puis revenant masturber la tige frémissante. Tantôt elle la frictionnait de toute la longueur de sa main, tantôt elle remontait décalotter le gland, le branlait un peu, le recalottait et reprenait ses frictions.
Tous deux sentirent qu’il était urgent de passer aux choses sérieuses s’ils ne voulaient pas jouir bêtement debout et tout habillés. Ils se séparèrent comme on s’arrache et enlevèrent frénétiquement leurs vêtements.
*
Dès qu’ils furent nus, d’un seul mouvement il ouvrit largement le grand lit et y coucha la femme consentante. Leur fièvre, qui avait un peu baissé pendant leur déshabillage express, les reprit aussitôt. Ils se frottaient furieusement l’un contre l’autre pour que leurs peaux se reconnaissent. Après s’être un peu masturbés réciproquement, comme pour vérifier leur désir, le garçon la coucha bien à plat sur le dos et recula d’un saut de carpe pour venir placer sa bouche entre les cuisses largement écartées.
Carole était demi-épilée, le canyon de son sexe était lisse et dégagé, seul un petit toupet triangulaire au-dessus de sa fente rappelait sa toison originelle. Hervé colla sa bouche gourmande aux lèvres bien serrées qui ne laissaient échapper que l’extrémité du petit dard clitoridien, pointant rageusement dans sa fureur de jouir. Il commença par embrasser cette bouche inférieure comme on embrasse l’autre, les quatre lèvres étroitement soudées et sa langue s’agitant dans la cavité féminine. Il goûtait ainsi les nymphes et l’entrée du vagin, dans lequel il faisait parfois une incursion plus poussée.
Puis, il changea de position pour venir emprisonner le clitoris entre ses lèvres, il l’aspira pour l’étirer et n’en conserver en bouche que le gland. Il fit alors rouler la boule minuscule sous le bout de sa langue durcie. Les halètements de Carole se muèrent en cris dont le rythme suivait celui de la caresse buccale. Par des va-et-vient frénétiques, il fit monter la pression et elle jouit dans un hurlement d’agonie. Adoucissant la tension de ses muscles labiaux, il accompagna la fin de son orgasme d’un léchage plus tendre.
Quand la respiration de la fille fut devenue plus régulière, il redonna plus d’énergie à ses succions, la faisant remonter vers le plaisir. Il la fit pivoter sur le flanc et se plaça tête-bêche pour lui offrir sa verge, tendue à se rompre. Elle comprit immédiatement et saisit à deux mains le sexe érigé. Elle le masturba doucement, lentement et profondément faisant apparaître et disparaître tour à tour le gland congestionné de son amant en rut. Le mouvement ample de ses mains fit encore grandir le mandrin déjà énorme. Enfin, de l’anneau formé par son pouce et son index, elle décalotta complètement le membre imposant, la peau du prépuce vint étrangler le pourtour de la collerette épanouie. Après avoir contemplé un bref instant le résultat de son application experte, elle le prit en bouche et s’enfonça le membre chaud jusqu’à la glotte.
Sa bouche était distendue par les dimensions du champignon qu’elle réchauffait de son souffle et elle commença à pomper religieusement. La fellation était pour elle un acte de foi rendant hommage à l’instrument qui pouvait la faire tant jouir, quel qu’en soit le possesseur. Quand elle suçait, le monde n’existait plus, ou plutôt se limitait à ce bâton frémissant dans sa bouche et aux sacs doux et velus qu’elle caressait en même temps. L’homme dont elle pompait le dard disparaissait même pour n’être plus qu’une trique dont elle allait faire jaillir le sperme dans une apothéose de jouissance. Sa dévotion buccale était si grande qu’elle pouvait jouir elle-même, sans se toucher, rien qu’en suçant. Une fois en bouche, la tige n’en ressortait qu’après avoir éjaculé. Sachant que priver le sexe de son partenaire de la chaleur qui l’entourait ne pouvait être que frustrant, elle n’interrompait jamais une fellation pour se livrer à des agaceries qui n’y apportaient rien. Bouche de velours, on ne sentait pas ses dents, mais la caresse de ses lèvres pulpeuses et le jeu adroit de sa langue laissaient à chacun des hommes dont elle s’occupait un souvenir sans égal.
Dans d’autres circonstances, et dans une autre position, elle pouvait aussi jouer les “Gorge Profonde”, engloutissant la totalité du sexe masculin dans sa bouche, jusqu’à l’arrière-gorge, ses lèvres touchant les poils du ventre de l’amant sucé. Mais c’était un autre genre d’exercice, qui se prêtait mal à l’urgence des premières jouissances du début de nuit.
Pour l’instant, elle soupesait d’une main les gros testicules qui roulaient lentement sous ses doigts. De l’autre, elle masturbait la partie de la queue qui dépassait de sa bouche. Le gland turgescent et la moitié supérieure de la verge disparaissaient dans sa bouche active. Parfois, d’une pression plus appuyée de ses lèvres, elle recalottait l’homme gémissant pour aussitôt repousser le prépuce vers le bas d’une langue habile et retrouver le contact soyeux du dôme épanoui.
Bientôt, elle sentit monter la jouissance de son partenaire, dont les râles étouffés par sa vulve devenaient plus pressés. De son côté, il activa le rythme de son cunnilingus alors qu’elle le pompait plus rapidement et plus profondément. Carole, sur le point de jouir elle-même, sentit le gland pulser dans sa bouche, la queue se contracter et se dilater spasmodiquement entre ses joues, tandis que le mâle éjaculait à long traits un sperme brûlant et épais qu’elle aspira avidement. A peine les dernières gouttes laiteuses avalées, le bâillon qu’elle ne voulait pas déjà régurgiter étouffa les cris de l’orgasme fulgurant qui lui tordit les entrailles.
Provisoirement rassasiés par cette première jouissance qui allait leur permettre de prendre tout leur temps pour la suite, ils restèrent un moment dans leurs positions respectives avant de se lover dans les bras l’un de l’autre.
*
Sa joue tendrement appuyée sur les pectoraux puissant de l’homme qui venait de partager son orgasme, Carole jouait doucement avec les poils de son amant. Inconsciemment, sa main se perdit sur les abdominaux détendus qu’elle caressa langoureusement, sans vraie arrière pensée érotique. Soudain, elle sentit un contact sur sa main, doux et humide et qui développait rapidement sa pression. Il bandait à nouveau.
Elle s’aventura à effleurer le sexe tendu pour vérifier sa raideur. Pas de doute, il récupérait vite, la verge était redevenue presque aussi dure qu’avant sa première éjaculation. Très doucement, elle l’entoura de ses doigts fuselés et commença un branle imperceptible, pas plus de quelques millimètres, juste pour le faire bander davantage. La muqueuse huilée du gland subissait les doux allers-retours du prépuce sous l’effet de la masturbation de la main féminine. Parfois, de l’index, elle allait frotter délicatement le dôme congestionné qu’elle avait découvert et elle sentait alors la puissante barre de chair pulser dans sa main distendue. Son massage sexuel obtenait l’effet recherché.
Pour ne pas être égoïste, Hervé entama à son tour de lentes caresses. Il s’intéressa d’abord aux seins lourds qui commençaient à sortir de leur torpeur momentanée. Passant le plat de sa main sur leur galbe il vint les soutenir par en dessous avant de remonter cueillir le mamelon qui l’attendait impatiemment, à en juger par son développement. Il y posa alors sa bouche et suça tour à tour les pointes érigées qui se développaient sous ses lèvres et sous sa langue. Passant de l’un à l’autre, il eût tôt fait de les faire darder comme deux petits pénis, incongrus sur ces douces mamelles.
Jugeant sa partenaire à point, il fit lentement descendre une large main en direction de la cible qu’il devinait brûlante entre les cuisses qui s’écartaient irrésistiblement sous la montée du plaisir. Il ne s’était pas trompé, ses doigts découvrirent une inondation qui ne devait rien aux orgasmes passés. Carole mouillait comme une source, mais pas au point de ne pas penser à ralentir son mouvement sur la tige ardente de son partenaire. Pas question qu’il arrose le persil, qu’il jouisse vainement dans sa main engluée. Elle le voulait en elle, cette fois. Le plus loin et le plus longtemps possible.
Hervé commença à lui masser le sexe. Du majeur, il écarta les grandes lèvres qui s’étaient resserrées, approchant le plus doucement possible du clitoris qui avait déjà repoussé son capuchon pour réclamer son dû. Il l’effleura à peine, faisant aller et venir son doigt en un contact presque imperceptible. Il sentit à la crispation de la main sur sa mentule que la fille était folle d’impatience. Il appuya lentement sur le bouton gorgé de sang jusqu’à le coincer contre le plan dur de l’os pubien. Il entama alors une rotation d’abord lente, puis plus rapide, changeant parfois de sens, au gré des réactions de sa partenaire.
Sous le charme de cette masturbation intense, la jeune femme agitait son bassin en un mouvement giratoire qui complétait celui du doigt magique qui la faisait jouir. Tantôt s’enfonçant dans le matelas, tantôt venant à la rencontre de la main dispensatrice de plaisir, parfois partant à gauche, parfois revenant à droite, elle se branlait sur son branleur. Sentant le moment venu, son amant accéléra sa caresse et elle cria un orgasme étoilé, sans pour autant cesser les va et vient de sa main sur la verge.
Il n’abandonna pas non plus le sexe trempé qu’il se mit à lisser à grands gestes, comme pour l’apaiser. Très vite, son médius repartit à l’attaque, et c’est là qu’elle comprit qu’il maîtrisait tous les aspects de la sexualité, y compris et surtout celui de la sodomie. Elle allait se faire prendre par derrière et elle adorait ça.
L’homme commença par frotter l’entrée du vagin, glissant sur tout le pourtour de l’orifice pour en repérer les points sensibles superficiels. Petit à petit, il entreprit de brèves pénétrations digitales, immédiatement interrompues, puis recommencées. Introduisant la totalité de son majeur d’un geste coulé dans le sexe avide, il massa la paroi antérieure si sensible, trouva le point G et le masturba vigoureusement. Carole repartait vers le septième ciel à toute allure, lorsqu’elle sentit que l’homme remplaçait son majeur par son pouce, pour pouvoir masturber la paroi postérieure de son vagin. C’est alors qu’elle sût.
De son pouce légèrement fléchi, les autres doigts étendus à frotter la raie chaude qui séparait les fesses féminines, Hervé massait puissamment l’arrière de la cavité vaginale. Il en vint bientôt, sans en avoir l’air, à malaxer le rectum de la femme, dont seule une fine membrane le séparait. Prenant appui sur ses autres doigts, il enchâssait progressivement le boyau culier dans une tendre pince et le pressait doucement. De temps à autre, il fléchissait davantage son gros pouce pour élargir directement l’anus depuis l’intérieur du vagin et en éprouver la souplesse. Repliant son index, il l’introduisait ensuite dans la rosette joignait ses doigts pour palper la fine paroi séparant les deux orifices. La jeune femme, ravie, râlait de plaisir et ruait violemment pour accentuer la pénétration de ses deux puits d’amour.
Devant ses supplications de la prendre, il arrêta ses jeux de doigts et dégagea son membre raide de l’emprise la main féminine. Il se coucha sur elle et pénétra son sexe d’une seule poussée, jusqu’à ce que leurs bassins s’entrechoquent. Elle poussa un long gémissement sous la pénétration si longtemps attendue.
Il s’immobilisa un court instant pour profiter de l’étreinte des muqueuses intimes sur sa verge emprisonnée. Comme à chaque fois, c’était le meilleur moment, surtout la première fois avec une femme inconnue. Il décida alors de la surprendre. Se retirant presque complètement, il ne laissa que le bout de son gland entre les chaudes parois humides et l’embrocha à nouveau d’un coup sec et brutal, bien à fond, jusqu’à buter contre le col de sa matrice. Sous l’effet de la surprise et du plaisir d’être défoncée par un tel engin vibrant d’excitation, Carole poussa un hurlement qui dut s’entendre dans tout l’étage. Son amant commença alors ses puissants va et vient, la baisant profondément, de toute sa longueur, frottant la collerette de son gros gland contre les fragiles remparts de sa grotte trempée, qu’elle serrait comme un étau pour mieux le sentir. Le prépuce comprimé s’était entièrement retiré et le plaisir n’en était que plus fort pour le mâle sabreur. Variant le rythme et alternant la profondeur de ses pénétrations, il la fit jouir une première fois sans se donner la peine de ralentir ses coups de bélier. Elle repartit aussitôt dans une montée chromatique vers l’orgasme, accompagnée de râles puissants au gré des irruptions du mandrin qui la défonçait. Elle jouit encore sans qu’il la laisse souffler davantage. Au contraire, il augmenta l’amplitude de ses coups de reins pour maintenir la pression sexuelle dans le sexe de cette femelle en chaleur.
Voyant qu’elle réagissait bien, il passa à l’étape suivante. D’un seul mouvement, il la retourna à quatre pattes sur le lit et réinvestit aussitôt son vagin en levrette. Un bref instant déçu par son retrait éclair, Carole rugit sous le violent retour du membre, tandis que ses fesses claquaient contre le ventre de son partenaire. Elle mordait l’oreiller à pleines dents pour ne pas hurler sa jouissance. Tout à coup, il ralentit son mouvement perforateur pour regarder son épieu entrer et sortir du conduit ardent qu’il investissait avec une régularité de métronome. Il pénétrait la jeune femme bien à fond, puis se retirait jusqu’à entrevoir le pourtour de son gland en feu. La fine muqueuse entourant l’orifice qu’il défonçait puissamment accompagnait ses mouvements, faisant un petit manchon clair qui s’étirait autour de la verge qui sortait et disparaissait à nouveau dans le vagin en folie lorsqu’il s’enfonçait derechef. C’est comme cela qu’il la fit jouir une troisième fois.
Comme elle continuait ses mouvements de bassin pour lui signifier de continuer, il comprit qu’elle lui donnait le feu vert. Poursuivant son mouvement de piston, il se lécha brièvement le majeur droit pour l’humecter, l’appuya un court instant sur l’anus froncé et l’y fit pénétrer bien à fond. La salive était inutile, la fille mouillait du cul autant que d’ailleurs. Son doigt éprouva un instant l’intérieur du sphincter et se retira pour laisser la place.
Sentant venu l’instant de la pénétration ultime, celle qu’elle préférait, la femme s’immobilisa, enfouissant sa tête dans l’oreiller pour mieux faire saillir sa croupe, pour mieux écarter ses fesses rondes, pour mieux exposer le petit trou secret qu’elles abritaient et que le dard sodomisateur allait défoncer. Elle recula pour mieux se faire enculer. Elle lui tendit sa rosette frémissante d’impatience, regrettant presque qu’il l’ait explorée d’un doigt précurseur, tant elle aurait voulu sentir directement sa queue épaisse dilater sans préambule son sphincter, avant de lui perforer le rectum et de venir s’enfouir dans ses profondeurs intestinales. Prosternée dans une attitude de chienne soumise elle tremblait d’anticipation, attendant le membre brûlant qui se préparait à la combler complètement.
Le mâle se retira en douceur, pour pointer aussitôt sa colonne de chair excitée à l’entrée du cul avide. Son gland violacé couvrit complètement le petit trou fripé qui semblait bien trop serré pour laisser passer une masse aussi imposante. Sans s’émouvoir, il vérifia qu’il était bien dans l’axe et poussa un peu. Le délicat orifice frémit légèrement en réponse. Il savoura le contact un instant, puis pénétra puissamment le derrière féminin exposé. Au début, rien ne se passa, tant la femme était étroite. Le manche fléchit un peu sous la pression de plus en plus forte, puis l’anus commença à éclore autour du bélier qui l’enfonçait. Petit à petit, le sphincter cédait sous l’attaque, la rosette s’ouvrait autour du membre qui poussait davantage, le muscle se distendait pour laisser passer la verge massive.
L’homme regardait son sexe se frayer un chemin dans les entrailles qu’il convoitait. L’anus était maintenant étiré au maximum autour de ce calibre peu commun. L’anneau de peau blême du petit trou glissait lentement sur la peau carmin du gland en pleine érection. Soudain, sous une poussée plus forte, la verge pénétra d’un coup et Hervé se trouva avec la queue délicieusement enserrée par le sphincter anal qui lui pressait le dard juste en dessous du rebord du gland. La sensation fut si forte qu’il faillit éjaculer immédiatement. Il se retint de justesse, ç’aurait été dommage d’en finir si vite. Il marqua un temps pour savourer l’étreinte nerveuse qu’exerçait l’étroit conduit sur la tête de son sexe.
Maintenant bien emmanchée, Carole prit son temps pour apprécier la sensation d’écartèlement que lui procurait la première phase de cette sodomie qu’elle devinait devoir être longue et complète. Elle remua imperceptiblement sa croupe autour du pivot qui l’enfilait pour faire comprendre qu’elle était prête pour la suite. Elle sentit la pression s’accroître alors que le membre reprenait sa progression. Ayant passé le sphincter externe, celui de l’anus, la tige s’enfonçait en force dans son rectum, avançant par petites secousses en direction de l’autre muscle circulaire, le sphincter interne qui représentait une autre barrière délicieuse à franchir.
C’était le meilleur de la sodomie, cette pénétration par à-coups, ces obstacles successifs qui cédaient les uns après les autres devant l’impérieuse poussée de la verge roide, déclenchant à chaque fois un aveuglant éclair de jouissance. Lorsque le gland prenait appui sur la résistance à vaincre, commençait la délicieuse expectative, passera ? Passera-pas ? Puis les muscles cédaient et c’était le flash, la ruée soudaine du bélier vers l’avant, vers la porte suivante de ce château fort sans limite, dont la profondeur de la conquête n’était limitée que par la puissance de l’arme de l’assaillant.
Pour expliquer cet effet de bonds successifs du membre dans ses entrailles, Carole savait bien qu’on ne mouillait pas de la même façon derrière et devant, que la surface des muqueuses était d’un grain différent. Ce qui provoquait ces retenues progressives et ces percées soudaines, génératrices de mini orgasmes à répétition. Décidemment c’était bien ça qu’elle préférait : se faire défoncer l’anneau par une barre chaude et musclée.
Derrière elle, l’homme maintenait sa pression, luttant contre la montée du sperme, qu’il sentait proche. Il appréciait la sensation exquise de son sexe s’immisçant peu à peu entre les muqueuses brûlantes de la femme consentante. Tandis qu’il investissait le cul étroit de sa maîtresse, il s’étonnait qu’une fille d’apparence aussi frêle puisse l’accueillir sans encombre par ce petit trou serré. En même temps, il devinait qu’elle était une habituée des plaisirs postérieurs et s’émerveillait qu’elle soit restée si étroite, on aurait juré que c’était la première fois qu’elle se faisait ramoner par derrière.
Il jouissait des brèves ruées en avant de son mandrin et des sensations transmises par le frottement. Enfin, il sentit que son gland butait contre le sphincter du fond du rectum. La vicieuse était bien empalée. Il tâtonna du gland pour s’assurer qu’il était toujours bien dans l’axe et, sans s’arrêter, poursuivit sa pénétration. D’un violent coup de reins, il défonça le muscle qui résistait et passa dans le boyau culier proprement dit, encore plus chaud que le conduit précédent. Un regain de jouissance éclata derrière ses paupières, alors que la sodomisée éclatait d’un long râle qu’elle ne pouvait plus arrêter.
C’était trop fort, il allait la faire mourir, exploser de plaisir autour de cet épieu qui la défonçait au plus profond. Il avait franchi toutes ses barrières et continuait à s’enfoncer, repoussant les valvules de son intestin en feu, déclenchant à chaque fois un nouvel orgasme. Elle hurlait maintenant sans discontinuer, extériorisant ses sensations inouïes à pleins poumons, des poumons qu’elle finissait par croire qu’il allait transpercer en s’engageant si loin dans ses entrailles. Il commença alors ses va et vient, sur quelques centimètres seulement, pour bien profiter de la chaleur autour de son vit et du serrage musclé de ce cul accueillant. La femme émettait un feulement continu rythmé par les coups de bélier qui lui astiquaient le conduit. Quand le foutre jaillit de ses couilles contractées, il donna une dernière poussée et gicla en elle.
Carole se sentit partir et le cri s’étrangla dans sa gorge, tandis qu’elle perdait presque connaissance sous l’effet du lavement de sperme brûlant. Son pourfendeur, enfoncé dans ses fesses de toute sa longueur, éjaculait par jets saccadés dans son fondement, augmentant encore sa jouissance.
Épuisés, ils s’abattirent l’un sur l’autre, sans se séparer. Elle toujours consciente de cette présence dans son cul, de son rectum dilaté qui palpitait encore de la ramonée qu’elle venait de prendre dans l’anus. Lui douillettement enserré par ce chaud boyau qu’elle contractait spasmodiquement pour le branler encore un peu, traire ses dernières gouttes de sperme et remercier son enculeur génial.
Entre deux halètements de jouissance, elle eut une pensée amusée pour les hommes qui croyaient que la majorité des femmes rechignaient faire l’amour ainsi. C’était exactement l’inverse : la plupart des femmes adorent se faire pénétrer par derrière, pour peu que leur partenaire sache s’y prendre. Les habituées de la sodomie profonde jouissent davantage par le rectum que par le vagin et beaucoup deviennent vite des adeptes du sandwich : un sexe devant, un autre derrière, soit avec deux partenaires masculins, soit avec des sexes artificiels.
Son amant du moment était visiblement un sodomisateur expert, un maître des plaisirs de la rosette, Carole l’avait pressenti dès les préliminaires qui les avaient jetés haletants l’un contre l’autre aussitôt entrés dans la chambre d’hôtel.
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Ils s’étaient rencontrés au bar de l’hôtel où la jeune femme faisait halte sur la route de ses vacances. Après un dîner convenable mais sans plus - comme souvent dans les chaînes de trois étoiles du bord des routes - Carole était passée au bar pour siroter un café et un digestif en lisant un roman, mais surtout pour observer le cheptel masculin présent et voir si elle pourrait y dénicher un étalon pour la nuit. Verre à la main, elle faisait semblant d’être absorbée dans sa lecture, jetant de fréquents coups d’oeil aux mâles qui passaient dans le hall ou venaient s’installer au bar.
Alors qu’elle s’était presque résolue à se contenter d’un rapide plaisir solitaire avant de s’endormir, un homme était entré au bar pour s’accouder au comptoir. Il était grand, bien découplé, brun et viril, le visage agréable, environ la trentaine. Un candidat tout à fait possible s’il n’était pas accompagné. Comme personne ne semblait le rejoindre, elle l’avait dévisagé sans complexe pendant qu’il commandait une bière pression. En levant la tête, le regard du gibier avait croisé celui de la jeune femme dans la glace. Il avait souri en surprenait l’examen dont il était l’objet, puis s’était retourné sur son tabouret et l’avait détaillée à son tour, sans cesser de sourire.
Il faut dire qu’elle en valait la peine.
Un peu moins d’un mètre soixante pour quarante-cinq kilos, elle avait tout d’un tanagra sexy, d’un sablier fait pour l’amour. Ses cheveux presque noirs, raides et coupés courts faisaient ressortir le bleu faïence des yeux en amandes qui éclairaient son visage déjà bronzé. De longues cuisses minces et galbées sortaient de son mini short noir moulant, réplique de ceux des années 70. Sa taille était mince, faisant mieux ressortir l’extraordinaire cambrure de sa croupe. Des petites fesses rondes et très rebondies, comme on n’en trouve que chez les noires du centre de l’Afrique, séparées par un profond sillon s’évasant vers le haut et vers le bas. Ses amants en étaient fous, on ne pouvait la voir de dos sans penser immédiatement à la sodomiser, ce qui ne la gênait pas le moins du monde, bien au contraire. Devant, la matière légère et élastique du mini short moulait son mont de Vénus avec une précision presque anatomique et il était impossible d’ignorer qu’elle ne portait rien sous ce vêtement réduit.
En haut, la chaleur de ce soir de juillet l’autorisait à ne porter qu’un léger caraco de soie noire, retenu par deux fines bretelles, et qui découvrait la moitié de ses seins pommés. Sa poitrine était relativement importante pour sa taille : 90C. Les seins ronds et fermes se silhouettaient nettement sous la fine étoffe du bustier dont les coutures étaient mises à rude épreuve. La soie moulait les masses tièdes, révélait leurs formes et épousait le moindre mouvement. Les mamelons toujours en érection annonçaient un tempérament incendiaire. Au repos, ils saillaient déjà très visiblement, même sous un pull épais. Si la fille était excitée, alors ils devenaient carrément obscènes, longs de plus d’un centimètre, enflés, turgescents et attirant inévitablement le regard de tous les mâles qu’elle croisait. Sous l’examen du beau gosse du bar, elle les sentit se tendre légèrement sous la soie, ce que le garçon ne manqua pas de remarquer, accusant réception d’un petit élargissement de son sourire entendu.
Carole décroisa et recroisa les cuisses, exhibant ses jambes fines chaussées de spartiates dont les lanières entrelacées mettaient en valeur le galbe de ses mollets délicats.
L’homme ramassa au jugé le demi de bière que le serveur venait de poser à coté de lui et porta un toast silencieux en direction de la créature de rêve qui continuait à le détailler. Elle lui rendit son geste et sécha son marc de Bourgogne d’un coup sec, sans le lâcher des yeux. L’invitation était évidente. Il se leva, verre en main, s’approcha de la femme assise dans un canapé bas et lui offrit de remplacer son verre désespérément sec par un autre, plein celui-là. Elle accepta et l’invita à s’asseoir sur le canapé d’en face.
Un verre après l’autre, ils se présentèrent. Il s’appelait Hervé, était ingénieur informatique et travaillait pendant l’été. Elle était conseil en relations publiques free-lance, elle descendait sur la Côte passer une semaine de vacance chez des amis. Puis se racontèrent des choses sans importance sur leurs vies respectives. Le hasard les avait réunis dans cet hôtel anonyme au nord de Lyon. Peu importait, l’essentiel se passait de mots, leurs regards se disaient leur fringale sexuelle l’un de l’autre.
Après un moment, ils n’y tinrent plus et se levèrent ensemble, les mamelons de Carole lui faisaient mal et menaçaient de crever la soie de son bustier tendu. Elle sentit son clitoris turgescent se frayer un chemin entre les lèvres de son sexe et pointer fièrement entre elles. Le Docker d’Hervé était largement déformé par une érection impressionnante. Il plaça devant lui le pull léger qu’il tenait à la main, pour dissimuler le gros sexe qui se découpait de façon indécente sous le tissu beige. De l’inconvénient (ou de l’avantage) de préférer les caleçons aux slips : la bandaison vous donne immédiatement des airs de satyre.
Après un bref conciliabule, ils se dirigèrent vers la chambre de la jeune femme.
*
Aussitôt entrés, le désir les plaqua l’un à l’autre. Bouches soudées, langues entrelacées, le souffle court, ils se palpaient par dessus leurs vêtements. Il l’appuya contre un mur pour libérer le bras qui la maintenait contre lui. Sa main gauche caressait alternativement les seins dardés, incroyablement fermes pour leur masse. La paume englobait tour à tour les dômes galbés sans autre protection qu’une fine couche de soie glissante, le pouce et l’index faisaient rouler les tétons en érection, augmentant encore leur volume et leur tension, arrachant des gémissements à la femelle en chaleur qui se tordait sous les mains expertes.
La main droite descendit sur une cuisse à la peau douce et remonta sans plus perdre de temps pour empaumer le sexe charnu à travers le short. Le mont de Vénus était rebondi et chaud sous ses doigts. Elle écartait les cuisses pour lui faciliter la tâche. Il ne chercha pas la fente du sexe sous l’étoffe, mais au contraire laissa sa main à plat pour mieux frictionner l’ensemble de la vulve de haut en bas et de bas en haut. Les grandes lèvres, écrasées l’une contre l’autre, massaient puissamment le clitoris qui bandait désespérément, saillant hors de la fente humide.
Carole mouillait abondamment. Folle de désir contenu, elle projetait spasmodiquement son bassin vers l’avant pour mieux profiter de la caresse musclée de la main de celui à qui elle brûlait d’appartenir. Elle ne restait pas pour autant inactive. Ses petites mains s’activaient sur le mâle qui la pelotait, elle déboutonna fiévreusement la chemise de toile pour promener ses ongles acérés sur son torse velu.
Descendant d’un geste vif, une de ses mains vint envelopper le volume sans cesse grossissant de la virilité de l’homme. Sa vue ne l’avait pas trompée, sans être monté comme un âne, il avait un sexe de taille respectable. Elle en détailla les contours d’une main avide, le caressant à travers son pantalon, descendant soupeser les bourses impatientes, puis revenant masturber la tige frémissante. Tantôt elle la frictionnait de toute la longueur de sa main, tantôt elle remontait décalotter le gland, le branlait un peu, le recalottait et reprenait ses frictions.
Tous deux sentirent qu’il était urgent de passer aux choses sérieuses s’ils ne voulaient pas jouir bêtement debout et tout habillés. Ils se séparèrent comme on s’arrache et enlevèrent frénétiquement leurs vêtements.
*
Dès qu’ils furent nus, d’un seul mouvement il ouvrit largement le grand lit et y coucha la femme consentante. Leur fièvre, qui avait un peu baissé pendant leur déshabillage express, les reprit aussitôt. Ils se frottaient furieusement l’un contre l’autre pour que leurs peaux se reconnaissent. Après s’être un peu masturbés réciproquement, comme pour vérifier leur désir, le garçon la coucha bien à plat sur le dos et recula d’un saut de carpe pour venir placer sa bouche entre les cuisses largement écartées.
Carole était demi-épilée, le canyon de son sexe était lisse et dégagé, seul un petit toupet triangulaire au-dessus de sa fente rappelait sa toison originelle. Hervé colla sa bouche gourmande aux lèvres bien serrées qui ne laissaient échapper que l’extrémité du petit dard clitoridien, pointant rageusement dans sa fureur de jouir. Il commença par embrasser cette bouche inférieure comme on embrasse l’autre, les quatre lèvres étroitement soudées et sa langue s’agitant dans la cavité féminine. Il goûtait ainsi les nymphes et l’entrée du vagin, dans lequel il faisait parfois une incursion plus poussée.
Puis, il changea de position pour venir emprisonner le clitoris entre ses lèvres, il l’aspira pour l’étirer et n’en conserver en bouche que le gland. Il fit alors rouler la boule minuscule sous le bout de sa langue durcie. Les halètements de Carole se muèrent en cris dont le rythme suivait celui de la caresse buccale. Par des va-et-vient frénétiques, il fit monter la pression et elle jouit dans un hurlement d’agonie. Adoucissant la tension de ses muscles labiaux, il accompagna la fin de son orgasme d’un léchage plus tendre.
Quand la respiration de la fille fut devenue plus régulière, il redonna plus d’énergie à ses succions, la faisant remonter vers le plaisir. Il la fit pivoter sur le flanc et se plaça tête-bêche pour lui offrir sa verge, tendue à se rompre. Elle comprit immédiatement et saisit à deux mains le sexe érigé. Elle le masturba doucement, lentement et profondément faisant apparaître et disparaître tour à tour le gland congestionné de son amant en rut. Le mouvement ample de ses mains fit encore grandir le mandrin déjà énorme. Enfin, de l’anneau formé par son pouce et son index, elle décalotta complètement le membre imposant, la peau du prépuce vint étrangler le pourtour de la collerette épanouie. Après avoir contemplé un bref instant le résultat de son application experte, elle le prit en bouche et s’enfonça le membre chaud jusqu’à la glotte.
Sa bouche était distendue par les dimensions du champignon qu’elle réchauffait de son souffle et elle commença à pomper religieusement. La fellation était pour elle un acte de foi rendant hommage à l’instrument qui pouvait la faire tant jouir, quel qu’en soit le possesseur. Quand elle suçait, le monde n’existait plus, ou plutôt se limitait à ce bâton frémissant dans sa bouche et aux sacs doux et velus qu’elle caressait en même temps. L’homme dont elle pompait le dard disparaissait même pour n’être plus qu’une trique dont elle allait faire jaillir le sperme dans une apothéose de jouissance. Sa dévotion buccale était si grande qu’elle pouvait jouir elle-même, sans se toucher, rien qu’en suçant. Une fois en bouche, la tige n’en ressortait qu’après avoir éjaculé. Sachant que priver le sexe de son partenaire de la chaleur qui l’entourait ne pouvait être que frustrant, elle n’interrompait jamais une fellation pour se livrer à des agaceries qui n’y apportaient rien. Bouche de velours, on ne sentait pas ses dents, mais la caresse de ses lèvres pulpeuses et le jeu adroit de sa langue laissaient à chacun des hommes dont elle s’occupait un souvenir sans égal.
Dans d’autres circonstances, et dans une autre position, elle pouvait aussi jouer les “Gorge Profonde”, engloutissant la totalité du sexe masculin dans sa bouche, jusqu’à l’arrière-gorge, ses lèvres touchant les poils du ventre de l’amant sucé. Mais c’était un autre genre d’exercice, qui se prêtait mal à l’urgence des premières jouissances du début de nuit.
Pour l’instant, elle soupesait d’une main les gros testicules qui roulaient lentement sous ses doigts. De l’autre, elle masturbait la partie de la queue qui dépassait de sa bouche. Le gland turgescent et la moitié supérieure de la verge disparaissaient dans sa bouche active. Parfois, d’une pression plus appuyée de ses lèvres, elle recalottait l’homme gémissant pour aussitôt repousser le prépuce vers le bas d’une langue habile et retrouver le contact soyeux du dôme épanoui.
Bientôt, elle sentit monter la jouissance de son partenaire, dont les râles étouffés par sa vulve devenaient plus pressés. De son côté, il activa le rythme de son cunnilingus alors qu’elle le pompait plus rapidement et plus profondément. Carole, sur le point de jouir elle-même, sentit le gland pulser dans sa bouche, la queue se contracter et se dilater spasmodiquement entre ses joues, tandis que le mâle éjaculait à long traits un sperme brûlant et épais qu’elle aspira avidement. A peine les dernières gouttes laiteuses avalées, le bâillon qu’elle ne voulait pas déjà régurgiter étouffa les cris de l’orgasme fulgurant qui lui tordit les entrailles.
Provisoirement rassasiés par cette première jouissance qui allait leur permettre de prendre tout leur temps pour la suite, ils restèrent un moment dans leurs positions respectives avant de se lover dans les bras l’un de l’autre.
*
Sa joue tendrement appuyée sur les pectoraux puissant de l’homme qui venait de partager son orgasme, Carole jouait doucement avec les poils de son amant. Inconsciemment, sa main se perdit sur les abdominaux détendus qu’elle caressa langoureusement, sans vraie arrière pensée érotique. Soudain, elle sentit un contact sur sa main, doux et humide et qui développait rapidement sa pression. Il bandait à nouveau.
Elle s’aventura à effleurer le sexe tendu pour vérifier sa raideur. Pas de doute, il récupérait vite, la verge était redevenue presque aussi dure qu’avant sa première éjaculation. Très doucement, elle l’entoura de ses doigts fuselés et commença un branle imperceptible, pas plus de quelques millimètres, juste pour le faire bander davantage. La muqueuse huilée du gland subissait les doux allers-retours du prépuce sous l’effet de la masturbation de la main féminine. Parfois, de l’index, elle allait frotter délicatement le dôme congestionné qu’elle avait découvert et elle sentait alors la puissante barre de chair pulser dans sa main distendue. Son massage sexuel obtenait l’effet recherché.
Pour ne pas être égoïste, Hervé entama à son tour de lentes caresses. Il s’intéressa d’abord aux seins lourds qui commençaient à sortir de leur torpeur momentanée. Passant le plat de sa main sur leur galbe il vint les soutenir par en dessous avant de remonter cueillir le mamelon qui l’attendait impatiemment, à en juger par son développement. Il y posa alors sa bouche et suça tour à tour les pointes érigées qui se développaient sous ses lèvres et sous sa langue. Passant de l’un à l’autre, il eût tôt fait de les faire darder comme deux petits pénis, incongrus sur ces douces mamelles.
Jugeant sa partenaire à point, il fit lentement descendre une large main en direction de la cible qu’il devinait brûlante entre les cuisses qui s’écartaient irrésistiblement sous la montée du plaisir. Il ne s’était pas trompé, ses doigts découvrirent une inondation qui ne devait rien aux orgasmes passés. Carole mouillait comme une source, mais pas au point de ne pas penser à ralentir son mouvement sur la tige ardente de son partenaire. Pas question qu’il arrose le persil, qu’il jouisse vainement dans sa main engluée. Elle le voulait en elle, cette fois. Le plus loin et le plus longtemps possible.
Hervé commença à lui masser le sexe. Du majeur, il écarta les grandes lèvres qui s’étaient resserrées, approchant le plus doucement possible du clitoris qui avait déjà repoussé son capuchon pour réclamer son dû. Il l’effleura à peine, faisant aller et venir son doigt en un contact presque imperceptible. Il sentit à la crispation de la main sur sa mentule que la fille était folle d’impatience. Il appuya lentement sur le bouton gorgé de sang jusqu’à le coincer contre le plan dur de l’os pubien. Il entama alors une rotation d’abord lente, puis plus rapide, changeant parfois de sens, au gré des réactions de sa partenaire.
Sous le charme de cette masturbation intense, la jeune femme agitait son bassin en un mouvement giratoire qui complétait celui du doigt magique qui la faisait jouir. Tantôt s’enfonçant dans le matelas, tantôt venant à la rencontre de la main dispensatrice de plaisir, parfois partant à gauche, parfois revenant à droite, elle se branlait sur son branleur. Sentant le moment venu, son amant accéléra sa caresse et elle cria un orgasme étoilé, sans pour autant cesser les va et vient de sa main sur la verge.
Il n’abandonna pas non plus le sexe trempé qu’il se mit à lisser à grands gestes, comme pour l’apaiser. Très vite, son médius repartit à l’attaque, et c’est là qu’elle comprit qu’il maîtrisait tous les aspects de la sexualité, y compris et surtout celui de la sodomie. Elle allait se faire prendre par derrière et elle adorait ça.
L’homme commença par frotter l’entrée du vagin, glissant sur tout le pourtour de l’orifice pour en repérer les points sensibles superficiels. Petit à petit, il entreprit de brèves pénétrations digitales, immédiatement interrompues, puis recommencées. Introduisant la totalité de son majeur d’un geste coulé dans le sexe avide, il massa la paroi antérieure si sensible, trouva le point G et le masturba vigoureusement. Carole repartait vers le septième ciel à toute allure, lorsqu’elle sentit que l’homme remplaçait son majeur par son pouce, pour pouvoir masturber la paroi postérieure de son vagin. C’est alors qu’elle sût.
De son pouce légèrement fléchi, les autres doigts étendus à frotter la raie chaude qui séparait les fesses féminines, Hervé massait puissamment l’arrière de la cavité vaginale. Il en vint bientôt, sans en avoir l’air, à malaxer le rectum de la femme, dont seule une fine membrane le séparait. Prenant appui sur ses autres doigts, il enchâssait progressivement le boyau culier dans une tendre pince et le pressait doucement. De temps à autre, il fléchissait davantage son gros pouce pour élargir directement l’anus depuis l’intérieur du vagin et en éprouver la souplesse. Repliant son index, il l’introduisait ensuite dans la rosette joignait ses doigts pour palper la fine paroi séparant les deux orifices. La jeune femme, ravie, râlait de plaisir et ruait violemment pour accentuer la pénétration de ses deux puits d’amour.
Devant ses supplications de la prendre, il arrêta ses jeux de doigts et dégagea son membre raide de l’emprise la main féminine. Il se coucha sur elle et pénétra son sexe d’une seule poussée, jusqu’à ce que leurs bassins s’entrechoquent. Elle poussa un long gémissement sous la pénétration si longtemps attendue.
Il s’immobilisa un court instant pour profiter de l’étreinte des muqueuses intimes sur sa verge emprisonnée. Comme à chaque fois, c’était le meilleur moment, surtout la première fois avec une femme inconnue. Il décida alors de la surprendre. Se retirant presque complètement, il ne laissa que le bout de son gland entre les chaudes parois humides et l’embrocha à nouveau d’un coup sec et brutal, bien à fond, jusqu’à buter contre le col de sa matrice. Sous l’effet de la surprise et du plaisir d’être défoncée par un tel engin vibrant d’excitation, Carole poussa un hurlement qui dut s’entendre dans tout l’étage. Son amant commença alors ses puissants va et vient, la baisant profondément, de toute sa longueur, frottant la collerette de son gros gland contre les fragiles remparts de sa grotte trempée, qu’elle serrait comme un étau pour mieux le sentir. Le prépuce comprimé s’était entièrement retiré et le plaisir n’en était que plus fort pour le mâle sabreur. Variant le rythme et alternant la profondeur de ses pénétrations, il la fit jouir une première fois sans se donner la peine de ralentir ses coups de bélier. Elle repartit aussitôt dans une montée chromatique vers l’orgasme, accompagnée de râles puissants au gré des irruptions du mandrin qui la défonçait. Elle jouit encore sans qu’il la laisse souffler davantage. Au contraire, il augmenta l’amplitude de ses coups de reins pour maintenir la pression sexuelle dans le sexe de cette femelle en chaleur.
Voyant qu’elle réagissait bien, il passa à l’étape suivante. D’un seul mouvement, il la retourna à quatre pattes sur le lit et réinvestit aussitôt son vagin en levrette. Un bref instant déçu par son retrait éclair, Carole rugit sous le violent retour du membre, tandis que ses fesses claquaient contre le ventre de son partenaire. Elle mordait l’oreiller à pleines dents pour ne pas hurler sa jouissance. Tout à coup, il ralentit son mouvement perforateur pour regarder son épieu entrer et sortir du conduit ardent qu’il investissait avec une régularité de métronome. Il pénétrait la jeune femme bien à fond, puis se retirait jusqu’à entrevoir le pourtour de son gland en feu. La fine muqueuse entourant l’orifice qu’il défonçait puissamment accompagnait ses mouvements, faisant un petit manchon clair qui s’étirait autour de la verge qui sortait et disparaissait à nouveau dans le vagin en folie lorsqu’il s’enfonçait derechef. C’est comme cela qu’il la fit jouir une troisième fois.
Comme elle continuait ses mouvements de bassin pour lui signifier de continuer, il comprit qu’elle lui donnait le feu vert. Poursuivant son mouvement de piston, il se lécha brièvement le majeur droit pour l’humecter, l’appuya un court instant sur l’anus froncé et l’y fit pénétrer bien à fond. La salive était inutile, la fille mouillait du cul autant que d’ailleurs. Son doigt éprouva un instant l’intérieur du sphincter et se retira pour laisser la place.
Sentant venu l’instant de la pénétration ultime, celle qu’elle préférait, la femme s’immobilisa, enfouissant sa tête dans l’oreiller pour mieux faire saillir sa croupe, pour mieux écarter ses fesses rondes, pour mieux exposer le petit trou secret qu’elles abritaient et que le dard sodomisateur allait défoncer. Elle recula pour mieux se faire enculer. Elle lui tendit sa rosette frémissante d’impatience, regrettant presque qu’il l’ait explorée d’un doigt précurseur, tant elle aurait voulu sentir directement sa queue épaisse dilater sans préambule son sphincter, avant de lui perforer le rectum et de venir s’enfouir dans ses profondeurs intestinales. Prosternée dans une attitude de chienne soumise elle tremblait d’anticipation, attendant le membre brûlant qui se préparait à la combler complètement.
Le mâle se retira en douceur, pour pointer aussitôt sa colonne de chair excitée à l’entrée du cul avide. Son gland violacé couvrit complètement le petit trou fripé qui semblait bien trop serré pour laisser passer une masse aussi imposante. Sans s’émouvoir, il vérifia qu’il était bien dans l’axe et poussa un peu. Le délicat orifice frémit légèrement en réponse. Il savoura le contact un instant, puis pénétra puissamment le derrière féminin exposé. Au début, rien ne se passa, tant la femme était étroite. Le manche fléchit un peu sous la pression de plus en plus forte, puis l’anus commença à éclore autour du bélier qui l’enfonçait. Petit à petit, le sphincter cédait sous l’attaque, la rosette s’ouvrait autour du membre qui poussait davantage, le muscle se distendait pour laisser passer la verge massive.
L’homme regardait son sexe se frayer un chemin dans les entrailles qu’il convoitait. L’anus était maintenant étiré au maximum autour de ce calibre peu commun. L’anneau de peau blême du petit trou glissait lentement sur la peau carmin du gland en pleine érection. Soudain, sous une poussée plus forte, la verge pénétra d’un coup et Hervé se trouva avec la queue délicieusement enserrée par le sphincter anal qui lui pressait le dard juste en dessous du rebord du gland. La sensation fut si forte qu’il faillit éjaculer immédiatement. Il se retint de justesse, ç’aurait été dommage d’en finir si vite. Il marqua un temps pour savourer l’étreinte nerveuse qu’exerçait l’étroit conduit sur la tête de son sexe.
Maintenant bien emmanchée, Carole prit son temps pour apprécier la sensation d’écartèlement que lui procurait la première phase de cette sodomie qu’elle devinait devoir être longue et complète. Elle remua imperceptiblement sa croupe autour du pivot qui l’enfilait pour faire comprendre qu’elle était prête pour la suite. Elle sentit la pression s’accroître alors que le membre reprenait sa progression. Ayant passé le sphincter externe, celui de l’anus, la tige s’enfonçait en force dans son rectum, avançant par petites secousses en direction de l’autre muscle circulaire, le sphincter interne qui représentait une autre barrière délicieuse à franchir.
C’était le meilleur de la sodomie, cette pénétration par à-coups, ces obstacles successifs qui cédaient les uns après les autres devant l’impérieuse poussée de la verge roide, déclenchant à chaque fois un aveuglant éclair de jouissance. Lorsque le gland prenait appui sur la résistance à vaincre, commençait la délicieuse expectative, passera ? Passera-pas ? Puis les muscles cédaient et c’était le flash, la ruée soudaine du bélier vers l’avant, vers la porte suivante de ce château fort sans limite, dont la profondeur de la conquête n’était limitée que par la puissance de l’arme de l’assaillant.
Pour expliquer cet effet de bonds successifs du membre dans ses entrailles, Carole savait bien qu’on ne mouillait pas de la même façon derrière et devant, que la surface des muqueuses était d’un grain différent. Ce qui provoquait ces retenues progressives et ces percées soudaines, génératrices de mini orgasmes à répétition. Décidemment c’était bien ça qu’elle préférait : se faire défoncer l’anneau par une barre chaude et musclée.
Derrière elle, l’homme maintenait sa pression, luttant contre la montée du sperme, qu’il sentait proche. Il appréciait la sensation exquise de son sexe s’immisçant peu à peu entre les muqueuses brûlantes de la femme consentante. Tandis qu’il investissait le cul étroit de sa maîtresse, il s’étonnait qu’une fille d’apparence aussi frêle puisse l’accueillir sans encombre par ce petit trou serré. En même temps, il devinait qu’elle était une habituée des plaisirs postérieurs et s’émerveillait qu’elle soit restée si étroite, on aurait juré que c’était la première fois qu’elle se faisait ramoner par derrière.
Il jouissait des brèves ruées en avant de son mandrin et des sensations transmises par le frottement. Enfin, il sentit que son gland butait contre le sphincter du fond du rectum. La vicieuse était bien empalée. Il tâtonna du gland pour s’assurer qu’il était toujours bien dans l’axe et, sans s’arrêter, poursuivit sa pénétration. D’un violent coup de reins, il défonça le muscle qui résistait et passa dans le boyau culier proprement dit, encore plus chaud que le conduit précédent. Un regain de jouissance éclata derrière ses paupières, alors que la sodomisée éclatait d’un long râle qu’elle ne pouvait plus arrêter.
C’était trop fort, il allait la faire mourir, exploser de plaisir autour de cet épieu qui la défonçait au plus profond. Il avait franchi toutes ses barrières et continuait à s’enfoncer, repoussant les valvules de son intestin en feu, déclenchant à chaque fois un nouvel orgasme. Elle hurlait maintenant sans discontinuer, extériorisant ses sensations inouïes à pleins poumons, des poumons qu’elle finissait par croire qu’il allait transpercer en s’engageant si loin dans ses entrailles. Il commença alors ses va et vient, sur quelques centimètres seulement, pour bien profiter de la chaleur autour de son vit et du serrage musclé de ce cul accueillant. La femme émettait un feulement continu rythmé par les coups de bélier qui lui astiquaient le conduit. Quand le foutre jaillit de ses couilles contractées, il donna une dernière poussée et gicla en elle.
Carole se sentit partir et le cri s’étrangla dans sa gorge, tandis qu’elle perdait presque connaissance sous l’effet du lavement de sperme brûlant. Son pourfendeur, enfoncé dans ses fesses de toute sa longueur, éjaculait par jets saccadés dans son fondement, augmentant encore sa jouissance.
Épuisés, ils s’abattirent l’un sur l’autre, sans se séparer. Elle toujours consciente de cette présence dans son cul, de son rectum dilaté qui palpitait encore de la ramonée qu’elle venait de prendre dans l’anus. Lui douillettement enserré par ce chaud boyau qu’elle contractait spasmodiquement pour le branler encore un peu, traire ses dernières gouttes de sperme et remercier son enculeur génial.
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