La Parisienne en vacances
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Parisienne en vacances
Voici une histoire vraie.
Pour être au plus prêt de la vérité, je vais d'abord raconter les quelques mois vécus, par celle, dont je vais tomber follement amoureux, avant de me rencontrer.
Pour la respecter, je l'appellerai Suzie, plutôt que par son véritable prénom.
Suzie vient d'avoir dix-sept ans, depuis peu, elle est en couple avec un garçon de son âge.
Celui-ci (que nous nommerons Thomas) est en pleine recherche de sensations, il veut absolument la persuader d'avoir un rapport sexuel avec lui.
Elle ne se sent pas prête, elle a des sentiments pour lui, mais c'est trop tôt à son gout.
Les semaines passent, le jeune garçon la menace de la quitter, et lui rappelle sans cesse qu'il l'aime.
Il est très jaloux, et possessif.
Par précaution, sa mère lui a dit de prendre la pilule, elle s'attend à ce que sa fille rentre dans sa vie de femme, d'un jour à l'autre.
Même maman approuve sa relation avec Thomas ! Donc devant l'inévitable, Suzie a pris les devants.
Un jour, elle ne peux plus repousser l'échéance de cette demande.
Il l'embrasse, puis se hâte de lui ôter ses vêtements.
"Thomas ! Tu veux pas attendre ? Je sais pas, si j'en ai vraiment envie !".
"S'il te plait, je t'aime ! J'ai envie de toi ! J'en peux plus !".
Il a attiré la main de Suzie sur son sexe en érection, depuis un moment déjà.
Elle est sur le dos, avec le corps de Thomas au dessus d'elle.
Il dirige sa queue entre ses cuisses et appuie de toutes ses forces.
Elle crie qu'elle à mal, mais il est trop excité pour s'arrêter avant d'atteindre son but.
Il déchire enfin son hymen, et entame sa possession avec une certaine excitation fébrile.
Suzie se mord la main, elle ne ressent aucun plaisir, seulement de la douleur.
C'est donc ça faire l'amour ? Elle qui imaginais un moment de grâce, elle est très déçue.
Elle sort de son corps en attendant que Thomas éjacule.
Thomas ne soucie pas du plaisir de Suzie et se déverse sans retenue, puis s'écroule sur elle.
Après s'être séparés charnellement, ils ont une dispute.
Dans les jours qui suivent, il parvient à recoller les morceaux, en lui rappelant qu'il l'aime comme un fou.
Peu avant cet événement, les parents de Suzie lui ont annoncé qu'il l'emmenait en vacances dans le Sud de la France, et offre aussi le séjour à sa meilleure amie Mélanie, afin qu'elles restent ensemble.
Les deux filles quittent la région parisienne avec les parents de Suzie, et logent dans un hôtel du centre ville de Toulon.
Suzie se confie à sa meilleure amie, elle lui fait part de sa déception, après ce premier rapport sexuel.
Mélanie qui est plus chanceuse qu'elle, la rassure, mais pense que Thomas n'est fait pas pour elle.
Le deuxième soir, les deux jeunes filles vont sur le port de la ville, et s'assoient en terrasse d'un bar.
Je viens de me poser, moi aussi, avec mon ami Bruno, que j'héberge depuis quelques mois.
Habituellement, c'est lui qui aborde les filles, il est plus jeune que moi, plus grand et plus de bagout !
Je croise le regard de Suzie, son visage magnifique me charme tout de suite !
Bruno aperçoit aussi les deux jeunes filles, il me demande:
"Laquelle te plait le plus ?".
"Celle de gauche ! En plus, elle arrête pas de me sourire !".
"Moi aussi, elle me plait plus que l'autre !".
"Ecoutes de toute façon, c'est toujours les filles qui choisissent ! Et pour le moment, c'est mal barré !".
En effet, il constate comme moi que quatre marins américains sont autour d'elles et s'assoient à leurs tables.
Le regard de Suzie ne cesse de chercher le mien.
Puis, elle se met à souffler en me regardant, pour me faire comprendre que les marines la saoulent !
J'ai un éclair de génie, et je me lève en disant à Bruno :
"J'y vais, tu me rejoins, dès que je te fais signe !".
D'un pas décidé, je me dirige vers le groupe et je fais la bise à Susie et Mélanie en faisant comme si, je les connaissaient depuis toujours.
"Salut, comment vous allez ?".
"Euh, nous super ! Bien et toi ?".
Ouf, elle a capté mon intention.
Un marine, me demande:
"Oh ! You know her ?".
"Yes !".
"Oh, sorry, Man ! We leave you alone !".
Dès qu'ils sont partis, je fais signe à Bruno, on se présente, pendant que mon ami, s'esclaffe de rire, estomaqué par mon culot.
Suzie me remercie de les avoir sorties de ce "gentil pétrin".
Franchement, Bruno n'est pas à plaindre, Mélanie est très jolie, aussi ! Mais trop grande pour moi !
Après de longues discussions, on se ballade, et les couples se forment naturellement.
Suzie m'a choisi.
Bruno me fait rire en parlant fort:
"Tu m'énerves !".
"Pourquoi tu lui dis ça ?".
"C'est un délire entre nous !".
Comme je connais bien la ville, je les emmène dans de beaux endroits, très proches du port.
Suzie m'offre un premier baiser, Bruno et Mélanie nous imitent.
Ce premier baiser avec Suzie est magique, nos sensibilités s'accordent parfaitement.
Dès lors, nous avons du mal à cesser de nous embrasser.
Elles émettent le souhait de changer d'endroit.
Mélanie demande:
"Vous avez pas un appartement ?".
"Ben, on va chez Pascal ! Si vous voulez !".
Apparemment, Mélanie n'a pas froid aux yeux, et veut vivre ses vacances, sans complexe.
Dans l'appartement, nous séparons mon lit du matelas supérieur.
Par manque de place, j'ai deux matelas, l'un sur l'autre.
Quand nous faisons venir des filles, on prend chacun son tour, ou le lit, ou le matelas au sol.
Cette fois, j'ai droit au matelas dans la cuisine, pour que chacun ait de l'intimité.
Suzie et moi, retrouvons notre énorme besoin de nous embrasser, mes mains s'égarent sur son corps magnifique.
Je sais déjà qu'elle n'est pas comme mes autres conquêtes féminines, le feeling est beaucoup plus intense.
J'aime ressentir l'effet que mes caresses passionnées exerce sur elle.
Ses gémissements me rendent dingue.
Lentement, elle se laisse dévêtir.
J'admire son corps juvénile, je m'étonne encore que je puisse plaire à cette superbe fille de 17 ans.
J'essaie d'oublier Corinne, mais je suis déjà conscient de la dangerosité de cette relation.
A mon tour, je me retrouve nu.
De leur coté, on entend clairement que Bruno donne du plaisir à Mélanie.
C'est le moment ou je vais entreprendre de faire l'amour à Suzie, mes mains ne cessent de la caresser.
Puis, sans que je ne m'y attende, elle se met à pleurer !
"Suzie ? Qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi, tu pleures ?".
"Je peux pas, je suis désolé, Pascal ! T'es un mec génial ! Mais j'ai déjà un copain ! On a une relation sérieuse ! Et je l'ai fait qu'une fois !".
"Je comprends ! C'est pas grave ! Tu veux qu'on s'arrête là ?".
"C'est pas parce que j'ai pas envie de le tromper, c'est que j'ai peur d'avoir mal !...".
Elle me raconte sa mauvaise expérience, le manque de tact de son petit ami, et son manque complet de considération de son plaisir.
Elle me demande ensuite:
"On peut rester comme ça, l'un contre l'autre, j'ai envie de rester dans tes bras !".
"Mais bien sûr ! Je suis pas mort de faim, tu me plais trop, pour que je te fasse du mal !".
On a donc passé quatre heures, nus l'un contre l'autre, sans faire l'amour.
Seulement de nombreux baisers et caresses sensuelles.
Ensuite vers 4h du matin, je l'ai raccompagné à son hôtel.
Nous avons longuement discuté, puis elle me dit:
"Je t'aime beaucoup, Pascal !".
"Moi aussi ! Suzie, et je commence à m'attacher à toi !".
Elle m'embrasse en me serrant fortement, et ajoute:
"Moi, c'est fait ! C'est sûr, je t'aime !".
On se quitte dans un énorme déchirement.
Je vais dormir chez moi, encore plein de sentiments contradictoires, les plaisanteries de Bruno qui râle de son "Second choix" ! Mes sentiments intenses pour Suzie et ceux que j'ai toujours pour Corinne.
Je me réveille vers Midi, je prend un repas avec Bruno, puis, il me laisse seul à l'appartement, afin que j'en profite avec Corinne.
On fait l'amour toute l'après-midi ! Ma culpabilité décuple ma passion envers elle.
Notre échange est puissant et magique.
Puis, je la ramène à son bus, vers 18h30.
Je retrouve Bruno, ensuite, plus tard, Mélanie et Suzie vers 20h30.
Nos retrouvailles sont intenses, j'aime la manière dont elle se blottit contre moi.
On profite de la soirée, à la terrasse du bar, Bruno nous fait rire, j'enchéri avec des plaisanteries, aussi.
Enfin, avant Minuit, on rentre à l'appart.
Cette fois, c'est mon tour de prendre la chambre et le lit !
Suzie s'allonge près de moi, après de tendres baisers, elle m'avoue:
"J'ai envie de le faire avec toi ! Tu es pas comme Thomas, tu es plus tendre ! J'ai un peu peur, mais je veux essayer encore ! J'ai envie de toi !".
Nos lèvres se cherchent, mes mains la couvrent de caresses qui la font se tordre de désir.
Je dévore ses seins fermes, elle gémit de plaisir.
Doucement, sans la brusquer, mes doigts titillent son clitoris.
J'attend qu'elle mouille suffisamment pour qu'elle apprécie ma caresse, puis peu à peu, je masturbe l'entrée de son vagin.
J'essaie de la submerger de sensations, avec mes caresses manuelles et buccales.
J'ai un besoin énorme de dévorer son corps ! Je descends lentement vers sa petite chatte à faible pilosité, en la couvrant de mordillements, coups de langues et caresses.
Enfin, je suis contre son clitoris.
Ma langue le lape, entre chaque succion et léger mordillement, je plonge ma langue dans son vagin, puis remonte sur son bouton.
Je ne cesse de me régaler de sa vulve, elle se cambre, puis crie son plaisir enfin.
"Arhhhhhhh ! Pascal ! Qu'est ce qui m'arrive ! Argggggggggggg !".
Je ralentis ma caresse buccale, puis remonte vers sa bouche, pour lui murmurer:
"Tu as joui ! Suzie ! C'est la première fois ?".
"Ahhhhhh ! Aussi fort que ça, oui ! Oh, je t'aime, Pascal !".
Je ressens un bien-être intérieur, j'aime donner du bonheur à cette fille !
"C'est pas fini, mon amour ! Tu me fais confiance ?".
"Oui ! Je veux encore Jouir !".
Je l'embrasse en accompagnant mes baisers de caresses appuyées, puis ses cuisses s'écartent et se relèvent, pour laisser entrer mon corps entre elles.
Mon sexe trouve sans difficulté, l'entrée de son vagin.
Elle a tellement envie de moi que je la pénètre sans résistance.
Elle se crispe de plaisir.
Par souci de son bien-être, je lui demande:
"Tu as mal ?".
"Arhhhhhh ! Non, au contraire ! Pourquoi, c'est si fort avec toi !".
"Parce que tu en as vraiment envie, on s'aime vraiment, Suzie !".
Je commence à glisser en elle lentement, ses premiers râles me rendent fou de passion.
Elle se blottit contre mon corps, pour supporter ce premier orgasme qui monte inexorablement.
Plus elle joui, et plus, je prend un malin plaisir à lui soutirer ses râles.
Sa vulve est trempée de lubrification vaginale.
Je ne comprend pas pourquoi Thomas lui faisait mal, tant elle est ouverte vaginalement.
Je lui offre toute ma passion amoureuse, ce qui dans mon cas, me permet d'être moins sensible à mon plaisir pénien.
Je lui fais l'amour dans des tas de position, avec mon sexe, ma bouche et mes mains.
Elle prend de nombreux orgasmes, avant de recevoir le mien sur son magnifique ventre imberbe.
Nous nous déclarons notre amour, encore et encore.
Encore une fois, Mélanie nous a fait partager son bonheur dans la pièce à coté, mais ce fut plus bref, pour elle et Bruno.
Je reste réaliste et révèle à Suzie que je sais, malgré notre amour, que je pense que ne sommes pas fait pour rester ensemble.
"Tu es fille unique et par expérience, je sais que ça posera des problèmes, on a pas la même vision de la vie ! Vous avez tendance à faire des caprices !".
"Moi, je pense pas !".
"Bon, de toute manière, tu vis à coté de Paris ! C'est un peu trop loin !".
"C'est sûr, mais pour le moment, je suis contente d'être ici ! Je t'aime trop ! Je pense que je vais quitter Thomas en rentrant !".
"Ce serait mieux, il te faut quelqu'un qui t'aime, comme tu le mérites !".
Nous ne perdons aucune minute, chaque instant est plein de tendresse, mots d'amour, baisers passionnés.
Je la raccompagne à l'hôtel, à la même heure, nous avons encore du mal à nous quitter !
Je rentre enfin me coucher, la tête encore pleine de contradictions.
J'ai le sentiment d'avoir pris plus de plaisir avec Suzie qu'avec Corinne ! Pourtant, je vais plus loin avec Corinne !
Puis, cela recommence, repas avec Bruno, l'amour encore plus passionnel avec Corinne jusqu'à 17 h.
Retrouvailles avec Suzie, à 20h30, bar, ballades.
Minuit, passion sexuelle jusqu'à 3 heures du mat.
Cela a duré 10 Jours ! Je devenais fou, à chaque fois, je prenais plus de plaisir que la fois précédente ! J'étais sur les genoux !
Au cours de notre deuxième rapport intense, Suzie me supplie de "tout lui apprendre sexuellement".
"Non, mon amour, je ne m'en sens pas le droit ! On va se quitter bientôt ! Et c'est pas à moi de te montrer ça ! Je te respecte trop !".
Je suis donc resté simple, pas de sodomie, ni de fellation avec elle, j'étais le seul à lui donner du plaisir oralement.
Et pourtant, ce n'est pas le désir qui manquait, j'étais fou amoureux de ses magnifiques fesses !
C'est Suzie qui m'a soulagé de ma fatigue sexuelle, sans le vouloir ! Elle a eu ses règles, un jour avant de partir.
Et là, j'ai déconné ! Je lui ai avoué que j'aimais une autre fille, avec qui j'avais une relation sérieuse.
Elle s'est mise à pleurer, et a écourté notre rendez-vous.
On s'est revus le lendemain, je lui rappelé que je l'aimais, mais que la distance ne nous permettait pas de vivre notre amour, non plus.
Dans la semaine, j'ai révélé notre histoire à Corinne, qui a encaissé le coup.
Moi même, j'en avais marre de cette souffrance, après le bonheur.
Un mois après notre séparation, j'ai reçu une lettre de Suzie, elle me déclare encore son amour passionnel.
Elle n'arrive pas à m'oublier. Elle a d'abord quitté Thomas, puis a cédé devant sa tristesse, et pris pitié de lui.
Elle m'écrit qu'elle envie Corinne, qu'elle a de la chance m'avoir ! Me souhaite d'être heureux, et que je resterai l'homme de sa vie !
Je fonds en larme, Corinne se rend compte de mon malaise, à son arrivée, je lui montre la lettre.
Elle comprend Suzie et me dit ceci:
"Elle a raison, j'ai de la chance de t'avoir !".
Pourquoi m'a t'on autant aimé ?
Depuis cette histoire, j'ai un déclic, j'ai encore quelques aventures féminines, mais peu à peu, je m'en lasse.
A chaque fois que je leur fais l'amour, c'est Corinne que je cherche à travers elles !
Un peu moins d'un an, avant les dix huit ans de Corinne, j'arrête mes conneries.
De plus, Bruno est rentré chez lui, après une dispute entre nous, il devenait jaloux du temps que je passais avec Corinne !
Je n'ai jamais oublié cette fille.
J'ai retrouvé sa trace sur internet, il y a plus de dix ans, je lui laissé une message, pour avoir des nouvelles et m'excuser de lui avoir fait du mal.
La réponse a été sèche, j'ai conclu que ce n'était pas elle qui m'avait répondu, peut être Thomas ?.
Puis récemment, j'ai encore trouvé sa trace sur un site de rencontre de sa ville.
Elle est divorcée, a eu deux enfants, et cherche le véritable grand amour !
J'ai réitéré mon message sur le premier site social, mais cette fois, aucune réponse, seulement un effacement de mon message.
Il n'y a qu'un résonnement possible, après sa lettre, elle s'est mise à me détester, ou ne veut plus entendre parler de moi.
Cela, malgré le fait que je n'ai aucune mauvaise intention, je veux simplement qu'elle me pardonne.
Depuis, lorsque j'ai retrompé Corinne, plusieurs années après, je l'ai gardé pour moi.
A quoi sert de se soulager sur l'être aimé et victime, puisque vous aller encore vous en vouloir, mais à présent, vous êtes deux à souffrir !
Pour être au plus prêt de la vérité, je vais d'abord raconter les quelques mois vécus, par celle, dont je vais tomber follement amoureux, avant de me rencontrer.
Pour la respecter, je l'appellerai Suzie, plutôt que par son véritable prénom.
Suzie vient d'avoir dix-sept ans, depuis peu, elle est en couple avec un garçon de son âge.
Celui-ci (que nous nommerons Thomas) est en pleine recherche de sensations, il veut absolument la persuader d'avoir un rapport sexuel avec lui.
Elle ne se sent pas prête, elle a des sentiments pour lui, mais c'est trop tôt à son gout.
Les semaines passent, le jeune garçon la menace de la quitter, et lui rappelle sans cesse qu'il l'aime.
Il est très jaloux, et possessif.
Par précaution, sa mère lui a dit de prendre la pilule, elle s'attend à ce que sa fille rentre dans sa vie de femme, d'un jour à l'autre.
Même maman approuve sa relation avec Thomas ! Donc devant l'inévitable, Suzie a pris les devants.
Un jour, elle ne peux plus repousser l'échéance de cette demande.
Il l'embrasse, puis se hâte de lui ôter ses vêtements.
"Thomas ! Tu veux pas attendre ? Je sais pas, si j'en ai vraiment envie !".
"S'il te plait, je t'aime ! J'ai envie de toi ! J'en peux plus !".
Il a attiré la main de Suzie sur son sexe en érection, depuis un moment déjà.
Elle est sur le dos, avec le corps de Thomas au dessus d'elle.
Il dirige sa queue entre ses cuisses et appuie de toutes ses forces.
Elle crie qu'elle à mal, mais il est trop excité pour s'arrêter avant d'atteindre son but.
Il déchire enfin son hymen, et entame sa possession avec une certaine excitation fébrile.
Suzie se mord la main, elle ne ressent aucun plaisir, seulement de la douleur.
C'est donc ça faire l'amour ? Elle qui imaginais un moment de grâce, elle est très déçue.
Elle sort de son corps en attendant que Thomas éjacule.
Thomas ne soucie pas du plaisir de Suzie et se déverse sans retenue, puis s'écroule sur elle.
Après s'être séparés charnellement, ils ont une dispute.
Dans les jours qui suivent, il parvient à recoller les morceaux, en lui rappelant qu'il l'aime comme un fou.
Peu avant cet événement, les parents de Suzie lui ont annoncé qu'il l'emmenait en vacances dans le Sud de la France, et offre aussi le séjour à sa meilleure amie Mélanie, afin qu'elles restent ensemble.
Les deux filles quittent la région parisienne avec les parents de Suzie, et logent dans un hôtel du centre ville de Toulon.
Suzie se confie à sa meilleure amie, elle lui fait part de sa déception, après ce premier rapport sexuel.
Mélanie qui est plus chanceuse qu'elle, la rassure, mais pense que Thomas n'est fait pas pour elle.
Le deuxième soir, les deux jeunes filles vont sur le port de la ville, et s'assoient en terrasse d'un bar.
Je viens de me poser, moi aussi, avec mon ami Bruno, que j'héberge depuis quelques mois.
Habituellement, c'est lui qui aborde les filles, il est plus jeune que moi, plus grand et plus de bagout !
Je croise le regard de Suzie, son visage magnifique me charme tout de suite !
Bruno aperçoit aussi les deux jeunes filles, il me demande:
"Laquelle te plait le plus ?".
"Celle de gauche ! En plus, elle arrête pas de me sourire !".
"Moi aussi, elle me plait plus que l'autre !".
"Ecoutes de toute façon, c'est toujours les filles qui choisissent ! Et pour le moment, c'est mal barré !".
En effet, il constate comme moi que quatre marins américains sont autour d'elles et s'assoient à leurs tables.
Le regard de Suzie ne cesse de chercher le mien.
Puis, elle se met à souffler en me regardant, pour me faire comprendre que les marines la saoulent !
J'ai un éclair de génie, et je me lève en disant à Bruno :
"J'y vais, tu me rejoins, dès que je te fais signe !".
D'un pas décidé, je me dirige vers le groupe et je fais la bise à Susie et Mélanie en faisant comme si, je les connaissaient depuis toujours.
"Salut, comment vous allez ?".
"Euh, nous super ! Bien et toi ?".
Ouf, elle a capté mon intention.
Un marine, me demande:
"Oh ! You know her ?".
"Yes !".
"Oh, sorry, Man ! We leave you alone !".
Dès qu'ils sont partis, je fais signe à Bruno, on se présente, pendant que mon ami, s'esclaffe de rire, estomaqué par mon culot.
Suzie me remercie de les avoir sorties de ce "gentil pétrin".
Franchement, Bruno n'est pas à plaindre, Mélanie est très jolie, aussi ! Mais trop grande pour moi !
Après de longues discussions, on se ballade, et les couples se forment naturellement.
Suzie m'a choisi.
Bruno me fait rire en parlant fort:
"Tu m'énerves !".
"Pourquoi tu lui dis ça ?".
"C'est un délire entre nous !".
Comme je connais bien la ville, je les emmène dans de beaux endroits, très proches du port.
Suzie m'offre un premier baiser, Bruno et Mélanie nous imitent.
Ce premier baiser avec Suzie est magique, nos sensibilités s'accordent parfaitement.
Dès lors, nous avons du mal à cesser de nous embrasser.
Elles émettent le souhait de changer d'endroit.
Mélanie demande:
"Vous avez pas un appartement ?".
"Ben, on va chez Pascal ! Si vous voulez !".
Apparemment, Mélanie n'a pas froid aux yeux, et veut vivre ses vacances, sans complexe.
Dans l'appartement, nous séparons mon lit du matelas supérieur.
Par manque de place, j'ai deux matelas, l'un sur l'autre.
Quand nous faisons venir des filles, on prend chacun son tour, ou le lit, ou le matelas au sol.
Cette fois, j'ai droit au matelas dans la cuisine, pour que chacun ait de l'intimité.
Suzie et moi, retrouvons notre énorme besoin de nous embrasser, mes mains s'égarent sur son corps magnifique.
Je sais déjà qu'elle n'est pas comme mes autres conquêtes féminines, le feeling est beaucoup plus intense.
J'aime ressentir l'effet que mes caresses passionnées exerce sur elle.
Ses gémissements me rendent dingue.
Lentement, elle se laisse dévêtir.
J'admire son corps juvénile, je m'étonne encore que je puisse plaire à cette superbe fille de 17 ans.
J'essaie d'oublier Corinne, mais je suis déjà conscient de la dangerosité de cette relation.
A mon tour, je me retrouve nu.
De leur coté, on entend clairement que Bruno donne du plaisir à Mélanie.
C'est le moment ou je vais entreprendre de faire l'amour à Suzie, mes mains ne cessent de la caresser.
Puis, sans que je ne m'y attende, elle se met à pleurer !
"Suzie ? Qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi, tu pleures ?".
"Je peux pas, je suis désolé, Pascal ! T'es un mec génial ! Mais j'ai déjà un copain ! On a une relation sérieuse ! Et je l'ai fait qu'une fois !".
"Je comprends ! C'est pas grave ! Tu veux qu'on s'arrête là ?".
"C'est pas parce que j'ai pas envie de le tromper, c'est que j'ai peur d'avoir mal !...".
Elle me raconte sa mauvaise expérience, le manque de tact de son petit ami, et son manque complet de considération de son plaisir.
Elle me demande ensuite:
"On peut rester comme ça, l'un contre l'autre, j'ai envie de rester dans tes bras !".
"Mais bien sûr ! Je suis pas mort de faim, tu me plais trop, pour que je te fasse du mal !".
On a donc passé quatre heures, nus l'un contre l'autre, sans faire l'amour.
Seulement de nombreux baisers et caresses sensuelles.
Ensuite vers 4h du matin, je l'ai raccompagné à son hôtel.
Nous avons longuement discuté, puis elle me dit:
"Je t'aime beaucoup, Pascal !".
"Moi aussi ! Suzie, et je commence à m'attacher à toi !".
Elle m'embrasse en me serrant fortement, et ajoute:
"Moi, c'est fait ! C'est sûr, je t'aime !".
On se quitte dans un énorme déchirement.
Je vais dormir chez moi, encore plein de sentiments contradictoires, les plaisanteries de Bruno qui râle de son "Second choix" ! Mes sentiments intenses pour Suzie et ceux que j'ai toujours pour Corinne.
Je me réveille vers Midi, je prend un repas avec Bruno, puis, il me laisse seul à l'appartement, afin que j'en profite avec Corinne.
On fait l'amour toute l'après-midi ! Ma culpabilité décuple ma passion envers elle.
Notre échange est puissant et magique.
Puis, je la ramène à son bus, vers 18h30.
Je retrouve Bruno, ensuite, plus tard, Mélanie et Suzie vers 20h30.
Nos retrouvailles sont intenses, j'aime la manière dont elle se blottit contre moi.
On profite de la soirée, à la terrasse du bar, Bruno nous fait rire, j'enchéri avec des plaisanteries, aussi.
Enfin, avant Minuit, on rentre à l'appart.
Cette fois, c'est mon tour de prendre la chambre et le lit !
Suzie s'allonge près de moi, après de tendres baisers, elle m'avoue:
"J'ai envie de le faire avec toi ! Tu es pas comme Thomas, tu es plus tendre ! J'ai un peu peur, mais je veux essayer encore ! J'ai envie de toi !".
Nos lèvres se cherchent, mes mains la couvrent de caresses qui la font se tordre de désir.
Je dévore ses seins fermes, elle gémit de plaisir.
Doucement, sans la brusquer, mes doigts titillent son clitoris.
J'attend qu'elle mouille suffisamment pour qu'elle apprécie ma caresse, puis peu à peu, je masturbe l'entrée de son vagin.
J'essaie de la submerger de sensations, avec mes caresses manuelles et buccales.
J'ai un besoin énorme de dévorer son corps ! Je descends lentement vers sa petite chatte à faible pilosité, en la couvrant de mordillements, coups de langues et caresses.
Enfin, je suis contre son clitoris.
Ma langue le lape, entre chaque succion et léger mordillement, je plonge ma langue dans son vagin, puis remonte sur son bouton.
Je ne cesse de me régaler de sa vulve, elle se cambre, puis crie son plaisir enfin.
"Arhhhhhhh ! Pascal ! Qu'est ce qui m'arrive ! Argggggggggggg !".
Je ralentis ma caresse buccale, puis remonte vers sa bouche, pour lui murmurer:
"Tu as joui ! Suzie ! C'est la première fois ?".
"Ahhhhhh ! Aussi fort que ça, oui ! Oh, je t'aime, Pascal !".
Je ressens un bien-être intérieur, j'aime donner du bonheur à cette fille !
"C'est pas fini, mon amour ! Tu me fais confiance ?".
"Oui ! Je veux encore Jouir !".
Je l'embrasse en accompagnant mes baisers de caresses appuyées, puis ses cuisses s'écartent et se relèvent, pour laisser entrer mon corps entre elles.
Mon sexe trouve sans difficulté, l'entrée de son vagin.
Elle a tellement envie de moi que je la pénètre sans résistance.
Elle se crispe de plaisir.
Par souci de son bien-être, je lui demande:
"Tu as mal ?".
"Arhhhhhh ! Non, au contraire ! Pourquoi, c'est si fort avec toi !".
"Parce que tu en as vraiment envie, on s'aime vraiment, Suzie !".
Je commence à glisser en elle lentement, ses premiers râles me rendent fou de passion.
Elle se blottit contre mon corps, pour supporter ce premier orgasme qui monte inexorablement.
Plus elle joui, et plus, je prend un malin plaisir à lui soutirer ses râles.
Sa vulve est trempée de lubrification vaginale.
Je ne comprend pas pourquoi Thomas lui faisait mal, tant elle est ouverte vaginalement.
Je lui offre toute ma passion amoureuse, ce qui dans mon cas, me permet d'être moins sensible à mon plaisir pénien.
Je lui fais l'amour dans des tas de position, avec mon sexe, ma bouche et mes mains.
Elle prend de nombreux orgasmes, avant de recevoir le mien sur son magnifique ventre imberbe.
Nous nous déclarons notre amour, encore et encore.
Encore une fois, Mélanie nous a fait partager son bonheur dans la pièce à coté, mais ce fut plus bref, pour elle et Bruno.
Je reste réaliste et révèle à Suzie que je sais, malgré notre amour, que je pense que ne sommes pas fait pour rester ensemble.
"Tu es fille unique et par expérience, je sais que ça posera des problèmes, on a pas la même vision de la vie ! Vous avez tendance à faire des caprices !".
"Moi, je pense pas !".
"Bon, de toute manière, tu vis à coté de Paris ! C'est un peu trop loin !".
"C'est sûr, mais pour le moment, je suis contente d'être ici ! Je t'aime trop ! Je pense que je vais quitter Thomas en rentrant !".
"Ce serait mieux, il te faut quelqu'un qui t'aime, comme tu le mérites !".
Nous ne perdons aucune minute, chaque instant est plein de tendresse, mots d'amour, baisers passionnés.
Je la raccompagne à l'hôtel, à la même heure, nous avons encore du mal à nous quitter !
Je rentre enfin me coucher, la tête encore pleine de contradictions.
J'ai le sentiment d'avoir pris plus de plaisir avec Suzie qu'avec Corinne ! Pourtant, je vais plus loin avec Corinne !
Puis, cela recommence, repas avec Bruno, l'amour encore plus passionnel avec Corinne jusqu'à 17 h.
Retrouvailles avec Suzie, à 20h30, bar, ballades.
Minuit, passion sexuelle jusqu'à 3 heures du mat.
Cela a duré 10 Jours ! Je devenais fou, à chaque fois, je prenais plus de plaisir que la fois précédente ! J'étais sur les genoux !
Au cours de notre deuxième rapport intense, Suzie me supplie de "tout lui apprendre sexuellement".
"Non, mon amour, je ne m'en sens pas le droit ! On va se quitter bientôt ! Et c'est pas à moi de te montrer ça ! Je te respecte trop !".
Je suis donc resté simple, pas de sodomie, ni de fellation avec elle, j'étais le seul à lui donner du plaisir oralement.
Et pourtant, ce n'est pas le désir qui manquait, j'étais fou amoureux de ses magnifiques fesses !
C'est Suzie qui m'a soulagé de ma fatigue sexuelle, sans le vouloir ! Elle a eu ses règles, un jour avant de partir.
Et là, j'ai déconné ! Je lui ai avoué que j'aimais une autre fille, avec qui j'avais une relation sérieuse.
Elle s'est mise à pleurer, et a écourté notre rendez-vous.
On s'est revus le lendemain, je lui rappelé que je l'aimais, mais que la distance ne nous permettait pas de vivre notre amour, non plus.
Dans la semaine, j'ai révélé notre histoire à Corinne, qui a encaissé le coup.
Moi même, j'en avais marre de cette souffrance, après le bonheur.
Un mois après notre séparation, j'ai reçu une lettre de Suzie, elle me déclare encore son amour passionnel.
Elle n'arrive pas à m'oublier. Elle a d'abord quitté Thomas, puis a cédé devant sa tristesse, et pris pitié de lui.
Elle m'écrit qu'elle envie Corinne, qu'elle a de la chance m'avoir ! Me souhaite d'être heureux, et que je resterai l'homme de sa vie !
Je fonds en larme, Corinne se rend compte de mon malaise, à son arrivée, je lui montre la lettre.
Elle comprend Suzie et me dit ceci:
"Elle a raison, j'ai de la chance de t'avoir !".
Pourquoi m'a t'on autant aimé ?
Depuis cette histoire, j'ai un déclic, j'ai encore quelques aventures féminines, mais peu à peu, je m'en lasse.
A chaque fois que je leur fais l'amour, c'est Corinne que je cherche à travers elles !
Un peu moins d'un an, avant les dix huit ans de Corinne, j'arrête mes conneries.
De plus, Bruno est rentré chez lui, après une dispute entre nous, il devenait jaloux du temps que je passais avec Corinne !
Je n'ai jamais oublié cette fille.
J'ai retrouvé sa trace sur internet, il y a plus de dix ans, je lui laissé une message, pour avoir des nouvelles et m'excuser de lui avoir fait du mal.
La réponse a été sèche, j'ai conclu que ce n'était pas elle qui m'avait répondu, peut être Thomas ?.
Puis récemment, j'ai encore trouvé sa trace sur un site de rencontre de sa ville.
Elle est divorcée, a eu deux enfants, et cherche le véritable grand amour !
J'ai réitéré mon message sur le premier site social, mais cette fois, aucune réponse, seulement un effacement de mon message.
Il n'y a qu'un résonnement possible, après sa lettre, elle s'est mise à me détester, ou ne veut plus entendre parler de moi.
Cela, malgré le fait que je n'ai aucune mauvaise intention, je veux simplement qu'elle me pardonne.
Depuis, lorsque j'ai retrompé Corinne, plusieurs années après, je l'ai gardé pour moi.
A quoi sert de se soulager sur l'être aimé et victime, puisque vous aller encore vous en vouloir, mais à présent, vous êtes deux à souffrir !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Souvenirs d'enfance.
Bien écrit et très réaliste.
Bien écrit et très réaliste.