La naissance d'une esclave (4)
Récit érotique écrit par Dom Star [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 7 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Dom Star ont reçu un total de 163 665 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 24 194 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La naissance d'une esclave (4)
La surprise du chef
Mon patron avait tenu sa promesse pour une invitation à un diner intime. Il souhaitait provoquer une réaction de sa femme. Il aurait souhaité la voir se libérer et donner libre cours à tous ses phantasmes.
Pour cela je m’étais procuré un punch planteur martiniquais d’une grand douceur mais redoutable par ses effets euphorisants. Tout le monde connaît bien ses effets. J’avais l’intention de servir notre hôtesse plus de raison. Mais je me gardais bien d’en avertir mon patron.
Pour cette soirée, je tenais à ce que ma femme soit nue sous sa robe. Je savais que mon patron serait ravi de cette initiative. Je demandais à ma femme d’être très attentive à notre hôtesse.
Nous arrivions vers les 8 heures du soir. J’étais agréablement surpris par notre hôtesse. C’était une belle femme mature d’environ 40 ans, bien en forme avec une superbe poitrine bien mise en valeur dans un chemisier blanc légèrement transparent. Elle portait une jupe plissée très classique juste au dessus du genou.
Nous prenions notre apéritif, et je constatais avec plaisir que mon patron s’était assis face à ma femme. Ma femme en profitait pour jouer avec ses jambes, les croisant, décroisant, légèrement écartées. Le regard de mon patron avait du mal à quitter l’entrejambe de ma femme. Quant à moi je discutais avec notre hôtesse des banalités quotidiennes tout en veillant à ce que son verre soit toujours rempli.
Profitant de l’actualité, je lançais la conversation sur le droit à la fessée pour les enfants. Chacun donnait son avis et le débat commençait à bien prendre, l’alcool aidant. Lentement j’orientais le débat vers la fessée en générale et surtout comme source de plaisir.
Notre hôtesse déclarait alors qu’elle n’avait jamais été fessée. Mon épouse lui déclarait alors tout de go :
« Quel dommage, pour moi c’est une source de grand plaisir de sentir des mains d’homme frapper mes fesses. La limite entre la douleur et le plaisir est bien mince. »
Mon patron en profitait pour remplir nos verres et je voyais bien que notre hôtesse avait bien du mal à rester cohérente.
Ma femme jouait avec le feu en racontant sa dernière fessée avec force détails. Je voyais mon patron devenir cramoisi, certainement la peur d’être annoncé comme spectateur !
Nous passions à table et effectivement le repas serait intime, la table était minuscule. Nous étions vraiment très proches l’un de l’autre. Mon patron assis à coté de ma femme et en face j’étais contre mon hôtesse. Celle-ci annonçait qu’elle ne comprenait pas pourquoi son époux avait insisté pour diner sur cette table où nous serions serrés comme des sardines en boîte. Dés le début du repas je remarquai que la main gauche de mon patron passait souvent sous la table. Je faisais tomber ma serviette et je voyais les jambes de ma femme écartées et une main qui lui caressait le sexe. Je tentais alors de faire du genou à ma voisine. Au premier contact, je sentais sa jambe fuir. Au deuxième, sa jambe restait contre la mienne. Certainement l’effet de du punch qui commençait . Le repas se déroulait bien et le champagne excellent ne cessait de remplir nos verres. Je glissais ma main sur la jambe de ma voisine, je sentais un raidissement soudain des muscles sous le tissu du bas, mais je continuais ma caresse très douce. Mon patron relançait alors le débat de la fessée. Il expliquait que certain acte méritait vraiment une correction et que c’était le seul moyen de punir le ou la coupable d’un acte délictueux. Ma main progressait vers le haut et je remarquais avec plaisir qu’elle ne portait pas de collant, car je venais de sentir sa peau sous mes doigts. Je la regardais et je voyais bien qu’elle commençait à rosir. J’atteignais sa culotte et j’essayais de glisser un doigt vers sa chatte. Elle avait alors un fort mouvement de recul et renversait son verre.
« Ma chère, que vous arrive-t-il ? » demandait alors mon patron.
« Rien, rien un sursaut stupide et peut-être trop d’alcool » répondait notre hôtesse.
« Je vais vous expliquer » lançais-je. Mon hôtesse posait sa main sur mon bras certainement pour m’avertir qu’elle ne voulait pas que je donne la vraie raison.
« Votre femme se laissait caresser la jambe et quand je voulais toucher son sexe elle a eu ce recul brutal» annonçais-je crument.
A ces mots mon patron se levait et visiblement jouait très bien la comédie du mari bafoué. Après avoir sorti quelques propos peu amènes sur les femmes, il déclarait qu’une punition immédiate était nécessaire.
Ma femme se levait et prenait les mains de notre hôtesse dans ses mains et criait, presque hystérique « une fessée une fessée… » Elle attirait notre hôtesse vers le centre de la table. Notre hôtesse était au bord des larmes et n’arrêtait pas de me rejeter la faute de ce sursaut.
Mon patron se levait, passait derrière sa femme, l’obligeait à se lever et à se pencher sur la table. La tête de notre hôtesse était alors à quelques centimètres du visage de ma femme.
Mon patron soulevait sa jupe et la tenait levée.
« Mon ami, vous me m’était dans une position honteuse ! » Elle commençait à pleurer. Ma femme, doucement lui embrassait le visage avec une grande douceur en lui répétant que ce n’était pas grand-chose, une petite fessée.
Mon patron déclarait alors : « A vous de jouer mon petit, je vous dois bien cela »
Je contemplais ce fessier avec ses deux fesses bien rondes cachées par une très jolie culotte en soie. Doucement je faisais glisser la culotte vers le bas.
« Mon dieu, quelle honte, vous laissez un homme me déshabiller, quel mari êtes vous donc », murmurait notre hôtesse.
A la première claque sur ses fesses nous avions entendu un sanglot. Ma femme prenait alors l’initiative de l’embrasser doucement sur les lèvres. Sans aucune réaction, notre hôtesse continuait à sangloter. Les baisers de ma femme, sur les yeux, les joues, les lèvres se faisaient plus insistant. A la deuxième de mes claques, nous avions la surprise de voir notre hôtesse répondre aux baisers de ma femme. Elle, aussi, se mettait à l’embrasser doucement sur les joues, sur les yeux, puis doucement sur les lèvres.
Quel beau tableau que ces deux femmes, qui se tenaient les mains, courbées au dessus d’une table. L’une avec une jupe relevée sur le dos et une culotte à mi-jambe et l’autre cambrée avec ses jambes bien écartées. Je cessais de donner la fessée et laisser les femmes s’embrasser. Les baisers devenaient de vrais patins. Ma femme faisait le tour de la table, sans lâcher les mains de notre hôtesse. Elles se retrouvaient debout, leurs lèvres soudées. Visiblement elles nous avaient oubliés. Ma femme lâchait une main et se mettait à caresser le dos de notre hôtesse en descendant doucement vers ses fesses. Bientôt elle posait sa main sur une fesse et la massais lentement. Notre hôtesse faisait de même sur la poitrine de ma femme. Elle caressait un sein presque tendrement. Ma femme, alors se séparait de notre hôtesse et enlevait sa robe. Elle apparaissait nue sur ses hauts talons. Ensuite elle entreprenait de déshabiller notre hôtesse.
Mon patron était statique et muet devant ce show.
Doucement ma femme déboutonnait le chemisier en laissant de petits baisers sur la gorge de notre hôtesse. Elle découvrait un soutien gorge avec ouverture sur le devant. Quant la fermeture lâchait, deux beaux seins apparaissaient. Ma femme doucement prenait un téton dans sa bouche et le suçait goulument. A notre surprise, notre hôtesse glissait sa main vers le sexe de ma femme. Pour lui faciliter le travail, elle écartait bien ses jambes et bientôt on devinait bien que quelques doigts s’étaient glissés dans sa chatte. Je sentais bien que mon patron voulait intervenir, mais je l’en empêchais.
Nous nous asseyions pour regarder ce spectacle. Ma femme entrainait notre hôtesse vers un canapé. Elle finissait de déshabiller sa partenaire. Notre hôtesse poussait ma femme sur le canapé et se mettait à l’embrasser sur tout le corps. Bientôt on voyait sa bouche collée au sexe de ma femme. Elle lui glissait ensuite deux doigts dans la chatte pendant que sa langue léchait le clitoris bien dressé de ma femme.
« Je ne connaissais pas ces talents à ma femme, cela doit être un souvenir du pensionnat de bonnes sœurs » déclarait mon patron. Et visiblement ces talents le faisaient bander. Je voyais bien qu’il avait du mal à se contenir. Je lui demandais alors de se déshabiller et d’aller aider sa femme à s’occuper de la mienne. Je voyais alors mon patron caresser presque amoureusement les seins de ma femme. C’était presque ridicule de le voir nu et bien bedonnant avec ces 2 femmes. Ma femme lui caressait le sexe et de temps à autre lui pressait les couilles.
Au bout d’un moment elle l’attirait dans sa bouche. Notre hôtesse continuait à s’occuper de sa chatte.
Je ne pouvais plus rester spectateur. Le cul de notre mature m’attirait trop. Je me déshabillais et m’approchais derrière notre hôtesse. Elle était accroupie sur le canapé, les fesses vers le haut. Je lui caressais son fessier et doucement je m’approchais de son sexe. Oh qu’il était mouillé. Une vraie fontaine, dans laquelle je n’avais aucun mal à glisser trois doigts. Elle accueillait cette gâterie visiblement avec plaisir. Mais je la laissais pour rejoindre ma femme.
D’autorité je lui mettais mon sexe dans la bouche et invitais mon patron à me rejoindre. Quel plaisir de voir ma femme suçer alternativement un sexe puis l’autre. Ses tentatives de nous prendre à deux restaient vaines. Très vite nous avions joui sur son visage. Elle était couverte de sperme bien épais. Je passais ma main sur ce foutre, et je la tendais à notre hôtesse. Elle ouvrait bien grande sa bouche et je lui enfournais 3 doigts chargés de sperme. Elle me suçait les doigts avec un intérêt réel. Ce spectacle faisait rebander mon patron.
« Chéri, mets-toi à 4 pattes et offres ton cul à mon patron » ordonnais-je.
Elle obéissait et telle une petite chienne remuait son cul devant le sexe de mon patron.
Visiblement, il choisissait de l’enculer lentement.
A ce moment notre hôtesse criait « Moi aussi je veux une queue, une queue dans ma chatte… »
Je lui montrais mon sexe en piteux état pour une pénétration. Alors elle prenait la bouteille de champagne qui trainait sur la table et me disait « Cela doit pouvoir me satisfaire ».
Je lui enfonçais alors doucement la bouteille dans la chatte. Elle était là à 4 pattes avec une bouteille dans le sexe et ne ménageait pas ces encouragements pour que je la fasse jouir.
Devant ce spectacle, nous entendions un grand han annonçant la jouissance de mon patron.
Il se retirait de ma femme rapidement, du sperme coulait encore de son sexe. Je demandais à ma femme de nous montrer son cul. Alors elle se tournait et nous présentait son cul, les fesses bien ouvertes. On voyait son anus dilaté d’où suintait une belle quantité de sperme. Je poussais la tête de notre hôtesse vers ce beau cul. Notre hôtesse après un instant d’hésitation se mettait à lécher la raie de ma femme. On voyait sa langue nettoyer chaque petite goutte que laissait échapper l’anus. Elle glissait même sa langue dans l’anus de ma femme. Ma femme appréciait fortement ce petit lavement. On voyait ses doigts caressaient son clitoris vigoureusement. A ce spectacle mon sexe bandait fortement et je retirais brutalement la bouteille et je pénétrais fortement notre hôtesse. Mon patron lui aussi avait repris des forces et je le voyais glisser son sexe dans la bouche de ma femme. Nous formions une bien belle chenille. A mon grand étonnement je voyais notre hôtesse prendre la bouteille de champagne et la diriger vers le cul de ma femme. J’arrêtais mon va et vient pour mieux observer. Elle avait longuement léché le petit trou de ma femme, il était donc lubrifié par sa salive et le sperme de son mari. Le goulot pénétra très vite, les premiers centimètres aussi. Mais après je voyais bien qu’elle poussait fort pour faire entrer la bouteille. Je voyais l’anus de ma femme se dilatait. Elle abandonnait sa succion pour exprimer son désaccord. Je voyais alors mon patron se saisir des épaules de ma femme pour l’empêcher de bouger. Sa femme retirait un peu la bouteille puis la repoussait un peu plus loin. Je voyais que le corps de la bouteille n’était plus très loin de pénétrer ma femme. Ses cris oscillaient entre la douleur et le plaisir. Mon patron encourageait sa femme en lui criant qu’elle l’excitait et c’est vrai que son sexe avait l’air très tendu. La vision de ma femme le cul écartelé par une bouteille n’était pas pour me déplaire. Notre hôtesse continuait ses lents va et vient, poussant toujours un peu plus loin sa bouteille. Ma femme haletait et je voyais sa chatte humide coulait, elle prenait son pied, la garce !!! Je redoublais d’effort pour bourrer la femme du patron, et à grand coups de queue je tapais mes couilles contre ses fesses.
« Oui, elle est bonne cette queue, plus longue que celle de mon mari, elle me fait du bien, ahhh c’est bon, je vais jouir, vous entendez mon cher, je vais jouir d’un autre homme » voila ce qu’elle hurlait presque.
Je lâchais tout mon sperme au fond de sa chatte, elle poussait de petits cris et son mari se masturbait comme un fou en nous regardant. Ma femme aussi poussait son cul vers la bouteille et hurlait à son tour sa jouissance. Mon patron explosait de foutre, il nous arrosait de jets puissants. Il fallait quelques instants pour que cette tension retombe. Ma femme était allongée, une bouteille de champagne dans le cul, notre hôtesse était littéralement anéantie, son cul lui aussi en l’air, les hommes avaient le sexe en berne.
« J’ai le cul en feu » ne cessait de murmurer ma femme. Je m’approchais alors d’elle et lui demandais « Cette punition était-elle bonne ? »
« Oui mon amour, oh oui » répondait-elle. Par pure malice j’appuyais encore un peu sur la bouteille, juste pour bien voir son anus dilaté à l’extrême. Je pensais qu’il en avait fallu pas mal de grosses bites dans son cul pour accepter un tel engin…
La soirée se terminait sur ces entre-fesses…
Le lendemain, la journée au boulot était surtout utilisée pour récupérer de la veille. Mon patron était passé me féliciter pour cet excellent repas. Mais ma surprise arrivait plus tard. Sur le coup de 16 heures j’ai reçu un appel de la femme de mon patron. J’avais un sentiment d’angoisse car je me souvenais de son état d’ébriété…
« Mon cher, hier soir fut une révélation ! Je n’avais point connu autant de plaisirs depuis mes années d’internat au lycée de jeunes filles. Alors au risque de vous surprendre j’aimerai vous revoir. J’ai téléphoné avant à votre femme, et elle m’a raconté dans quelle situation vous vous amusiez à la placer. Je sais que je suis une femme mature, mais j’ai grande envie de combler quelques lacunes. M’accepteriez-vous comme deuxième esclave ? »
Je vous laisse deviner ma réponse…
Mon patron avait tenu sa promesse pour une invitation à un diner intime. Il souhaitait provoquer une réaction de sa femme. Il aurait souhaité la voir se libérer et donner libre cours à tous ses phantasmes.
Pour cela je m’étais procuré un punch planteur martiniquais d’une grand douceur mais redoutable par ses effets euphorisants. Tout le monde connaît bien ses effets. J’avais l’intention de servir notre hôtesse plus de raison. Mais je me gardais bien d’en avertir mon patron.
Pour cette soirée, je tenais à ce que ma femme soit nue sous sa robe. Je savais que mon patron serait ravi de cette initiative. Je demandais à ma femme d’être très attentive à notre hôtesse.
Nous arrivions vers les 8 heures du soir. J’étais agréablement surpris par notre hôtesse. C’était une belle femme mature d’environ 40 ans, bien en forme avec une superbe poitrine bien mise en valeur dans un chemisier blanc légèrement transparent. Elle portait une jupe plissée très classique juste au dessus du genou.
Nous prenions notre apéritif, et je constatais avec plaisir que mon patron s’était assis face à ma femme. Ma femme en profitait pour jouer avec ses jambes, les croisant, décroisant, légèrement écartées. Le regard de mon patron avait du mal à quitter l’entrejambe de ma femme. Quant à moi je discutais avec notre hôtesse des banalités quotidiennes tout en veillant à ce que son verre soit toujours rempli.
Profitant de l’actualité, je lançais la conversation sur le droit à la fessée pour les enfants. Chacun donnait son avis et le débat commençait à bien prendre, l’alcool aidant. Lentement j’orientais le débat vers la fessée en générale et surtout comme source de plaisir.
Notre hôtesse déclarait alors qu’elle n’avait jamais été fessée. Mon épouse lui déclarait alors tout de go :
« Quel dommage, pour moi c’est une source de grand plaisir de sentir des mains d’homme frapper mes fesses. La limite entre la douleur et le plaisir est bien mince. »
Mon patron en profitait pour remplir nos verres et je voyais bien que notre hôtesse avait bien du mal à rester cohérente.
Ma femme jouait avec le feu en racontant sa dernière fessée avec force détails. Je voyais mon patron devenir cramoisi, certainement la peur d’être annoncé comme spectateur !
Nous passions à table et effectivement le repas serait intime, la table était minuscule. Nous étions vraiment très proches l’un de l’autre. Mon patron assis à coté de ma femme et en face j’étais contre mon hôtesse. Celle-ci annonçait qu’elle ne comprenait pas pourquoi son époux avait insisté pour diner sur cette table où nous serions serrés comme des sardines en boîte. Dés le début du repas je remarquai que la main gauche de mon patron passait souvent sous la table. Je faisais tomber ma serviette et je voyais les jambes de ma femme écartées et une main qui lui caressait le sexe. Je tentais alors de faire du genou à ma voisine. Au premier contact, je sentais sa jambe fuir. Au deuxième, sa jambe restait contre la mienne. Certainement l’effet de du punch qui commençait . Le repas se déroulait bien et le champagne excellent ne cessait de remplir nos verres. Je glissais ma main sur la jambe de ma voisine, je sentais un raidissement soudain des muscles sous le tissu du bas, mais je continuais ma caresse très douce. Mon patron relançait alors le débat de la fessée. Il expliquait que certain acte méritait vraiment une correction et que c’était le seul moyen de punir le ou la coupable d’un acte délictueux. Ma main progressait vers le haut et je remarquais avec plaisir qu’elle ne portait pas de collant, car je venais de sentir sa peau sous mes doigts. Je la regardais et je voyais bien qu’elle commençait à rosir. J’atteignais sa culotte et j’essayais de glisser un doigt vers sa chatte. Elle avait alors un fort mouvement de recul et renversait son verre.
« Ma chère, que vous arrive-t-il ? » demandait alors mon patron.
« Rien, rien un sursaut stupide et peut-être trop d’alcool » répondait notre hôtesse.
« Je vais vous expliquer » lançais-je. Mon hôtesse posait sa main sur mon bras certainement pour m’avertir qu’elle ne voulait pas que je donne la vraie raison.
« Votre femme se laissait caresser la jambe et quand je voulais toucher son sexe elle a eu ce recul brutal» annonçais-je crument.
A ces mots mon patron se levait et visiblement jouait très bien la comédie du mari bafoué. Après avoir sorti quelques propos peu amènes sur les femmes, il déclarait qu’une punition immédiate était nécessaire.
Ma femme se levait et prenait les mains de notre hôtesse dans ses mains et criait, presque hystérique « une fessée une fessée… » Elle attirait notre hôtesse vers le centre de la table. Notre hôtesse était au bord des larmes et n’arrêtait pas de me rejeter la faute de ce sursaut.
Mon patron se levait, passait derrière sa femme, l’obligeait à se lever et à se pencher sur la table. La tête de notre hôtesse était alors à quelques centimètres du visage de ma femme.
Mon patron soulevait sa jupe et la tenait levée.
« Mon ami, vous me m’était dans une position honteuse ! » Elle commençait à pleurer. Ma femme, doucement lui embrassait le visage avec une grande douceur en lui répétant que ce n’était pas grand-chose, une petite fessée.
Mon patron déclarait alors : « A vous de jouer mon petit, je vous dois bien cela »
Je contemplais ce fessier avec ses deux fesses bien rondes cachées par une très jolie culotte en soie. Doucement je faisais glisser la culotte vers le bas.
« Mon dieu, quelle honte, vous laissez un homme me déshabiller, quel mari êtes vous donc », murmurait notre hôtesse.
A la première claque sur ses fesses nous avions entendu un sanglot. Ma femme prenait alors l’initiative de l’embrasser doucement sur les lèvres. Sans aucune réaction, notre hôtesse continuait à sangloter. Les baisers de ma femme, sur les yeux, les joues, les lèvres se faisaient plus insistant. A la deuxième de mes claques, nous avions la surprise de voir notre hôtesse répondre aux baisers de ma femme. Elle, aussi, se mettait à l’embrasser doucement sur les joues, sur les yeux, puis doucement sur les lèvres.
Quel beau tableau que ces deux femmes, qui se tenaient les mains, courbées au dessus d’une table. L’une avec une jupe relevée sur le dos et une culotte à mi-jambe et l’autre cambrée avec ses jambes bien écartées. Je cessais de donner la fessée et laisser les femmes s’embrasser. Les baisers devenaient de vrais patins. Ma femme faisait le tour de la table, sans lâcher les mains de notre hôtesse. Elles se retrouvaient debout, leurs lèvres soudées. Visiblement elles nous avaient oubliés. Ma femme lâchait une main et se mettait à caresser le dos de notre hôtesse en descendant doucement vers ses fesses. Bientôt elle posait sa main sur une fesse et la massais lentement. Notre hôtesse faisait de même sur la poitrine de ma femme. Elle caressait un sein presque tendrement. Ma femme, alors se séparait de notre hôtesse et enlevait sa robe. Elle apparaissait nue sur ses hauts talons. Ensuite elle entreprenait de déshabiller notre hôtesse.
Mon patron était statique et muet devant ce show.
Doucement ma femme déboutonnait le chemisier en laissant de petits baisers sur la gorge de notre hôtesse. Elle découvrait un soutien gorge avec ouverture sur le devant. Quant la fermeture lâchait, deux beaux seins apparaissaient. Ma femme doucement prenait un téton dans sa bouche et le suçait goulument. A notre surprise, notre hôtesse glissait sa main vers le sexe de ma femme. Pour lui faciliter le travail, elle écartait bien ses jambes et bientôt on devinait bien que quelques doigts s’étaient glissés dans sa chatte. Je sentais bien que mon patron voulait intervenir, mais je l’en empêchais.
Nous nous asseyions pour regarder ce spectacle. Ma femme entrainait notre hôtesse vers un canapé. Elle finissait de déshabiller sa partenaire. Notre hôtesse poussait ma femme sur le canapé et se mettait à l’embrasser sur tout le corps. Bientôt on voyait sa bouche collée au sexe de ma femme. Elle lui glissait ensuite deux doigts dans la chatte pendant que sa langue léchait le clitoris bien dressé de ma femme.
« Je ne connaissais pas ces talents à ma femme, cela doit être un souvenir du pensionnat de bonnes sœurs » déclarait mon patron. Et visiblement ces talents le faisaient bander. Je voyais bien qu’il avait du mal à se contenir. Je lui demandais alors de se déshabiller et d’aller aider sa femme à s’occuper de la mienne. Je voyais alors mon patron caresser presque amoureusement les seins de ma femme. C’était presque ridicule de le voir nu et bien bedonnant avec ces 2 femmes. Ma femme lui caressait le sexe et de temps à autre lui pressait les couilles.
Au bout d’un moment elle l’attirait dans sa bouche. Notre hôtesse continuait à s’occuper de sa chatte.
Je ne pouvais plus rester spectateur. Le cul de notre mature m’attirait trop. Je me déshabillais et m’approchais derrière notre hôtesse. Elle était accroupie sur le canapé, les fesses vers le haut. Je lui caressais son fessier et doucement je m’approchais de son sexe. Oh qu’il était mouillé. Une vraie fontaine, dans laquelle je n’avais aucun mal à glisser trois doigts. Elle accueillait cette gâterie visiblement avec plaisir. Mais je la laissais pour rejoindre ma femme.
D’autorité je lui mettais mon sexe dans la bouche et invitais mon patron à me rejoindre. Quel plaisir de voir ma femme suçer alternativement un sexe puis l’autre. Ses tentatives de nous prendre à deux restaient vaines. Très vite nous avions joui sur son visage. Elle était couverte de sperme bien épais. Je passais ma main sur ce foutre, et je la tendais à notre hôtesse. Elle ouvrait bien grande sa bouche et je lui enfournais 3 doigts chargés de sperme. Elle me suçait les doigts avec un intérêt réel. Ce spectacle faisait rebander mon patron.
« Chéri, mets-toi à 4 pattes et offres ton cul à mon patron » ordonnais-je.
Elle obéissait et telle une petite chienne remuait son cul devant le sexe de mon patron.
Visiblement, il choisissait de l’enculer lentement.
A ce moment notre hôtesse criait « Moi aussi je veux une queue, une queue dans ma chatte… »
Je lui montrais mon sexe en piteux état pour une pénétration. Alors elle prenait la bouteille de champagne qui trainait sur la table et me disait « Cela doit pouvoir me satisfaire ».
Je lui enfonçais alors doucement la bouteille dans la chatte. Elle était là à 4 pattes avec une bouteille dans le sexe et ne ménageait pas ces encouragements pour que je la fasse jouir.
Devant ce spectacle, nous entendions un grand han annonçant la jouissance de mon patron.
Il se retirait de ma femme rapidement, du sperme coulait encore de son sexe. Je demandais à ma femme de nous montrer son cul. Alors elle se tournait et nous présentait son cul, les fesses bien ouvertes. On voyait son anus dilaté d’où suintait une belle quantité de sperme. Je poussais la tête de notre hôtesse vers ce beau cul. Notre hôtesse après un instant d’hésitation se mettait à lécher la raie de ma femme. On voyait sa langue nettoyer chaque petite goutte que laissait échapper l’anus. Elle glissait même sa langue dans l’anus de ma femme. Ma femme appréciait fortement ce petit lavement. On voyait ses doigts caressaient son clitoris vigoureusement. A ce spectacle mon sexe bandait fortement et je retirais brutalement la bouteille et je pénétrais fortement notre hôtesse. Mon patron lui aussi avait repris des forces et je le voyais glisser son sexe dans la bouche de ma femme. Nous formions une bien belle chenille. A mon grand étonnement je voyais notre hôtesse prendre la bouteille de champagne et la diriger vers le cul de ma femme. J’arrêtais mon va et vient pour mieux observer. Elle avait longuement léché le petit trou de ma femme, il était donc lubrifié par sa salive et le sperme de son mari. Le goulot pénétra très vite, les premiers centimètres aussi. Mais après je voyais bien qu’elle poussait fort pour faire entrer la bouteille. Je voyais l’anus de ma femme se dilatait. Elle abandonnait sa succion pour exprimer son désaccord. Je voyais alors mon patron se saisir des épaules de ma femme pour l’empêcher de bouger. Sa femme retirait un peu la bouteille puis la repoussait un peu plus loin. Je voyais que le corps de la bouteille n’était plus très loin de pénétrer ma femme. Ses cris oscillaient entre la douleur et le plaisir. Mon patron encourageait sa femme en lui criant qu’elle l’excitait et c’est vrai que son sexe avait l’air très tendu. La vision de ma femme le cul écartelé par une bouteille n’était pas pour me déplaire. Notre hôtesse continuait ses lents va et vient, poussant toujours un peu plus loin sa bouteille. Ma femme haletait et je voyais sa chatte humide coulait, elle prenait son pied, la garce !!! Je redoublais d’effort pour bourrer la femme du patron, et à grand coups de queue je tapais mes couilles contre ses fesses.
« Oui, elle est bonne cette queue, plus longue que celle de mon mari, elle me fait du bien, ahhh c’est bon, je vais jouir, vous entendez mon cher, je vais jouir d’un autre homme » voila ce qu’elle hurlait presque.
Je lâchais tout mon sperme au fond de sa chatte, elle poussait de petits cris et son mari se masturbait comme un fou en nous regardant. Ma femme aussi poussait son cul vers la bouteille et hurlait à son tour sa jouissance. Mon patron explosait de foutre, il nous arrosait de jets puissants. Il fallait quelques instants pour que cette tension retombe. Ma femme était allongée, une bouteille de champagne dans le cul, notre hôtesse était littéralement anéantie, son cul lui aussi en l’air, les hommes avaient le sexe en berne.
« J’ai le cul en feu » ne cessait de murmurer ma femme. Je m’approchais alors d’elle et lui demandais « Cette punition était-elle bonne ? »
« Oui mon amour, oh oui » répondait-elle. Par pure malice j’appuyais encore un peu sur la bouteille, juste pour bien voir son anus dilaté à l’extrême. Je pensais qu’il en avait fallu pas mal de grosses bites dans son cul pour accepter un tel engin…
La soirée se terminait sur ces entre-fesses…
Le lendemain, la journée au boulot était surtout utilisée pour récupérer de la veille. Mon patron était passé me féliciter pour cet excellent repas. Mais ma surprise arrivait plus tard. Sur le coup de 16 heures j’ai reçu un appel de la femme de mon patron. J’avais un sentiment d’angoisse car je me souvenais de son état d’ébriété…
« Mon cher, hier soir fut une révélation ! Je n’avais point connu autant de plaisirs depuis mes années d’internat au lycée de jeunes filles. Alors au risque de vous surprendre j’aimerai vous revoir. J’ai téléphoné avant à votre femme, et elle m’a raconté dans quelle situation vous vous amusiez à la placer. Je sais que je suis une femme mature, mais j’ai grande envie de combler quelques lacunes. M’accepteriez-vous comme deuxième esclave ? »
Je vous laisse deviner ma réponse…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Dom Star
5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moi j'ai demandé à ma femme de faire un super streap tease pour l'anniversaire de mon
meilleur ami, je peux vous assuré que même moi j'ai été bleufé par son strip tease
super excitant et complet !
meilleur ami, je peux vous assuré que même moi j'ai été bleufé par son strip tease
super excitant et complet !
merci pour ce récit! j'envie fortement votre femme!
Une suite ! C'est vraiment génial ! Continue stp !
ne tarrt pas en si bon chemin
vive les esclave (epouse) comme la votre : )