La nouvelle
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La nouvelle
La nouvelle employée s'appelle Gilette, dite Gil. Elle est assez grande et fort bien faite. Il parait qu'elle a des dispositions pour la baise, c'est ce que l'on dit. Pour le vérifier j'ai pris mon courage à deux mains et lui ai proposé directement de venir le soir chez moi pour tirer un coup. Qu'est ce que je risquais, pas grand chose, sinon une paire de gifles. Mais elle n'a pas dit non, elle a simplement demandé où j'habitais.
Après le travail je rentre à la maison et vers 21 heures, quelqu'un sonne. Je vais ouvrir et suis surpris de voir Gil.
Elle rentre et d'un air coquin me dit : je suis venue tirer un coup.
Je n'ose plus rien dire, ni faire tellement je suis étonné. Elle s'approche de moi et colle sa bouche sur la mienne et pose une main sur ma bite qui grossit rapidement.
Elle embrasse très bien. Elle me caresse la bite sans arrêt. Je mets à mon tour ma main sur son con. Elle frotte son bas ventre sur ma main. Elle doit avoir une sacrée envie.
Je commence à la déshabiller, elle ne porte sur elle qu'une simple robe très décolletée.
Elle est entièrement à poil, quoique des poils je n'en voit pas : son sexe est rasé. A son tour elle me déshabille rapidement et m'enlève même les chaussettes. Nous sommes nus en face l'un de l'autre.
Gil me demande de la prendre dans tous les sens : devant derrière, dans la bouche et ma langue sur son cul.
Elle est sacrément vicieuse.
Mais qu'est-ce que tu attends pour venir me fourrer. J'ai besoin de ton engin dans ma caverne ou dans mes intestins. Dépêche toi de me prendre, sinon je me branlerai et jouirai toute seule: tu l'auras cherché, imbécile. Je ne suis qu'une petite pute qui cherche toujours à jouir, je suis une machine à jouir. J'aime jouir. Fais moi jouir.
Elle m'excite tant et tant que je me demande si je pourrai la contenter.
Je bande fort et comme je suis plutôt bien monté et que je suis dur à faire jouir je pense devoir faire ma tâche normalement pour elle.
Je la pousse dans ma chambre et la pousse comme elle est, nue sur mon lit. Elle écarte déja les jambes. Je n'ai absolument pas l'intention de la baiser maintenant. Elle pourra toujours patienter avec ce que je vais lui faire. Je profite de ses jambes écartées pour y passer ma tête et aller directement vers son con qui sent très bon le sexe féminin bien entretenu. Je cherche et trouve facilement le petit bouton qui a grossit et ma langue lui passe dessus sans arrêt. Elle pousse un cri : elle jouit. Je ne me contente pas d'un seul orgasme : elle veut jouir je vais la faire jouir longtemps. Je n'arrête pas mes léchages sur le clitoris. Elle jouit plusieurs fois.
Elle voudrait absolument que je lui donne ma bite à sucer: elle l'aura tout à l'heure. Je passe ma langue sur son cul et elle se trémousse : elle jouit encore et me laisse m'occuper de son cul, mais elle se branle pendant ce temps. J'ai bien affaire à une fille qui ferait n’importe quoi pour jouir.
Elle m'implore, elle veut me sucer. Je me couche sur le dos. Elle se lève pour venir me faire une pipe extraordinaire. Jamais une fille ne m'avait fait une telle chose. Elle me prend le gland dans sa bouche, le relâche, le lèche et le reprend dans sa bouche où elle l'enfonce à fond, pour le relâcher encore et enfin le remettre dans sa bouche où elle m'astique la bite comme jamais. J'ai beau être très résistant, je ne peu tenir et me lâche en entier dans cet orifice. Elle garde mon sperme dans sa bouche et à petites lampées l'avale très lentement: elle le déguste comme un bon alcool. Elle m'embrasse et sa langue a encore de goût de ma bite, comme j'ai le goût de son con et de son cul dans ma bouche.
J'ai un peu débandé : elle se met sur le lit à mes coté, la tête vers mes pieds, écarte ses cuisses et se branle devant moi en se caressant le con mais aussi le cul. Bien sur elle jouit. Je la traite de tous les noms : pute, garce, chienne, juste bonne à jouir.
Mais j'ai envie d'elle, je lui demande où elle veut être prise. Je lui dis que je suis rentré dans sa bouche et qu'elle a encore deux endroit au moins où je ne suis pas allé.
Gil me demande de rester couché : elle se chargera de me faire mettre la bite où elle désire. Pour le moment elle désire baiser :
Elle m'enjambe et en me faisant face, elle prend ma pine et elle s'empale sur elle. Comme elle est restée dressée, elle se branle pendant qu'elle se baise. Elle jouit rapidement mais reste avec ma bite dans le con. Je sens les contractions de son con autour de ma pine. Elle recommence presque aussitôt et jouit mais cette fois je jouis en elle. Elle m'a senti jouir et elle se lève un peu.
Dans un geste de remerciement elle vient se coller à moi ; blottie sur mon épaule et me dit : j'aime baiser mais avec toi c'est différent : tu baise bien mieux que les autres. Si tu sais bien m'enculer, j'aimerai rester avec toi.
Cette déclaration ranime mon sexe qui a à nouveau une belle érection. Gil l'attendait et elle se met en levrette. Elle mouille son cul avec sa cyprine. Je pose le gland sur son petit trou et violemment je l'encule. Elle gémit : elle a mal. Mais presque aussitôt elle me demande de continuer : je lui fait du bien. J'enfonce mon engin complètement en elle. Mes couilles battent sur ses cuisses. Elle jouit encore plusieurs fois. Je lâche mon venin dans son cul et la salope jouit encore.
Cette salope tiens à rester avec moi. Je baise bien. Après tout pourquoi pas : elle s'installe chez moi. Pour longtemps, enfin
J’espère...
Après le travail je rentre à la maison et vers 21 heures, quelqu'un sonne. Je vais ouvrir et suis surpris de voir Gil.
Elle rentre et d'un air coquin me dit : je suis venue tirer un coup.
Je n'ose plus rien dire, ni faire tellement je suis étonné. Elle s'approche de moi et colle sa bouche sur la mienne et pose une main sur ma bite qui grossit rapidement.
Elle embrasse très bien. Elle me caresse la bite sans arrêt. Je mets à mon tour ma main sur son con. Elle frotte son bas ventre sur ma main. Elle doit avoir une sacrée envie.
Je commence à la déshabiller, elle ne porte sur elle qu'une simple robe très décolletée.
Elle est entièrement à poil, quoique des poils je n'en voit pas : son sexe est rasé. A son tour elle me déshabille rapidement et m'enlève même les chaussettes. Nous sommes nus en face l'un de l'autre.
Gil me demande de la prendre dans tous les sens : devant derrière, dans la bouche et ma langue sur son cul.
Elle est sacrément vicieuse.
Mais qu'est-ce que tu attends pour venir me fourrer. J'ai besoin de ton engin dans ma caverne ou dans mes intestins. Dépêche toi de me prendre, sinon je me branlerai et jouirai toute seule: tu l'auras cherché, imbécile. Je ne suis qu'une petite pute qui cherche toujours à jouir, je suis une machine à jouir. J'aime jouir. Fais moi jouir.
Elle m'excite tant et tant que je me demande si je pourrai la contenter.
Je bande fort et comme je suis plutôt bien monté et que je suis dur à faire jouir je pense devoir faire ma tâche normalement pour elle.
Je la pousse dans ma chambre et la pousse comme elle est, nue sur mon lit. Elle écarte déja les jambes. Je n'ai absolument pas l'intention de la baiser maintenant. Elle pourra toujours patienter avec ce que je vais lui faire. Je profite de ses jambes écartées pour y passer ma tête et aller directement vers son con qui sent très bon le sexe féminin bien entretenu. Je cherche et trouve facilement le petit bouton qui a grossit et ma langue lui passe dessus sans arrêt. Elle pousse un cri : elle jouit. Je ne me contente pas d'un seul orgasme : elle veut jouir je vais la faire jouir longtemps. Je n'arrête pas mes léchages sur le clitoris. Elle jouit plusieurs fois.
Elle voudrait absolument que je lui donne ma bite à sucer: elle l'aura tout à l'heure. Je passe ma langue sur son cul et elle se trémousse : elle jouit encore et me laisse m'occuper de son cul, mais elle se branle pendant ce temps. J'ai bien affaire à une fille qui ferait n’importe quoi pour jouir.
Elle m'implore, elle veut me sucer. Je me couche sur le dos. Elle se lève pour venir me faire une pipe extraordinaire. Jamais une fille ne m'avait fait une telle chose. Elle me prend le gland dans sa bouche, le relâche, le lèche et le reprend dans sa bouche où elle l'enfonce à fond, pour le relâcher encore et enfin le remettre dans sa bouche où elle m'astique la bite comme jamais. J'ai beau être très résistant, je ne peu tenir et me lâche en entier dans cet orifice. Elle garde mon sperme dans sa bouche et à petites lampées l'avale très lentement: elle le déguste comme un bon alcool. Elle m'embrasse et sa langue a encore de goût de ma bite, comme j'ai le goût de son con et de son cul dans ma bouche.
J'ai un peu débandé : elle se met sur le lit à mes coté, la tête vers mes pieds, écarte ses cuisses et se branle devant moi en se caressant le con mais aussi le cul. Bien sur elle jouit. Je la traite de tous les noms : pute, garce, chienne, juste bonne à jouir.
Mais j'ai envie d'elle, je lui demande où elle veut être prise. Je lui dis que je suis rentré dans sa bouche et qu'elle a encore deux endroit au moins où je ne suis pas allé.
Gil me demande de rester couché : elle se chargera de me faire mettre la bite où elle désire. Pour le moment elle désire baiser :
Elle m'enjambe et en me faisant face, elle prend ma pine et elle s'empale sur elle. Comme elle est restée dressée, elle se branle pendant qu'elle se baise. Elle jouit rapidement mais reste avec ma bite dans le con. Je sens les contractions de son con autour de ma pine. Elle recommence presque aussitôt et jouit mais cette fois je jouis en elle. Elle m'a senti jouir et elle se lève un peu.
Dans un geste de remerciement elle vient se coller à moi ; blottie sur mon épaule et me dit : j'aime baiser mais avec toi c'est différent : tu baise bien mieux que les autres. Si tu sais bien m'enculer, j'aimerai rester avec toi.
Cette déclaration ranime mon sexe qui a à nouveau une belle érection. Gil l'attendait et elle se met en levrette. Elle mouille son cul avec sa cyprine. Je pose le gland sur son petit trou et violemment je l'encule. Elle gémit : elle a mal. Mais presque aussitôt elle me demande de continuer : je lui fait du bien. J'enfonce mon engin complètement en elle. Mes couilles battent sur ses cuisses. Elle jouit encore plusieurs fois. Je lâche mon venin dans son cul et la salope jouit encore.
Cette salope tiens à rester avec moi. Je baise bien. Après tout pourquoi pas : elle s'installe chez moi. Pour longtemps, enfin
J’espère...
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