La motarde - 7
Récit érotique écrit par DocUS [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2020 dans la catégorie Plus on est
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La motarde - 7
A l’arrière de la Range Rover qui les ramenait vers la maison, Anna s’était assise entre Marc et Franck et, après avoir extrait leurs verges de leurs pantalons de toile, les masturbait doucement. Elle avait formé deux anneaux de ses pouces et ses index, pour encercler les glands découverts. Ses poignets montaient et descendaient ensemble, entretenant les érections des garçons qui se laissaient faire, indolents. Les mains coulissaient sur leur raideur, lentement et profondément. Ils profitaient de chaque millimètre de caresse, de chaque gramme de pression.
Au moment où le tout-terrain passait le portail avec un soubresaut, ils éjaculèrent dans ses doigts fuselés. Avec gourmandise, elle lécha leur sperme sur ses doigts. A l’avant, Georges et Jill semblaient ne s’être aperçus de rien.
Tous étaient fatigués par leur journée et leur soirée de débauche et rejoignirent bientôt leurs lits pour récupérer.
En entrant dans sa chambre, Franck alluma le plafonnier et resta interdit sur le seuil. Des draps dépassait une croupe ronde, bronzée et très visiblement féminine, tendue vers lui comme pour l’accueillir. C’était la seule partie visible de l’anatomie de l’occupante de son lit. A l’exception de ses rotondités offertes, les draps habilement disposés la recouvraient de la tête à la taille et des pieds aux cuisses. Au galbe des fesses exposées, il sut que Carole s’était débrouillée pour le précéder, sans doute pendant qu’il se brossait les dents. Il se rappela alors de l’ultimatum qu’elle lui avait lancé dans l’après-midi après l’avoir fait jouir dans sa bouche. “Ce soir je la veux dans les fesses.” Amusé par cette obstination, il s’avança pour caresser les masses tièdes qui frémirent sous sa main. Carole repoussa le drap qui la couvrait.
- Tu croyais que j’avais oublié ?
- Pas du tout, mentit-il, chose promise...
- Pas trop épuisé par toutes ces salopes qui ne t’ont pas lâché ?
- Tu plaisantes! s’écria le garçon qui omit de lui raconter son dernier orgasme motorisé.
- Alors, viens ! J’ai trop envie.
Franck se déshabilla rapidement, découvrant sa musculature longiligne et le sceptre massif qui pendait entre ses cuisses glabres.
- C’est tout l’effet que je te fais ? ragea la fille.
- A toi de faire ma grande. Je parie qu’en trois minutes tu vas me faire bander comme un cerf.
S’asseyant sur le bord du lit, Carole lui embrassa amoureusement le torse en frottant ses seins durs contre le pénis au repos. Très vite, la verge se redressa entre les hémisphères soyeux de la poitrine féminine qui la massait. Sans le toucher de ses mains, la belle amazone logea la tige entre ses charmes et ondula du buste pour le faire durcir. Elle fit monter et descendre le gros muscle dans l’émouvante vallée qui séparait ses globes aux pointes érigées. Cette douce caresse était la vraie version de la branlette espagnole, naturelle, douce, sans la pression des mains autour des appas masturbateurs. Seules les femmes à la poitrine arrogante pouvaient la pratiquer avec assez de fermeté pour la rendre affolante. Celles dont les mamelles pendouillaient lamentablement trichaient en les pressant entre leurs mains pour en faire un fourreau serré.
Le garçon ne s’y trompait pas, qui faisait aller et venir son membre maintenant largement déployé entre les nichons fermes qui l’astiquaient. A petits coups de bassin avides, il accentuait la friction des dômes rebondis sur son ardeur redoutable.
Des deux mains, Carole se caressait la fente. L’index droit branlait frénétiquement son clitoris en érection et quatre doigts de sa main gauche avaient pénétré son vagin enflammé. Elle se sentit bientôt ruisseler de désir et de plaisir contenus. Interrompant ses masturbations combinées, elle repoussa l’homme avant de lui tourner le dos et de se prosterner sur le lit.
Accroupie, les genoux pliés, les seins écrasés sur le drap, elle lui présentait sa croupe en une offrande muette. La cambrure de ses reins faisait ressortir sa croupe épanouie. Elle était incroyablement fendue. La raie démarrait en entonnoir sur ses reins, puis descendait, soulignant par sa profondeur les masses rondes du cul tentateur, enfin la vallée rejoignait les grandes lèvres épilées qui entouraient l’entrée du sexe. Pour ne laisser planer aucun doute sur ce qu’elle avait en tête, la Vénus callipyge saisit à deux mains ses fesses charnues et les écarta lentement pour faire apparaître le sanctuaire de Sodome. Elle voulait se faire enculer et c’est ce qui allait lui arriver. L’anneau froncé était d’un brun pâle. Serré, il semblait presque vierge, ce qui était étrange pour quiconque connaissait celle qui exposait ainsi sa rosette à la lubricité du mâle.
En fait, Carole pratiquait une forme tout à fait spéciale de gymnastique, mélange de yoga et de relaxation, qui lui permettait de domestiquer parfaitement ses orifices sexuels. Vagin et anus pouvaient ainsi accueillir sans problème les plus gros calibres, les enserrer délicatement, les masser sur toute leur longueur dans un délicieux casse-noisettes et, une fois le mâle passé, redevenir deux petits trous serrés qui auraient fait honneur à une jouvencelle ignorante des plaisirs du sexe. C’était en grande partie cette géométrie variable qui assurait le succès de la nymphette auprès de la gent masculine. Tous ses amants restaient stupéfaits de son étroitesse initiale qui admettait tout d’abord difficilement leur dard gonflé, pour ensuite s’ouvrir lentement devant leurs assauts furieux, admettant toute la longueur de leur érection et s’épanouissant autour de leur gland empourpré. Sachant ce qu’elle avalait comme tiges masculines par devant et par derrière, ses amis les plus réguliers ne comprenaient pas comment elle n’était pas large comme une porte cochère. C’était son secret et elle n’en parlait pas.
Franck contempla la rondelle enfouie dans la raie culière ouverte sous ses yeux. S’empoignant la verge à deux mains, il la masturba un instant pour assurer une érection maximum. Puis il la dirigea vers la cible qui donnait accès à l’étroit passage. L’anneau était luisant des sécrétions féminines coulant du vagin voisin. L’homme y appuya son gland énorme, réellement gros comme une mandarine et fit disparaître la pastille sous sa masse violacée. Il poussa du vit pour éprouver la résistance du muscle qui défendait le chaud boyau culier. Le sphincter se contracta un instant, puis commença à céder sous la pression, l’anus s’élargit autour du bourgeon qui le forçait et le gland pénétra en entier dans le rectum serré. La sensation était extraordinaire. Ce petit trou, grâce à des mouvements internes, lui pompait littéralement le noeud, pratiquant une sorte de fellation postérieure sur ses muqueuses gorgées de sang.
Sans crier gare, il s’enfonça de dix bons centimètres, traversant l’entrée de la grotte ardente et venant buter contre le muscle suivant. Carole rugit de plaisir sous l’effraction animale de ce membre qui l’empalait. Elle en voulait encore, il lui restait les deux tiers de sa longueur pour la faire jouir au plus profond. Mordant l’oreiller à pleines dents pour assourdir les cris qu'elle savait pousser dans ces occasions, elle recula sa croupe d’un coup sec, s’empalant d’elle-même totalement, sur l’énorme chose qui la ramonait. Le mandrin la défonça brutalement, écartelant ses chairs, la dilatant à mort, et s’enfonça jusqu’à la racine dans ses entrailles. Elle hurla sous la pénétration et s’immobilisa, souffle coupé, pour s’adapter à l’élargissement de ses parois violentées. Le gros manche la perforait sans pitié et elle devenait folle.
Franck se retira légèrement et commença un lent va-et-vient dans l’anus dilaté. Emmanchée à fond, Carole gémissait comme une bête blessée. Le membre la labourait avec une amplitude croissante à mesure qu’elle s’adaptait à sa présence. L’homme défonçait maintenant l’orifice assoupli à grands coups de verge, provoquant des orgasmes en série chez la fille râlante. Il continua à enculer frénétiquement cette croupe ronde et sentit bientôt la lave monter de ses bourses, se ruer dans son tuyau massif et jaillir à gros bouillons dans le cul pantelant. Le chaud lavement de sperme déclencha chez la sodomisée un orgasme final plus fort que les autres, cette jouissance du fion si chère aux adeptes de la défonce anale. Il s’écroulèrent l’un sur l’autre, haletants, comme il finissait de se déverser dans sa porte étroite.
Alors qu’ils reprenaient leur souffle, un bruit léger leur fit tourner la tête. Sur le seuil de la porte toujours ouverte, Jill les contemplait, les yeux agrandis de surprise devant cette emmanchée sauvage, un doigt sur les lèvres, l’autre main enfouie entre ses cuisses étroitement serrées. C’est son petit cri de jouissance qui les avait alertés, quand ses doigts avaient déclenché son orgasme en même temps que le leur. Elle qui était plutôt timide de l’entrée de service avait observé passionnément son amie en train de se faire défoncer l’anneau par ce membre énorme. Les cris de Carole l’avaient réveillée et elle n’avait pu résister à la tentation de se faire plaisir toute seule, rêvant qu’elle était soumise à une ramonée postérieure aussi radicale que celle qu’elle admirait.
Les deux amants lui adressèrent un sourire las et elle regagna sa chambre, où Marc allait certainement passer un quart d’heure agité. Dans le couloir, elle mit au point dans sa tête un programme d’éducation anale qu’elle comptait bien mettre en oeuvre dès le lendemain. Depuis le temps qu’elle voyait ses copines rugir de plaisir en se faisant défoncer le cul par des mandrins énormes, elle commençait à comprendre ce qu’elle ratait. Maintenant, elle voulait profiter de leur réunion estivale pour entreprendre une dilatation progressive de sa rondelle par le calibre croissant des verges de Marc, Gilbert, Richard et Franck. La progressivité des enfilages lui garantissait de pouvoir assouplir son petit trou par étapes jusqu’à la défonce finale qui l’enverrait au paradis des enculées. Demain, sodomie intensive, promis.
Excitée au plus haut point, Jill entra en trombe dans la chambre où Marc dormait paisiblement sur le dos. Elle se glissa sous le drap et emboucha directement la verge au repos, l’aspirant profondément contre son palais pour la faire grossir plus vite. Le membre enfla rapidement sur sa langue, jusqu’à atteindre son plein développement. Pendant ce temps, la fille avait à nouveau enfoui une main entre ses cuisses et caressait violemment son clitoris bandé comme un petit pénis. Sa bouche pompait frénétiquement l’érection de l’homme, astiquant le gland tendu à travers l’épaisseur du prépuce qu’elle avait pris soin de laisser sur le bout turgescent. Lorsqu’elle le sentit à point dans sa bouche, d’un coup de poignet elle décalotta la totalité du pistil abaissant la peau souple le plus bas possible sur le priape qui la bâillonnait. Le gros gland éprouva tout à coup le contact direct de la chaude caresse buccale sur sa muqueuse. Immédiatement un torrent de semence en jaillit, épais, crémeux, remplissant la bouche qui suçait, tandis que son clitoris martyrisé envoyait à Jill un orgasme foudroyant. Épuisée, elle s’endormit, la queue encore dans sa bouche.
Les échos du tendre combat n’avaient pas réveillé que Jill. Dans leur chambre, Marie et Gilbert s’en donnaient à coeur joie.
La blondinette avait tout d’abord fait jouir son mâle dans sa bouche enfiévrée. Elle s’était agenouillée entre ses jambes écartées et avait léché les testicules lourds et velus qui reposaient sur la raie sombre entre les fesses. Les embouchant parfois tous les deux, elle les avait fait rouler entre ses joues, les suçant comme des bonbons. Puis, sa bouche avait abandonné les sphères d’amour pour remonter vers la verge qui s’animait. Elle prit la chaude colonne entre ses doigts et la passa sur ses joues. D’un lent coulissement, elle découvrit le gland impatient et le réchauffa de son souffle, avant de l’engloutir. Elle flatta la boule de chair de sa bouche, en éprouvant les contours et passant la pointe de la langue sous le bourrelet sensible. La caresse était si sensuelle que le gland gonfla instantanément, lui dilatant les joues.
Elle commença alors à le pomper religieusement. Les lèvres gourmandes remontaient le long de la tige, passaient la collerette épanouie et venaient chapeauter le dôme soyeux. Puis la plongée commençait, les lèvres s’écartelaient devant l’irruption du brandon brûlant. En descendant, l’anneau labial masturbait au passage le pourtour du fruit exacerbé par de rapides allers-retours. L’engouffrement se poursuivait et toutes les muqueuses buccales venaient masser le membre qui s’enfonçait dans la bouche experte. Le rythme était lent et la sensation inouïe de douceur et de volupté pour la suceuse comme pour le sucé. Marie était une reine de la pipe, elle en avait découvert la technique et la sensualité très jeune, sur des leurres de toute sorte, avec des amies de collège. Puis les petites vicieuses étaient passées aux travaux pratiques sur les garçons de leur âge, avec le succès que l’on suppose. Au fil des années, la fille avait perfectionné sa technique et était devenue une pompeuse redoutable. Elle avait aussi découvert qu’elle adorait pratiquer cette caresse et qu’elle pouvait jouir uniquement par la présence d’une verge érigée dans sa bouche. Il lui était arrivé de sucer un garçon la plus grande partie d’une nuit, recommençant à l’exciter dès qu’il avait joui sur sa langue, le vidant de ses réserves de semence au fil des pipes passionnées qu’elle enchaînait. La queue du bienheureux ne sortait pratiquement pas de sa bouche pendant des heures. Sa pratique était telle que le mâle organe rebandait en un clin d’oeil, aussitôt après avoir craché le foutre qu’elle avalait avec délice.
Pour l’instant elle s’appliquait sur le sexe qu’elle préférait, celui de son compagnon. Celui-ci, très entraîné aux extases buccales que prodiguait son petit bout de femme, faisait durer le plaisir, comme pour la provoquer, lui résister. Mais il n’était pas de taille contre une telle professionnelle. La verge se contracta spasmodiquement alors que le sperme montait et il éjacula avec force, remplissant le chaud fourreau qui le pompait si savamment. Marie déglutit à grands coups de glotte et l’avala jusqu’à la dernière goutte. Elle garda en bouche le membre qui dégonflait peu à peu, attentive à rester immobile pour qu’il ne rebande pas tout de suite. Quand Gilbert eût retrouvé une respiration plus normale, elle le relâcha enfin et vint se lover contre lui, le picorant de petits baisers au goût de sperme.
Le garçon la caressait distraitement, le dos, les flancs, le cou, mais sans jamais n'approcher d’aucune zone érogène principale. Il évitait soigneusement de presser le plaisir de la fille dont il sentait la chaleur amoureuse contre lui. Le souffle féminin se fit plus oppressé, elle était sensible à l’affection qui irradiait des grandes mains douces qui la parcouraient. Soudain, il passa à la poitrine, englobant un sein tout entier dans sa large paume. Marie en soupira d’aise, ses mamelons déjà sensibilisés se développèrent encore. La caresse se fit plus forte, la main passait d’un sein à l’autre, descendait sur le ventre, effleurait la toison du sexe humide et remontait, pour recommencer, toujours plus vite, toujours plus fort.
Enfin, la main magique vint enchâsser la petite motte blonde, la presser, la malaxer, sans encore y pénétrer. L’homme frictionnait le mont de Vénus, glissant sur les grandes lèvres jointes depuis le haut de la fente jusqu’au sillon qui se perdait entre les fesses nerveuses. La fente était maintenant trempée et sa main étalait sur la peau la liqueur qui débordait du sexe ruisselant. Quand elle était vraiment excitée, Marie mouillait comme une fontaine, et la fellation qu’elle avait pratiquée, suivie de ces caresses brûlantes, l’avaient amenée au paroxysme du désir.
Avec ravissement, elle sentit le majeur se replier pour entrer dans sa vulve. Le doigt trouva aussitôt le clitoris bandé à crier. Il le lissa, l’étendit encore, trouva le gland minuscule enfoui dans le capuchon et le fit rouler comme une boulette de mie de pain sur une nappe de restaurant. Marie haletait de plaisir. Le doigt la branla ainsi un bon moment, un très bon moment même, et elle jouit violemment, inondant davantage la main de l’homme. Aussitôt, le doigt reprit sa progression, pénétra son vagin détrempé en un large mouvement circulaire et en ressortit aussitôt pour violer son anus contracté. Gilbert alternait ses intromissions digitales, d’un orifice à l’autre, assaillant le sexe énervé, puis poignardant la rondelle assouplie. Enfilée sans relâche, la nymphette se tordait sous les effractions répétées dans ses deux intimités voisines.
Quand elle eût joui une fois encore sous ses assauts, Gilbert rampa sur elle et lui releva les jambes jusqu’aux épaules, exposant largement sa vulve béante. Guidant de la main sa verge impatiente, il pénétra la motte en feu, ramona de son gland les parois délicates et vint buter dans les profondeurs du vagin qui mouillait. Il se retira complètement, tenant toujours la base du membre entre ses doigts, comme il l’aurait fait d’un cigare, et s’enfila sans hésiter dans la rosette anale, déclenchant un hurlement de jouissance de la petite, soudain enculée par ce gros dard. Le vit massif s’enfonça jusqu’aux poils dans la porte étroite de l’anneau culier, défonçant le sphincter et remplissant le rectum de sa masse chaude. La tige roide s’extirpa du conduit violenté pour replonger tout aussi sauvagement dans la corolle de la féminité, elle en ressortit aussitôt et retourna emmancher l’anus tout proche. Le piston tournait maintenant sur deux cylindres, embrochant la conque blonde puis glissant entre les fesses pour venir élargir la chaude gaine du cul offert. Sodomisée et baisée en même temps, saillie en stéréo, pourfendue par devant et par derrière, Marie jouissait sans interruption. Sa tête roulait sur l’oreiller et un râle syncopé s’échappait de ses lèvres entrouvertes.
Gilbert choisit sa cible finale. Enfoui dans le chaud vagin, il sentit monter son éjaculation, se retira et défonça une dernière fois la gaine postérieure, empalant la fille jusqu’au fond des entrailles pour y déverser son sperme. Elle jouit à nouveau sous la douche saccadée qui lui inondait le fondement. Son rectum palpitait autour du membre raide qui giclait encore en elle.
Pendant ce temps, dans la chambre voisine, Richard, couché derrière Anna, écartait ses fesses à deux mains et l’enculait à grands coups de verge.
Au moment où le tout-terrain passait le portail avec un soubresaut, ils éjaculèrent dans ses doigts fuselés. Avec gourmandise, elle lécha leur sperme sur ses doigts. A l’avant, Georges et Jill semblaient ne s’être aperçus de rien.
Tous étaient fatigués par leur journée et leur soirée de débauche et rejoignirent bientôt leurs lits pour récupérer.
En entrant dans sa chambre, Franck alluma le plafonnier et resta interdit sur le seuil. Des draps dépassait une croupe ronde, bronzée et très visiblement féminine, tendue vers lui comme pour l’accueillir. C’était la seule partie visible de l’anatomie de l’occupante de son lit. A l’exception de ses rotondités offertes, les draps habilement disposés la recouvraient de la tête à la taille et des pieds aux cuisses. Au galbe des fesses exposées, il sut que Carole s’était débrouillée pour le précéder, sans doute pendant qu’il se brossait les dents. Il se rappela alors de l’ultimatum qu’elle lui avait lancé dans l’après-midi après l’avoir fait jouir dans sa bouche. “Ce soir je la veux dans les fesses.” Amusé par cette obstination, il s’avança pour caresser les masses tièdes qui frémirent sous sa main. Carole repoussa le drap qui la couvrait.
- Tu croyais que j’avais oublié ?
- Pas du tout, mentit-il, chose promise...
- Pas trop épuisé par toutes ces salopes qui ne t’ont pas lâché ?
- Tu plaisantes! s’écria le garçon qui omit de lui raconter son dernier orgasme motorisé.
- Alors, viens ! J’ai trop envie.
Franck se déshabilla rapidement, découvrant sa musculature longiligne et le sceptre massif qui pendait entre ses cuisses glabres.
- C’est tout l’effet que je te fais ? ragea la fille.
- A toi de faire ma grande. Je parie qu’en trois minutes tu vas me faire bander comme un cerf.
S’asseyant sur le bord du lit, Carole lui embrassa amoureusement le torse en frottant ses seins durs contre le pénis au repos. Très vite, la verge se redressa entre les hémisphères soyeux de la poitrine féminine qui la massait. Sans le toucher de ses mains, la belle amazone logea la tige entre ses charmes et ondula du buste pour le faire durcir. Elle fit monter et descendre le gros muscle dans l’émouvante vallée qui séparait ses globes aux pointes érigées. Cette douce caresse était la vraie version de la branlette espagnole, naturelle, douce, sans la pression des mains autour des appas masturbateurs. Seules les femmes à la poitrine arrogante pouvaient la pratiquer avec assez de fermeté pour la rendre affolante. Celles dont les mamelles pendouillaient lamentablement trichaient en les pressant entre leurs mains pour en faire un fourreau serré.
Le garçon ne s’y trompait pas, qui faisait aller et venir son membre maintenant largement déployé entre les nichons fermes qui l’astiquaient. A petits coups de bassin avides, il accentuait la friction des dômes rebondis sur son ardeur redoutable.
Des deux mains, Carole se caressait la fente. L’index droit branlait frénétiquement son clitoris en érection et quatre doigts de sa main gauche avaient pénétré son vagin enflammé. Elle se sentit bientôt ruisseler de désir et de plaisir contenus. Interrompant ses masturbations combinées, elle repoussa l’homme avant de lui tourner le dos et de se prosterner sur le lit.
Accroupie, les genoux pliés, les seins écrasés sur le drap, elle lui présentait sa croupe en une offrande muette. La cambrure de ses reins faisait ressortir sa croupe épanouie. Elle était incroyablement fendue. La raie démarrait en entonnoir sur ses reins, puis descendait, soulignant par sa profondeur les masses rondes du cul tentateur, enfin la vallée rejoignait les grandes lèvres épilées qui entouraient l’entrée du sexe. Pour ne laisser planer aucun doute sur ce qu’elle avait en tête, la Vénus callipyge saisit à deux mains ses fesses charnues et les écarta lentement pour faire apparaître le sanctuaire de Sodome. Elle voulait se faire enculer et c’est ce qui allait lui arriver. L’anneau froncé était d’un brun pâle. Serré, il semblait presque vierge, ce qui était étrange pour quiconque connaissait celle qui exposait ainsi sa rosette à la lubricité du mâle.
En fait, Carole pratiquait une forme tout à fait spéciale de gymnastique, mélange de yoga et de relaxation, qui lui permettait de domestiquer parfaitement ses orifices sexuels. Vagin et anus pouvaient ainsi accueillir sans problème les plus gros calibres, les enserrer délicatement, les masser sur toute leur longueur dans un délicieux casse-noisettes et, une fois le mâle passé, redevenir deux petits trous serrés qui auraient fait honneur à une jouvencelle ignorante des plaisirs du sexe. C’était en grande partie cette géométrie variable qui assurait le succès de la nymphette auprès de la gent masculine. Tous ses amants restaient stupéfaits de son étroitesse initiale qui admettait tout d’abord difficilement leur dard gonflé, pour ensuite s’ouvrir lentement devant leurs assauts furieux, admettant toute la longueur de leur érection et s’épanouissant autour de leur gland empourpré. Sachant ce qu’elle avalait comme tiges masculines par devant et par derrière, ses amis les plus réguliers ne comprenaient pas comment elle n’était pas large comme une porte cochère. C’était son secret et elle n’en parlait pas.
Franck contempla la rondelle enfouie dans la raie culière ouverte sous ses yeux. S’empoignant la verge à deux mains, il la masturba un instant pour assurer une érection maximum. Puis il la dirigea vers la cible qui donnait accès à l’étroit passage. L’anneau était luisant des sécrétions féminines coulant du vagin voisin. L’homme y appuya son gland énorme, réellement gros comme une mandarine et fit disparaître la pastille sous sa masse violacée. Il poussa du vit pour éprouver la résistance du muscle qui défendait le chaud boyau culier. Le sphincter se contracta un instant, puis commença à céder sous la pression, l’anus s’élargit autour du bourgeon qui le forçait et le gland pénétra en entier dans le rectum serré. La sensation était extraordinaire. Ce petit trou, grâce à des mouvements internes, lui pompait littéralement le noeud, pratiquant une sorte de fellation postérieure sur ses muqueuses gorgées de sang.
Sans crier gare, il s’enfonça de dix bons centimètres, traversant l’entrée de la grotte ardente et venant buter contre le muscle suivant. Carole rugit de plaisir sous l’effraction animale de ce membre qui l’empalait. Elle en voulait encore, il lui restait les deux tiers de sa longueur pour la faire jouir au plus profond. Mordant l’oreiller à pleines dents pour assourdir les cris qu'elle savait pousser dans ces occasions, elle recula sa croupe d’un coup sec, s’empalant d’elle-même totalement, sur l’énorme chose qui la ramonait. Le mandrin la défonça brutalement, écartelant ses chairs, la dilatant à mort, et s’enfonça jusqu’à la racine dans ses entrailles. Elle hurla sous la pénétration et s’immobilisa, souffle coupé, pour s’adapter à l’élargissement de ses parois violentées. Le gros manche la perforait sans pitié et elle devenait folle.
Franck se retira légèrement et commença un lent va-et-vient dans l’anus dilaté. Emmanchée à fond, Carole gémissait comme une bête blessée. Le membre la labourait avec une amplitude croissante à mesure qu’elle s’adaptait à sa présence. L’homme défonçait maintenant l’orifice assoupli à grands coups de verge, provoquant des orgasmes en série chez la fille râlante. Il continua à enculer frénétiquement cette croupe ronde et sentit bientôt la lave monter de ses bourses, se ruer dans son tuyau massif et jaillir à gros bouillons dans le cul pantelant. Le chaud lavement de sperme déclencha chez la sodomisée un orgasme final plus fort que les autres, cette jouissance du fion si chère aux adeptes de la défonce anale. Il s’écroulèrent l’un sur l’autre, haletants, comme il finissait de se déverser dans sa porte étroite.
Alors qu’ils reprenaient leur souffle, un bruit léger leur fit tourner la tête. Sur le seuil de la porte toujours ouverte, Jill les contemplait, les yeux agrandis de surprise devant cette emmanchée sauvage, un doigt sur les lèvres, l’autre main enfouie entre ses cuisses étroitement serrées. C’est son petit cri de jouissance qui les avait alertés, quand ses doigts avaient déclenché son orgasme en même temps que le leur. Elle qui était plutôt timide de l’entrée de service avait observé passionnément son amie en train de se faire défoncer l’anneau par ce membre énorme. Les cris de Carole l’avaient réveillée et elle n’avait pu résister à la tentation de se faire plaisir toute seule, rêvant qu’elle était soumise à une ramonée postérieure aussi radicale que celle qu’elle admirait.
Les deux amants lui adressèrent un sourire las et elle regagna sa chambre, où Marc allait certainement passer un quart d’heure agité. Dans le couloir, elle mit au point dans sa tête un programme d’éducation anale qu’elle comptait bien mettre en oeuvre dès le lendemain. Depuis le temps qu’elle voyait ses copines rugir de plaisir en se faisant défoncer le cul par des mandrins énormes, elle commençait à comprendre ce qu’elle ratait. Maintenant, elle voulait profiter de leur réunion estivale pour entreprendre une dilatation progressive de sa rondelle par le calibre croissant des verges de Marc, Gilbert, Richard et Franck. La progressivité des enfilages lui garantissait de pouvoir assouplir son petit trou par étapes jusqu’à la défonce finale qui l’enverrait au paradis des enculées. Demain, sodomie intensive, promis.
Excitée au plus haut point, Jill entra en trombe dans la chambre où Marc dormait paisiblement sur le dos. Elle se glissa sous le drap et emboucha directement la verge au repos, l’aspirant profondément contre son palais pour la faire grossir plus vite. Le membre enfla rapidement sur sa langue, jusqu’à atteindre son plein développement. Pendant ce temps, la fille avait à nouveau enfoui une main entre ses cuisses et caressait violemment son clitoris bandé comme un petit pénis. Sa bouche pompait frénétiquement l’érection de l’homme, astiquant le gland tendu à travers l’épaisseur du prépuce qu’elle avait pris soin de laisser sur le bout turgescent. Lorsqu’elle le sentit à point dans sa bouche, d’un coup de poignet elle décalotta la totalité du pistil abaissant la peau souple le plus bas possible sur le priape qui la bâillonnait. Le gros gland éprouva tout à coup le contact direct de la chaude caresse buccale sur sa muqueuse. Immédiatement un torrent de semence en jaillit, épais, crémeux, remplissant la bouche qui suçait, tandis que son clitoris martyrisé envoyait à Jill un orgasme foudroyant. Épuisée, elle s’endormit, la queue encore dans sa bouche.
Les échos du tendre combat n’avaient pas réveillé que Jill. Dans leur chambre, Marie et Gilbert s’en donnaient à coeur joie.
La blondinette avait tout d’abord fait jouir son mâle dans sa bouche enfiévrée. Elle s’était agenouillée entre ses jambes écartées et avait léché les testicules lourds et velus qui reposaient sur la raie sombre entre les fesses. Les embouchant parfois tous les deux, elle les avait fait rouler entre ses joues, les suçant comme des bonbons. Puis, sa bouche avait abandonné les sphères d’amour pour remonter vers la verge qui s’animait. Elle prit la chaude colonne entre ses doigts et la passa sur ses joues. D’un lent coulissement, elle découvrit le gland impatient et le réchauffa de son souffle, avant de l’engloutir. Elle flatta la boule de chair de sa bouche, en éprouvant les contours et passant la pointe de la langue sous le bourrelet sensible. La caresse était si sensuelle que le gland gonfla instantanément, lui dilatant les joues.
Elle commença alors à le pomper religieusement. Les lèvres gourmandes remontaient le long de la tige, passaient la collerette épanouie et venaient chapeauter le dôme soyeux. Puis la plongée commençait, les lèvres s’écartelaient devant l’irruption du brandon brûlant. En descendant, l’anneau labial masturbait au passage le pourtour du fruit exacerbé par de rapides allers-retours. L’engouffrement se poursuivait et toutes les muqueuses buccales venaient masser le membre qui s’enfonçait dans la bouche experte. Le rythme était lent et la sensation inouïe de douceur et de volupté pour la suceuse comme pour le sucé. Marie était une reine de la pipe, elle en avait découvert la technique et la sensualité très jeune, sur des leurres de toute sorte, avec des amies de collège. Puis les petites vicieuses étaient passées aux travaux pratiques sur les garçons de leur âge, avec le succès que l’on suppose. Au fil des années, la fille avait perfectionné sa technique et était devenue une pompeuse redoutable. Elle avait aussi découvert qu’elle adorait pratiquer cette caresse et qu’elle pouvait jouir uniquement par la présence d’une verge érigée dans sa bouche. Il lui était arrivé de sucer un garçon la plus grande partie d’une nuit, recommençant à l’exciter dès qu’il avait joui sur sa langue, le vidant de ses réserves de semence au fil des pipes passionnées qu’elle enchaînait. La queue du bienheureux ne sortait pratiquement pas de sa bouche pendant des heures. Sa pratique était telle que le mâle organe rebandait en un clin d’oeil, aussitôt après avoir craché le foutre qu’elle avalait avec délice.
Pour l’instant elle s’appliquait sur le sexe qu’elle préférait, celui de son compagnon. Celui-ci, très entraîné aux extases buccales que prodiguait son petit bout de femme, faisait durer le plaisir, comme pour la provoquer, lui résister. Mais il n’était pas de taille contre une telle professionnelle. La verge se contracta spasmodiquement alors que le sperme montait et il éjacula avec force, remplissant le chaud fourreau qui le pompait si savamment. Marie déglutit à grands coups de glotte et l’avala jusqu’à la dernière goutte. Elle garda en bouche le membre qui dégonflait peu à peu, attentive à rester immobile pour qu’il ne rebande pas tout de suite. Quand Gilbert eût retrouvé une respiration plus normale, elle le relâcha enfin et vint se lover contre lui, le picorant de petits baisers au goût de sperme.
Le garçon la caressait distraitement, le dos, les flancs, le cou, mais sans jamais n'approcher d’aucune zone érogène principale. Il évitait soigneusement de presser le plaisir de la fille dont il sentait la chaleur amoureuse contre lui. Le souffle féminin se fit plus oppressé, elle était sensible à l’affection qui irradiait des grandes mains douces qui la parcouraient. Soudain, il passa à la poitrine, englobant un sein tout entier dans sa large paume. Marie en soupira d’aise, ses mamelons déjà sensibilisés se développèrent encore. La caresse se fit plus forte, la main passait d’un sein à l’autre, descendait sur le ventre, effleurait la toison du sexe humide et remontait, pour recommencer, toujours plus vite, toujours plus fort.
Enfin, la main magique vint enchâsser la petite motte blonde, la presser, la malaxer, sans encore y pénétrer. L’homme frictionnait le mont de Vénus, glissant sur les grandes lèvres jointes depuis le haut de la fente jusqu’au sillon qui se perdait entre les fesses nerveuses. La fente était maintenant trempée et sa main étalait sur la peau la liqueur qui débordait du sexe ruisselant. Quand elle était vraiment excitée, Marie mouillait comme une fontaine, et la fellation qu’elle avait pratiquée, suivie de ces caresses brûlantes, l’avaient amenée au paroxysme du désir.
Avec ravissement, elle sentit le majeur se replier pour entrer dans sa vulve. Le doigt trouva aussitôt le clitoris bandé à crier. Il le lissa, l’étendit encore, trouva le gland minuscule enfoui dans le capuchon et le fit rouler comme une boulette de mie de pain sur une nappe de restaurant. Marie haletait de plaisir. Le doigt la branla ainsi un bon moment, un très bon moment même, et elle jouit violemment, inondant davantage la main de l’homme. Aussitôt, le doigt reprit sa progression, pénétra son vagin détrempé en un large mouvement circulaire et en ressortit aussitôt pour violer son anus contracté. Gilbert alternait ses intromissions digitales, d’un orifice à l’autre, assaillant le sexe énervé, puis poignardant la rondelle assouplie. Enfilée sans relâche, la nymphette se tordait sous les effractions répétées dans ses deux intimités voisines.
Quand elle eût joui une fois encore sous ses assauts, Gilbert rampa sur elle et lui releva les jambes jusqu’aux épaules, exposant largement sa vulve béante. Guidant de la main sa verge impatiente, il pénétra la motte en feu, ramona de son gland les parois délicates et vint buter dans les profondeurs du vagin qui mouillait. Il se retira complètement, tenant toujours la base du membre entre ses doigts, comme il l’aurait fait d’un cigare, et s’enfila sans hésiter dans la rosette anale, déclenchant un hurlement de jouissance de la petite, soudain enculée par ce gros dard. Le vit massif s’enfonça jusqu’aux poils dans la porte étroite de l’anneau culier, défonçant le sphincter et remplissant le rectum de sa masse chaude. La tige roide s’extirpa du conduit violenté pour replonger tout aussi sauvagement dans la corolle de la féminité, elle en ressortit aussitôt et retourna emmancher l’anus tout proche. Le piston tournait maintenant sur deux cylindres, embrochant la conque blonde puis glissant entre les fesses pour venir élargir la chaude gaine du cul offert. Sodomisée et baisée en même temps, saillie en stéréo, pourfendue par devant et par derrière, Marie jouissait sans interruption. Sa tête roulait sur l’oreiller et un râle syncopé s’échappait de ses lèvres entrouvertes.
Gilbert choisit sa cible finale. Enfoui dans le chaud vagin, il sentit monter son éjaculation, se retira et défonça une dernière fois la gaine postérieure, empalant la fille jusqu’au fond des entrailles pour y déverser son sperme. Elle jouit à nouveau sous la douche saccadée qui lui inondait le fondement. Son rectum palpitait autour du membre raide qui giclait encore en elle.
Pendant ce temps, dans la chambre voisine, Richard, couché derrière Anna, écartait ses fesses à deux mains et l’enculait à grands coups de verge.
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