La nounou.2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La nounou.2
La décision est prise !
Christine va nous quitter, j'en suis malheureux, mais soulagé aussi !
Elle nous laisse du temps pour trouver une solution.
Cela tombe bien, comme les affaires marchent bien, Corinne va entamer une formation pendant un an, afin de décrocher un diplôme pour un nouvel emploi, moins difficile et mieux rémunéré.
Je l'admire pour cela, reprendre les études à son âge, c'est énorme !
Il me reste une semaine pour aimer Christine, le plus souvent possible.
Le dernier jour, elle me rejoint à la boutique.
Je ferme avant l'heure, en posant un message d'absence exceptionnelle.
Je me moque des faibles conséquences, je veux aimer Christine en prenant mon temps.
Elle m'attend déjà, nue, avec les larmes aux yeux.
Elle reste belle, même avec son air triste.
"Mon amour ! Ne pleures plus, je veux que ce soit magique ce soir ! C'est notre dernière fois !".
Elle se seche les yeux et me dit:
"Oui, tu as raison ! Je suis pas là pour pleurer ! Je veux que tu m'aimes une dernière fois !".
"Je m'en veux ! Mon amour ! Mais dès que je t'ai vue, j'ai su que je tomberai amoureux de toi !".
"Moi aussi ! j'ai su que tu serais dangereux pour mon couple ! J'ai craqué dans les premières minutes !".
"Pourquoi, tu as accepté le job, alors ?".
"Pour l'argent ! J'en avais besoin !".
"Bon, le mal est fait ! On va s'aimer encore, et j'espère que tu vas pas trop souffrir à cause de moi !".
Elle penche son visage en me tendant ses lèvres.
J'ai déja une main qui caresse sa merveilleuse paire de seins, je l'embrasse avec passion.
Puis, je lui mord le cou en la faisant frissonner de plaisir.
"Arhhhhhhhhhh ! Pascal ! Tout ça va me manquer ! Tes baisers, tes mains !".
"Je sais, Christine ! Je sais ! Toi aussi, tu vas me manquer ! J'ai du mal à t'oublier même avec Corinne, je pense à toi !".
"Arhhhhhh ! C'est pareil pour moi ! J'ai failli prononcer ton prénom avec Philippe ! Je peux plus continuer comme ça !".
"Alors, on va en profiter encore une fois ! J'ai envie de t'aimer comme un fou !".
Je me sépare de mes vêtements avec précipitation, pendant qu'elle s'impatiente en se caressant la vulve et les seins.
"Ahhhhh! Viens ! Vite ! Je te veux ! Prends-moi !".
Elle me rend encore plus fou.
Je ne la fait pas attendre plus longtemps, je devine qu'elle a besoin de prendre un premier orgasme, très vite.
Je relève ses jambes en la pénétrant alors qu'elle se trouve assise sur le canapé de la remise.
Je lui assène de nombreux assauts puissants et profonds, en l'embrassant partout ou c'est possible.
Elle se voute pour m'offrir sa chatte au maximum, elle me rend fou avec ses cris de plaisir non retenus.
Son premier orgasme ne me suffit pas, au contraire, je suis encore plus excité.
Je la possède encore et encore jusqu'à la faire exploser à nouveau.
Je recule en titubant, debout sur mes pieds, le sexe tendu à l'extrême.
Je la vois se mettre une main sur la vulve et me dire:
"Arhhhhhhhhhh ! Mon amour, c'était trop bon encore !".
Elle me regarde et s'empale la gorge aussitôt après.
"Ohh, putain Christine, tu me fais craquer ! Arhhhhhhhhh !".
Je dois lutter pour ne pas lui défoncer la bouche, tant elle m'excite !
Puis je cède à ma pulsion, je lui tiens le visage et lui assène de nombreux aller retours.
Je me retire, elle suffoque en râlant:
"Arhhhhhhhhh ! Tu m'excites Pascal ! J'adore !".
Je me rapproche de son visage pour lui donner un énorme baiser, encore.
Elle me demande ensuite, timidement:
"Tu me trouves vulgaire, si je te demande de ... m'enculer ?".
"Pas du tout, mon amour, je préfère ce mot que "sodomiser" ! Et il est tellement beau, ton cul, que je pourrai "t'enculer " tous les jours !".
"Je t'aime ! Tu sais ce que je veux, je suppose ?".
"Oui, j'ai compris ! Fais moi confiance !".
Je l'entraine vers le bout du canapé, pour ne laisser dépasser que ses jambes et ses fesses.
Je lui offre un interminable anulingus, son œillet s'est détendu, je l'adore !
Je me salive le sexe, puis je prend la position parfaite pour la pénétrer enfin.
Lentement, mon sexe entre en elle, qui râle de plaisir.
Mes mains caressent son corps, pendant que je progresse lentement dans son cul.
Elle se cambre pour mieux s'offrir.
Lentement, elle commence à lubrifier ma queue, qui lui assène de profonds assauts.
Elle me rend fou de bonheur en orgasmant une première fois.
Je m'accroche à ses épaules et entame une possession plus extrême et soutenue.
Elle crie son plaisir anal:
"Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Oui, Pascal ! Encore ! Arhhhhhhhhh !".
Comme les autres jours, je sais qu'il me faut plus de temps pour atteindre mon but; la faire gicler !
C'est ce qu'elle veut aussi ! On s'est parfaitement compris !
Je l'encule encore et encore, cette sodomie est délicieusement longue.
Un premier jet énorme vient maculer le sol, et accompagne ses cris d'orgasme anal.
Bien sur, je suis encore plus motivé pour lui défoncer, encore et encore, l'anus.
Elle gueule comme un animal en se rependant sur le sol en plusieurs jets abondants.
Enfin, je reconnais le moment ou son orgasme retombe lentement.
Je ralenti mes assauts.
"Non ! Je veux que tu jouisses ! Continues !".
Je ne refuse pas cette merveilleuse invitation, et je me déchaine en elle.
Elle macule encore le sol de cyprine, à deux reprises, et m'excite tellement que je me vide complètement dans son cul, trempé de jus anal.
Si tout ça peut paraitre vulgaire, c'était plein de passion amoureuse, n'en doutez pas !
On se câline longuement, je lui dévore les fesses, comme souvent.
Je l'essuie de mon sperme, qu'elle a rejeté, avec un mouchoir.
Elle me dit:
"Je sais pas comment je vais me passer de ce plaisir ! J'aimerai que Philippe me fasses ça, aussi ! Comment tu fais ?".
"Il te prend longtemps, par là ?".
"Non, pas trop, il jouit trop vite !".
"C'est pour ça ! Vous le faites souvent ?".
"Non ! Pas aussi souvent qu'avec toi !".
"Laisses le s'habituer ! Peut être qu'a force, il tiendra plus longtemps ! C'est le secret ! Ah, il y a aussi, une position qui aide ! Tu dois t'empaler sur lui, le frottement de ton vagin sur lui, va aider à ce que tu mouilles sur son ventre ! Enfin, avec Corinne, c'est le cas !"
"Merci, mon amour, je vais essayer ! Je peux plus m'en passer maintenant !".
"Tu sais que tu peux jouir comme ça toute seule ? Il te suffit de trouver l'endroit exact dans ton vagin, avec tes doigts et ça va sortir tout seul !".
"C'est vrai ? Et Philippe peut m'aider aussi ?".
"Je pense, après, je ne vais pas m'immiscer dans votre couple, mais à toi de l'y emmener ! Dis lui que tu as coulé en te masturbant, il voudra connaitre ça ! C'est sûr !".
"Euh, je sais pas !".
"Ah, il sait pas que tu te masturbes !".
"C'est ça !".
"Il va falloir en parler, c'est normal dans un couple !".
"Merci, Pascal, je vais le faire !".
Notre séparation fut horriblement douloureuse.
Elle a cédé à la tentation quelques fois, en venant à la boutique.
Ses visites s'espaçaient, ça rendait les choses plus faciles.
Même si cela rallongeait notre relation, je considère que c'était fini depuis le premier mois, ces moments étaient nécessaires pour elle, comme pour moi, et devenaient rares.
J'ai su qu'elle progressait sexuellement avec Philippe, elle parvenait à se faire gicler toute seule, et m'en a fait profiter, pour mon plus grand bonheur.
Je n'ai jamais su, si il a réussi à tenir plus longtemps, en la sodomisant, cela ne me regarde plus !
Christine va nous quitter, j'en suis malheureux, mais soulagé aussi !
Elle nous laisse du temps pour trouver une solution.
Cela tombe bien, comme les affaires marchent bien, Corinne va entamer une formation pendant un an, afin de décrocher un diplôme pour un nouvel emploi, moins difficile et mieux rémunéré.
Je l'admire pour cela, reprendre les études à son âge, c'est énorme !
Il me reste une semaine pour aimer Christine, le plus souvent possible.
Le dernier jour, elle me rejoint à la boutique.
Je ferme avant l'heure, en posant un message d'absence exceptionnelle.
Je me moque des faibles conséquences, je veux aimer Christine en prenant mon temps.
Elle m'attend déjà, nue, avec les larmes aux yeux.
Elle reste belle, même avec son air triste.
"Mon amour ! Ne pleures plus, je veux que ce soit magique ce soir ! C'est notre dernière fois !".
Elle se seche les yeux et me dit:
"Oui, tu as raison ! Je suis pas là pour pleurer ! Je veux que tu m'aimes une dernière fois !".
"Je m'en veux ! Mon amour ! Mais dès que je t'ai vue, j'ai su que je tomberai amoureux de toi !".
"Moi aussi ! j'ai su que tu serais dangereux pour mon couple ! J'ai craqué dans les premières minutes !".
"Pourquoi, tu as accepté le job, alors ?".
"Pour l'argent ! J'en avais besoin !".
"Bon, le mal est fait ! On va s'aimer encore, et j'espère que tu vas pas trop souffrir à cause de moi !".
Elle penche son visage en me tendant ses lèvres.
J'ai déja une main qui caresse sa merveilleuse paire de seins, je l'embrasse avec passion.
Puis, je lui mord le cou en la faisant frissonner de plaisir.
"Arhhhhhhhhhh ! Pascal ! Tout ça va me manquer ! Tes baisers, tes mains !".
"Je sais, Christine ! Je sais ! Toi aussi, tu vas me manquer ! J'ai du mal à t'oublier même avec Corinne, je pense à toi !".
"Arhhhhhh ! C'est pareil pour moi ! J'ai failli prononcer ton prénom avec Philippe ! Je peux plus continuer comme ça !".
"Alors, on va en profiter encore une fois ! J'ai envie de t'aimer comme un fou !".
Je me sépare de mes vêtements avec précipitation, pendant qu'elle s'impatiente en se caressant la vulve et les seins.
"Ahhhhh! Viens ! Vite ! Je te veux ! Prends-moi !".
Elle me rend encore plus fou.
Je ne la fait pas attendre plus longtemps, je devine qu'elle a besoin de prendre un premier orgasme, très vite.
Je relève ses jambes en la pénétrant alors qu'elle se trouve assise sur le canapé de la remise.
Je lui assène de nombreux assauts puissants et profonds, en l'embrassant partout ou c'est possible.
Elle se voute pour m'offrir sa chatte au maximum, elle me rend fou avec ses cris de plaisir non retenus.
Son premier orgasme ne me suffit pas, au contraire, je suis encore plus excité.
Je la possède encore et encore jusqu'à la faire exploser à nouveau.
Je recule en titubant, debout sur mes pieds, le sexe tendu à l'extrême.
Je la vois se mettre une main sur la vulve et me dire:
"Arhhhhhhhhhh ! Mon amour, c'était trop bon encore !".
Elle me regarde et s'empale la gorge aussitôt après.
"Ohh, putain Christine, tu me fais craquer ! Arhhhhhhhhh !".
Je dois lutter pour ne pas lui défoncer la bouche, tant elle m'excite !
Puis je cède à ma pulsion, je lui tiens le visage et lui assène de nombreux aller retours.
Je me retire, elle suffoque en râlant:
"Arhhhhhhhhh ! Tu m'excites Pascal ! J'adore !".
Je me rapproche de son visage pour lui donner un énorme baiser, encore.
Elle me demande ensuite, timidement:
"Tu me trouves vulgaire, si je te demande de ... m'enculer ?".
"Pas du tout, mon amour, je préfère ce mot que "sodomiser" ! Et il est tellement beau, ton cul, que je pourrai "t'enculer " tous les jours !".
"Je t'aime ! Tu sais ce que je veux, je suppose ?".
"Oui, j'ai compris ! Fais moi confiance !".
Je l'entraine vers le bout du canapé, pour ne laisser dépasser que ses jambes et ses fesses.
Je lui offre un interminable anulingus, son œillet s'est détendu, je l'adore !
Je me salive le sexe, puis je prend la position parfaite pour la pénétrer enfin.
Lentement, mon sexe entre en elle, qui râle de plaisir.
Mes mains caressent son corps, pendant que je progresse lentement dans son cul.
Elle se cambre pour mieux s'offrir.
Lentement, elle commence à lubrifier ma queue, qui lui assène de profonds assauts.
Elle me rend fou de bonheur en orgasmant une première fois.
Je m'accroche à ses épaules et entame une possession plus extrême et soutenue.
Elle crie son plaisir anal:
"Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Oui, Pascal ! Encore ! Arhhhhhhhhh !".
Comme les autres jours, je sais qu'il me faut plus de temps pour atteindre mon but; la faire gicler !
C'est ce qu'elle veut aussi ! On s'est parfaitement compris !
Je l'encule encore et encore, cette sodomie est délicieusement longue.
Un premier jet énorme vient maculer le sol, et accompagne ses cris d'orgasme anal.
Bien sur, je suis encore plus motivé pour lui défoncer, encore et encore, l'anus.
Elle gueule comme un animal en se rependant sur le sol en plusieurs jets abondants.
Enfin, je reconnais le moment ou son orgasme retombe lentement.
Je ralenti mes assauts.
"Non ! Je veux que tu jouisses ! Continues !".
Je ne refuse pas cette merveilleuse invitation, et je me déchaine en elle.
Elle macule encore le sol de cyprine, à deux reprises, et m'excite tellement que je me vide complètement dans son cul, trempé de jus anal.
Si tout ça peut paraitre vulgaire, c'était plein de passion amoureuse, n'en doutez pas !
On se câline longuement, je lui dévore les fesses, comme souvent.
Je l'essuie de mon sperme, qu'elle a rejeté, avec un mouchoir.
Elle me dit:
"Je sais pas comment je vais me passer de ce plaisir ! J'aimerai que Philippe me fasses ça, aussi ! Comment tu fais ?".
"Il te prend longtemps, par là ?".
"Non, pas trop, il jouit trop vite !".
"C'est pour ça ! Vous le faites souvent ?".
"Non ! Pas aussi souvent qu'avec toi !".
"Laisses le s'habituer ! Peut être qu'a force, il tiendra plus longtemps ! C'est le secret ! Ah, il y a aussi, une position qui aide ! Tu dois t'empaler sur lui, le frottement de ton vagin sur lui, va aider à ce que tu mouilles sur son ventre ! Enfin, avec Corinne, c'est le cas !"
"Merci, mon amour, je vais essayer ! Je peux plus m'en passer maintenant !".
"Tu sais que tu peux jouir comme ça toute seule ? Il te suffit de trouver l'endroit exact dans ton vagin, avec tes doigts et ça va sortir tout seul !".
"C'est vrai ? Et Philippe peut m'aider aussi ?".
"Je pense, après, je ne vais pas m'immiscer dans votre couple, mais à toi de l'y emmener ! Dis lui que tu as coulé en te masturbant, il voudra connaitre ça ! C'est sûr !".
"Euh, je sais pas !".
"Ah, il sait pas que tu te masturbes !".
"C'est ça !".
"Il va falloir en parler, c'est normal dans un couple !".
"Merci, Pascal, je vais le faire !".
Notre séparation fut horriblement douloureuse.
Elle a cédé à la tentation quelques fois, en venant à la boutique.
Ses visites s'espaçaient, ça rendait les choses plus faciles.
Même si cela rallongeait notre relation, je considère que c'était fini depuis le premier mois, ces moments étaient nécessaires pour elle, comme pour moi, et devenaient rares.
J'ai su qu'elle progressait sexuellement avec Philippe, elle parvenait à se faire gicler toute seule, et m'en a fait profiter, pour mon plus grand bonheur.
Je n'ai jamais su, si il a réussi à tenir plus longtemps, en la sodomisant, cela ne me regarde plus !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire et avec une morale
Ce qui est rare
Merci
Ce qui est rare
Merci