La nouvelle voisine
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La nouvelle voisine
Elle me plait beaucoup. Je ne la remarque que depuis tout à l'heure: elle passait devant ma maison.
Je suppose qu'elle est nouvelle dans le quartier. Je vais la surveiller. Je suis bloqué chez moi depuis quelques jours et encore pour une bonne semaine. Je n'ai que ça à faire, comme une vielle concierge. Je e peux me déplacer qu'avec des béquilles: c'est la raison de mon isolement passager.
Mes amis sont tous venus me voir, ma copine aussi. Mais, nous étions sur le point de nous séparer.
Cette fois c'est fait. D'un coté bon débarras. Après tout elle ne me servait que de vide couilles sans qu'elle ne jouisse une seule fois. Maintenant je me contente de me masturber. C'est aussi bien en attendant une autre nana qui elle au moins baisera convenablement. Je pense que cette nouvelle devra bien faire l'affaire. Elle repasse, presque en même temps que le facteur: je lui demande s'il la connaît: bien sur c'est une nouvelle femme divorcée qui habite deux maisons plus haut. A part ça, il ne me dit rien d'autre. Notre quartier résidentiel est bien au dessus de beaucoup d'autres. Si elle habité ici, elle en a les moyens. Ma machine à penser tourne à plein régime: d'où vient-elle, que fait elle dans la vie, a-t-elle un ami. Je me mets à rêver d'elle sans arrêt. Je suis amoureux d'une presque ombre.
Le temps passe et me voila libre de sortir. Enfin je pourrai penser à autre chose. Je reprend mon job: cadre dans une grosse boite. J'y retrouve avec plaisir l'ambiance du bureau. Quand je rentre le soir assez tard je vois juste sur le trottoir d'en face, cette fille. Elle a une démarche assurée, elle a des chevaux très longs, bref, elle me plaît de plus en plus. Tant pis je me lance: je lui adresse la parole en lui disant quelques bêtises. Elle sourit. Je lui dit qu'elle me plait beaucoup.
Elle me toise un moment et sourit encore. Je l'accompagne jusqu'à chez elle. Nous nous disons au revoir.
Le lendemain, même heure je le revois. Cette fois je l'invite à venir prendre un verre chez moi.
Elle ne refuse jamais un verre, surtout qu'elle ne connaît encore personne dans le quartier. Je la fais entrer dans mon salon, bien propre grâce à la bonne qui fait le ménage. Elle accepte un doigt de porto. Elle s'assoit en face de moi. Je la dévore des yeux. Elle me plait encore plus. Quand nous bavardons un moment, elle m'apprend qu'elle est divorcée depuis peu, qu'elle vit grâce à la forte pension qu'elle reçoit. Elle sen va satisfaite avoir enfin quelque un quelle connaît.
Le lendemain, rebelote. Je l'invite à nouveau. Je l'embrasse sur les joues, comme une vieille connaissance. Elle répond à mes baisers; Je n'ose pas aller plus loin. Nous bavardons toujours cette fois sans rien boire. Nous bavardons maintenant comme de vieilles connaissances. Nous restons toujours dans le vague sur le sexe. Je me promets que demain sans faute je l'embrasserai.
Le lendemain, c'est elle qui m'invite. Sa maison est au moins aussi bien faire que la mienne. Elle m'offre encore à boire. Elle s'assoit à mes cotés. Nous commençons à bavarder. C'est elle qui met sur le tapis le sexe. Oh, ce n'est pas graveleux du tout. Elle avoue simplement que depuis sa séparation elle n'a jamais fait l'amour. Je lui demande si elle n'est pas en manque. En rougissant un peu, elle me dit qu'elle aimera bien de temps en temps avoir un ami discret.
Je lui avoue enfin que je fais une fixation sur elle depuis longtemps. Sans autre forme de procès je la prends dans les bras et lui met ma bouche sur la sienne. Après un bref moment de recul, elle accepte enfin ma langue. Ayant nos langues que se disputent un peu, je lui prends un sein. Je le caresse à travers son t-shirt léger. J'y mets une main par-dessous. Je trouve un soutien gorge léger. Je caresse le sein. Elle me laisse faire ce que e veux. J'arrive à déboutonner les soutif: je peux enfin la caresser comme j'aime. Ses seins durcissent bien vite. J'arrive à y mettre ma bouche.
Je commence à la sucer. Elle doit s'en douter, ma langue ne va pas s'arrêter là. Je suis trop gourmand d'un corps féminin, pur oublier de la sucer.
Je lui met une main sur sa cuisse: elle se laisse faire. En effet elle n'a pas du avoir un homme depuis un bon bout de temps. Je lui caresse les jambes pour arriver à l'endroit que je préfère: son sexe. Je suis un peu surpris de ne rencontrer aucun vêtement: ma main arrive directement sur son sexe déjà bien mouillé. Je n'ai pas à chercher bien loin les endroits qui m'intéressent. Je ne la connais pas assez pour me permettre d'aller poser mes doigts partout où j'aimerai. Je verrai plus tard. En attendant je trouve son bouton. Je le sort de sa cachette et le caresse un bon moment sans trop y appuyer. Elle prend ma main pour que je la branle. Je le fais comme elle veut. Elle se tend rapidement comme une personne qui n'a pas eu d'orgasme depuis longtemps. Elle jouit en me remerciant.
Elle me remercier aussi à sa façon. Elle sait que je bande: elle pose sa main sur mon membre bien tendu. A travers mon pantalon elle le masse, avant d'essayer de le sortir. Je veux l'aider, elle insiste: c'est à elle seule de le faire. Elle arrive à prendre ma queue dans une main. Elle regarde ma bite comme une bête curieuse. Elle la caresse comme un petit animal. Elle me fait bander encore plus. Elle jouit encore, me fait enlever ma main de son sexe, se penche vers ma pine pour en lécher le gland. Je la laisse faire: elle prend mon membre dans la bouche pour une fellation de légende. Je suis renversé vers le fond su siège, ma bite bien occupée par cette bouche. Cette position ne lui convient : elle me fait coucher sur le divan, vient s'accroupir devant ma queue comme si elle adorait un dieu étrange. Elle a repris son pompier. Cette fois elle me caresse les couilles, le bas ventre et pour finir me met directement un doigt dans le cul. Elle le fait aller et venir en cadence avec les mouvements de sa bouche. Je suis sur le point de jouir. Je le lui dis, elle continue sans arrêter pour que j'éjacule dans la bouche. Elle se relève: j'ai la bite aussi propre qu'avant. Ses seules paroles sont: je me suis régalée, j'aime ton goût.
Je suis tombé sur une femme bien sensuelle. En attendant je n'ai pas jouis. Elle a l'air de prendre ça à la légère. Pourtant elle garde ma queue dans ses mains réunies. Elle me malaxe comme si elle faisait un gâteau. Sa recette est bonne puisque je reprends vie. Je bande à nouveau. Elle me branle avec ses deux mains réunies avant de se coucher son tour sur le divan: Baises moi. Ayant jouis il y a peu, je sais que je ne fait pas jouir rapidement par contre je la satisferai. Je me mets entre ses cuisses ouvertes. Je vais la prendre quand elle-même se met ma bite dans son vagin. Nous entamons une nouvelle danse, bien rythmée. Ses jambes sont repliées aux genoux, elle ferme les yeux. Je la regarde avec un brin d'émotion: je me paye une fille qui n'a pas eu de bite en elle depuis longtemps. Je sens bien ma pine aller et venir dans ses tissus. Je la sens quand son vagin se ferme en jouissant. Je la laisse prendre son plaisir le temps qu'elle veux. Je n'ai pas jouis. Elle se tourne, me donne ses fesses: encule moi. Que répondre à une telle invite ? J'obéis. Je dois faire attention à son cul: personne ne l'a sodomisée depuis longtemps. Elle se mouille bien l'anus, écarte ses fesses à deux mains. La nouvelle aventure commence quand je pose ma pine sur son cul. Le veux rentrer très lentement. J'arrive à passer mon gland sans dommage pour elle et pour son anus. Je ne force pas trop pour la lui mettre à fond. Elle ne se manifeste que quand elle sent les poils du pubis contre ses fesses. Elle jouit, je dois continuer à la sodomiser. Je le fais jusqu'au moment où
je n'en peux plus. Je décharge mon foutre dans ses profondeurs. Elle répond en jouissant encore. Je sors d'elle en débandant.
Elle me veut cette fois ma bouche sur toute sa fente. Je la mets assise au bord du divan. Je lui écarte moi-même les jambes pour y mettre facilement ma tête. Elle me la prend dès que je suis près de son con. Pourtant elle me laisse faire tout ce que je veux et j'en veux: je commence par la lui mettre là d'où j'ai sorti ma bite. C'est simple, elle a encore le cul ouvert. Je rentre presque toute ma langue. Elle gémit en disant des saloperie: elle est une putain qui se fait mettre partout, elle voudrai une fille avec nous. Elle veux que je lui branle le bouton en même temps que je cul.
Bref elle est déchaînée. Je la fais jouir encore une fois de son cul. Je lui rendre ma langue dans son vagin; je trouve son endroit sensible, elle jouit encore. Il ne me reste que son clitoris. Je l'aspire pour le lécher à l'intérieur de ma bouche. Elle devient folle: encore, n'arrête pas, je te sucerai tout à l'heure. En attendant c'est elle qui jouit.
Nous finissons de baiser: elle me raconte sa vie sexuelle: elle a commencé par se branler très jeune, elle a fait l'amour avec trois filles, s'est faite baisée à 16 ans, a eu beaucoup d'amants.
Son mariage a tourné en eau de boudin; son ex, n'admettait pas qu'elle fréquente une amie, très chère. Elle laissait tomber cette amie, pour ne se consacrer qu'à son homme qui lui, ne se privait pas de maîtresses, d'où le divorce.
Il n'empêche qu'elle avait besoin d'une bonne bite et sans doute d'un sexe féminin pour combler ses désirs. Pour ce qui était de la bite j'étais là, pour le reste je n'y pouvait rien.
Je suppose qu'elle est nouvelle dans le quartier. Je vais la surveiller. Je suis bloqué chez moi depuis quelques jours et encore pour une bonne semaine. Je n'ai que ça à faire, comme une vielle concierge. Je e peux me déplacer qu'avec des béquilles: c'est la raison de mon isolement passager.
Mes amis sont tous venus me voir, ma copine aussi. Mais, nous étions sur le point de nous séparer.
Cette fois c'est fait. D'un coté bon débarras. Après tout elle ne me servait que de vide couilles sans qu'elle ne jouisse une seule fois. Maintenant je me contente de me masturber. C'est aussi bien en attendant une autre nana qui elle au moins baisera convenablement. Je pense que cette nouvelle devra bien faire l'affaire. Elle repasse, presque en même temps que le facteur: je lui demande s'il la connaît: bien sur c'est une nouvelle femme divorcée qui habite deux maisons plus haut. A part ça, il ne me dit rien d'autre. Notre quartier résidentiel est bien au dessus de beaucoup d'autres. Si elle habité ici, elle en a les moyens. Ma machine à penser tourne à plein régime: d'où vient-elle, que fait elle dans la vie, a-t-elle un ami. Je me mets à rêver d'elle sans arrêt. Je suis amoureux d'une presque ombre.
Le temps passe et me voila libre de sortir. Enfin je pourrai penser à autre chose. Je reprend mon job: cadre dans une grosse boite. J'y retrouve avec plaisir l'ambiance du bureau. Quand je rentre le soir assez tard je vois juste sur le trottoir d'en face, cette fille. Elle a une démarche assurée, elle a des chevaux très longs, bref, elle me plaît de plus en plus. Tant pis je me lance: je lui adresse la parole en lui disant quelques bêtises. Elle sourit. Je lui dit qu'elle me plait beaucoup.
Elle me toise un moment et sourit encore. Je l'accompagne jusqu'à chez elle. Nous nous disons au revoir.
Le lendemain, même heure je le revois. Cette fois je l'invite à venir prendre un verre chez moi.
Elle ne refuse jamais un verre, surtout qu'elle ne connaît encore personne dans le quartier. Je la fais entrer dans mon salon, bien propre grâce à la bonne qui fait le ménage. Elle accepte un doigt de porto. Elle s'assoit en face de moi. Je la dévore des yeux. Elle me plait encore plus. Quand nous bavardons un moment, elle m'apprend qu'elle est divorcée depuis peu, qu'elle vit grâce à la forte pension qu'elle reçoit. Elle sen va satisfaite avoir enfin quelque un quelle connaît.
Le lendemain, rebelote. Je l'invite à nouveau. Je l'embrasse sur les joues, comme une vieille connaissance. Elle répond à mes baisers; Je n'ose pas aller plus loin. Nous bavardons toujours cette fois sans rien boire. Nous bavardons maintenant comme de vieilles connaissances. Nous restons toujours dans le vague sur le sexe. Je me promets que demain sans faute je l'embrasserai.
Le lendemain, c'est elle qui m'invite. Sa maison est au moins aussi bien faire que la mienne. Elle m'offre encore à boire. Elle s'assoit à mes cotés. Nous commençons à bavarder. C'est elle qui met sur le tapis le sexe. Oh, ce n'est pas graveleux du tout. Elle avoue simplement que depuis sa séparation elle n'a jamais fait l'amour. Je lui demande si elle n'est pas en manque. En rougissant un peu, elle me dit qu'elle aimera bien de temps en temps avoir un ami discret.
Je lui avoue enfin que je fais une fixation sur elle depuis longtemps. Sans autre forme de procès je la prends dans les bras et lui met ma bouche sur la sienne. Après un bref moment de recul, elle accepte enfin ma langue. Ayant nos langues que se disputent un peu, je lui prends un sein. Je le caresse à travers son t-shirt léger. J'y mets une main par-dessous. Je trouve un soutien gorge léger. Je caresse le sein. Elle me laisse faire ce que e veux. J'arrive à déboutonner les soutif: je peux enfin la caresser comme j'aime. Ses seins durcissent bien vite. J'arrive à y mettre ma bouche.
Je commence à la sucer. Elle doit s'en douter, ma langue ne va pas s'arrêter là. Je suis trop gourmand d'un corps féminin, pur oublier de la sucer.
Je lui met une main sur sa cuisse: elle se laisse faire. En effet elle n'a pas du avoir un homme depuis un bon bout de temps. Je lui caresse les jambes pour arriver à l'endroit que je préfère: son sexe. Je suis un peu surpris de ne rencontrer aucun vêtement: ma main arrive directement sur son sexe déjà bien mouillé. Je n'ai pas à chercher bien loin les endroits qui m'intéressent. Je ne la connais pas assez pour me permettre d'aller poser mes doigts partout où j'aimerai. Je verrai plus tard. En attendant je trouve son bouton. Je le sort de sa cachette et le caresse un bon moment sans trop y appuyer. Elle prend ma main pour que je la branle. Je le fais comme elle veut. Elle se tend rapidement comme une personne qui n'a pas eu d'orgasme depuis longtemps. Elle jouit en me remerciant.
Elle me remercier aussi à sa façon. Elle sait que je bande: elle pose sa main sur mon membre bien tendu. A travers mon pantalon elle le masse, avant d'essayer de le sortir. Je veux l'aider, elle insiste: c'est à elle seule de le faire. Elle arrive à prendre ma queue dans une main. Elle regarde ma bite comme une bête curieuse. Elle la caresse comme un petit animal. Elle me fait bander encore plus. Elle jouit encore, me fait enlever ma main de son sexe, se penche vers ma pine pour en lécher le gland. Je la laisse faire: elle prend mon membre dans la bouche pour une fellation de légende. Je suis renversé vers le fond su siège, ma bite bien occupée par cette bouche. Cette position ne lui convient : elle me fait coucher sur le divan, vient s'accroupir devant ma queue comme si elle adorait un dieu étrange. Elle a repris son pompier. Cette fois elle me caresse les couilles, le bas ventre et pour finir me met directement un doigt dans le cul. Elle le fait aller et venir en cadence avec les mouvements de sa bouche. Je suis sur le point de jouir. Je le lui dis, elle continue sans arrêter pour que j'éjacule dans la bouche. Elle se relève: j'ai la bite aussi propre qu'avant. Ses seules paroles sont: je me suis régalée, j'aime ton goût.
Je suis tombé sur une femme bien sensuelle. En attendant je n'ai pas jouis. Elle a l'air de prendre ça à la légère. Pourtant elle garde ma queue dans ses mains réunies. Elle me malaxe comme si elle faisait un gâteau. Sa recette est bonne puisque je reprends vie. Je bande à nouveau. Elle me branle avec ses deux mains réunies avant de se coucher son tour sur le divan: Baises moi. Ayant jouis il y a peu, je sais que je ne fait pas jouir rapidement par contre je la satisferai. Je me mets entre ses cuisses ouvertes. Je vais la prendre quand elle-même se met ma bite dans son vagin. Nous entamons une nouvelle danse, bien rythmée. Ses jambes sont repliées aux genoux, elle ferme les yeux. Je la regarde avec un brin d'émotion: je me paye une fille qui n'a pas eu de bite en elle depuis longtemps. Je sens bien ma pine aller et venir dans ses tissus. Je la sens quand son vagin se ferme en jouissant. Je la laisse prendre son plaisir le temps qu'elle veux. Je n'ai pas jouis. Elle se tourne, me donne ses fesses: encule moi. Que répondre à une telle invite ? J'obéis. Je dois faire attention à son cul: personne ne l'a sodomisée depuis longtemps. Elle se mouille bien l'anus, écarte ses fesses à deux mains. La nouvelle aventure commence quand je pose ma pine sur son cul. Le veux rentrer très lentement. J'arrive à passer mon gland sans dommage pour elle et pour son anus. Je ne force pas trop pour la lui mettre à fond. Elle ne se manifeste que quand elle sent les poils du pubis contre ses fesses. Elle jouit, je dois continuer à la sodomiser. Je le fais jusqu'au moment où
je n'en peux plus. Je décharge mon foutre dans ses profondeurs. Elle répond en jouissant encore. Je sors d'elle en débandant.
Elle me veut cette fois ma bouche sur toute sa fente. Je la mets assise au bord du divan. Je lui écarte moi-même les jambes pour y mettre facilement ma tête. Elle me la prend dès que je suis près de son con. Pourtant elle me laisse faire tout ce que je veux et j'en veux: je commence par la lui mettre là d'où j'ai sorti ma bite. C'est simple, elle a encore le cul ouvert. Je rentre presque toute ma langue. Elle gémit en disant des saloperie: elle est une putain qui se fait mettre partout, elle voudrai une fille avec nous. Elle veux que je lui branle le bouton en même temps que je cul.
Bref elle est déchaînée. Je la fais jouir encore une fois de son cul. Je lui rendre ma langue dans son vagin; je trouve son endroit sensible, elle jouit encore. Il ne me reste que son clitoris. Je l'aspire pour le lécher à l'intérieur de ma bouche. Elle devient folle: encore, n'arrête pas, je te sucerai tout à l'heure. En attendant c'est elle qui jouit.
Nous finissons de baiser: elle me raconte sa vie sexuelle: elle a commencé par se branler très jeune, elle a fait l'amour avec trois filles, s'est faite baisée à 16 ans, a eu beaucoup d'amants.
Son mariage a tourné en eau de boudin; son ex, n'admettait pas qu'elle fréquente une amie, très chère. Elle laissait tomber cette amie, pour ne se consacrer qu'à son homme qui lui, ne se privait pas de maîtresses, d'où le divorce.
Il n'empêche qu'elle avait besoin d'une bonne bite et sans doute d'un sexe féminin pour combler ses désirs. Pour ce qui était de la bite j'étais là, pour le reste je n'y pouvait rien.
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