La mystèrieuse jeune fille
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2010 dans la catégorie A dormir debout
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La mystèrieuse jeune fille
La mystérieuse jeune fille.
Je n'avais pas eu le temps de me rendre compte que les vacances étaient finies et déjà mon cœur se mis à battre rapidement. Elle se tenait en face de moi, au milieu du couloir de la FAC : une petite jupe écossaise, un chemisier blanc et des bottines marron. Ses longs cheveux noirs avaient immédiatement attiré mon regard.
Je semblais planer, elle était parfaite. Sa tenue permettait de contempler ses longues jambes, son décolleté, suggérait une poitrine généreuse sans vulgarité. L’éclat de sa peau bronzée parfaitement lisse me fit perdre toute maîtrise, je restais un long moment planté sur place, fixant ma huitième merveille du monde, comme un idiot, la bouche légèrement ouverte.
Soudain, la belle tourna la tête dans ma direction, je n'ai pas eut le temps de faire croire que je regarder autre chose. Et là, surprise, il me semblait qu’elle m'avait souri. Très étonné, je fermais les yeux un instant et lorsque je les rouvrit, la fille n’était plus là. Je ne la revit pas de la matinée et inutile de préciser que je ne fut guère attentif en cours…
Tout l’après-midi, je m'évertuais à revoir ma mystérieuse inconnue. Elle semblait s’être envolée dans la nature. Je passais le temps en me demandant qui elle était, où elle habitait, quelle était son origine, ce qu’elle aimait, etc. En fin d’après-midi, alors que je m'interrogeais, je la vis soudain dans le hall de la fac.
Malheureusement, je me trouvais à l'étage et, mon cour, la politique lui avait parue inutile. Je me collais à la fenêtre vue sur le hall. Je la vis encore devant moi, sa chevelure était dégagée. Elle discutait avec une copine. Elle portait un chemisier bleu ainsi qu’une jupette noire. Elle s’était changée à midi, donc, elle devait habiter dans le quartier. Rapidement, le prof mit fin à mon regard en me donnant du travail à faire.
A peine rentré chez moi, je pris une bonne douche sous laquelle en pensant à mon inconnue, je me masturbais. Après avoir soigneusement lavé ma verge et mes testicules, je me séchais et sortit de sa salle de bain. Ensuite, je passais à table et racontais des banalités sur la fac à mes parents. Fatigué par ma journée, je me couchais rapidement, et mes yeux se fermèrent aussitôt.
Alors que je n’était pas vraiment endormi, je me mit à imaginer une horde de jeunes femmes en tenue légère qui, se présentaient à moi. Pendant que deux brunes se relayaient pour me faire chacune une fellation, une grande blonde remuait son derrière au-dessus de ma bouche. Son souffle et ses cris se faisait rapide elle agitait sa langue.
Lorsqu’elle me rendit ma liberté, je me jetais sur les deux brunes, elles se livrèrent à toutes sortes de caresses sur moi, infatigable, je résolus de leur faire l’amour à toutes. La première qui avait de belles courbes, je lui fis une levrette. La seconde une allure sportive avec un cul bien ferme. Je la sodomisais en lui pressant les seins.
Pendant que je finissais de défoncer le cul superbe qui m'était offert, la blonde qui m'avait chevauché se coucha sur la brune. Elle l’embrassa tout en lui caressant les seins. La brune, se laissait faire. Mais lorsqu’elle sentit la blonde faire glisser sa langue le long de son corps, elle sentit l’excitation monter en elle.
Je venait de finir de me vider les bourses, et me rendit compte du spectacle qui se déroulait devant mes yeux. La brune était sur le dos, la blonde sur la brune. Je me mit à quatre pattes et commença à pénétrer cette dernière. La brune ne tarda pas à me caresser mes testicules, ce qui multiplia mon plaisir. Ensuite, il y eut un grand flou, puis plus rien. J'étais à présent dans son lit. Je me levais machinalement, me doucha, prit mon petit-déjeuner et me rendit à l’école. Quelle nuit ! J'étais complètement knock-out.
En arrivant, personne dans l’établissement, qui était pourtant ouvert. Il y avait quelque chose de bizarre dans l’air. Sans doute était-il tout simplement trop tôt. J'allais faire demi-tour pour aller boire un café quand je la vis. Elle était près d’une des grandes colonnes de l’allée centrale. La belle était habillée comme la première fois où je l'avais vue. Elle me sourit. Quel beau sourire. Le regard qu’elle me jetait était cette fois-ci sans équivoque. Je la serrais contre la colonne, l’embrassais et caressais ses seins. Avec ma main libre, je lui soulevais sa jupe. Le contact avec ses lèvres fut une merveille.
Elle était vraiment exceptionnelle. Je ne réalisais pas ce qui m'arrivait. Je lui ôtais sa culotte et sa chemise. Totalement excité, Je lui arrachais son soutien-gorge avec mes dents tandis qu’elle me caressait les cheveux et me griffait de son autre main. Soudain, elle se baissa et me descendit mon pantalon. Comprenant ses intentions, je posais mes mains contre la colonne et la laissa me faire la meilleure fellation de ma vie.
Ensuite, elle se releva et me laissa lui relever sa jupe et la prendre par derrière. Elle se mit à respirer rapidement puis à hurler comme une chienne. J'étais au septième ciel. Je lui prit le cou de ma main droite et lui caressa les seins de l’autre. Puis, comme elle semblait elle aussi parvenir à l’orgasme, je me mouillais les doigts et m’occupais de son clitoris. Alors que nos soupirs étaient forts, je me demandais soudain, comment une telle chose était possible, comment cela avait pu m'arriver. Et c’est à cet instant que je me réveillais dans mon lit, et comprit, dépité, que je n’étais pas au bout de mon travail de séduction si je voulais pouvoir soulever véritablement la jupette écossaise. Tout depuis le début, n'était qu'un rêve !
Je n'avais pas eu le temps de me rendre compte que les vacances étaient finies et déjà mon cœur se mis à battre rapidement. Elle se tenait en face de moi, au milieu du couloir de la FAC : une petite jupe écossaise, un chemisier blanc et des bottines marron. Ses longs cheveux noirs avaient immédiatement attiré mon regard.
Je semblais planer, elle était parfaite. Sa tenue permettait de contempler ses longues jambes, son décolleté, suggérait une poitrine généreuse sans vulgarité. L’éclat de sa peau bronzée parfaitement lisse me fit perdre toute maîtrise, je restais un long moment planté sur place, fixant ma huitième merveille du monde, comme un idiot, la bouche légèrement ouverte.
Soudain, la belle tourna la tête dans ma direction, je n'ai pas eut le temps de faire croire que je regarder autre chose. Et là, surprise, il me semblait qu’elle m'avait souri. Très étonné, je fermais les yeux un instant et lorsque je les rouvrit, la fille n’était plus là. Je ne la revit pas de la matinée et inutile de préciser que je ne fut guère attentif en cours…
Tout l’après-midi, je m'évertuais à revoir ma mystérieuse inconnue. Elle semblait s’être envolée dans la nature. Je passais le temps en me demandant qui elle était, où elle habitait, quelle était son origine, ce qu’elle aimait, etc. En fin d’après-midi, alors que je m'interrogeais, je la vis soudain dans le hall de la fac.
Malheureusement, je me trouvais à l'étage et, mon cour, la politique lui avait parue inutile. Je me collais à la fenêtre vue sur le hall. Je la vis encore devant moi, sa chevelure était dégagée. Elle discutait avec une copine. Elle portait un chemisier bleu ainsi qu’une jupette noire. Elle s’était changée à midi, donc, elle devait habiter dans le quartier. Rapidement, le prof mit fin à mon regard en me donnant du travail à faire.
A peine rentré chez moi, je pris une bonne douche sous laquelle en pensant à mon inconnue, je me masturbais. Après avoir soigneusement lavé ma verge et mes testicules, je me séchais et sortit de sa salle de bain. Ensuite, je passais à table et racontais des banalités sur la fac à mes parents. Fatigué par ma journée, je me couchais rapidement, et mes yeux se fermèrent aussitôt.
Alors que je n’était pas vraiment endormi, je me mit à imaginer une horde de jeunes femmes en tenue légère qui, se présentaient à moi. Pendant que deux brunes se relayaient pour me faire chacune une fellation, une grande blonde remuait son derrière au-dessus de ma bouche. Son souffle et ses cris se faisait rapide elle agitait sa langue.
Lorsqu’elle me rendit ma liberté, je me jetais sur les deux brunes, elles se livrèrent à toutes sortes de caresses sur moi, infatigable, je résolus de leur faire l’amour à toutes. La première qui avait de belles courbes, je lui fis une levrette. La seconde une allure sportive avec un cul bien ferme. Je la sodomisais en lui pressant les seins.
Pendant que je finissais de défoncer le cul superbe qui m'était offert, la blonde qui m'avait chevauché se coucha sur la brune. Elle l’embrassa tout en lui caressant les seins. La brune, se laissait faire. Mais lorsqu’elle sentit la blonde faire glisser sa langue le long de son corps, elle sentit l’excitation monter en elle.
Je venait de finir de me vider les bourses, et me rendit compte du spectacle qui se déroulait devant mes yeux. La brune était sur le dos, la blonde sur la brune. Je me mit à quatre pattes et commença à pénétrer cette dernière. La brune ne tarda pas à me caresser mes testicules, ce qui multiplia mon plaisir. Ensuite, il y eut un grand flou, puis plus rien. J'étais à présent dans son lit. Je me levais machinalement, me doucha, prit mon petit-déjeuner et me rendit à l’école. Quelle nuit ! J'étais complètement knock-out.
En arrivant, personne dans l’établissement, qui était pourtant ouvert. Il y avait quelque chose de bizarre dans l’air. Sans doute était-il tout simplement trop tôt. J'allais faire demi-tour pour aller boire un café quand je la vis. Elle était près d’une des grandes colonnes de l’allée centrale. La belle était habillée comme la première fois où je l'avais vue. Elle me sourit. Quel beau sourire. Le regard qu’elle me jetait était cette fois-ci sans équivoque. Je la serrais contre la colonne, l’embrassais et caressais ses seins. Avec ma main libre, je lui soulevais sa jupe. Le contact avec ses lèvres fut une merveille.
Elle était vraiment exceptionnelle. Je ne réalisais pas ce qui m'arrivait. Je lui ôtais sa culotte et sa chemise. Totalement excité, Je lui arrachais son soutien-gorge avec mes dents tandis qu’elle me caressait les cheveux et me griffait de son autre main. Soudain, elle se baissa et me descendit mon pantalon. Comprenant ses intentions, je posais mes mains contre la colonne et la laissa me faire la meilleure fellation de ma vie.
Ensuite, elle se releva et me laissa lui relever sa jupe et la prendre par derrière. Elle se mit à respirer rapidement puis à hurler comme une chienne. J'étais au septième ciel. Je lui prit le cou de ma main droite et lui caressa les seins de l’autre. Puis, comme elle semblait elle aussi parvenir à l’orgasme, je me mouillais les doigts et m’occupais de son clitoris. Alors que nos soupirs étaient forts, je me demandais soudain, comment une telle chose était possible, comment cela avait pu m'arriver. Et c’est à cet instant que je me réveillais dans mon lit, et comprit, dépité, que je n’étais pas au bout de mon travail de séduction si je voulais pouvoir soulever véritablement la jupette écossaise. Tout depuis le début, n'était qu'un rêve !
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c'est râlant de rêver ainsi