La pension de tous les vices. Episode 3. Madame Jeanne déniaise Patrick
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2015 dans la catégorie Pour la première fois
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La pension de tous les vices. Episode 3. Madame Jeanne déniaise Patrick
LA PENSION DE TOUS LES VICES.
3ème épisode
Madame Jeanne déniaise Patrick, surprise de tomber sur un aussi bon coup
Je suis soubrette dans la pension de Madame Jeanne, une belle femme de 38 ans. Je dois m’occuper de ses six chambres occupées par nos pensionnaires.
Il y a d’abord Monsieur Christophe, un bellâtre d’une trentaine d’années aux mains baladeuses.
Mademoiselle Sophie, une très belle fille de 25 ans.
Mon préféré Patrick, un beau jeune homme à peine majeur.
Monsieur Frédéric, un rentier assez moche.
Les demoiselles Annabelle et Sylvie, deux lesbiennes qui ne s’en cachent pas.
Et enfin un représentant de commerce, Monsieur Thomas.
Pour compléter le tableau, il y a le cuistot Marc, un coureur de première.
Et enfin moi-même, je me prénomme Micheline, j’ai 23 ans, pas mal de ma personne.
Au fil du temps, des habitudes et des codes se sont établis entre les hôtes de la pension.
Madame Jeanne
En rangeant la chambre de Patrick, Micheline est tombée sur des revues pornos et me les a apportées.
Je l’ai engueulée lui disant qu’elle n’a pas à s’occuper des affaires de nos pensionnaires.
J’ai bien remarqué que Patrick, un petit jeune de 19 ans, est en manque de filles et se débrouille avec les moyens du bord.
Je monte à sa chambre mais le verrou est fermé. Comme s’est une ancienne chambre communicante avec une pièce qui est maintenant une lingerie, j’emprunte ce passage pour rapporter les revues pendant son absence.
J’entre et me trouve soudain devant le garçon épouvanté, je suis moi aussi surprise de le trouver là, il est debout près de la table devant une revue porno grande ouverte.
Le pantalon est en accordéon sur ses chevilles, les deux mains sur une verge tendue plus qu’acceptable, il est bien équipé le petit.
Je le rassure ;
-Ne crains rien, c’est tout à fait normal de se branler mais tu es en âge de connaître d’autres joies.
Je referme la porte et décide de me dévouer pour lui faire enfin connaître le plaisir du corps.
Madame Jeanne s’approche de Patrick et lui donne un tendre baiser.
Patrick sent un frisson lui parcourir l'échine. Mais lorsque la main de cette dernière vient se poser sur sa verge qui s’est dégonflée par l’émotion repoussant les siennes, sa respiration s'accélère.
-Attends, laisses-toi faire, murmure-t-elle !
Ne désirant pas l’effaroucher, elle fait mine de mettre de l’ordre dans sa tenue.
Aussi impatiente que lui, elle entreprend de branler le jeune membre viril. Elle referme ses doigts autour de la longue tige de chair et entreprend de lui redonner toute sa vigueur.
Follement excitée à sentir ce sexe entrer en érection entre ses doigts, elle murmure :
– Tu as une belle bite, mon garçon, tu peux en être fier.
Avec énormément de tendresse, elle entreprend de masser à l'aide de ses doigts la longue excroissance virile.
Percevant le vit se raidir sous sa main, elle fait voluptueusement coulisser le prépuce le long du gland dilaté.
Elle ne peut détacher son regard de la verge extraordinairement bandée de ce dernier. Le jeune sexe la tente irrésistiblement.
Or présentement, la vue du gland rose et gonflé la décide à aspirer ce gros bonbon de chair entre ses lèvres pour le pomper jusqu'à l'éjaculation libératoire.
Elle a trop envie de sentir la semence virile du jeune homme lui maculer la langue avant de lui emplir le gosier et retrouver le goût particulier du sperme.
Elle sent tout son corps frissonner de désir, tandis qu'entre ses cuisses sa vulve s'humidifie un peu plus. Mais avant qu'elle n'ait pu mettre à bien son entreprise, Patrick la devance lui massant consciencieusement les seins à travers ses habits.
Son regard glisse jusqu'au bas-ventre de celui-ci. Tel un glaive menaçant se dresse son impressionnant membre viril, largement décalotté.
La vision de cette verge accentue encore la chaleur qui lui irradie les entrailles.
Elle veut avaler ce gland si émouvant, le faire jouir en le suçant et surtout retrouver le goût particulier du sperme sur sa langue. Mais dans l'immédiat, elle désire profiter encore un peu de ce plaisir que lui dispense Patrick.
Elle l’entraîne vers le lit et lui demande.
-Tu as déjà donné du plaisir à une femme ?
-Euh, non Madame, jamais !
-Eh bien je vais d’apprendre !
En quelques instants elle retire tous ses vêtements et aide Patrick à placer ses mains sur son corps.
Elle sourit quand elle sent les mains du jeune homme qui vont partout sur sa peau comme des folles, qui poignent douloureusement, s’égarent, ignorant presque tout de l’anatomie féminine.
Enfin elle l’a sur elle, non sans lui avoir fait découvrir certaine particularité physique qu’il ignorait.
Doucement elle appuie sa bouche contre la sienne, captant son souffle chaud, elle gonfle sa poitrine d’un soupir de triomphe quand il s’enhardit. La langue du garçon l’envahit doucement pendant que sa main se pose sur un de ses seins durcit.
Il pétrit sa poitrine avant de dévorer ses seins de sa bouche puis abat son visage sur le ventre bombé, enfouit sa langue dans la féminité blonde.
Madame Jeanne remonte ses genoux l’engloutissant dans la soie somptueuse de ses cuisses.
Sous la langue du garçon, une avalanche de plaisir l’emporte dans des soubresauts fous qui la font se tordre sur le lit, entraînant avec elle son amant qui se retrouve coincé dans un monde obscurci de chair parfumée.
Lorsque Patrick arrive à libérer sa tête, il se laisse emporter par la passion et s’abat sur elle, la forant avec une inexpérience brutalité qui lui arrache une plainte.
Mais elle accepte le jeu, les reins complices, replongeant dans une jouissance que les mains de son amant multiplient.
Sous ses coups de boutoir désordonnés, sa chatte explose dans l’orgasme, faisant jaillir de la mouille, les parois étroites se contractant autour de la queue du jeune mâle.
Patrick s’effondre sur elle, enfonçant son membre à fond et éjacule pour la première fois dans le corps d’une femme. Un important chargement de sperme jaillit hors de sa bite. Elle le sent gicler et se répandre, inondant l’intérieur profond de sa chatte, inondant son utérus avec un déchargement chaud et apaisant de crème liquide.
Immédiatement un second orgasme plus fort que le précédent la secoue. Son jus de chatte coule abondamment et inonde la bite toujours tendue et tout à coup les muscles de son vagin recommence leurs sarabandes pour masser et traire cette jeune queue.
Complètement vidée, elle relâche ses muscles épuisés autour de la verge juteuse qui ne veut décidément pas débander.
La chatte serre la queue et semble résister à chaque recul de sa bite quand il replonge dans sa gaine moelleuse et crémeuse.
Enfoui profondément au fond de son ventre, son sexe palpite de désir, avant que de nouveau il se déplace dans ce trou merveilleux. A chacune de ses profondes poussées, les yeux de Madame Jeanne augmentent de largeur et semblent le supplier pour encore plus de sexe.
Les bras de l’amante lâchent son cou et elle s'agrippe à la tète de lit pour faire levier et permettre ainsi à la courageuse bite de la fouiller au plus profond de son ventre.
Elle crie sous son orgasme qui commence à exploser à l'intérieur de son corps.
- Ouiiiii… encore ! Plus fort ! Baise moi ! Plus loin, plus profond ! OOOhhhh mon Dieu, tu me fais jouiiiirrrr… encore…!
Des larmes commencent à couler sur ses joues et elle se mord les lèvres pendant que des vagues de plaisir déferlent sur elle et sous les contractions de son corps sa chatte serre sur le même rythme la bite enterré profondément dans son antre d'amour
Il sert les dents pour ne pas se laisser aller sous ce plaisir incroyable, elle a le dos arqué pour ne pas perdre un cm de son phallus en elle et continue de jouir sous son orgasme qui ne veut pas s'arrêter et son visage est déformé par le plaisir et reflète son état extatique.
Enfin, elle s'écroule comme un pantin dont les cordes ont été soudainement coupées. Ses jambes retombent sur le lit et sa respiration est sifflante.
Elle entend Patrick gémir, grogner, son sexe se contracte, effectue quelques soubresauts.
Ses doigts s’enfoncent sur ses hanches et elle sent son ventre se remplir à nouveau de sa semence.
Il râle et gémit très fort. Quelle puissance ! Il la remplit à nouveau. C’est incroyable ce qu’elle vient de prendre. Elle n’en revient pas, ces deux éjaculations rapprochées étaient impressionnantes.
Patrick relâche son étreinte et cesse ses va-et-vient. Elle en profite alors pour se retourner et s’agenouiller rapidement devant lui et de s’écrier.
-Ah c’est beau la virilité de la jeunesse !
Elle gobe la verge responsable de son plaisir, encore gonflé après l’effort, s’applique à la nettoyer soigneusement. Aussitôt il commence à rebander, elle en profite pour en prendre un peu plus dans la bouche.
Les bourses de Patrick sont un véritable régal à palper, lisses et douces elles se façonnent facilement ; aussi ne s'en prive-t-elle pas. Suçant avec délice la jeune bite tout en massant les testicules dans leurs gaines de chair, elle se régale.
Sentir le gland, maintenant largement décalotté, venir lui frapper le palais, s'avoir que dans quelques instants il va cracher sa semence la rend euphorique et rien ne peut l'empêcher de mener à bien sa fellation. Elle retire quelques secondes son chibre pour lui ordonner.
– Ne bouge pas mon chéri... Laisse-moi faire !... Je vais te faire jouir... Tu veux bien ?
– Oui ! Acquiesce simplement Patrick en fixant la fabuleuse poitrine qui ballote d'une manière terriblement provocante au gré des mouvements de sa propriétaire.
– Mon pauvre chéri, tu es tout dur !
Plus que jamais prête à remplir son rôle d'initiatrice, Madame Jeanne pompe la bite savoureuse qui devient de plus en plus dure, choquée elle-même de l’ardeur avec laquelle elle est en train de sucer son jeune amant.
Elle avance davantage son visage, plus près de la base velue, écartant les mâchoires, mourant d’envie de prendre en bouche la totalité de cette colonne charnue.
La queue répond à sa succion dure et humide par un grossissement en taille et en raideur.
Le gland violacé pointe de façon obscène vers le haut, tressautant contre sa luette.
Ses doigts sont serrés sur la base de son membre. Elle commence alors à secouer vigoureusement le mandrin tout en suçant l’extrémité, faisant tourner sa langue autour du gland, l’arrosant de salive, crachant dessus, aspirant quand elle le sent qui ruisselle.
" Hhhuuummm, je vais juter !" gémit Patrick. " Ooohhh! Cà vient ! Je vais tout lâcher! Ah, suce-moi à fond! T’es une suceuse fantastique!"
Ce compliment est musique à ses oreilles. Elle a hâte maintenant de sentir la décharge dans sa bouche, hâte de devoir avaler aussi rapidement qu’elle le pourra tout le sperme dégorgé par ce vit infatigable.
Il saisit sa tête, pousse ses hanches en dehors du lit, enfonçant sa tige entièrement entre ses lèvres. Madame Jeanne commence à s’étouffer au moment où ses talents de suceuse obtiennent leur juste récompense. Un jet énorme de sperme jaillit du gland gonflé, se répandant dans sa gorge d’initiatrice si affectueuse.
" Ummmllppp!" glougloute Jeanne.
Le sperme se répand dans sa bouche, sur ses amygdales et glisse vers le fond sa gorge. Elle s’accroche au bâton crémeux, appréciant le goût du liquide. Elle continue néanmoins de secouer et de sucer en même temps, ne voulant pas libérer la pine de ce garçon avant d’avoir pompé jusqu’à la dernière goutte de cette crème salée.
Elle se redresse enfin et se rhabille, lui donne un baiser avant de s’éloigner vers la porte en lui avouant.
-Tu sais que tu es un amant formidable, je n’ai rarement connu d’homme capable comme toi de copuler 3 fois de suite sans débander, tu vas faire des heureuses je te le jure !
Patrick devient tout rouge de fierté, un vrai petit coq !
3ème épisode
Madame Jeanne déniaise Patrick, surprise de tomber sur un aussi bon coup
Je suis soubrette dans la pension de Madame Jeanne, une belle femme de 38 ans. Je dois m’occuper de ses six chambres occupées par nos pensionnaires.
Il y a d’abord Monsieur Christophe, un bellâtre d’une trentaine d’années aux mains baladeuses.
Mademoiselle Sophie, une très belle fille de 25 ans.
Mon préféré Patrick, un beau jeune homme à peine majeur.
Monsieur Frédéric, un rentier assez moche.
Les demoiselles Annabelle et Sylvie, deux lesbiennes qui ne s’en cachent pas.
Et enfin un représentant de commerce, Monsieur Thomas.
Pour compléter le tableau, il y a le cuistot Marc, un coureur de première.
Et enfin moi-même, je me prénomme Micheline, j’ai 23 ans, pas mal de ma personne.
Au fil du temps, des habitudes et des codes se sont établis entre les hôtes de la pension.
Madame Jeanne
En rangeant la chambre de Patrick, Micheline est tombée sur des revues pornos et me les a apportées.
Je l’ai engueulée lui disant qu’elle n’a pas à s’occuper des affaires de nos pensionnaires.
J’ai bien remarqué que Patrick, un petit jeune de 19 ans, est en manque de filles et se débrouille avec les moyens du bord.
Je monte à sa chambre mais le verrou est fermé. Comme s’est une ancienne chambre communicante avec une pièce qui est maintenant une lingerie, j’emprunte ce passage pour rapporter les revues pendant son absence.
J’entre et me trouve soudain devant le garçon épouvanté, je suis moi aussi surprise de le trouver là, il est debout près de la table devant une revue porno grande ouverte.
Le pantalon est en accordéon sur ses chevilles, les deux mains sur une verge tendue plus qu’acceptable, il est bien équipé le petit.
Je le rassure ;
-Ne crains rien, c’est tout à fait normal de se branler mais tu es en âge de connaître d’autres joies.
Je referme la porte et décide de me dévouer pour lui faire enfin connaître le plaisir du corps.
Madame Jeanne s’approche de Patrick et lui donne un tendre baiser.
Patrick sent un frisson lui parcourir l'échine. Mais lorsque la main de cette dernière vient se poser sur sa verge qui s’est dégonflée par l’émotion repoussant les siennes, sa respiration s'accélère.
-Attends, laisses-toi faire, murmure-t-elle !
Ne désirant pas l’effaroucher, elle fait mine de mettre de l’ordre dans sa tenue.
Aussi impatiente que lui, elle entreprend de branler le jeune membre viril. Elle referme ses doigts autour de la longue tige de chair et entreprend de lui redonner toute sa vigueur.
Follement excitée à sentir ce sexe entrer en érection entre ses doigts, elle murmure :
– Tu as une belle bite, mon garçon, tu peux en être fier.
Avec énormément de tendresse, elle entreprend de masser à l'aide de ses doigts la longue excroissance virile.
Percevant le vit se raidir sous sa main, elle fait voluptueusement coulisser le prépuce le long du gland dilaté.
Elle ne peut détacher son regard de la verge extraordinairement bandée de ce dernier. Le jeune sexe la tente irrésistiblement.
Or présentement, la vue du gland rose et gonflé la décide à aspirer ce gros bonbon de chair entre ses lèvres pour le pomper jusqu'à l'éjaculation libératoire.
Elle a trop envie de sentir la semence virile du jeune homme lui maculer la langue avant de lui emplir le gosier et retrouver le goût particulier du sperme.
Elle sent tout son corps frissonner de désir, tandis qu'entre ses cuisses sa vulve s'humidifie un peu plus. Mais avant qu'elle n'ait pu mettre à bien son entreprise, Patrick la devance lui massant consciencieusement les seins à travers ses habits.
Son regard glisse jusqu'au bas-ventre de celui-ci. Tel un glaive menaçant se dresse son impressionnant membre viril, largement décalotté.
La vision de cette verge accentue encore la chaleur qui lui irradie les entrailles.
Elle veut avaler ce gland si émouvant, le faire jouir en le suçant et surtout retrouver le goût particulier du sperme sur sa langue. Mais dans l'immédiat, elle désire profiter encore un peu de ce plaisir que lui dispense Patrick.
Elle l’entraîne vers le lit et lui demande.
-Tu as déjà donné du plaisir à une femme ?
-Euh, non Madame, jamais !
-Eh bien je vais d’apprendre !
En quelques instants elle retire tous ses vêtements et aide Patrick à placer ses mains sur son corps.
Elle sourit quand elle sent les mains du jeune homme qui vont partout sur sa peau comme des folles, qui poignent douloureusement, s’égarent, ignorant presque tout de l’anatomie féminine.
Enfin elle l’a sur elle, non sans lui avoir fait découvrir certaine particularité physique qu’il ignorait.
Doucement elle appuie sa bouche contre la sienne, captant son souffle chaud, elle gonfle sa poitrine d’un soupir de triomphe quand il s’enhardit. La langue du garçon l’envahit doucement pendant que sa main se pose sur un de ses seins durcit.
Il pétrit sa poitrine avant de dévorer ses seins de sa bouche puis abat son visage sur le ventre bombé, enfouit sa langue dans la féminité blonde.
Madame Jeanne remonte ses genoux l’engloutissant dans la soie somptueuse de ses cuisses.
Sous la langue du garçon, une avalanche de plaisir l’emporte dans des soubresauts fous qui la font se tordre sur le lit, entraînant avec elle son amant qui se retrouve coincé dans un monde obscurci de chair parfumée.
Lorsque Patrick arrive à libérer sa tête, il se laisse emporter par la passion et s’abat sur elle, la forant avec une inexpérience brutalité qui lui arrache une plainte.
Mais elle accepte le jeu, les reins complices, replongeant dans une jouissance que les mains de son amant multiplient.
Sous ses coups de boutoir désordonnés, sa chatte explose dans l’orgasme, faisant jaillir de la mouille, les parois étroites se contractant autour de la queue du jeune mâle.
Patrick s’effondre sur elle, enfonçant son membre à fond et éjacule pour la première fois dans le corps d’une femme. Un important chargement de sperme jaillit hors de sa bite. Elle le sent gicler et se répandre, inondant l’intérieur profond de sa chatte, inondant son utérus avec un déchargement chaud et apaisant de crème liquide.
Immédiatement un second orgasme plus fort que le précédent la secoue. Son jus de chatte coule abondamment et inonde la bite toujours tendue et tout à coup les muscles de son vagin recommence leurs sarabandes pour masser et traire cette jeune queue.
Complètement vidée, elle relâche ses muscles épuisés autour de la verge juteuse qui ne veut décidément pas débander.
La chatte serre la queue et semble résister à chaque recul de sa bite quand il replonge dans sa gaine moelleuse et crémeuse.
Enfoui profondément au fond de son ventre, son sexe palpite de désir, avant que de nouveau il se déplace dans ce trou merveilleux. A chacune de ses profondes poussées, les yeux de Madame Jeanne augmentent de largeur et semblent le supplier pour encore plus de sexe.
Les bras de l’amante lâchent son cou et elle s'agrippe à la tète de lit pour faire levier et permettre ainsi à la courageuse bite de la fouiller au plus profond de son ventre.
Elle crie sous son orgasme qui commence à exploser à l'intérieur de son corps.
- Ouiiiii… encore ! Plus fort ! Baise moi ! Plus loin, plus profond ! OOOhhhh mon Dieu, tu me fais jouiiiirrrr… encore…!
Des larmes commencent à couler sur ses joues et elle se mord les lèvres pendant que des vagues de plaisir déferlent sur elle et sous les contractions de son corps sa chatte serre sur le même rythme la bite enterré profondément dans son antre d'amour
Il sert les dents pour ne pas se laisser aller sous ce plaisir incroyable, elle a le dos arqué pour ne pas perdre un cm de son phallus en elle et continue de jouir sous son orgasme qui ne veut pas s'arrêter et son visage est déformé par le plaisir et reflète son état extatique.
Enfin, elle s'écroule comme un pantin dont les cordes ont été soudainement coupées. Ses jambes retombent sur le lit et sa respiration est sifflante.
Elle entend Patrick gémir, grogner, son sexe se contracte, effectue quelques soubresauts.
Ses doigts s’enfoncent sur ses hanches et elle sent son ventre se remplir à nouveau de sa semence.
Il râle et gémit très fort. Quelle puissance ! Il la remplit à nouveau. C’est incroyable ce qu’elle vient de prendre. Elle n’en revient pas, ces deux éjaculations rapprochées étaient impressionnantes.
Patrick relâche son étreinte et cesse ses va-et-vient. Elle en profite alors pour se retourner et s’agenouiller rapidement devant lui et de s’écrier.
-Ah c’est beau la virilité de la jeunesse !
Elle gobe la verge responsable de son plaisir, encore gonflé après l’effort, s’applique à la nettoyer soigneusement. Aussitôt il commence à rebander, elle en profite pour en prendre un peu plus dans la bouche.
Les bourses de Patrick sont un véritable régal à palper, lisses et douces elles se façonnent facilement ; aussi ne s'en prive-t-elle pas. Suçant avec délice la jeune bite tout en massant les testicules dans leurs gaines de chair, elle se régale.
Sentir le gland, maintenant largement décalotté, venir lui frapper le palais, s'avoir que dans quelques instants il va cracher sa semence la rend euphorique et rien ne peut l'empêcher de mener à bien sa fellation. Elle retire quelques secondes son chibre pour lui ordonner.
– Ne bouge pas mon chéri... Laisse-moi faire !... Je vais te faire jouir... Tu veux bien ?
– Oui ! Acquiesce simplement Patrick en fixant la fabuleuse poitrine qui ballote d'une manière terriblement provocante au gré des mouvements de sa propriétaire.
– Mon pauvre chéri, tu es tout dur !
Plus que jamais prête à remplir son rôle d'initiatrice, Madame Jeanne pompe la bite savoureuse qui devient de plus en plus dure, choquée elle-même de l’ardeur avec laquelle elle est en train de sucer son jeune amant.
Elle avance davantage son visage, plus près de la base velue, écartant les mâchoires, mourant d’envie de prendre en bouche la totalité de cette colonne charnue.
La queue répond à sa succion dure et humide par un grossissement en taille et en raideur.
Le gland violacé pointe de façon obscène vers le haut, tressautant contre sa luette.
Ses doigts sont serrés sur la base de son membre. Elle commence alors à secouer vigoureusement le mandrin tout en suçant l’extrémité, faisant tourner sa langue autour du gland, l’arrosant de salive, crachant dessus, aspirant quand elle le sent qui ruisselle.
" Hhhuuummm, je vais juter !" gémit Patrick. " Ooohhh! Cà vient ! Je vais tout lâcher! Ah, suce-moi à fond! T’es une suceuse fantastique!"
Ce compliment est musique à ses oreilles. Elle a hâte maintenant de sentir la décharge dans sa bouche, hâte de devoir avaler aussi rapidement qu’elle le pourra tout le sperme dégorgé par ce vit infatigable.
Il saisit sa tête, pousse ses hanches en dehors du lit, enfonçant sa tige entièrement entre ses lèvres. Madame Jeanne commence à s’étouffer au moment où ses talents de suceuse obtiennent leur juste récompense. Un jet énorme de sperme jaillit du gland gonflé, se répandant dans sa gorge d’initiatrice si affectueuse.
" Ummmllppp!" glougloute Jeanne.
Le sperme se répand dans sa bouche, sur ses amygdales et glisse vers le fond sa gorge. Elle s’accroche au bâton crémeux, appréciant le goût du liquide. Elle continue néanmoins de secouer et de sucer en même temps, ne voulant pas libérer la pine de ce garçon avant d’avoir pompé jusqu’à la dernière goutte de cette crème salée.
Elle se redresse enfin et se rhabille, lui donne un baiser avant de s’éloigner vers la porte en lui avouant.
-Tu sais que tu es un amant formidable, je n’ai rarement connu d’homme capable comme toi de copuler 3 fois de suite sans débander, tu vas faire des heureuses je te le jure !
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Lance à foudre.
A qui le tour?
Super le rêve
il s'en passe des choses dans cette pension
belle histoire, j'attends de lire la suite avec impatiente
déniaisé un puceau, mon rêve!
la fougue de la jeunesse aux bourses pleines
la fougue de la jeunesse aux bourses pleines