La nuit où Samir s’est fait défoncer
Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La nuit où Samir s’est fait défoncer
C’était la nuit qui avait suivi le scenario passif. Il avait été rapide mais les avait bien chauffés.
Samir avait remis son tablier et était resté à poil, dessous.
Eric avait juste mis un caleçon et était resté torse nu.
Ils s’étaient quelque peu attardés au repas, avaient beaucoup discuté, d’eux, de l’avenir, de projets. Comme pour ranimer une flamme qui était en train de s’éteindre.
Chacun le sentait, mais aucun n’osait se l’avouer. Encore moins en parler à l’autre.
Puis ils étaient allés mater un film dans la chambre d’Eric, sur son lit. Là, Samir avait enlevé son tablier, et mis juste un genre de pantacourt, comme Eric aimait.
Quand le film a été terminé, ils sentirent que c’était le moment. Il était 23h40. La nuit était calme. Pas un bruit dans l’appartement, et dans l’immeuble. C’était un jour de semaine, tout le monde devait dormir.
Samir regarda Eric, lui mit la main au paquet, ce qu’il faisait rarement, et se mit la main au paquet, ce qu’il faisait plus souvent.
Mais il était manifestement toujours dans le trip “ passif “ - envie de queue, en tout cas, car il malaxa la queue d’Eric par dessus le caleçon, ce qu’il ne faisait jamais.
Il la mit à l’air, elle était bien dure, et dressée, et il commença à la branler, tout en le regardant fixement.
Et puis, là aussi, ce qu’il n’avait jamais fait, si ce n’est furtivement, il approcha sa bouche de la bite d’Eric, l’engloutit, et se mit à la sucer avidement.
Eric, littéralement scotché par ce qui était en train de se passer, se laissa faire, et ferma les yeux.
Il se sentait emporté par son érection, il sentait sa queue grandir, grossir, envahir toute la bouche de Samir, qui continuait à sucer avec application.
Eric avait du mal à réaliser ce qui se passait. Jamais il n’avait vécu, avec Samir, un tel moment.
Jusque là c’est lui qui suçait. Pendant des années c’est comme ça, sur le plan intime, que leur couple avait fonctionné. C’était lui le passif, et c’était Samir l’actif. Point. Immuable. La première fois que Samir l’avait sucé, c’était il y a tout juste un an, le fameux soir qui avait suivi le plan avec Arnaud. Et encore c’était furtif, ça avait duré quelques secondes, avant que Samir ne redevienne actif, et ne reprenne possession des entrailles d’Eric.
Ce soir-là, c’était différent. Depuis le début (de la journée même), Samir fonctionnait en mode passif. Il s’était fait bouffer et prendre le cul dans la cuisine, comme il l’avait imaginé, et scénarisé.
Et, plusieurs heures après, dans la chambre, après le film, il était toujours en mode passif.
Et il le suçait...
Eric était allongé sur le lit, sur le dos, les jambes écartées, la bite dressée, Samir s’était allongé sur le ventre, la tête à la hauteur de la bite d’Eric, en position de salope suceuse qui n’était guère dans ses habitudes. Sa bouche s’occupait de la queue de son compagnon avec avidité, et sans aucun répit.
Eric était aux anges, surpris certes, mais très agréablement surpris. Samir suçait avec beaucoup de douceur, sa bouche était bien humide et, de ce fait, l’érection d’Eric était maximale.
Quel pied.
Jamais Eric n’avait ressenti un tel plaisir en se faisant sucer. Il faut dire que ce n’était pas trop son truc, il préférait sucer que se faire sucer, il préférait les bites aux bouches, et cela, depuis des années.
Avec Samir les habitudes avaient été prises, et semblaient ne jamais devoir changer. Samir adorait se faire sucer, Eric adorait sucer, le couple complémentaire idéal, d’autant qu’a priori Samir ne suçait pas et qu’Eric n’aimait pas se faire sucer.
Mais là c’est Samir qui suçait, et Eric qui prenait son pied. Samir s’appliquait, sortait parfois la queue de sa bouche, et la léchait, gland compris, pour le plus grand bonheur d’Eric. Il léchait les boules aussi, avant de la remettre dans sa bouche, et de sucer. Comme une vraie passive. Eric, tout à son bonheur, lui caressait le dessus de la tête (Samir avait souvent les cheveux coupés ras, de ce fait la main qui caressait sa tête ressentait bien le contact avec le crâne, et Eric aimait beaucoup cette sensation).
Tout en suçant, Samir regardait Eric et lui lançait même des regards bien lascifs. A un moment il se releva, passa sa langue autour de sa bouche encore pleine de la queue de son compagnon, et vint lui murmurer à l’oreille : “ Prends moi le cul “.
Eric feignit la surprise, et même fit mine de ne pas avoir compris, puisqu’il fit répéter. Samir ne se fit pas prier et lui dit : “ Viens me prendre le cul, je sais que tu en meurs d’envie “.
- Ah ouais, fit Eric, un peu décontenancé par ce qu’il venait d’entendre et que, même dans ses rêves les plus fous, il n’aurait pu imaginer.
Il rapprocha son visage de celui de Samir et les deux compagnons joignirent leurs lèvres pour entamer, d’abord un smack, ensuite un baiser langoureux.
Eric caressa de sa main droite le visage de Samir qui détacha ses lèvres des siennes pour venir lécher le lobe de son oreille, puis coller son corps au sien.
Les deux hommes se frottèrent ainsi, bite contre bite, torse contre torse, dans un corps à corps, qu’ils pratiquaient peu, mais qui était terriblement sensuel.
Samir monta légèrement pour que ce ne soit plus sa tête mais le haut de sa poitrine qui soit à la hauteur du visage d’Eric.
Et surtout pour dégager sa bite de la sienne, et lui offrir l’orifice de son anus.
Tout en le caressant, au niveau du dos, puis des fesses, Eric dirigea sa bite vers cet orifice offert, et commença à rentrer doucement.
La position n’était pas la plus propice à une pénétration de ce type, mais elle était d’une sensualité infinie.
Samir entama des mouvements de va et vient avec son corps, ce qui permit à la bite d’Eric de pénétrer encore davantage.
Il avait l’impression de rentrer comme dans du beurre, dans un orifice chaud, humide et accueillant.
Samir était en chaleur, tout simplement, et arrivait, lui aussi, comme une bonne passive, à mouiller du cul. Qui l’eût cru...
Eric n’arrivait pas à croire ce qu’il était en train de vivre.
Et c’est alors qu’il devint sauvage, brutal, et qu’il se mit à défoncer Samir.
Il ne voulait plus que son mec soit sur lui, il voulait que ce soit l’inverse, il voulait le posséder, le chevaucher, le dominer.
Samir était alors sur le dos, il lui écarta les jambes sans ménagement, puis vint lui bouffer le cul, ce qu’il aimait tant, et qui était même sa pratique sexuelle favorite.
Cet anulingus était trop bon, les gémissements de Samir, et son érection type béton armé achevèrent de l’exciter.
Il se mit alors à employer la force physique. Il ramena Samir (nettement plus léger que lui...) vers le bord du lit, se mit debout, amena son sexe, lui aussi dur comme du béton, à hauteur de l’anus de son compagnon, et le pénétra d’un coup sec et jusqu’au bout. Samir gémit et grimaça, son but était atteint, et son mec, complètement à sa merci.
- T’aimes ça, hein, salope...
- Oui, gémit Samir, qu’il n’avait encore jamais vu dans cet état de soumission et de passivité.
Il aurait voulu que sa bite soit plus épaisse, pour que Samir la sente passer jusqu’à avoir mal.
Il se jeta sur lui, et continua à le baiser, cette fois en corps à corps.
- Ouvre ta bouche, salope.
Samir s’exécuta, et Eric lui balança un mollard dans la bouche, comme l’autre lui faisait. Que ne fait-on pas dans des moments d’excitation sexuelle intense...
Eric voulut le prendre par derrière, dans la position qu’affectionnait Samir, et qu’il allait à son tour subir.
- Retourne toi, salope.
Là encore, Samir, le fier, s’exécuta sans un mot.
Hum... la vue de son cul, totalement à sa merci...
Il le bouffa, puis le doigta, un, deux, trois, quatre même en le repliant, et puis la bite, à nouveau.
Il le baisa jusqu’à lui faire mal, et jusqu’à en avoir mal, il n’en pouvait plus, mais eut la ressource de changer encore une fois de position, pour que tous deux se mettent sur le côté.
Il lui semblait que sa bite se dirigeait toute seul vers l’anus de Samir, il n’avait qu’à l’enfoncer légèrement pour qu’elle y passe tout entière, jusqu’à ce que ses couilles ne touchent sa peau.
Il ferma les yeux et entama une nouvelle série de va-et-vient, Samir, visiblement, n’était pas rassasié, il gémissait et se dandinait le cul.
Eric n’en pouvait plus, et, surtout, n’avait plus d’énergie. Il se laissa donc aller et jouit dans un hurlement. Samir se branla un peu et lui aussi éjacula bruyamment.
Les soubresauts d’Eric remplissaient le fondement de Samir, l’idée de le féconder ainsi le ravit, c’était la première fois que ça arrivait, et ça compensait toutes les fois où Samir le lui avait fait.
Les deux amants eurent du mal à reprendre leur souffle. Ce fut une étape nouvelle dans leur relation.
En réalité, mais ils ne le savaient pas encore, c’était le début de la fin, comme le chant du cygne.
Samir avait remis son tablier et était resté à poil, dessous.
Eric avait juste mis un caleçon et était resté torse nu.
Ils s’étaient quelque peu attardés au repas, avaient beaucoup discuté, d’eux, de l’avenir, de projets. Comme pour ranimer une flamme qui était en train de s’éteindre.
Chacun le sentait, mais aucun n’osait se l’avouer. Encore moins en parler à l’autre.
Puis ils étaient allés mater un film dans la chambre d’Eric, sur son lit. Là, Samir avait enlevé son tablier, et mis juste un genre de pantacourt, comme Eric aimait.
Quand le film a été terminé, ils sentirent que c’était le moment. Il était 23h40. La nuit était calme. Pas un bruit dans l’appartement, et dans l’immeuble. C’était un jour de semaine, tout le monde devait dormir.
Samir regarda Eric, lui mit la main au paquet, ce qu’il faisait rarement, et se mit la main au paquet, ce qu’il faisait plus souvent.
Mais il était manifestement toujours dans le trip “ passif “ - envie de queue, en tout cas, car il malaxa la queue d’Eric par dessus le caleçon, ce qu’il ne faisait jamais.
Il la mit à l’air, elle était bien dure, et dressée, et il commença à la branler, tout en le regardant fixement.
Et puis, là aussi, ce qu’il n’avait jamais fait, si ce n’est furtivement, il approcha sa bouche de la bite d’Eric, l’engloutit, et se mit à la sucer avidement.
Eric, littéralement scotché par ce qui était en train de se passer, se laissa faire, et ferma les yeux.
Il se sentait emporté par son érection, il sentait sa queue grandir, grossir, envahir toute la bouche de Samir, qui continuait à sucer avec application.
Eric avait du mal à réaliser ce qui se passait. Jamais il n’avait vécu, avec Samir, un tel moment.
Jusque là c’est lui qui suçait. Pendant des années c’est comme ça, sur le plan intime, que leur couple avait fonctionné. C’était lui le passif, et c’était Samir l’actif. Point. Immuable. La première fois que Samir l’avait sucé, c’était il y a tout juste un an, le fameux soir qui avait suivi le plan avec Arnaud. Et encore c’était furtif, ça avait duré quelques secondes, avant que Samir ne redevienne actif, et ne reprenne possession des entrailles d’Eric.
Ce soir-là, c’était différent. Depuis le début (de la journée même), Samir fonctionnait en mode passif. Il s’était fait bouffer et prendre le cul dans la cuisine, comme il l’avait imaginé, et scénarisé.
Et, plusieurs heures après, dans la chambre, après le film, il était toujours en mode passif.
Et il le suçait...
Eric était allongé sur le lit, sur le dos, les jambes écartées, la bite dressée, Samir s’était allongé sur le ventre, la tête à la hauteur de la bite d’Eric, en position de salope suceuse qui n’était guère dans ses habitudes. Sa bouche s’occupait de la queue de son compagnon avec avidité, et sans aucun répit.
Eric était aux anges, surpris certes, mais très agréablement surpris. Samir suçait avec beaucoup de douceur, sa bouche était bien humide et, de ce fait, l’érection d’Eric était maximale.
Quel pied.
Jamais Eric n’avait ressenti un tel plaisir en se faisant sucer. Il faut dire que ce n’était pas trop son truc, il préférait sucer que se faire sucer, il préférait les bites aux bouches, et cela, depuis des années.
Avec Samir les habitudes avaient été prises, et semblaient ne jamais devoir changer. Samir adorait se faire sucer, Eric adorait sucer, le couple complémentaire idéal, d’autant qu’a priori Samir ne suçait pas et qu’Eric n’aimait pas se faire sucer.
Mais là c’est Samir qui suçait, et Eric qui prenait son pied. Samir s’appliquait, sortait parfois la queue de sa bouche, et la léchait, gland compris, pour le plus grand bonheur d’Eric. Il léchait les boules aussi, avant de la remettre dans sa bouche, et de sucer. Comme une vraie passive. Eric, tout à son bonheur, lui caressait le dessus de la tête (Samir avait souvent les cheveux coupés ras, de ce fait la main qui caressait sa tête ressentait bien le contact avec le crâne, et Eric aimait beaucoup cette sensation).
Tout en suçant, Samir regardait Eric et lui lançait même des regards bien lascifs. A un moment il se releva, passa sa langue autour de sa bouche encore pleine de la queue de son compagnon, et vint lui murmurer à l’oreille : “ Prends moi le cul “.
Eric feignit la surprise, et même fit mine de ne pas avoir compris, puisqu’il fit répéter. Samir ne se fit pas prier et lui dit : “ Viens me prendre le cul, je sais que tu en meurs d’envie “.
- Ah ouais, fit Eric, un peu décontenancé par ce qu’il venait d’entendre et que, même dans ses rêves les plus fous, il n’aurait pu imaginer.
Il rapprocha son visage de celui de Samir et les deux compagnons joignirent leurs lèvres pour entamer, d’abord un smack, ensuite un baiser langoureux.
Eric caressa de sa main droite le visage de Samir qui détacha ses lèvres des siennes pour venir lécher le lobe de son oreille, puis coller son corps au sien.
Les deux hommes se frottèrent ainsi, bite contre bite, torse contre torse, dans un corps à corps, qu’ils pratiquaient peu, mais qui était terriblement sensuel.
Samir monta légèrement pour que ce ne soit plus sa tête mais le haut de sa poitrine qui soit à la hauteur du visage d’Eric.
Et surtout pour dégager sa bite de la sienne, et lui offrir l’orifice de son anus.
Tout en le caressant, au niveau du dos, puis des fesses, Eric dirigea sa bite vers cet orifice offert, et commença à rentrer doucement.
La position n’était pas la plus propice à une pénétration de ce type, mais elle était d’une sensualité infinie.
Samir entama des mouvements de va et vient avec son corps, ce qui permit à la bite d’Eric de pénétrer encore davantage.
Il avait l’impression de rentrer comme dans du beurre, dans un orifice chaud, humide et accueillant.
Samir était en chaleur, tout simplement, et arrivait, lui aussi, comme une bonne passive, à mouiller du cul. Qui l’eût cru...
Eric n’arrivait pas à croire ce qu’il était en train de vivre.
Et c’est alors qu’il devint sauvage, brutal, et qu’il se mit à défoncer Samir.
Il ne voulait plus que son mec soit sur lui, il voulait que ce soit l’inverse, il voulait le posséder, le chevaucher, le dominer.
Samir était alors sur le dos, il lui écarta les jambes sans ménagement, puis vint lui bouffer le cul, ce qu’il aimait tant, et qui était même sa pratique sexuelle favorite.
Cet anulingus était trop bon, les gémissements de Samir, et son érection type béton armé achevèrent de l’exciter.
Il se mit alors à employer la force physique. Il ramena Samir (nettement plus léger que lui...) vers le bord du lit, se mit debout, amena son sexe, lui aussi dur comme du béton, à hauteur de l’anus de son compagnon, et le pénétra d’un coup sec et jusqu’au bout. Samir gémit et grimaça, son but était atteint, et son mec, complètement à sa merci.
- T’aimes ça, hein, salope...
- Oui, gémit Samir, qu’il n’avait encore jamais vu dans cet état de soumission et de passivité.
Il aurait voulu que sa bite soit plus épaisse, pour que Samir la sente passer jusqu’à avoir mal.
Il se jeta sur lui, et continua à le baiser, cette fois en corps à corps.
- Ouvre ta bouche, salope.
Samir s’exécuta, et Eric lui balança un mollard dans la bouche, comme l’autre lui faisait. Que ne fait-on pas dans des moments d’excitation sexuelle intense...
Eric voulut le prendre par derrière, dans la position qu’affectionnait Samir, et qu’il allait à son tour subir.
- Retourne toi, salope.
Là encore, Samir, le fier, s’exécuta sans un mot.
Hum... la vue de son cul, totalement à sa merci...
Il le bouffa, puis le doigta, un, deux, trois, quatre même en le repliant, et puis la bite, à nouveau.
Il le baisa jusqu’à lui faire mal, et jusqu’à en avoir mal, il n’en pouvait plus, mais eut la ressource de changer encore une fois de position, pour que tous deux se mettent sur le côté.
Il lui semblait que sa bite se dirigeait toute seul vers l’anus de Samir, il n’avait qu’à l’enfoncer légèrement pour qu’elle y passe tout entière, jusqu’à ce que ses couilles ne touchent sa peau.
Il ferma les yeux et entama une nouvelle série de va-et-vient, Samir, visiblement, n’était pas rassasié, il gémissait et se dandinait le cul.
Eric n’en pouvait plus, et, surtout, n’avait plus d’énergie. Il se laissa donc aller et jouit dans un hurlement. Samir se branla un peu et lui aussi éjacula bruyamment.
Les soubresauts d’Eric remplissaient le fondement de Samir, l’idée de le féconder ainsi le ravit, c’était la première fois que ça arrivait, et ça compensait toutes les fois où Samir le lui avait fait.
Les deux amants eurent du mal à reprendre leur souffle. Ce fut une étape nouvelle dans leur relation.
En réalité, mais ils ne le savaient pas encore, c’était le début de la fin, comme le chant du cygne.
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