LA PASSANTE DU TRAIN
Récit érotique écrit par zi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 8 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de zi ont reçu un total de 32 140 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 4 989 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
LA PASSANTE DU TRAIN
LA PASSANTE DU TRAIN
Le train va démarrer.
Dans mon compartiment une jeune femme entre juste avant le départ.
Elle s’installe sur la banquette juste en face de moi
Je voyage pour des motifs professionnels et ne pense à rien d’autre.
Elle est bien habillée, sauf cette jupe un peu trop longue pour mon gout.
En s‘asseyant en face de moi elle fait le sourire ;
Elle engage, bien après, la conversation sur son voyage pour connaître le mien.
Elle est d’un commerce agréable et simple, sans se plaindre elle en arrive à parler de sa vie étroite, sans oxygéne
Une existance à peine souriante, pour un petit bout de femme charmante.
Tous les humains n’ont pas la vie qu’ils voudraient
Au fur et à mesure des liens agréables s’établissent, se renforcent
Climat établi, confirmé
Délicats sourires réciproques
La situation s’échauffe
Je me léve,
Aussitôt elle me barre la route en appuyant sa jambe sur ma banquette
Je comprend soudain le message ,
Je serre cette jambe sur le nu de la cheville
Le contact est accepté, continuons
Que pourriez-vous faire maintenant sinon la petite bête qui monte ?
Elle monte lentement sur la peau nue et douce du mollet
Elle atteint bientôt le genou, le moment devient intense !
Que faire sinon prendre la cuisse…l’intérieur
On se presse spont anément , vite et fort l’un contre l’autre
Embrassade profonde et longue, intime sans vulgarité
Ma main caresse puis inventorie tout l’entre jambe
Son sexe est tout humide de désir
Enflammée, elle laisse partir la petite culotte bleue …
dans la poche !
Rien de son anatomie ne m’échappe dans ce contact suprême
Mon sexe est en attente à l’entrée
Je la pénètre tout de go
Dire le bonheur, l’intense joie est difficile !
Longues minutes indescriptibles ! Bouillantes !
Cela pourrait, devrait, durer bien longtemps
Hélas… une triste nouvelle SNCF surgit
« le train entre en gare dans 5 minutes »
Vilaine annonce bruyante et hors propos !
Vite, il faut se réajuster !
Elle va réussir à se préparer, le couloir vite !
Sur le quai de cette petite ville de province un grand escogriffe poilu l’appelle
Autorité déplacée….Un accueil bien morose
Je me rassois, triste fin de voyage………..
Le soir dans la poche je retrouve la belle petite culotte bleue
Et je chante Brassens :
À la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre…….
Le train va démarrer.
Dans mon compartiment une jeune femme entre juste avant le départ.
Elle s’installe sur la banquette juste en face de moi
Je voyage pour des motifs professionnels et ne pense à rien d’autre.
Elle est bien habillée, sauf cette jupe un peu trop longue pour mon gout.
En s‘asseyant en face de moi elle fait le sourire ;
Elle engage, bien après, la conversation sur son voyage pour connaître le mien.
Elle est d’un commerce agréable et simple, sans se plaindre elle en arrive à parler de sa vie étroite, sans oxygéne
Une existance à peine souriante, pour un petit bout de femme charmante.
Tous les humains n’ont pas la vie qu’ils voudraient
Au fur et à mesure des liens agréables s’établissent, se renforcent
Climat établi, confirmé
Délicats sourires réciproques
La situation s’échauffe
Je me léve,
Aussitôt elle me barre la route en appuyant sa jambe sur ma banquette
Je comprend soudain le message ,
Je serre cette jambe sur le nu de la cheville
Le contact est accepté, continuons
Que pourriez-vous faire maintenant sinon la petite bête qui monte ?
Elle monte lentement sur la peau nue et douce du mollet
Elle atteint bientôt le genou, le moment devient intense !
Que faire sinon prendre la cuisse…l’intérieur
On se presse spont anément , vite et fort l’un contre l’autre
Embrassade profonde et longue, intime sans vulgarité
Ma main caresse puis inventorie tout l’entre jambe
Son sexe est tout humide de désir
Enflammée, elle laisse partir la petite culotte bleue …
dans la poche !
Rien de son anatomie ne m’échappe dans ce contact suprême
Mon sexe est en attente à l’entrée
Je la pénètre tout de go
Dire le bonheur, l’intense joie est difficile !
Longues minutes indescriptibles ! Bouillantes !
Cela pourrait, devrait, durer bien longtemps
Hélas… une triste nouvelle SNCF surgit
« le train entre en gare dans 5 minutes »
Vilaine annonce bruyante et hors propos !
Vite, il faut se réajuster !
Elle va réussir à se préparer, le couloir vite !
Sur le quai de cette petite ville de province un grand escogriffe poilu l’appelle
Autorité déplacée….Un accueil bien morose
Je me rassois, triste fin de voyage………..
Le soir dans la poche je retrouve la belle petite culotte bleue
Et je chante Brassens :
À la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre…….
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par zi
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...