La nouvelle vie de Charlotte (2)

- Par l'auteur HDS LorheaSalope -
Auteur femme.
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Récit libertin : La nouvelle vie de Charlotte (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2022 dans la catégorie A dormir debout
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La nouvelle vie de Charlotte (2)
Charlotte, est auditrice dans une boîte dont la spécialité est l'industrie lourde. Elle est souvent en mission.
Depuis quelques années, elle est célibataire. Sa nymphomanie pathologique a eu raison de sa vie de couple.

Mais elle n'est pas devenue nymphomane du jour au lendemain. Tout ça s'est fait petit à petit, partie de baise après partiede baise. De Charlotte, sage et tranquille, elle est progressivement devenue Lorhea, salope soumise, nymphomane, exhibitionniste.
Voici le journal de sa transformation...
-----------------------------------------------Au chapitre précédent, Charlotte s'est laissée ploter par son binôme, mais le doigt dans sa fente n'a pas eu le succès espéré... Il l'a donc laissée en plan, refroidi par sa pudeur.

Je suis morte de honte. Honte de m’être laissée toucher comme ça, honte d’avoir aimé, honte d’être coincée au point de l’avoir repoussé.
Le lundi suivant, je découvre assez vite que l’auteur principal du blog de la promo n’a pas perdu une miette de mon expérience avec Éric.
En première page je lis : Carnet Rose, Nymphe et Adonis scellent leur binôme ! avec une photo d’Éric, main dans ma toge en train de m’embrasser.

L’après-midi, nous sommes en TD. Je suis donc avec Éric. Le cours est un peu pénible.
Il pose une main sur la cuisse.
- Tu sais ma sauvage, même un peu prude, tu me plais.
Voilà…. C’est comme ça qu’Éric et moi sommes sortis ensemble. C’était magique, romantique à souhait.
Comme il respectait mon choix de ne pas faire l’amour avec lui, je le laissais me voir nue et me caresser les seins.

Nos baisers restaient fougueux et mouillées. C’était l’idylle parfait.
Puis vers le mois de novembre, alors que je luis refusait encore une fois de faire l’amour, il commença à devenir distant.
Un petit baiser le matin, et encore, seulement certains jours.
Camille, première année de chimie commença à lui tourner autour ostensiblement, se comportant comme une sale allumeuse chaque fois qu’elle me voyait avec Éric.
Mon appétit était coupé. Nous ne nous voyions plus que pour les TD et les cours en binômes. Nous travaillions uniquement à la bibliothèque.
Arrivés en décembre, je commençais à dépérir me maudissant de lui refuser mon corps au nom de mes principes, et à le maudire lui de ne pas respecter mon choix.
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La soirée de NoëlTradition de l’école. Ce soir, dernier jeudi soir du trimestre, c’est le gala de Noël. Éric est de plus en plus distant. Il m’évite, a toujours quelque chose à faire.
Il ne prend même plus la peine de m’aider à préparer nos TP ou à rédiger nos comptes-rendus communs. Je me tape le boulot toute seule. D’un autre côté je n’ai rien d’autre à faire. Je me morfonds. Il a changé de place dans l’amphi du professeur M.
La Camille blondasse de la Toussaint lui tourne autour, lui fait des sourires me nargue.
Quelle garce. David dit qu’elle s’est déjà tapé trois mecs de sa promo. Il faut dire qu’elle s’est bien vendue au weekend d’intégration, à poil dans la piscine. Ça m’écœure.

Qui dit Gala de Noël, dit tenue de gala. Marta est vêtue d’une robe fourreau bleu nuit, qui descend jusqu’à ses mollets et enrobe ses formes généreuses.
Un joli décolleté met en valeur sa poitrine. Elle porte un discret pendentif pour agrémenter sa tenue.
Elle a relevé ses cheveux dans un chignon désordonné mais classe.
Elle est belle. Elle m’a aidée à choisir une robe vert émeraude, longue, avec un décolleté discret et une ouverture dans le dos.
Je me trouve jolie, j’ai un chignon très soigné, des perles à mes oreilles et un pendentif en clé de sol en or blanc. Nous portons toutes deux des escarpins à talon moyen.

Affairées à parfaire notre touche de maquillage, Marta face au miroir me regarde gravement.
- A quel moment tu comptes sourire ma Pucelle.
- Je ne sais pas, je suis triste. Éric est loin.

Dans soupir exaspéré, Marta pose le crayon liner qu’elle tient dans sa main. Puis me fixant dans le miroir :- Ecoute Charlotte (oups je vais prendre cher si elle m’appelle comme ça). Un mec, il ne suffit pas de lui offrir ta chatte pour le garder.
Il faut aussi savoir le retenir avec ta bouche ou ton cul.
Un mec qui n’est pas sucé, il finit par se barrer. Crois-moi ma Pucelle. Ton Éric, si t’es trop prude, il va aller voir ailleurs, si ce n’est pas déjà fait.
- C’est ignoble ce que tu dis. C’est sale- Ah mais tu vis où ma poule ?
- Ben moi j’attends le bon avant de sauter le pas….
- Euh ma Pucelle, t’as 20 ans, tu attends quoi - Ben d’être fiancée pour flirter, et d’être mariée pour faire l’amour.
- J’ai cru que Marta allait s’étouffer. T’en es encore là, à ton âge ? Silence…. Attends, ça veut dire que Éric et toi vous n’avez jamais….
- Non on s’embrasse et quelquefois il me caresse un peu.
- Quoi ? même pas un petit doigt dans la chatte ? une petite pipe ou un truc du genre ? c’est un saint en fait. Trois mois que votre relation consiste en des petits baisers chastes et des promenades main dans la main ? sérieux ? Putain Cha réagis, tu vas finir vieille fille.
-Mais David et toi par exemple ?
- David me baise, par tous les trous. Quelquefois même, il me partage avec son meilleur pote et je me fais prendre en double.
Il tripote ma chatte, je le suce, je le laisse me prendre par le cul.
C’est l’extase. Je ne te dis pas d’aller jusque-là, mais les petits bisous, c’est pour les maternelles ma grande.
S’il ne peut même pas te toucher !!! il doit grave se faire chier.

Nous n’avons plus échangé un mot.
Dans un silence pesant, nous quittons mon appartement.
Je précède Marta pour monter dans le taxi. Putain ma Pucelle t’as un beau cul, dommage que personne ne puisse en profiter.
Je rigole à cette nouvelle vulgarité, et l’atmosphère se détend. Sur le trajet, je repense à ce qu’elle m’a dit.
C’est décidé, ce soir, je laisse Éric me toucher les seins me doigter la chatte.

Nous arrivons à la salle de la mutualité, où se tient la soirée.
David, Siloë Nico et Kahled, tous les quatre sur leur 31 nous attendent devant l’entrée.
Marta se jette dans le bras de David. Tu es superbe ma Sylphide.
Après les horreurs que Marta m’a dites, je n’ose pas regarder David dans les yeux. Khaled me fait le bèse-main. Tu es magnifique ma princesse. Merci Khaled.
Nous entrons.
Je cherche Éric des yeux, en vain.
Nous buvons un premier verre. Vodka orange pour moi. Obsédée par l’idée de repérer Éric, je bois mon verre cul-sec, distraitement.
Khaled discute avec Nico des vacances de Noël qui commencent demain.
Le DJ balance des tubes des années 80 sur lesquels les étudiants se déchainent.

Deuxième verre, Bloody Merry pour moi.
Doucement Pucelle m’avertit Marta, l’alcool ce n’est pas ton truc d’habitude.
J’aperçois alors Éric, dans un smoking superbe, face au mur du fond de la salle. Entre le mur et lui, il y a Camille.
Sa robe est relevée jusqu’au haut de ses cuisses, et un sein sort négligemment de son décolleté. Éric a une main sous sa jupe, et il malaxe le sein blanc tandis qu’il suce ostensiblement la langue de la pétasse.
Elle me dévisage, et tout en accrochant mon regard, elle balance sa tête en arrière dans un petit cri « oh oui Éric, c’est bon ».
Folle de rage, j’avale mon verre d’un trait et me précipite vers eux.

Arrivée à leur hauteur, Camille met sa main sur mon sein et me demande, tu viens jouer avec nous la Nymphe ?

Éric rigole, plaque une main sur mes fesses et me fixe d’un œil pervers et ajoute : Tu veux que je te doigte. Tu pourrais y prendre goût Pucelle.

Sa remarque me fait l’effet d’un coup de cravache. Ma main part toute seule et s’abat sur sa joue, il crie de surprise et de douleur. Espèce de salaud.

Camille glousse, Hmmm elle se déchaîne la pucelle. Je leur tourne le dos et quitte la salle en courant, Khaled sur mes talons. Princesse attends…Il me rattrape. Quand il me retourne pour me prendre dans ses bras, je me blottis contre lui et éclate en sanglots. Je suis ivre, d’alcool et de douleur. Je grelotte. Mon manteau est resté à l’intérieur. Khaled me couvre avec sa veste et gentiment me guide vers la station de taxi. Viens princesse, je te ramène chez toi.
Arrivés dans ma rue, le taxi s’arrête devant la porte de l’immeuble.
Khaled tape le digicode. Je suis incapable de marcher. Il me prend dans ses bras, me soulève et me porte jusqu’à mon appartement.
Il a le double des clés. Il ouvre la porte et me pose directement sur mon lit.
Il enlève mes escarpins, récupère sa veste et se penche vers moi pour déposer un baiser sur mon front.
Je saisis sa nuque et essaye de l’embrasse sur la bouche. Il se recule et dégage mes mains.
- Non Princesse.
- S’il te plaît Khaled.
- Non pas comme ça, pas maintenant. Tu es ivre. Aller bonne nuit.

Et il quitte ma chambre.

J’éclate de nouveau en sanglot, et m’endort épuisée. Je suis réveillée à 3 heures du matin par des halètements qui me parviennent depuis l’autre côté du mur.
J’entends une voix d’homme « oui, oui tu la sens bien là ? » et une femme répondre « plus profond, vas-y encule moi ».
Puis deux cris simultanés. Ecœurée et choquée, je me lève pour aller aux toilettes. J’attrape machinalement mon portable. Un message de Marta « j’espère que tu es bien rentrée et que tu ne vas pas trop mal ».
On se voit demain.

Message de Khaled. Bonne nuit princesse. Donne-moi de tes nouvelles à ton réveil.

Je me connecte ensuite au blog de l’école. Un nouvel article a été publié. « Carnet rose au gala de Noël : 1 partout dans le match Nymphe-Adonis. Suit une photo de la gifle que j’ai donnée à Éric.
L’humanité me désespère. J’éteins mon portable et me recouche.

Dernier cours. J’ai mal à la tête et la nausée.
Trop bu, trop triste. Marta essaye de me remonter le moral. A la fin du cours du professeur M, Marta et moi sommes les dernières à quitter l’amphi.
- Mademoiselle de V.
- Oui.
- Venez par-là s’il vous plaît.
- Oui monsieur ?
- A la rentrée nous aborderons le thème de la liberté et de la libération, dans son sens large, littéral ou psychologique.
Poids de la société, poids de l’éducation, bref tout le baratin quoi. J’aimerais vous offrir un cadeau pour Noël.
Prenez le temps d’étudier soigneusement les quatre livres que je vous remets maintenant.
Je serai enchanté que vous me donniez votre avis quant au sujet que je vous ai exposé, à la lumière de ces ouvrages.
Je n’ai pas le temps de le remercier, il quitte la salle en s’écriant : joyeux Noël.

J’ouvre le sac. Le premier livre est « la philosophie dans le boudoir » du marquis de Sade. Viennent ensuite l’Amant puis la servante écarlate.
Le quatrième est une boîte en forme de livre. Je l’entrouvre. A l’intérieur gît un énorme sexe d’homme en silicone.
Je referme aussitôt le coffret, rouge de honte et terriblement mal à l’aise. Marta me titille pour connaître le contenu de la boîte. Plus tard.

Nous attrapons le train et arrivons tardivement chez mes parents, qui nous réservent un accueil des plus chaleureux. Tous mes frères sont là.
Réfugiée au cœur du havre familial, j’oublie tout et me laisse complétement aller. Cinq jours que nous sommes arrivées.

Ce soir après dîner, Marta entre dans ma chambre, et vient me rejoindre sur mon lit. C’est un grand et haut lit à baldaquin.
Avec d’imposants piliers de soutien.
- Alors pucelle, tu n’es pas très loquace concernant les cadeaux du professeur…- Tu veux savoir quoi ?
- Ben tout ?
- Ok. J’ai lu trois des 4 livres.
- Humm et donc.
- J’ai trouvé les histoires décevantes et les scènes de sexe trop nombreuses et bien trop explicites.
- Ça m’intéresse. Tu veux qu’on lise le 4ème ensemble ?
- Non - Aller…. Je suis sûre que t’as gardé le meilleur pour la fin.
- S’il te plaît laisse-moi.
Marta attrape le sac et sort la boîte-livre.
- Mais ce n’est pas un livre ça…. Y a quoi dedans ?
- Pose çaElle ouvre. Puis dans un sifflement- Dis-donc ma pucelle tu caches bien ton jeu- Arrête ce n’est pas drôle.
- Tu l’as testé ?
- T’es folle ?
- Oh aller tu peux tout me dire- Arrête t’es cradeElle met une main sur ma bouche.
- Chut. Ça suffit la pudique.
Elle se lève et va fermer la porte de ma chambre. Elle revient près de moi sur le lit, pose le gode à côté d’elle et se tourne vers moi.
- C’est terriblement excitant cette situation ma cochonne. Il est temps de t’apprendre la vie.
- Nan Marta s’il te plaît.
- Tais-toi. Maintenant c‘est moi le chef.
Elle attrape une petite peluche posée sur mon lit et me la met dans la bouche- Voilà. Je ne veux plus t’entendre. Il est temps que cette petite pucelle apprenne la vie. Laisse-toi faire ma chérieJ’attrape ses mains et me débats sans trop de conviction.
- Ça suffit, fais-moi confiance, tu vas aimer.
Comme je ne cesse pas de gigoter, elle se met sur moi et dénoue son foulard, avec lequel elle attache mes poignets au pilier du lit le plus proche.
- Maintenant tu vas te calmer, te détendre et me faire confiance. Je vais enlever le nounours de ta bouche, mais tu te tais ok ?
Je fais oui de la tête- S’il te plaît Marta.
- Tais-toi je sais que tu en as envieElle s’allonge sur moi et pose un baiser sur ma bouche. Puis elle glisse sa langue entre mes lèvres et finit par rouler une pelle magistrale.
J’y prends goût et me laisse faire, docile.
- C’est bien. On va pouvoir tirer quelque chose de toi.
Elle relève mon T-shirt et découvre ma poitrine. Je frissonne. Elle baisse mon soutif pour faire sortir mes seins.
Sa bouche vient embrasser mes tétons, qu’elle titille avec sa langue. Ses mains les malaxent tendrement. Je trouve cela très agréable. Je glousse de plaisir.
- Tu aimes ?
- Oui, mais j’ai un peu honteElle sourit en me regardant et en caressant mes cheveux.
- Alors je continue ?
- Oui s’il te plaît- Humm petite coquine.
Elle lèche le bout de mon sein droit puis du gauche et laisse glisser sa langue sur mon ventre, jusqu’à mon nombril, gardant ses deux mains sur mes seins, devenu durs.
Puis d’un geste délicat, elle dégrafe mon pantalon, et me le retire.
- Marta, non, tu vas trop loin- Chut, laisse-moi faire j’ai dit. Tu aimes ça alors on continue. N’écoute pas ta tête.
À genoux entre mes jambes, elle me regarde en se tenant bien droite. Elle se déshabille, et entièrement nue, arrache ma culotte.
Je crie de surprise et rigole comme une dinde. Elle enfonce ma culotte dans ma bouche.
- J’ai l’intention de te faire hurler alors c’est une précaution pour ne pas réveiller toute la maison.
Puis elle commence à caresser mon pubis et descend sa main vers ma fente. Elle me montre le plat de sa main, recouvert de cyprine.
- Oh mais c’est que tu mouilles ma salope.
Elle me caresse plus fort, étale ma mouille sur mes grandes lèvres puis sur mon anus.
Elle s’allonge ensuite, sur le ventre la tête entre mes jambes. Je ressens des frissons partout.
Elle commence à titiller mon clitoris avec sa langue, l’aspire, le lèche, tout en introduisant ses doigts dans mon vagin.
Sa langue chaude mêlée aux vas-et-viens de ses doigts, je frissonne de plaisir et laisse échapper des petits cris étouffés pas mon bâillon. Marta ne s’arrête pas.
Elle continue de plus belle. Elle introduit un doigt dans mon anus, et exerce quelques mouvements de va et vient. Prise par mes deux orifices, je sens l’excitation à son comble.

- Maintenant que tu es prête, on va passer aux choses sérieuses…D’une main, elle continue à masturber mon vagin. De l’autre, elle attrape le gode du professeur M.
- Ceci est un sexe d’homme, de taille plutôt appréciable ma salope. Dilatée comme tu es, ça va rentrer comme dans du beurre.

Elle retire sa main et commence à caresser l’intérieur de mes cuisses avec le jouet. Elle retire mon bâillon. Alors tu aimes ?
- Oui continue Marta j’aime bien.
Elle tend le gode vers mon visage- Suce-le un peu, pour le lubrifier
Je m’exécute et prend le phallus à pleine bouche, aidée par les mouvements de Marta qui le rentre et le sort avec un rythme rapide.

Puis elle caresse l’entrée de ma caverne avec la tête du gode, tout en massant mon clitoris.

Ces sensations nouvelles me donnent l’impression que je vais m’évanouir. Brusquement, elle commence à entrer le gode dans mon vagin, par petits coups de plus en plus profonds. Elle finit par rencontrer une résistance.
Elle s’arrête de bouger, le gode toujours dans mon vagin qui se contracte convulsivement.
- Alors c’est vrai ? tu ne l’as jamais fait ?
- Non jamais. Mais continue s’il te plaît c’est trop booooooooooooon
Elle marque un temps, hésitante, puis m’embrasse à pleine bouche pendant qu’elle enfonce-le gode d’un coup sec. Je sens une déchirure insoutenable qui me fait hurler ; un cri étouffé par son baiser. Elle glisse vers mon oreille, et me murmure- Félicitation ma salope, tu viens de perdre ta virginité.

Je reste sans voix, le souffle coupé, tandis qu’elle reprend les mouvements du gode, le sortant parfois complètement pour le rentrer chaque fois plus profond.
Toujours allongée sur moi, elle suce mes seins et introduit deux des doigts de sa main libre dans ma bouche.

Instinctivement, portée par le plaisir incroyable que je ressens, je suce ses doigts amoureusement.
Puis dans un élan que je ne maîtrise pas, je me cambre en tirant sur mes bras toujours attachés et une vague inconnue me submerge, m’arrachant un cri de bonheur.
Marta m’embrasse alors goulument, retire-le gode et me caresse le clitoris. Je sens les convulsions de ma vulve et un liquide chaud couler entre mes fesses.
Haletante, je suis saisie de tremblements, augmentés par les caresses de Marta.
- Arrête Marta s’il te plaît- Non ma puce, tu es en train de jouir profite, lâche-toi.
Elle continue et intensifie ses mouvements. Elle me regarde me débattre amusée. Et tout à coup, sans prévenir, un deuxième orgasme m’envahit, il est encore plus intense, plus profond ; le cri qui s’échappe de ma gorge est incontrôlable.
Marta plaque sa main sur ma bouche de peur que je ne réveille toute la maison.
- Voilà, c’est bien ma biche.
Elle me caresse les cheveux et m’embrasse maternellement sur le front et continue son massage plus doucement.
Puis elle défait mes liens. Je me couche. Elle m’enlève mon T-shirt et essuie ma vulve avec puis le jette parterre.
Je suis épuisée. Elle m’allonge, me couvre avec ma couette, et se love près de moi une main sur mon sein.
- Merci Marta.
- Merci à toi ma belle. Repose-toi. Tu en as besoin. Veinarde, ce n’est pas donné à tout le monde de jouir la première fois.


A suivre

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