La nounou.

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : La nounou. Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La nounou.
Cette histoire se déroule vers mes 35 ans, j'en parais moins, encore, mais je reste un homme mur quand même.

Comme Corinne et moi avons deux emplois à temps plein, nous sommes obligés d'employer une nounou pour nos deux enfants, les jours ou ils ne sont pas à l'école et après les cours.

Dès le premier jour, j'ai été sous son charme.
Une blonde magnifique, avec un regard doux aux yeux verts.

Elle avait une vingtaine d'années, très belle et adorable, sans artifices, bref j'avais du mal à éviter de l'admirer.

Elle s'appelle Christine, ses regards sur moi me font fondre et douter de ses intentions.

Au cours des semaines qui passent, nous parlons beaucoup avant que j'aille bosser.
Le contact passe merveilleusement bien entre nous, j'ai le sentiment qu'elle m'admire.

Je sais qu'elle a un petit ami, et une sœur qui va la remplacer quelques fois, mais qui, si elle est très belle aussi, n'a pas son charme.
Sa sœur est beaucoup dans la provocation et le maquillage à outrance, elle n'a pas l'air de m'apprécier, non plus !
Est-ce qu'elle me considère comme un danger pour le couple de sa sœur ? Lui as t'elle confié que je lui plaisais ?

Mais peut-être aussi que je me fais des illusions !

Le temps passe et Christine devient une obsession.
J'attend avec impatience ce moment ou nous parlons tous les deux, pendant la sieste de mon fils.

Je ne résiste plus à ses regards envers moi, nos silences, lors de nos échanges, les yeux dans les yeux, sont énigmatiques pour moi.

Les semaines passent encore, je souffre désormais de l'aimer secrètement.
Je ne veux pas passer à l'acte, vis a vis de Corinne qui ignore tout de mes sentiments envers Christine.

Finalement, lorsqu'elle se fait remplacer par sa sœur, même si elle me manque, c'est aussi une souffrance de tentation en moins.

Puis, il y a ce jour, mon fils dort depuis peu, il me reste une heure avant l'ouverture de mon commerce.
Christine est toujours aussi rayonnante et magnifique.

On s'appelle par nos prénoms à présent, la tension qui m'attire vers elle est trop insoutenable.
Ca me fait mal !

Je lui dis alors:

"Bon ! Christine ! Je vais partir maintenant, c'est mieux comme ça !".
"Ah, bon ! Pourquoi ? Restes encore un peu ! Pourquoi tu t'en vas maintenant ?".
"Je peux pas te le dire, désolé !".

Elle me retient, en me prenant la main, et demande d'une voix toujours aussi douce:

"Pourquoi, dis le moi ! S'il te plait !".
"Christine, je peux pas ! C'est trop dur !".
"S'il te plait !".

Je baisse la tête et murmure:

"Je... Je t'aime ! Et il ne faut pas ! Pour ton couple, le mien !".

Elle pose la main sur ma joue, et m'attire vers ses lèvres.

"Chhhhht, moi aussi, je t'aime ! Embrasse-moi !".

Nous échangeons un baiser merveilleux et interminable.
Ce baiser confirme que nous sommes en phase, elle et moi.
Dès que nous séparons nos lèvres, je lui dis:

"On aurait pas du ! Même si j'en rêve depuis des semaines !".
"Moi, aussi ! J'y pense sans arrêt ! Tu m'obsèdes ! Pascal !".
"Mais pourquoi, j'ai 15 ans de plus que toi !".
"Tu es tellement charismatique, tu dégages un charme fou, tu es beau aussi ! Je me sens bien avec toi ! J'aime ton univers ! ton intelligence !".
"Je mérite pas tout ce que tu me dis, tu es jeune, c'est pour ça que j'ai de l'influence sur toi !".
"Je t'aime ! T'as pas le droit de minimiser mes sentiments !".

Elle m'attire vers la chambre d'amis, puis je l'embrasse encore.
Mes gestes sont très doux, puis deviennent plus appuyés, lorsque j'atteins ses seins magnifiques, de taille moyenne et très fermes.
Elle gémit en subissant mes mordillements dans le cou.

"Ahhh ! Pascal, oui, je te veux ! Encore !".

Je la couche sur le lit, puis lui dévoile le torse pour l'aimer longuement de ma bouche et mes mains.
Elle se contorsionne comme une chatte.

"Ahhh ! Pascal ! C'est bon ! Tu me fais bien l'amour ! Prends-moi vite !".

Je lui baisse sa jupe et sa culotte, puis me relève en me mettant nu devant elle.
Je plonge entre ses cuisses, en l'embrassant passionnément, puis je m'écarte et lui mordille le cou, tout en la pénétrant.

"Arhhhhhhhhhhhhh ! Pascal ! C'est trop beau ! Encore ! Je t'aime !".

Je cale mon mouvement sur mes baisers et ses gémissements, dans une danse langoureuse, tendre et passionnée.
Je la voit monter, encore et encore, inlassablement, dans son chemin vers le plaisir intense.

Je ressens un bonheur immense lorsqu'elle me gratifie d'un orgasme fulgurant sous mes assauts contrôlés.
Elle jouit en me déclarant son amour, puis son plaisir retombe, elle se met à pleurer.

"Je t'aime trop, comment je vais faire ! Tu as des enfants et j'adore Corinne ! Et j'aime Philippe aussi !".
"Je suis désolé ! C'est pour éviter ça, que je voulais que tu me laisses partir ! On est allés trop loin, maintenant !".

Elle m'attire vers elle et me demande de l'aimer encore.

Puis, elle me chevauche en se donnant à moi dans une magnifique danse corporelle, pendant que je lui malaxe les seins passionnément.
Elle atteint deux autres orgasmes avant que j'explose en elle, en lui criant mon amour.

On a du mal à se séparer, mais nous ne sommes pas fier de nous.

Voilà, c'est fait ! On a franchi la ligne interdite, et on s'aime ! Mais cela nous est impossible.
Je la quitte pour rejoindre mon commerce, en emportant un paquet de mouchoirs.
J'en aurais besoin pour essuyer mes larmes.

Chacun de nous deux, sait que l'autre était heureux avant cette erreur, mais il nous reste cette énorme attirance, qui est devenue un véritable amour !
Que va t'il se passer pour la suite ?

De mon coté, ma nuit fut mouvementée, mes sentiments envers elle, me torturent.
J'aime toujours ma femme, et j'aime ma vie, avec nos enfants.

Le lendemain, nous sommes un peu gênés, nous cachons nos sentiments devant Corinne.
Ma femme part au travail, je m'isole pendant que Christine endort mon fils.

Puis, elle vient vers moi et me pousse vers la chambre d'amis.

"Christine ! Non ! Arrêtes !".
"J'en ai besoin ! Mon amour ! S'il te plait !".

On ferme à clef derrière nous, puis elle m'allonge sur le lit et m'embrasse passionnément, en me chevauchant.

Elle dégrafe ma braguette, sans quitter ma bouche.
Elle dégage mon sexe en complète érection.

"Tu vois, toi aussi, tu en as envie ! Je veux que tu me refasses l'amour comme hier ! C'était trop beau ! Je savais que tu étais comme ça, ça se voit !".

Elle me répète, ce que beaucoup de jeunes filles, disaient de moi, plusieurs années auparavant.
Elles me faisaient une réputation de tombeur et d'amant passionné, ce qui m'a beaucoup servi, mais aussi, causé des problèmes.

Christine se dirige lentement vers mon sexe, puis je suis pris d'un plaisir immense quand elle me recouvre de sa bouche.

"Ahhhhhhhhh ! Christine ! Tu me rend fou ! Je t'aime trop ! Oh, c'est bon !".

Sa bouche est délicieuse, chaque mouvement est parfait, je me laisse aller entre ses lèvres.
C'est à la fois doux, pervers, chaud, humide.

Je craque littéralement lorsqu'elle me lèche longuement en appuyant plus fermement avec sa langue.

"Ahhhhhhhh ! Christine, stop ! J'en peux plus ! C'est trop fort !".

Je l'écarte en insistant, puis je l'embrasse encore et encore.
Sa bouche si gourmande, me rend dingue.

Elle s'écarte et se déshabille devant moi, avec un regard d'offrande.
Je l'imite sans perdre une seconde, de son strip-tease langoureux.

Je plonge mon visage entre ses cuisses et lui offre un cunnilingus intense.
Elle se contorsionne en jouissant dans ma bouche affamée.

Je la pénètre enfin, avec profondeur et puissance, tout en aimant sa bouche, ses seins, son cou avec mes lèvres, mes dents et mes mains.

"Arhhhhhhhhhh ! Pascal, tu fais trop bien l'amour, comment je vais faire pour me passer de toi ! Je veux tout te donner ! Prends tout ce que tu veux !".

Elle ne devrait pas me dire ça ! Du coup, elle me donne envie de la sodomiser ! Mais, pas tout de suite !
Je lui procure deux orgasmes consécutifs.

Comme souvent, dans ces cas là, ma passion bloque mon plaisir physique, au bénéfice du plaisir cérébral de la faire jouir.

Elle se tourne sur le ventre, je monte sur elle et je ne sais pourquoi, je m'amuse à la prendre dans tous les sens.

D'abord conventionnellement, mon ventre contre son dos, puis je la pénètre en étant à l'équerre sur elle.
ses cris de plaisir m'encouragent, puis je me tourne encore pour la pénétrer en me tenant à ses pieds.
Ma queue coulisse en elle, en raclant son vagin avec force, elle hurle son plaisir dans sa main, pour ne pas se faire entendre.
J'ai enfin le bonheur de lui donner un orgasme fulgurant.

Je me retire, ma queue me fait mal en s'éjectant de sa chatte.

Je la regarde, elle est si belle après l'orgasme.

Je reviens sur elle, puis je lui dévore les fesses.

Je me hasarde sur son magnifique anus en scrutant ses réactions.
Elle fait glisser ses mains, et s'écarte les fesses pour m'accompagner.
Je lui dévore l'anus avec encore plus d'envie.

Puis, je remonte vers son visage, en collant mon gland turgescent de désir, contre son œillet.
Elle écarte toujours ses fesses avec ses mains.

"Tu le veux vraiment ? Christine ?".
"Oui ! Je le veux ! Prends-moi comme ça aussi !".

Mon sexe progresse lentement, en douceur, et en quelques mouvements, de plus en plus profonds.
Son plaisir anal me rassure, lorsque j'atteins le fond de son anus.

Je ne veux pas que cela soit bestial, je veux l'aimer analement.
Je réitère ma passion envers elle, mais ce qui change, c'est que je suis dans son magnifique cul.

Il me faut l'aimer plus longtemps, elle est moins sensible à cet endroit ! Je suis au bord de l'explosion.
Son anus est énormément lubrifié, sous mes assauts incessants.

Mais par chance, elle me gratifie d'un énorme orgasme anal, Je peux alors me laisser aller.
Je me déverse en elle, qui se cambre pour me permettre de jouir plus profondément dans ses fesses.

"Ohhhhhhhhhh ! Même ça, c'est beau avec toi ! Arhhhhhhhhhh ! Je t'aime Pascal ! Je t'oublierai jamais !".
"Moi aussi, Christine !".

Je me relève, pour admirer ses fesses, empalées sur ma queue.
Je me retire, et lui dévore les lobes de son cul avec passion.
Elle pollue sa vulve avec mon sperme, en faisant un petit bruit.

"Oups ! Pardon !".
"C'est normal ! Christine ! C'est ma faute !".
"Tu sais, tu es le seul homme, à part Philippe, qui m'a prise par là !".
"Tu regrettes ?".
"Non, au contraire ! avec Philippe, C'est plus sexe ! C'est bien aussi, mais je crois que je préfère comme ça ! Je suis montée très haut !".

On se relève ensemble, puis elle pousse un cri !

"Ahhnn ! Non ! Qu'est-ce que c'est ?".

Je suis son regard et vois une tâche énorme sur le lit, là ou se trouvait son anus.
Je touche la tache, et lui dis:

"C'est de la cyprine ! Je t'en remercie d'ailleurs ! C'est la preuve que tu as pris énormément de plaisir avec ton... Euh, ton cul !".
"C'est normal ? Alors ? C'est pour ça que j'ai eu l'impression de me faire dessus !".
"Oui ! C'est pas courant à ton âge, mais ça arrive ! Le souci, c'est que Corinne ne doit pas le voir !".

On éponge comme on peut, la tache, puis la chaleur de l'été, nous as bien aidé.

Je suis parti travailler avec du retard, ce jour là, comme beaucoup d'autres, les jours suivants.
Elle a trouvé l'idée de me rejoindre à ma boutique, en fin de journée, quand son copain sortait entre potes.

On savait tous les deux que cela ne pouvait plus durer, elle ne voulait pas briser mon couple.
Elle adorait Corinne et mes deux enfants.
Quand à moi, je respectais son couple aussi, même si je trouvais que Philippe ne lui correspondait pas, il était sans épaisseur.
Mais c'était son choix !

Ce fut encore idyllique pendant un mois, entre passion et douleur, quand même.

Puis Christine a pris une lourde, mais salutaire décision, elle a prétexté l'impossibilité de continuer à travailler pour nous, à cause d'un emploi à temps complet.

Corinne a été triste qu'elle nous quitte, puis plusieurs mois plus tard, je lui ai avoué notre amour.

Elle a tout compris, cela l'a beaucoup blessée, mais elle était encore sûre de mes sentiments pour elle, et m'a pardonné.
Elle aussi, avait eu des sentiments pour un de mes meilleurs amis, ils ne sont jamais passés à l'acte.
Mais elle connaissait cette situation, et s'est souvenue de ma compréhension, à cette époque.

C'était difficile de cacher mon émotion quand ma fille me disait plusieurs années après.

"Papa ! J'ai croisé Christine, ça m'a fait plaisir de la revoir ! Elle te fait un énorme bisou ! Elle pense souvent à toi !".

Moi aussi, j'y pense encore ! Elle fait partie de mes plus beaux souvenirs.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Belle histoire la nounou voulait essayer autre chose que Philippe ,elle sait retenue bien à tant car cela deviendrait dangereux l amour rend aveugle …



Texte coquin : La nounou.
Histoire sexe : Une rose rouge
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